Le masseur lui offre une belle fin de séance
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Le masseur lui offre une belle fin de séance
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Catherine Maillard
Journaliste, éditrice et auteure
Publié le 15/01/2010 à 00h00
, mis à jour le 20/05/2019 à 14h32
Sommaire
Se sentir en confiance !
Un diagnostique précis !
L'incroyable fluidité d'un massage !
Un changement surprenant !
Une relation intime
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Issus de lointaines traditions indiennes, thaïlandaises ou brésiliennes… les massages ont pour principale mission de dénouer vos tensions, d'équilibrer votre corps et de réenchanter vos sens. A condition toutefois qu'ils soient "authentiques" et non mécaniques. Des pros vous offrent les clés pour une vraie pause bien-être.
Les vertus du massage* sont indéniables : ils procurent détente, vitalité et enchantement des sens. Aujourd'hui, les spas rivalisent d'ingéniosité et de protocoles venus d'ailleurs, pour combler nos rêves de bien-être. Les rituels sont à la mode et avec eux, des gestes parfois mal maîtrisés ou trop techniques, qui ne remplissent plus leur promesse. N'est pas un bon masseur qui veut ! Au-delà du protocole, le massage est un art du toucher qui repose sur certains principes. Deux professionnels de haut vol les pointent pour vous aider à faire le bon choix.
"La confiance permet de se laisser aller" affirme Eric Coiho Bah, fondateur du centre Maxam, plusieurs fois primé**. La notion d'accueil est essentielle. Plus qu'un sourire, c'est bien la sensation d'être spéciale, ou précieuse, qui doit dominer. Il arrive parfois de se sentir la énième personne, ou sentir le chronomètre tourner. Cette entrée en matière n'est pas favorable à la notion de bien-être. Pour Danièle, masseur sicilien et concepteur de massages avec Anne Fontaine, au spa éponyme, "se sentir invité passe par de petits gestes et une véritable qualité de présence".
Le pro c'est lui, pas vous ! La plupart du temps, vous avez pris rendez-vous pour votre massage une semaine avant ou plus. "Dès le premier contact, un bon masseur doit pouvoir établir un diagnostic et évaluer si votre choix est adapté ou pas" signale Danièle, très rigoureux. En vous posant la question sur comment vous vous sentez, puis par une simple écoute de votre corps avec ses mains, il doit être capable de déterminer son action. "Un bon masseur s'adapte selon vos véritables besoins de relaxation ou de dynamisation, ses pressions aussi", ajoute Eric. Elles sont en harmonie avec votre état du moment, comme de votre sensibilité. Plus doux ou plus fort. N'hésitez pas à lui faire partager vos sensations, à cet égard.
Votre ressenti est très important. Car il faut savoir qu'un massage qui fait mal, ce n'est pas normal. Et surtout, un massage mal fait peut occasionner des douleurs, comme des migraines , ou des contractures avec à la clé un vrai mal au dos … Cela peut être le cas avec certains massages thaïs, ou shiatsu qui appuient sur des points précis. Et s'ils ne sont pas adaptés, ils occasionnent des douleurs.
"Il arrive parfois que l'on ressente la succession de manoeuvres" pointe Eric. Les transitions sont marquées, les changements de position, laborieux. A l'inverse, un bon massage s'inscrit dans une continuité, de sorte que l'on ne sente plus qu'une "vague" fluide. "La sensation d'unité corporelle domine. Si au contraire on se sent morcelé, c'est qu'il y a un problème" ajoute fermement Danièle.
Quand la fluidité n'est pas au rendez-vous, il y a une sorte d'inconfort. Se relâcher, s'abandonner est difficile. La tête est bien présente et les préoccupations aussi. Dites-vous bien qu'un des indicateurs d'un bon massage est notre rapidité à déconnecter notre mental.
Le massage est plus qu'une parenthèse ! Porteur d'évasion et d'un profond bien-être, il nous laisse à la fin de la séance , bien différent. "La notion de ressourcement est notable" stipule Eric. Qu'il soit relaxant, rééquilibrant ou dynamisant, le massage dispense des bienfaits bien connus des aficionados. Ce voyage sensoriel agit directement sur le système nerveux central en partie grâce à la production d'endorphines qui l'accompagne, et aussi par l'action du toucher. On sait aujourd'hui que le massage des bébés est recommandé pour un meilleur équilibre . Il revitalise, fortifie le système immunitaire et agit de façon positive sur nos émotions.
"Il arrive à l'inverse que l'on ait seulement la sensation d'une peau plus souple et nourri par les mouvements du massage. Ce n'est pas suffisant, hormis dans le cadre d'un massage à cet effet" martèle Eric. "Quand le massage est bien fait, on perd la notion du temps, le corps est ré-oxygéné, on découvre une sensation de légèreté très inhabituelle." Comme un voyage à la fois dans de lointaines contrées et au coeur de soi.
Selon Danièle, "la nature de la relation entre le masseur et le massé est déterminante". Elle est basée sur un échange, constant qui plus est. Le premier message à faire passer est : "je suis là pour vous faire du bien". Un aspect chaleureux, de petites attentions pendant la séance pour s'assurer que tout va bien sont autant de conditions pour qu'on s'abandonne avec béatitude.
"Vous devez vous sentir entre de bonnes mains, et totalement prise en charge", assure Danièle. Pour illustrer la nature de la relation qui doit se tisser, ce dernier fait allusion à une symphonie : "les doigts du masseur sont comme ceux d'un musicien, la partition que vous allez jouer ensemble va dépendre de son écoute". Une invitation à prendre au sérieux, les couacs en matière corporelle sont rarement les bienvenus !
Ce massage indien aux plantes, pratiqué sur table est réalisé avec des pochons d'herbes revitalisantes trempés dans de l'huile de sésame chaude. On se retrouve tour à tour assis, allongé sur le dos, le ventre… pour que chaque parcelle du corps profite de ses vertus. Détoxifiant et revitalisant.
Prix : 135 € - 90 mn - Institut Maxam, 75009 Paris
Tel : 0 820 820 618
www.maxam.cc
Le massage Zodiacal au spa Anne Fontaine.
Chaque massage tient compte du signe zodiacal de chacun. Les signes de feu sont intuitifs, les signes de terre branchés sensations. La séance repose sur l'équilibrage des énergies de chacun par des manoeuvres issues de différentes traditions selon les signes. Les modelages allient manœuvres vibratoires et mouvements profonds auxquels est associée la lithothérapie : science subtile des pierres. Rééquilibrant et ressourçant.
Prix : 95 € - 50 mn - Spa Anne Fontaine, 75001 Paris
www.annefontaine.com
* Pour tout massage, il est recommandé de consulter des masseurs-kinésithérapeutes diplômés.
Eric Coiho Bah est diplômé en médecine manuelle de l'Institut de Médecine Traditionnelle Chinoise (France) et de l'Université de Médecine Traditionnelle Chinoise de Shanghaï (Chine).
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Accueil » Chez mon patron avec sa femme
Résumé : Invité par mon patron à un dîner chez lui, je ne pensais pas passer, grâce à sa femme, une soirée aussi chaude.
– François, vous n’avez pas oublié notre dîner, demain soir chez moi.
– Non, bien-sûr. Cependant, ma femme ne pourra être des nôtres. Un empêchement de dernière minute…
– C’est bien dommage. J’aurais tant aimer faire sa connaissance. Quoi qu’il en soit, demain, 20 heures !
Je me présentai au domicile de mon patron le lendemain, à l’heure prévue, un bouquet de fleurs et une bouteille de vin à la main. Sa femme m’ouvrit.
– Bonsoir ! Vous devez être François. Enchantée. Moi même, c’est Sonia.
– Enchanté.
– Entrez ! Alain n’est pas encore là, mais il est sur le chemin.
J’entrai. L’appartement était charmant, meublé avec goût.
Sonia m’entraîna au salon.
– Je vous propose un apéro en attendant. Un kir royal, cela vous convient ?
– Parfaitement, bien volontiers.
Après m’avoir servi, elle s’absenta un instant pour aller en cuisine. J’en profitai pour pour jeter un coup d’œil à leur bibliothèque, très bien fournie. Classiques, modernes, auteurs contemporains, livres d’art, je note même, dans les rayons du haut, une section de récits érotiques. Apollinaire, Sade, je devine même une bande dessinée coquine.
Sur la table basse où Sonia a posé la flûte de champagne et quelques apéritifs se trouvait un album photo. Je me mis à le feuilleter négligemment : Des photos du couple, essentiellement prises en vacances. Décidément cette femme a une plastique superbe, les photos en maillots de bain me dévoilent son corps aux courbes parfaites.
Je tournai les pages, et me sentis tout à coup gêné : La voilà seins nus, ils sont très beaux. Je ne pus m’empêcher de m’attarder dessus, jetant de temps à autre un regard vers la cuisine.
– Elle est belle, hein ?
C’est mon patron qui m’a surpris. J’en rougis, et refermai l’album.
– Je vous en prie, continuez, vous lui ferez plaisir.
– Chéri, tu es là ? La voix de Sonia se fit entendre de la cuisine.
– Oui ma puce.
– Tu t’occupes de notre invité ?
– Bien-sûr, mais il s’est occupé tout seul : Il regarde tes photos.
– Qu’il continue !
– François, vous n’avez plus le choix : Ceci ressemble fort à un ordre. Et si au bureau c’est moi le patron, ici c’est elle qui commande.
Il m’envoya une œillade.
– Allez-y, reprenez.
Timidement je rouvris l’album. Je retrouvai rapidement la page où elle est seins nus, tournai vite pour ne pas être gêné, mais les photos suivantes étaient du même tonneau. Les photos ont été prises au bord d’une piscine. Sur les photos, la femme de mon patron prend des poses lascives, se caressant les seins, pointant sa langue au travers de ses lèvres. Deux pages plus loin la voilà qui retire le bas, et la photo d’après, je pus admirer sa toison.
– C’est beau, n’est-ce pas ?
– O.. Oui…
Ja balbutiai.
– N’ayez pas honte, admirez !
C’est Sonia qui s’adressait à moi, de retour de la cuisine.
Je tournai encore les pages. Allongée sur un transat, les cuisses écartées, Sonia laisse admirer son sexe. Sur la photo suivante elle y a porté la main et manifestement se masturbe intensément.
– Mon dieu !
Je n’ai pu retenir ma surprise : Sur les pages suivantes, c’est Alain, mon patron, qui est allongé sur le transat. Une photo avec la verge au repos, sur l’autre il bande et se masturbe, le gland décalotté.
Tout ceci finit par m’exciter. Si peu de temps après notre partie carrée avec nos amis Agnès et Gilles (et la fin de soirée), me voilà une fois de plus avec des personnes un tantinet exhibitionnistes.
Les photos suivantes les réunissent. Une fellation, un cunnilingus, une pénétration en levrette.
Une dernière page de photos détaille la lente pénétration de la queue d’Alain dans l’anus de sa femme.
– Visiblement vous aimez vous exhiber. Vous seriez capable de la faire en direct, devant moi ?
Sans un mot, elle saisit le pantalon de son mari, fit glisser la braguette, passa sa main dans le slip pour en tirer une bite visiblement déjà bien vigoureuse. Elle la caressa. Très vite, ils se déshabillèrent l’un l’autre pour se retrouver nus devant moi. Elle écarta les jambes, fourra un doigt bien profond dans son vagin, le retira et vint l’essuyer sur ma main pour que je puisse constater à quel point elle mouillait. Puis ils reprirent devant moi les poses qu’ils avaient sur les photos : Elle le prit en bouche et le suça longuement, il l’allongea sur le dos et vint lui écarter les cuisses pour plonger le nez dans son vagin puis y placer sa langue. Quand elle eut joui une fois, elle lui ordonna de la pénétrer, ce qu’il fit, puis elle se retourna et il la prit en levrette. Elle se retrouva face à moi et me regarda.
– À poil.
La phrase a résonné comme un ordre, et mon patron eut à peine le temps de me rappeler qu’ici c’est elle la patronne : J’obéis.
– Masturbe-toi.
Je pris ma bite en main et actionnai mon dard déjà bien dur. Elle sembla jouir alors.
– Approche.
Je m’approchai. Elle prit ma bite, la mena à sa bouche et me suça avec empressement. Ce fut l’extase. Je sentais que la jouissance approchait, mais elle arrêta alors la succion, et me dit d’aller prendre la place de son mari. J’obéis, et l’instant d’après me voilà occupé à la limer avec délectation pendant qu’elle se gavait de la pine imposante de son mari.
À nouveau je sentis la jouissance approcher, mais elle interrompit le tout et nous proposa de passer à table.
Je me sentis frustré, mais comme nous allions souper dans le plus simple appareil, je me dis que la fête n’était pas finie.
Effectivement vers la fin du repas, Sonia disparut sous la table et bientôt je sentis une main redonner de la vigueur à mon membre, puis une bouche.
– Alors François, me lança Alain, satisfait de votre soirée ?
– Je mentirai à dire le contraire.
– Et le meilleur est encore à venir, vous pouvez m’en croire.
Les caresses manuelles et buccales se sont tues. Sonia ressortit de sous la table, à l’opposé d’où elle était entrée. Elle marcha à quatre pattes jusqu’au
Moment intime avec une beauté
La raison numéro 3398
Une cowgirl en lingerie