Laisse son petit ami la baiser à quatre pattes

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Depuis bientôt 2 ans, j’ai accueilli une nouvelle amie à quatre pattes du nom de Tiçek. Une vraie boule d’énergie qui a besoin de se dépenser, comme moi, elle est donc vite devenue ma coéquipière.


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10 BONNES RAISONS DE COURIR AVEC SON CHIEN
10 PRECAUTIONS A PRENDRE POUR VOTRE CHIEN
Courir avec votre chien en liberté :
Pour ma part, ma chienne est depuis toute petite habituée à être au contact de tout et baladée sans laisse. Elle est donc très sociable, bien éduquée et ne panique pas en cas de danger.
L’avantage est qu'elle sait faire la différence entre une promenade et une sortie pour courir en terme d’attitude. Ainsi, quand on court, elle me suit en restant toujours attentive notamment aux autres individus, ne s’arrête pas jouer avec les autres chiens et s’arrête quand on lui demande (pour les passages piétons, lorsqu’on approche d’une route ou d’un autre danger éventuel).
Elle m’a accompagnée dans ma reprise, ce qui a permis d’y aller doucement aussi bien en terme de distances que d’allures.
C’est pour moi une véritable source de motivation, car certains matins où la volonté s’est envolée, je ne peux pas résister devant son enthousiasme et sa bouille qui ne demande qu’une chose « Tu viens ? On va courir ? ». Et durant le parcours elle sait me booster si j’ai envie de m’arrêter, un vrai petit coach !

Etudiante en Marketing et communication de Rennes
Groupe d'âge: 22ans
Club: TRC
Coach: Jimmy Lefeuvre

#LiveUplifted ! Mordue de Crossfit depuis maintenant deux ans, on m’a longtemps dit que crossfit & course à pied ne faisaient pas bon ménage. Au début, j’ai délaissé la course à pied, puis j’ai réussi à allier les deux, juste une question d’équilibre.
Un agenda trop chargé et pas d’autre moment pour courir, une sortie matinale pour voir le lever du soleil ou encore le simple plaisir de courir de nuit pour les avantages que cela procure. Les raisons de courir de nuit sont multiples, cela présente des inconvénients, mais pas que !

Mais il y a 3 points clés à retenir pour une bonne sortie nocturne : Voir/être vu, rester attentif & être bien couvert. Sans oublier de prendre du plaisir !
En cette journée internationale des droits de la femme, une petite question se pose : Existe-t-il une définition parfaite de la WonderWoman ? Bien sûr que non
Chaque femme est unique, belle, courageuse, forte ... Nous sommes des femmes, des amies, des mamans, des soeurs, des coéquipières ...
Et en chacune d'entre nous se cache une véritable WonderWoman. Alors aujourd'hui, je vous présente les "WonderWomen" de la team ASICS FrontRunner France !
L'heure est venue de vous partager ma découverte de la rentrée dernière et comment cette nouvelle discipline qu'est le Crossfit, m'a permis de progresser en course à pied.
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Dimanche 3 novembre 2019 s’est déroulé à Paris l’Ekiden, un marathon relais au coeur de la capitale
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Elles n’y croyaient pas et pourtant : aujourd’hui, ces femmes qui ne donnaient pas cher d’une histoire aux antipodes de la rencontre passionnelle remercient leur homme d’avoir su les conquérir. Trois d’entre elles racontent.
Stephanie Wunderlich - Getty Images

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Amoureux transi : le regard de l'expert Sophie Cadalen
























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Ce sont des histoires d'amour pas tout à fait comme les autres. Au départ, elles n'y croyaient pas : la parade de séduction entamée par ce nouveau prétendant n'avait aucun impact sur elle. Et pourtant, ils ont bien fait d'y croire car aujourd'hui, ces couples filent le parfait amour. Récit de coups de foudre à retardements. 
Depuis cinq ans et demi, Carole (35 ans) et Carlos (39 ans) sont amoureux. Mais au départ, leurs sentiments n'étaient pas réciproques. "Quand il m’a vue, il s’est dit qu’il avait rencontré la femme de sa vie. Il paraît que c’est mon sourire qui l’a fait craquer. Mais il a compris aussi qu’il allait devoir me conquérir", se souvient-elle en riant. À cette époque, la priorité de Carole était sa carrière et de loin. Et l'amour était le dernier de ses soucis. 
La première fois qu'ils se sont vus, c'était à l’occasion d’un nouvel an à Cadaqués. "Moi, j’étais là pour faire la fête sans me poser de questions. Ce sont mes copines qui m’ont alertée, me disant que j’étais aveugle, que je ne voyais pas à quel point Carlos avait craqué pour moi. Je n’avais effectivement rien vu et, du coup, ma curiosité a été éveillée. J’ai commencé à m’intéresser à lui et à remarquer toutes ses attentions, notamment pour communiquer avec moi car, en fait, il ne parlait que très rarement français d’habitude. Et moi, pas un mot d’espagnol... La veille de mon départ, on s’est embrassé. Juste un baiser ", poursuit-elle. 
Ils finissent par se dire au revoir. Carlos propose de venir à Paris, et Carole accepte sans trop y croire. "À mon retour chez moi, il m’a appelée tous les jours. Puis, au bout d’une semaine, il m’a annoncé qu’il avait pris son billet pour le week-end. Première surprise", continue-t-elle. Mais les retrouvailles n'ont rien de passionnelles : elle se méfie toujours et ne croit pas en cette histoire à distance . D'autant que Carlos était aux antipodes des hommes avec qui elle avait l’habitude de sortir. Physiquement d’abord. "Et puis trop réservé, un peu gendre idéal alors que j’ai toujours été attirée par les bad boys !"
Il a continué à l’appeler. Tous les jours. Les premiers temps, elle trouvait ça juste agréable. Il la faisait rire, elle adorait son accent... Puis, peu à peu, elle a été de plus en plus en attente de ses coups de fil, de ses mails. L’histoire se construisait, malgré la distance et son manque d’emballement. Il ne s’est jamais découragé. "Sa constance, sa patience, son écoute ont, j’en suis désormais persuadée, permis de faire tomber la carapace dans laquelle je m’étais enfermée. C’est lui qui a tout fait pour que notre histoire prenne vie et perdure. Je ne compte pas ses allers-retours en avion pour m’apprivoiser...", poursuit Carole.
Au fil des mois, Carlos a réussi à se rendre indispensable. leurs séparations sont devenues plus difficiles. "Je commençais à m’attacher et à sentir le manque quand je me retrouvais sans lui à Paris. Pourtant, je ne l’ai pas épargné, je n’ai pas arrêté de le tester. J’ai un caractère plutôt fort, et une tendance à bouffer mes partenaires. Mais Carlos n’est pas entré dans la confrontation, il a su m’écouter, pour mieux dialoguer par la suite. Il a tout fait pour me plaire, il s’est adapté à mon caractère sans jamais perdre sa personnalité ". Et, surtout, il n’a pas arrêté de la surprendre. Par mille et une petites choses, comme de lui offrir trois tonnes de fraises le jour de la Saint-Valentin , ou bien de débarquer une fois tout habillé dans son bain !
"En fait, il est à l’opposé de l’image que j’avais de lui au premier regard. C’est un faux "trop simple-trop lisse", tellement drôle, pince-sans-rire... Au bout de six mois, nous avons décidé de vivre ensemble et de prendre un appartement à Barcelone. Bien sûr, j’étais morte de trouille. Aujourd’hui, Carlos est mon confident, mon amant, mon ami... Je le remercie tous les jours d’avoir insisté et d’avoir compris, bien avant moi, que nous étions faits l’un pour l’autre", conclut-elle. 
Notre second couple est composé de Suzanna, 41 ans, et Vincent, 45 ans. Ensemble depuis un an, ils n'étaient pas non plus prédestinés à finir ensemble. "J’étais en plein désastre affectif, seule, à regarder la mer bleue. Pas certaine que ce petit hôtel douillet sur une île grecque, avec du sable doux et des couples partout, suffise à ma guérison. J’étais plantée sur la plage, un peu perdue, quand il s’est avancé vers moi. Il m’a posé une question, je lui ai à peine répondu", débute Suzanna, avant de continuer, en fait, nous ne nous sommes pas rencontrés, c’est lui qui m’a rencontrée".
Suzanna n'avait alors pas du tout la tête aux rencontres. Du coup, quand le lendemain de leur première rencontre, ils se croisent, elle tente de l'éviter. Mais Vincent n'est pas du tout de cet avis et lui propose de déjeuner au troquet du coin. Elle refuse d'abord mais il insiste, et lui annonce qu'au cas où elle change d'avis, il sera là aux alentours de 13h. "J’étais là au rendez-vous, sans chichi, avec mes sabots, ma robe à fleurs et mon chignon fouillis. Et toujours défaite", continue-t-elle. Elle le laisse alors dérouler son numéro de séducteur : "Je vois que tu ne vas pas bien, je vais m’occuper de toi, tu passeras de belles vacances, je te le promets". Flattée mais pas folle, elle répond : "OK, mais après je reprends mon avion et on s’oublie".
Petit à petit, les deux tourtereaux passent les étapes qui forgent les débuts d'une relation : se tenir la main, échanger leurs premiers baisers , ... "Il avait une façon simple et directe de dire les choses, j’avais oublié qu’un homme, c’était ça aussi, avec cet irrésistible côté Bisounours. Je me suis aimantée à lui, laissée enfouir dans ses grands bras, nous sommes restés blottis l’un contre l’autre, juste à écouter le bruit des vagues", raconte ainsi Suzanna. 
Un mois plus tard, je le rejoignais pour quelques jours, divins. Trois mois plus tard, c’est lui qui débarquait à Paris
La semaine a passé, douce, sensuelle, complice, à rire et à tout partager... Vincent était séparé depuis peu. Mais il parlait quand même en bâtisseur d’un couple où l’homme et la femme s’épaulent, d’un nid où vivre heureux jusqu’à la fin de nos jours. Des paroles que je me répétais en boucle, la nuit, incapable de trouver le sommeil, en plein vertige... Le jour de mon départ, par peur, sans aucune conviction dans la voix, j’ai conclu comme convenu : "Bon, eh bien, notre histoire va s’arrêter là".
En guise de réponse, Vincent sourit. "À bientôt ma chérie", lui lance-t-il alors. Et il avait complètement raison. Dès l’avion, elle était littéralement en manque, de sa drôle de personnalité, de sa tendresse. "On a communiqué tous les jours par mails, par SMS... Il continuait de loin à baliser notre histoire de propos rassurants, je n’avais qu’à suivre le chemin. Pas de passion, de superlatifs, que des mots pesés, pensés. Un mois plus tard, je le rejoignais pour quelques jours, divins. Trois mois plus tard, c’est lui qui débarquait à Paris, pour me rejoindre", raconte-elle. Comme il l’avait prévu, depuis un an, ils vivent ensemble avec leurs trois enfants réunis, et ils sont heureux. "C’est un mec à l’ancienne. Et moi une femme ressuscitée", conclut-elle. 
Stéphanie, 32 ans, et Martin, 30 ans, ont aussi ce type de trajectoire amoureuse. Ensemble depuis quatre ans, leur rencontre a sonné comme une révélation pour la trentenaire. Mais une révélation à retardements. 
"J’ai connu Martin l’été de mes 17 ans. Il faisait partie de la bande de copains qu’on avait formée le temps des vacances. À l’époque, j’étais assez timide, pas très sûre de moi. Lui, c’était le meneur, il faisait rire tout le monde. Le dernier soir, il a essayé de m’embrasser. J’ai refusé en lui disant que je préférais qu’on reste amis. Classique. J’étais flattée qu’il s’intéresse à moi, mais, en même temps, je me disais que ce n’était pas possible. Petit, roux, enrobé... il ne me plaisait pas du tout", raconte-t-elle pour commencer.
Surtout qu'en vérité, elle préférait nettement son cousin, un grand brun ténébreux qui la snobait royalement. "Je me souviens précisément de la réaction de Martin quand je l’ai repoussé. Son visage est devenu très grave, très adulte, limite reconnaissable. Il a rétorqué d’un ton très solennel qu’il attendrait que je comprenne que nous étions faits l’un pour l’autre. C’était plutôt prétentieux mais, je ne sais pas pourquoi, sur le coup, ça m’a impressionnée. Les années ont passé, j’ai pris de l’assurance, connu plein d’hommes et pas mal de déceptions... Et, au fil du temps, Martin est devenu mon meilleur ami", poursuit alors Stéphanie.
Pendant toutes ces années, entre deux coups d'éclat, il avait bien tenté de l'embrasser. "J’ai toujours refusé, lui ressortant la même excuse : on était les meilleurs amis du monde, cela aurait été limite incestueux", se dit-elle. Jusqu’au jour où l’impensable est arrivé.
"Ce jour-là, j’ai reçu un coup dans le ventre, comme une révélation : Martin était l’homme de ma vie. C’était un 27 avril. Il avait organisé une fête chez lui. Il y avait plein de monde, je connaissais quelques visages, mais sans plus. Je n’étais pas très à l’aise. Je me souviens de m’être confiée, ce soir-là, à l’un de ses amis à qui j’ai répété toute la soirée que Martin était comme un frère pour moi. Plus je parlais, plus je réalisais à quel point je cherchais à m’autopersuader, que cela faisait des lustres que je me cachais la vérité. Cela a résonné en moi : c’est Martin qui avait raison. J’ai ressenti un sentiment d’urgence incroyable, culpabilisant de nous avoir déjà fait perdre beaucoup trop de temps. Je l’ai cherché partout dans la maison, dans le jardin, et dès que je l’ai aperçu, je me suis jetée dans ses bras. Je n’ai rien dit, il a compris, il était fou de joie", se souvient-elle alors en souriant. Le lendemain, elle s'est réveillée avec une horrible gueule de bois . Elle le regardait dormir, rongée de culpabilité. Il a fallu plusieurs semaines, des discussions interm
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