Les adolescents devraient être à l'école

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Pour les enfants, les écoles devraient être des espaces où apprendre et grandir en sécurité. Or, pour la moitié des adolescents dans le monde, ce n’est pas le cas.
Des millions d’enfants sont victimes d’actes de violence, de harcèlement et de menaces à l’école et aux abords de l’école, ce qui peut avoir des effets à long terme sur leur santé physique et psychologique.
Pour protéger nos enfants et les générations futures, nous devons unir nos voix afin d’exiger des changements pour mettre fin à la violence à l’école. Voici 13 raisons pour lesquelles nous devons agir dès maintenant :

Des millions d’enfants supplémentaires bénéficieront du vaccin antipaludique grâce aux efforts de l’UNICEF pour en garantir l’approvisionnement


Déclaration conjointe de Catherine Russell, Directrice générale de l’UNICEF, et de Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS, à l’occasion de la Semaine mondiale de l’allaitement maternel


De nouvelles lignes directrices offrent le premier cadre stratégique mondial pour la protection des enfants en déplacement face aux changements climatiques


La pandémie de COVID-19 à l’origine du plus grand recul ininterrompu des vaccinations en trente ans


Accueil » Respectons les droits des adolescents !
Respectons les droits des adolescents !
Souvent laissés de côtés, les adolescents devraient, au contraire, être plus écoutés. En transition entre le monde des enfants et celui des adultes, ils ont parfois du mal à trouver leur place. Généralement définis comme les acteurs de demain, les 10-19 ans sont avant tout les citoyens d’aujourd’hui. Le nouveau rapport de l’UNICEF, « la Situation des Enfants dans le Monde », expose les dangers auxquels ils peuvent être confrontés, mais aussi le potentiel qu’ils représentent pour faire face aux défis de la planète.
« Les enfants ne devraient pas avoir peur ou se sentir en danger chez eux ou à l’école » . À elle seule, cette phrase de Victor, un garçon de 11 ans qui vit au Mexique, donne un aperçu des injustices que subissent encore de nombreux adolescents à travers la planète.
Ces 20 dernières années ont été marquées par la baisse du nombre de décès parmi les enfants de moins de 5 ans, passant de 34 000 en 1990 à 22 000 en 2009. Une progression qu’il faut saluer, sans pour autant en rester là. Si l’on parvient aujourd’hui à sauver des milliers de vie d’enfants chaque année, il faut aussi faire plus attention aux adolescents (définis par l’Onu comme les jeunes âgés de 10 à 19 ans). Lorsque ces enfants grandissent, il faut les soutenir dans leur développement, au fil des années, car c’est à l’adolescence que (presque) tout se joue.
Dans de nombreux contextes, ce sont eux, les ados, qui sont exposés aux plus grands risques : violences, mariages forcés, grossesses précoces, exploitation, esclavage sexuel... Dans l’espoir d’atteindre les Objectifs du Millénaire pour le Développement d’ici à 2015, les regards doivent se tourner vers les 10-19 ans.
À travers l’édition 2011 du rapport "La Situation des Enfants dans le Monde", l’Unicef met en avant les points sur lesquels il faut travailler pour mieux protéger les jeunes de 10 à 19 ans. D’autant plus que, jusqu’à présent, ils étaient rarement prioritaires.
On a parfois tendance à oublier que les enfants ne sont pas les seuls à être concernés par la Convention internationale des droits de l’enfant . Les adolescents aussi sont au cœur de ce texte fondamental. Que ce soit en matière d’éducation, de santé, de protection ou de participation, les adolescents ont des droits qu’il faut cesser d’ignorer.
Le rapport examine les défis auxquels sont confrontés ces filles et ces garçons, ces jeunes femmes et ces jeunes hommes, alors qu’ils entrent dans la deuxième décennie de leur vie. Les risques et les vulnérabilités de cette période décisive, mais aussi les possibilités positives qu’elle peut offrir, tant pour les adolescents que pour la société dans laquelle ils vivent, sont soulignés. Grâce à de nombreux indicateurs, on se rend compte aujourd’hui à quel point les adolescents représentent une force incontournable pour lutter contre la pauvreté et l’injustice.
On constate que c’est généralement au cours de l’adolescence que les inégalités se creusent. Lorsque le cercle vicieux est enclenché, il est très difficile de revenir en arrière : les enfants pauvres ou marginalisés ont moins de chances de suivre un enseignement secondaire. Fatalement, l’abandon de la scolarité expose davantage ces jeunes à de grands dangers.
Les chances de faire face aux défis du futur peuvent augmenter si l’on accorde plus d’importance aux adolescents. Leur énergie, leurs idées et leur envie de s’engager sont un facteur déterminant , comme le souligne Santiago, 15 ans, au Vénézuela « je souhaite que les gouvernements investissent davantage dans notre sécurité et notre éducation afin de renforcer nos valeurs et nos connaissances » . Les changements climatiques, l’urbanisation de la planète, la migration, le VIH-Sida, les crises humanitaires… doivent placer les adolescents sur un pied d’égalité, au lieu de les tenir à l’écart de la réalité, car ils sont de véritables partenaires, dotés d’atouts.
La plupart du temps, les différents discours que l’on entend définissent les adolescents comme les générations futures. Désormais, il s’agit de voir ces adolescents avec un regard neuf car ils font aussi partie de la génération actuelle des citoyens du monde.
1,2 milliard d’adolescents dans le monde.
1 milliard d’adolescent dans les pays en développement.
1 adolescent sur 5 vit en Afrique subsaharienne, Asie du sud, et pays les moins avancés.
La moitié des adolescents dans le monde ne font pas d’études secondaires.
Le taux de chômage chez les jeunes est trois fois plus élevé que chez les adultes (2008).
70 millions de jeunes filles ont subi une mutilation génitale au début de leur puberté.
Télécharger le rapport « Situation des enfants dans le monde : L’adolescence, l’âge de tous les possibles » en PDF (version résumée) (version complète)




Près de 30 % des 15-19 ans sont en dette de sommeil et à 15 ans, 25 % des adolescents dorment moins de sept heures par nuit. 165381419/andriano_cz - stock.adobe.com




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La fatigue est une sensation physique désagréable entraînant une difficulté à la réalisation d’activités physiques ou mentales.



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Les adolescents, qui ont besoin de davantage de sommeil, s’endorment plus tard, du fait de facteurs biologiques et sociaux.
Et si commencer le lycée à 8h… c’était trop tôt? Une étude américaine, publiée dans la revue Sleep Health , le 7 octobre semble montrer que l’école ne devrait pas commencer avant 8h30 pour les adolescents.
Pour parvenir à ces conclusions, les chercheurs ont évalué, par questionnaire, l’état psychologique de 197 adolescents américains. Ils ont ensuite interrogé leurs parents sur le sommeil de leur enfant. «Nos résultats suggèrent que pour améliorer la qualité du sommeil des adolescents, il faudrait qu’ils fassent attention à leur hygiène de vie. Mais il faudrait également revoir les horaires de début des cours», notent les auteurs de l’étude.
Cette conclusion rejoint celle de la Société américaine de pédiatrie, qui en 2014, recommandait «de ne pas débuter les cours avant 8h30». Selon cette dernière, l’endormissement tardif des adolescents, du fait de facteurs biologiques et sociaux, devrait inciter à décaler l’horaire de début des cours.
«Au moment de la puberté, la plupart des adolescents commencent à éprouver un «retard de phase» (sommeil et réveil plus tardif). Cela se manifeste par un décalage par rapport aux cycles de sommeil de l’enfant de 2 heures environ», note Judith Owens, directrice du Centre pour les troubles du sommeil pédiatrique et professeur en neurologie à Harvard, auteur principal des recommandations de la Société américaine de pédiatrie .
«Le «retard de phase» se manifeste par un décalage par rapport aux cycles de sommeil de l’enfant de 2 heures environ.»
Judith Owens, directrice du Centre pour les troubles du sommeil pédiatrique.
Les adolescents sont en effet capables de rester éveillés plus longtemps sans ressentir de fatigue. Chaque individu, enfant ou adulte, a un minuteur dans son organisme: à partir du réveil, ce dernier se met en route et accumule de la dette sommeil . Si deux heures après le réveil, la dette de sommeil est faible, au bout de 17h sans dormir, elle devient lourde. À partir d’un certain seuil, la pression devient telle que le besoin de dormir deviendra impératif. Sauf que chez les adolescents, surtout ceux déjà pubères, résistent beaucoup mieux à cette pression, et s’endorment donc plus tardivement.
De plus, le cycle de production de mélatonine change temporairement lors de l’adolescence. Cette hormone est produite la nuit par l’organisme pour faciliter l’endormissement mais «sa sécrétion est bloquée par la lumière. Or à l’adolescence, les jeunes sont, pour une raison inconnue, plus sensibles à cette lumière. La production de mélatonine est donc plus facilement bloquée, ce qui favorise le décalage horaire» explique le Dr Sylvie Royant Parola, psychiatre et experte du sommeil. «C’est pourquoi l’ utilisation d’appareils électroniques avant le coucher n’aide pas à l’endormissement des jeunes .»
Ces mécanismes biologiques entraînent un retard de sommeil chez les adolescents. Selon un Baromètre publié en 2010 par l’agence Santé publique France: «près de 30 % des 15-19 ans sont en dette de sommeil et à 15 ans, 25 % des adolescents dorment moins de sept heures par nuit . Or, ils devraient en moyenne dormir neuf heures trente pour être en forme.»
« Près de 30 % des 15-19 ans sont en dette de sommeil et à 15 ans, 25 % des adolescents dorment moins de sept heures par nuit.»
Face à ce décalage entre ce qu’ils dorment et ce qu’ils devraient dormir, nombre d’adolescents doivent rattraper leur manque de sommeil durant le week-end, en se levant à des heures bien plus tardives qu’en semaine . Or l’Inserm pointait déjà en 2001, que «l’adoption pendant le week-end d’horaires décalés ne peut qu’aggraver les difficultés d’endormissement et la tendance naturelle à la somnolence durant la journée des adolescents le reste de la semaine.» 
Aujourd’hui en France, la plupart des élèves débutent l’école à 8h30. Mais certains, à partir du lycée, commencent dès 8h.
A la réunion début des cours 7h30 On se couche plus tôt c’est toutet ici il est fréquent en période d’été de se lever vers 4h30/5h
Foutaise foutaise , allez dormir plus tôt et tout ira bien .
Une étude américaine, bien entendu. Et qu'en pensent les spécialistes français ?
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Comment les changements climatiques devraient-ils être enseignés à l’école?




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Les changements climatiques représentent l’un des problèmes les plus urgents auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui, avec les risques à long terme qu’ils comportent pour l’environnement, l’économie et le bien-être de nos sociétés. Comme 25 % de la population mondiale a moins de 18 ans, les enfants et adolescents sont les plus exposés aux effets des changements climatiques qui s’aggraveront avec le temps. Au Canada, près de la moitié (46 %) des élèves de niveau secondaire savent que les changements climatiques sont causés par l’activité humaine, mais doutent qu’ils puissent être résolus par les efforts actuels, faisant naître chez eux un sentiment de découragement, de crainte, d’anxiété et de dégoût. L’école est par conséquent l’endroit idéal pour en apprendre davantage sur les changements climatiques et pour préparer une génération de jeunes à relever ce défi à grande échelle.
Dans le cadre de l’Accord de Paris sur les changements climatiques , le Canada s’est engagé à « améliorer l’enseignement des changements climatiques ». Les enseignants n’ont pas besoin d’être des experts des changements climatiques. Ils peuvent simplement utiliser leur position pour aller au-delà de l’enseignement des faits, en permettant aux élèves de participer à des activités ayant des répercussions réelles sur les changements climatiques.
Bieler, A., Haluza-Delay, R., Dale, A. et McKenzie, M. (2017). A National Overview of Climate Change Education Policy: Policy Coherence between Subnational Climate Educational Policies in Canada (K-12). Journal of Education for Sustainable Development 11 (2), 63-85. doi: 10.1177/0973408218754625
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* Dans ce document, le masculin est employé comme genre neutre.
Adjunct Professor & SSHRC Postdoctoral Fellow
President and CEO, Learning for a Sustainable Future
Pamela has over 30 years of progressive experience in strategic planning, policy development, project management, research and writing. She served as Ontario Program Director for Learning for a Sustai...
Chair, Graduate Studies & Research in Education
Academic Qualifications: PhD, Lakehead University, 2008

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