Lèche et ta gueule

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Lèche et ta gueule

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100% lesbienne aucun mec sur mon Ask. les Filles vener :-* j'adore les pieds ! SOUMISE
Prend le pied de la chaise mets le toi bien profond !
Mets toi 1, 2, 4 eu la main entière bébé !
Prend une photo de tes pieds alors !<3
Mets toi à poil vien me sucer l'orteil <4
Hummmm oui maîtresse j'm vos beaux pieds >3
Oui maîtresse j'm l'odeur de vos pids <3 dites moi ce que je dois faire à vos pied svp <3 (les lécher, masser... ) <3
*J'approche mon visage de votre pied et j'essaie de lécher plus fortement* je suis votre esclave maîtresse. Je vis uniquement pour voir servir *je lèche le long de votre grand orteil* *je retire mon visage et je tousse violemment* ça pue maîtresse
14, 85C, string, vierge, oui, oui, je rase tout, 2 mois, un mec de ma classe, personne de ma famille.

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maxime
Mec_Chaud2
T'as le boule qui chamboule


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Mec_Chaud2
T'as le boule qui chamboule

Retire mes chaussettes et lèche mes pieds plein de transpiration salle merde !
Han *-* oui j'obeis comme une chienne ! Je continue comme une folle ! Je releche vos beaux orteilx *-*
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© Tous droits réservés. Jerome3140.


Cette histoire est racontée par les intervenants : les réguliers comme Geoff et Lionel mais aussi les occasionnels comme Rudy, Etienne et beaucoup d’autres.


Mon père travaille pour la défense nationale et depuis ma plus tendre enfance j'ai été trimballé d'une caserne à l'autre. Mais depuis trois ans maintenant nous habitons en Allemagne près de Strasbourg d'où nous sommes originaires... Enfin en partie ! Nous avons aussi de la famille en Allemagne ; mon cousin par exemple. Je viens d'avoir 16 ans et mon père est envoyé en mission en Australie pour 5 ans comme attaché militaire à l'ambassade de Canberra.

Il a été convenu que je terminerai mes études en Allemagne pour obtenir l'équivalent du bac. Comme je n'ai que 16 ans, il n'est pas question pour mon père que je vive seul et pour ma part, je n'ai pas du tout envie d'être interne ni d'aller vivre pendant trois ans chez mes grands-parents.

C'est alors que Lionel, un petit cousin de mon père lui a proposé de m'héberger jusqu'à la fin de mes études. Lionel, je le connais pas trop bien, bien que nous jouons dans le même club de foot mais lui est le coach de l'équipe première. Il était aussi présent à certaines fêtes familiales mais comme il était assez excentrique on préférait qu'il ne vienne pas aux rassemblements familiaux. Et quand mon père m'a transmis cette proposition, j'étais assez surpris que mon paternel fût prêt à me confier à cet excentrique de Lionel.


C'est par hasard que j'ai appris que mon cousin quittait encore une fois la région pour un long moment. C'est le coach de Geoff qui m'a informé que mon cousin était à la recherche d'un hébergement pour son fiston pour qu’il puisse terminer ses études ici.

Moi, j'étais preneur directement évidemment ; je suis homo et la présence d'un beau et jeune petit gars m'intéresse toujours et puis, avec mes autres habitudes je ne pouvais pas laisser passer cette occasion. Geoff, je le connais un peu. Il n'a que 9 ans de moins que moi, mais à cet âge-là, la différence semble énorme. Et à la cafétéria je savais qu'il était assez populaire comme disent les anglais.

Alors, son paternel a organisé une petite rencontre chez eux pour mieux faire connaissance. En fait c'était surtout pour me dire comment je devais faire avec son gamin : études avant tout, puis le foot, pas de sorties en semaines ni les veilles de match, au lit à temps, couvre-feu à 21 heures en semaine et 22 heures le week-end et last but not least j'étais autorisé à le corriger si c'était nécessaire.

Nous étions un vendredi soir et bien que les parents ne partaient que le dimanche, nous avions convenu que Geoff s'installerait chez moi dès le samedi et qu'ensemble on mettrait sa chambre en ordre et que Geoff viendrait le dimanche chez ses parents pour faire les adieux avant leur départ.

Le samedi, à huit heures, Geoff frappait à ma porte. Il me sortait de mon lit et je dois dire que le matin je suis toujours grognon. Quand je lui ai ouvert la porte et qu'il m'a vu à poil, il était assez surpris surtout que je bandais plus que légèrement. C'est vrai qu'il est grand temps que je lui explique quelques petits trucs à mon nouveau colocataire.


C'était dur de me lever ce matin pour être à huit heures chez Lionel. Hier soir j'avais encore fait mes valises et j'ai dû entendre les dernières recommandations de mon père et comme il m'énervait, j'ai été assez franc et j'ai évité de justesse une bonne raclée que j'aurais bien méritée d'ailleurs.

J'ai dû sonner à plusieurs reprises avant que Lionel ne vienne m'ouvrir la porte. Quelle surprise quand je l'ai vu tout nu et sa bite à moitié tendue. Cela a mis d'ailleurs tout aussitôt la mienne en mouvement. Il nous a préparé une tasse de thé – il ne boit pas de café – tout en restant à poil.

— Geoff, comme tu vas vivre les quatre ou cinq années à venir ici, il faut que tu t'adaptes dès maintenant à mon style de vie et mes directives. Chez moi, on vit à poil. Alors enlève-moi très rapidement tout ce que tu as sur le dos.

Je me suis levé et je me suis foutu à poil mais j'ai gardé mon slip.

— À poil c'est à poil, Geoff ! Alors enlève-moi ce slip et donne-le moi.

Alors sans mot dire j'ai laissé glisser le slip le long de mes jambes, j'ai levé un pied, puis l'autre et je lui ai donné mon slip. Il l'a humé un long moment en le tenant sous son nez puis il m'a dit :

— J'aime ton odeur, je pense même que tu t'es branlé avant de venir ici. Je me trompe ?

— Non, Lionel, dis-je après un long moment d'hésitation.

Tout en buvant notre thé, Lionel m'a indiqué ses premières règles domestiques : toujours à poil, après les cours qui terminent ici à 13 heures, retour direct maison, ensuite devoirs et leçons puis corvées générales et enfin les corvées particulières.

Lundi, mercredi, vendredi soir entraînement de foot. Match le dimanche. Au lit chaque jour à 21 heures. Alors il ajoute que pour ne pas décevoir mon père tout manquement donnera lieu à des punitions corporelles. Je ne m'attendais pas à autre chose.

Une fois le thé bu, Lionel m'a dit :

— Pour commencer, tu déposes tes affaires dans ta chambre, première porte à droite à l’étage. Tu les rangeras plus tard dans la journée. Ensuite tu reviens au pas de course ; j’ai quelques corvées urgentes pour toi.

Je découvre donc ma chambre qui est meublée simplement et je dépose mes petites affaires sur le lit. Et je redescends rejoindre Lionel dans la cuisine.

— Geoff, tu vas nettoyer la cuisine, la salle de bain et le living. Tout doit être propre, pimpant ; je veux voir ce que tu as dans le ventre.

Je ne comprends pas ce qu’il veut dire et je me contente de l’entendre dire où je trouverais tout le nécessaire de nettoyage et je me suis mis au boulot et vers onze du matin j'avais terminé. Mais durant ce temps mes fesses avaient déjà fait la connaissance des mains de Lionel.

— Dépêche-toi, Geoff, grouille-toi, mais non de dieu tu n'en es encore que là, remue tes fesses mon vieux !

Et à chaque passage de Lionel mes fesses étaient caressées à sa façon.

Puis, je dirais presque enfin, il m'a emmené dans ce qui me servira de chambre : une pièce de trois par trois au maximum avec comme seuls meubles un lit, une grande armoire, une table qui doit me servir de bureau et un tabouret en guise de chaise.

— Tu verras, c'est parfait pour toi ! De toute façon tu passeras plus de temps aux cours et au foot que dans ta chambre, non ?

— Mais je ne peux même pas brancher ni mon ordi, ni ma Playstation, ni ma chaîne stéréo !

— Hé du calme, Geoff ! On essayera d'arranger cela plus tard et de toute façon, je préfère que tu installes tous tes trucs dans le living, ainsi je pourrai un peu te surveiller, me lance-t-il en me frappant les fesses. Tu as jusqu'à 12h30 pour faire le ménage de ta pièce, ensuite on ira chercher tes bagages. Moi, je vais maintenant prendre mon bain.

Et il me laisse dans ma chambre. Je suis effondré mais je n'ai plus le choix : je devrai vivre ici les cinq prochaines années. Je me dis que je dois en tirer le meilleur et contre mauvaise fortune, bon cœur, je mets ma chambrette en ordre et à 12.30 je me retrouve tout nu dans la cuisine en face de Lionel qui lui porte un short et un t-shirt noir.

— Bon enfile ton jeans et ton t-shirt sur ta peau nue et on va chercher tes affaires.

Et nous quittons la maison pour aller chercher mes affaires, moi en jeans, Lionel en short et t-shirt.


Trois valises et quatre boîtes que mon petit gars a ramenées sans oublier son informatique et ses jeux ! Je lui ai demandé de ranger ses affaires scolaires, ses livres et ses tenues de foot mais pour ses frusques, je lui ai prié de tout disposer sur son lit pour que je fasse un tri !

Pendant qu'il mettait la maison en ordre – ce sera sa tâche dorénavant mais il ne le sait pas encore – j'ai pensé à ce que j’appelle ses corvées personnelles ; mais j'expliquerai cela en temps voulu.

Quand je rentre dans sa chambre je suis furibard :

— Mais tu n'es pas encore à poil, Geoff ! Regarde-moi, c'est la première chose que je fais en rentrant et toi aussi ! Tu vois, moi je suis déjà tout nu ! Cela te vaudra une petite corvée personnelle !

Alors je lui rappelle que dans le hall d’entrée il dispose d’un casier où il doit déposer ses affaires dès qu’il rentre ; je veux, en effet, tout comme moi, qu’il reste à poil même lorsque l'on a de la visite.

Quand je commence à faire le tri de ses frusques déposées sur le lit, je le vois pâlir. Tous ses longs pantalons, tous ses slips, caleçons et autres boxers il doit les remettre dans sa valise tout comme ses chemisettes de corps, ses pyjamas, ses chemises et même ses chaussettes. Il ne reste plus grand-chose sur son lit ! Mon Geoff est tout blême !

— Voilà, Geoff, range-moi cela bien gentiment dans ton armoire : shorts, t-shirts, quelques pull et tes 3 paires de baskets.

— Mais Lionel, tu ne vas quand même pas m'envoyer aux cours sans caleçon et sans chaussettes ?

— Et pourquoi pas ? Moi non plus je ne porte pas de slip ni de chaussettes !

— Oui, mais toi tu ne vas plus à l'école, tu ne vas même pas travailler au dehors ! Écoute Lionel, je ferai tout ce que tu veux mais laisse-moi au moins un caleçon pour quand j'ai sport ou gym et des chaussettes pour sortir avec mes copains.

— Normalement, c'est non Geoff, mais je te promets d'y réfléchir mais d'ici là, tout dans la valise !

Alors, une fois tout rangé dans son armoire j'ai emmené la valise avec ses frusques inutiles dans ma chambre pour que le gamin ne puisse plus y toucher.


J'étais furibard ! Courir ici à poil, cela ne me gêne pas trop ; je sais que j'ai un chouette corps dont je suis fier et voir Lionel à poil me plaît assez aussi. Je sais qu'il est pédé et comme moi je me sens aussi attiré par les garçons... j'espère en tout cas que je ne vais pas me mettre à bander trop souvent.

Après cette première prise de bec on est descendu dans la cuisine et on s'est fait une tasse de thé et Lionel m'apostrophe :

— Tu sais que tu vas déjà avoir droit à une petite correction, mon ami.

Je dois avoir l'air surpris et il ajoute :

— C'est vrai tu ne connais pas encore toutes mes règles. Chez moi, qui dit petite corvée supplémentaire dit aussi punition d'office qui précède la corvée et aussi un piquet qui suit la corvée. Alors dès qu'on a fini notre thé je te ferai découvrir l'endroit où je t'enverrai m'attendre pour subir ta punition.

— Mais pourquoi ai-je mérité cette corvée ?

— Tu ne sais déjà plus ! Tu n'étais pas à poil dans ta chambre et en outre tu es à peine quelques heures ici et je n'entends que des plaintes, que des critiques ! Alors tu n'y échapperas pas.

Et Lionel m'attrape par les couilles et je suis obligé de le suivre évidemment. Il monte à l'étage, passe ma chambre et ouvre la porte d'une pièce que je ne connais pas encore. Il y fait très sombre et quand il allume la lumière, on se retrouve dans une ambiance bleutée.

Il me faut quelques secondes pour que je m’habitue à cette pénombre et là, je découvre une pièce aménagée en donjon. Il y a des instruments de torture partout. Quand Lionel me lâche enfin, je bande fortement ; lui aussi d'ailleurs.

Alors il actionne une poulie et en moins de deux mes mains sont emprisonnées dans des menottes en cuir et mes bras sont tirés vers le haut et la poulie ne s'arrête que lorsque je ne touche plus le sol qu'avec la pointe de mes orteils. Et Lionel a déjà une cravache en main ; mes fesses vont trinquer.


En fait mon donjon, comme j’appelle cette pièce, je ne m’en sers que pour des corrections importantes et ce sera la même chose pour Geoff mais pour ce premier jour sous mon autorité, je tenais à l’impressionner pour qu’il reste sur le droit chemin.

Je vais bien faire chauffer les fesses de ce petit con de Geoff. Et le salaud bande pas mal. Je dois dire qu'il ne pète plus un mot depuis qu'il pend à ma poulie. Mais j'ai encore une recommandation à lui faire mais pour cela je dois reprendre sa belle petite bite en main.

— Geoff, je dois encore te préciser l'une et l'autre chose. D'abord, à partir de maintenant c'est moi qui décide de quand, où et comment tu vas juter. Je t'autoriserai à juter au maximum une fois par jour sauf quand pour mon bon plaisir je jouerai avec ton corps ou quand je t’offre à mes amis.

Le gamin bande à fond et je poursuis sur ma lancée :

— À partir de maintenant tu seras aussi mon boy, mon house boy comme disent les anglais, un mélange de boy, serviteur, larbin mais surtout objet sexuel. Tu m'appelleras aussi dès maintenant Maître et moi, je peux utiliser tous les noms qui me viennent en tête ou simplement te siffler comme un chien pour que tu viennes te prosterner à mes pieds. Tu as alors exactement 15 secondes pour être à mes pieds, à genoux, la tête par terre dans la position du muezzin. Compris mon petit larbin?

Alors, sans attendre, je lui ai administré 25 coups de cravache. Tous bien placés. Ses fesses étaient bien rouges et le gamin pleurait et transpirait ; j'aime ça. Alors je l'ai laissé ainsi le temps que j'aille lui préparer sa première corvée personnelle.


Wow, quelle correction ! Mon paternel frappait nettement moins fort mais bien plus longtemps. J'ai eu très mal mais cela ne m'a pas empêché de bander et je bande encore toujours suspendu par les poignets et sur la pointe des pieds. J'ai aussi pu voir que Lionel aussi bandait pendant qu'il me corrigeait. Je ne sais si je vais rester longtemps ainsi mais c'est loin d'être confortable et j'ai une envie folle de pouvoir me branler, ma queue me démange.

J'entends que Lionel rapplique. Il me détache et par automatisme je dis :

C’est vrai qu'avec mon père je dois aussi remercier pour qu’il me garde sur le droit chemin.

Une fois détaché, je reste les bras ballants et la bite raide attendant les ordres de Lionel.

— Va te rafraîchir dans la salle de bain. Au pas de course.

Et je quitte cette pièce maudite que je suis certain de retrouver plusieurs fois par semaine si ce n’est pas journellement. Je ne savais pas à ce moment-là qu’elle ne sert que pour la réparation des fautes graves.

J'en profite pour pisser en prenant mon temps mais quand j’ouvre le robinet pour me rafraîchir j'entends un sonore "Triiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiit". Je ne réagis pas immédiatement et ce n’est qu’après quelques secondes que mon esprit se met en marche et que je comprends qu'il ne me reste que quelques secondes pour me retrouver à genoux et la tête au sol aux pieds de Lionel.

Je devais m'en douter : il m'attend chrono en main assis dans un fauteuil et chaussé de baskets pas trop propres. Tiens, pourtant tout à l’heure il était pieds nus ?

— Tu es vingt secondes en retard, Geoff ! Cela te fera encore une corvée personnelle demain mais pour l'instant tu vas me nettoyer les baskets que je porte avec ta langue !

Et il me tire par les cheveux et amène ma tête au-dessus de ses pieds chaussés. J'ai bien sûr un mouvement de recul mais il me tient encore par les cheveux et ajoute :

— Tu es mon boy, tu as fauté, tu as donc une corvée personnelle envers moi, tu vas me lécher mes baskets jusqu'à ce qu'elles soient complètement nettoyées y compris la semelle évidemment. Ensuite tu me les ôteras pour que je puisse les contrôler et pendant ce temps-là, tu me lécheras les panards jusqu'à ce que je te dise d'arrêter et ensuite je t'enverrai faire ton piquet. Alors au travail. Tu n'as que trente minutes pour cette corvée.

Alors je me suis mis au boulot. J'étais dégouté au départ mais le dessus des baskets cela allait encore ; le seul problème c'est la salive, surtout au début, ensuite on se met à saliver presque automatiquement. Malgré ma position, je pouvais voir la bite gonflée de Lionel qui ne se privait pas de se masser les parties à certains moments. Puis il s'est redressé dans son fauteuil.


Le gamin ne faisait pas un trop mauvais boulot. Il est assez soumis ; je pensais qu'il allait plus rouspéter mais tant mieux, sinon j'aurais dû lui administrer une deuxième correction au bout de ma poulie. Je vais m'occuper maintenant de son petit cul. Sa rondelle est à ma portée et je vais l'explorer.

— Enlève-moi une basket et dépose là par terre pour mieux pouvoir nettoyer la semelle. Et ne bouge pas trop pendant que je découvre ton petit cul.

Celui-ci n'est pas vierge d'après moi. Ce petit cul n'est plus trop serré.

Et sans arrêter de lécher ma semelle il me fait signe que oui.

Il ne répond pas vraiment mais il continue consciencieusement à faire sa corvée. Il m'enlève maintenant ma deuxième basket, la dépose devant lui et continue son nettoyage. Moi, j'ai déjà trois doigts dans son cul et entre ses jambes je vois sa bite bien dure. Il me présente mes deux baskets et pendant que je les contrôle, il me lèche les pieds sous toutes les coutures. J'aime cette sensation. Pour une première fois, mes baskets sont assez ok mais je dois dire qu'aujourd'hui j'avais choisi les moins sales. Je suis satisfait mais je le laisse encore lécher mes pieds : j'adore cela. Et ce n'est que lorsque la demi-heure impartie est passée que je l'arrête.

— Tu as bien fait ta corvée pour une première fois.

— Mets-toi à genoux devant moi, penche toi vers l'avant et mets ma bite dans ta bouche. Prends-la bien totalement dans ta petite gueule de boy. Tu ne fais pas de mouvement avec ta bouche et tu mets tes mains sur ta tête. Tu resteras ainsi jusqu'à ce que j'en aie assez.

Geoff s'exécute et je sens la chaleur de sa bouche sur la bite. Cela me fait bander un max et quand je sens qu'il veut éloigner un peu la tête, je l'oblige à garder l'entièreté de ma grosse queue en bouche, au fond de sa gorge.

Après un quart d'heure je dois avouer que je n'en peux plus et je l'oblige de faire des va-et-vient avec sa tête. Ma bite coulisse entre ses lèvres et son travail est si bon que j'éjacule dans sa petite gueule de bâtard. Je maintiens fermement par la tête et lui donne l'ordre d'avaler mon nectar. Il le fait sans broncher. Pour ses seize ans, il n'a pas froid aux yeux. Je pense que pour lui en ce premier jour il a droit à sa récompense !


Quel bâton de berger ce mec ! J'étouffais quasi ! Mais quel plaisir de pouvoir déguster tout son jus ! Julian, le chef scout qui m’a initié à l’époque, n'est jamais parvenu à me remplir complètement la
Le jardin de la tentation
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