Kelly se caresse dans sa chambre

Kelly se caresse dans sa chambre




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Kelly se caresse dans sa chambre

Kelly pouvait difficilement croire qu'elle était assise sur son ancien lit de
jeune fille, habillée uniquement d'un peignoir, attendant que ses parents
l'appellent.
Elle avait à présent 22 ans, poursuivait des études universitaires, et...
allait recevoir une fessée !
La dernière fois qu'elle avait été prise sur les genoux de ses parents
remontait à sept ans, son derrière avait été mis à nu pour une "rencontre" avec
une brosse à cheveux tenue de main de maître en guise de battoir.
Sept ans déjà... le nœud qui lui tordait l'estomac en contemplant l'horloge
qui atteignait doucement les 21 heures lui était bien familière.
Les parents de Kelly croyaient fermement que les châtiments corporels étaient
d’un bon recours pour la discipline de leurs enfants.
Ils ne fessaient pas souvent, mais quand ils le faisaient, vous ne l'oubliiez
pas de sitôt.
Kelly avait eu sa part d'affrontements avec la brosse à cheveux, pendant sa
jeunesse, tout comme sa sœur aînée Anna et ses plus jeunes frère et sœur, Bill
et Lynn.
La fessée était une affaire de famille chez Kelly. Les parents se
partageaient équitablement la distribution des claques et la fratrie était
toujours témoin de l'humiliation et de la douleur de la punition. Bien qu'elles
ne vivent plus chez leurs parents, Kelly et Anna étaient toujours informées
lorsque Lynn ou Bill étaient gratifiés d'une fessée, et, sauf rare exception,
elles y assistaient toujours.
Anna était maintenant mariée depuis un an, et John, son mari, était aussi
invité aux séances familiales de fessées. Il avait d'ailleurs pu contempler deux
fois les fesses de Bill recevoir une raclée.
Quand le père et la mère décidaient que l'un des enfants avait mérité une
fessée, le rituel était toujours le même. Vous étiez informé de l'imminence de
la punition un jour à l'avance, vous laissant à peine vingt-quatre heures pour
anticiper l'épreuve.
Quand l'heure fixée approchait vous deviez aller dans votre chambre, enlever
tous vos vêtements, enfiler un peignoir et attendre. Les autres membres de la
famille devaient se rassembler dans le sous-sol. Lorsque l'heure de la fessée
arrivait, le père et la mère montaient et vous ramenaient en bas. Là, la raison
de la fessée était expliquée. Puis, le père ou la mère, celui qui allait
administrer la première moitié des fustigations, prenait la brosse à cheveux
habituelle et s'asseyait dans ce que les enfants appelaient "le fauteuil à
fessée".
Vous deviez ôter votre peignoir, car les fessées vous étaient toujours
données entièrement dévêtu. En dépit du fait que cela ne faisait qu'accélérer le
début des douloureux coups, habituellement vous ne perdiez pas de temps pour
vous allonger sur les genoux impatients des parents puisque ce n'était que le
seul moyen pour cacher vos parties les plus intimes aux regards familiaux.
La mère ou le père vous aidait à vous positionner de telle façon que votre
postérieur fasse une cible bien ajustée. Une fois que vous étiez bien en place,
la brosse à cheveux commençait à frapper vos fesses sans défense avec des
claques piquantes.
Vous étiez supposé compter chaque coup à voix haute. Les tapes étaient
données lentement et méthodiquement, généralement en alternant les fesses.
Pendant la durée de la fessée la brosse à cheveux avait l'occasion de faire son
œuvre sur toute la surface de votre derrière exposé à tous. Immanquablement,
beaucoup de coups tombaient sur des zones délicates.
Arrivés à la moitié de la punition, le père et la mère échangeaient leurs
places. Quand la fessée était finalement terminée, vous deviez rester debout
dans un coin de la pièce, toujours nu, avec vos fesses striées bien visibles,
pendant au moins une demi-heure. La seule exception à cette règle était lorsque
vous n'étiez pas le seul enfant à recevoir la punition. Dans ce cas, une fois
que vous aviez été fouetté, vous alliez remettre votre peignoir et vous deviez
regarder les autres recevoir leur fessée, après quoi vous étiez envoyés avec les
autres dans les coins du sous-sol.
Ces dernières années, c'était généralement Bill qui était la vedette du
spectacle lorsque la famille se réunissait pour une séance de fessée. Il
recevait toujours environ deux ou trois fessées par an, parfois plus, et, ce
faisant, Kelly avait pu contempler son corps mûrir jusqu'à la puberté. Elle se
rappelait encore son entrejambe sans poil et ses minuscules testicules alors
qu'il avait six ou sept ans. Au fil des années, elle avait pu voir son sexe
croître et se développer.
La plus récente fessée que Bill avait reçue datait de deux mois environ. Ce
jour-là lorsqu'il jeta son peignoir pour s'allonger sur les genoux de son père
pour la première moitié de cette fessée, il révéla un pénis épais, long, niché
dans un enchevêtrement de poils brun foncé.
Lynn n'avait jamais été aussi souvent fessée que Bill, et cela faisait bien
deux ans que Kelly n'avait pas vu sa sœur nue. A cette époque, ses seins
commençaient tout juste à grossir et le fin duvet de poils pubiens ne
dissimulait que très partiellement la petite fente verticale de son sexe.
Kelly regarda d'un coup d'œil la pendule. Il était maintenant 20h52. Pour la
centième fois elle pensa enlever son peignoir, remettre ses vêtements, et dire à
ses parents qu'elle avait décidé de refuser la fessée.
C'était une chose possible puisque hier, lors de la confrontation avec ses
parents concernant le motif de la punition - elle avait entraînée Lynn à boire
de l'alcool dans une soirée - ceux-ci lui avaient dit qu'il était clair que
Lynn, âgée de seize ans, était encore sous leur autorité et recevrait donc
trente coups de brosse, par contre pour elle, Kelly, puisqu'elle avait plus de
dix-huit ans, elle pouvait échapper à la fessée, bien que c'était elle qui avait
entraînée sa sœur à la soirée et l'avait encouragée à boire et donc méritait
bien plus la fessée que Lynn...
C'était clair pour elle. Elle pouvait reconnaître son attitude irresponsable
et se soumettre à la fessée qu'elle méritait. Ou elle pouvait refuser d'admettre
sa culpabilité, regarder Lynn se faire fesser à cause d'elle, et repartir sans
punition. Si elle faisait cela, cependant, ses parents n'auraient pas d'autre
choix que de douter sérieusement de sa loyauté vis à vis de Lynn. De plus,
certainement que Lynn ne pourrait pas aller faire la randonnée à la plage qui
avait été prévue le mois prochain avec Kelly et ses amis. Elle avait donc décidé
qu'elle ne pouvait pas laisser Lynn supporter seule la punition et c'est pour
cela qu'elle avait accepté la fessée.
Sa mère lui avait souri et lui avait dit qu'elle savait qu'elle allait
assumer ses responsabilités et faire le bon choix. Pour sa participation aux
bêtises d'hier, elle recevrait donc quarante coups.
20 heures 58. Presque l'heure. Lynn et elle-même étaient dans des chambres
séparées. Le reste de la famille était probablement déjà réuni dans le sous-sol.
Anna et John étaient arrivés tôt et avaient dîné avec eux. Kelly avait eu de la
difficulté à avaler quoi que ce soit. Lorsqu'ils débarrassaient la table Anna
l'avait taquinée au sujet de l'épreuve à venir, lui faisant remarquer que cela
faisait bien longtemps qu'elle n'avait vu son petit derrière tout blanc exposé
au grand jour pour une fessée, et que John était bien heureux également d'avoir
l'opportunité de voir enfin les trésors cachés de sa belle-sœur.
A ces dernières paroles, le visage de Kelly était devenu rouge cramoisi,
certainement aussi rouge que ne le serait son cul deux heures plus tard. 21
heures 02. Comme souvent elle l'avait fait quand elle était enfant et que la
pendule dépassait l'heure fixée et que personne n'était encore venu la chercher,
elle espéra brièvement que, peut être, ses parents avaient changé d'avis et
qu'après tout ils ne la fesseraient pas. A peine avait elle pensé cela qu'elle
entendit le craquement familier des escaliers et sut que son père ou sa mère
venait la chercher, ainsi que Lynn.
Elle entendit frapper à la porte de Lynn et la réponse désespérée. Puis il y
eut un coup frappé à sa porte. Il lui fallut quelques secondes pour trouver sa
voix.
Elle arriva finalement à dire "Oui...". Sa mère ouvrit la porte et lui
demanda de bien vouloir descendre. Elle sentit ses jambes vaciller lorsqu'elle
se leva et rejoignit Lynn dans le vestibule. Elles restaient silencieuses tandis
que leur mère les entraînaient par l'escalier vers le sous-sol.
La première chose que Kelly vit en entrant dans la pièce fut le "fauteuil à
fessée" qui était placé au centre, avec la brosse redoutée reposant sur le
siège. Le reste de la famille était présent, confortablement disposé en
demi-cercle en face du fauteuil. Le père se tenait debout et appela Lynn pour
qu'elle se mette en face du groupe rassemblé. Kelly, elle, se tenait à la porte
et le rituel commença.
Le père raconta la mauvaise conduite de Lynn à la soirée de Kelly, insistant
qu'elle avait pris illégalement des boissons alcoolisées et de ce fait qu'elle
avait risqué d'être arrêtée et même peut être mise en prison. Pour être sûr que
ce genre de conduite dangereuse ne se reproduise plus Lynn serait donc
fessée.
A l'ordre de son père, Lynn délia la ceinture de son peignoir de bain, Le fit
glisser de ses épaules, et le déposa soigneusement sur le bras du sofa voisin.
Kelly surveillait les fesses douces et pâles de Lynn qui attendait que son père
prenne la brosse à cheveux et s'assied dans le "fauteuil à fessée".
"En travers de mes genoux, s'il te plaît." lui ordonna-t-il.
Lynn se mit à ses côtés puis abaissa son corps nu au travers des genoux de
son père. Ses seins s'étaient bien sûr développés quelque peu depuis que Kelly
les avait vus la dernière fois, bien qu'ils étaient encore relativement petits
et assez plats sur la poitrine. Elle ne pu que jeter un coup d'œil furtif sur
la toison avant qu'elle ne disparaisse contre les genoux impatients.
Le père poussa Lynn en avant jusqu'à ce que sa tête soit très près du sol et
que son cul fut bien pointé en l'air. Il y eut une pause brève alors qu'il
élevait la brosse dans les airs au dessus du petit derrière de Lynn.
Un rapide mouvement de balancier et la brosse atterrit en une gifle cinglante
sur la fesse gauche de Lynn qui laissa échapper de ses lèvres un "Oooohhh" sourd
suivi immédiatement de "Un" murmuré à peine. Son père s'arrêta un instant puis
souleva de nouveau la brosse. La seconde gifle claqua sur la fesse droite et
Lynn ne put retenir un nouveau gémissement avant de réciter le "Deux" exigé.
La troisième gifle l'attrapa directement de nouveau sur la pomme gauche
probablement exactement au-dessus de l'endroit où avait atterri le premier coup
en provoqua la même exclamation forte de douleur.
La fessée continuait à une allure régulière et, quand Kelly décida de ne pas
fermer les yeux lorsque la brosse s'abattait, elle pu voir le corps de Lynn se
raidir à chaque claque. A partir du huitième coup ses jambes se tendirent à
chaque fois que la brosse faisait son œuvre et elle pleurait ouvertement.
Après la quinzième tape son père l'aida à se remettre sur pieds et pendant
qu'il échangeait sa place avec la maman, elle resta auprès du fauteuil
sanglotant sans honte. Kelly put ainsi regarder plus précisément et plus
longuement son corps dénudé.
Ses jeunes seins se soulevaient et retombaient à chaque pleur. A la base de
son ventre plat une toison de poils obscurcissait la majeure partie de son sexe
bien qu'ils ne fussent pas aussi sombres et épais que les siens. Lynn avait les
jambes fines et musclées ce qui donna à Kelly une pointe d'envie sachant qu'elle
exposerait bientôt les siennes, plus épaisses.
Le visage de Lynn se tordit de détresse quand sa mère s'assit pour la
deuxième partie de la fessée.
A travers ses larmes elle supplia : "S'il vous plaît, arrêtez ! Je ne boirai
plus jamais, je vous le promets. Je n'irai d'ailleurs plus à aucune autre
soirée. S'il vous plaît, s'il vous plaît, ne me fessez plus, j'ai compris la
leçon."
Les instructions de sa mère lui demandant de s'allonger aux travers de ses
genoux lui apporta une nouvelle crise de pleurs et de supplications. Les enfants
n'avaient jamais connu leurs parents se laisser fléchir sur Une durée annoncée
de fessée mais le feu cuisant de votre arrière train ne vous laissait que le
choix d'essayer !
Il n'y avait que la menace de tapes supplémentaires qui fit se baisser Lynn
dans la position de la fessée. La première claque apporta un hurlement violent
de l'infortunée jeune fille tandis que ses fesses succombaient sous une autre
volée.
D'après ce que Kelly pouvait voir, les deux joues des fesses de Lynn,
précédemment blanches, étaient déjà d'un rose vif du sommet de la fente jusqu'en
haut des jambes. Chaque fessée apportait dorénavant un hurlement et un nouveau
déluge de larmes. Kelly s'était promis qu'elle ne pleurerait pas, coûte que
coûte, mais en entendant les continuelles gifles violentes appliquées sur la
chair sans défense, elle commençait à se demander si elle serait capable de
tenir sa promesse.
Aussi dure à supporter que la fessée puisse être, elle ne voulait pas y
ajouter l'humiliation de pleurer et supplier comme elle l'avait déjà fait alors
qu'elle était enfant et comme sa sœur de seize ans le faisait aujourd'hui.
Quand le bruit de la trentième claque s'éteignit, Lynn sembla s'écrouler sur les
genoux de sa mère et commença à brailler de manière incontrôlée.
Sa mère la laissa allongée ainsi une minute ou deux à pleurer puis la remit
sur ses pieds. Aussitôt les mains de Lynn volèrent vers son petit derrière tout
cloqué tandis qu'elle pleurait en face de nous.
Kelly, soudain, réalisa que c'était maintenant son tour. La maman aida Lynn à
remettre son peignoir et lui offrit une chaise qu'elle déclina et resta debout
en sanglotant, massant son derrière meurtri à travers la sortie de bain. Le
cœur de Kelly se mit à battre la chamade lorsqu'elle entendit son père
l'appeler. Ses genoux se pliaient presque lorsqu'elle s'avança en face du
groupe. Son père expliqua à ce dernier qu'elle avait failli à son devoir de
protection vis à vis de sa sœur en lui permettant et même l'encourageant à
boire de l'alcool lors de la soirée à laquelle elles participaient toutes deux.
En reconnaissant sa responsabilité, continua le père, Kelly a consenti
d'accepter une fessée pour prouver qu'elle était consciente du sérieux du délit
et pour lui servir de rappel pour le futur. Puis vinrent les mots terribles :
"Kelly, enlève ton peignoir."
Se rendant à peine compte de ce qu'elle faisait, Kelly dénoua la ceinture et
retira le peignoir qu'elle laissa tomber, restant plantée là, nue,
Attendant que son père pris place dans le "fauteuil à fessée". Elle pouvait
Presque sentir le regard pénétrant de sa famille sur son derrière nu. Ses seins
étaient nettement plus développés que ceux de Lynn, son ventre moins plat, ses
cuisses plus épaisses, ses fesses plus charnues. Bill pouvait maintenant évaluer
son développement physique comme elle-même l'avait déjà fait si souvent pour
lui. Quant à John il pouvait comparer les attributs physiques de sa femme Anna à
ceux de Kelly qu'il connaissait maintenant plus intimement, et avec ceux de la
plus jeune sœur qui lui avaient été révélés précédemment.
Le père ordonna : "Sur mes genoux, s'il te plaît."
Kelly se mit à ses côtés et les années écoulées depuis sa dernière fessée, il
y avait sept ans, semblèrent s'estomper alors qu'elle prenait place sur les
genoux de son père. Tout soudainement sembla incroyablement familier -- la
texture du pantalon du père sur son ventre et son intimité, la sensation de
vertige lorsqu'elle baissa la tête vers le sol, le sentiment de complète
vulnérabilité lorsqu'elle courba la taille et que son petit cul se leva, le
mouvement de l'air entre ses jambes nues.
Le père mis son bras gauche à travers le dos de Kelly pour bien la maintenir
en place. L'attente pour la première volée semblait interminable. Elle pouvait
presque sentir les yeux de son père lui scrutant les fesses pour décider où
serait le meilleur endroit pour la première claque. Elle se demandait si ses
yeux n'erraient pas aussi de la fente vers sa chatte dont les petites lèvres
devaient être partiellement visibles là-haut entre ses cuisses.
La brosse à cheveux atterrit avec un bruit claquant sur la fesse gauche.
"Oooohhh"... En dépit de sa promesse, Kelly ne pu réprimer un cri qui se fit
l'écho de celui de Lynn, quelques instants auparavant, lorsqu'un trait de
douleur traversa la chair martyrisée. Elle ferma bien fort ses yeux et dit
"Un"... en attendant la prochaine frappe. Quelques instants après la petite
pomme de fesse droite explosa dans une brûlure aiguë lorsque la brosse trouva sa
seconde marque. Terrifiée, elle attendit la troisième claque, qui croyait-elle
tomberait presque certainement sur sa fesse gauche encore palpitante. Elle ne
fut pas déçue.
Elle hurla et rua alors que sa fesse entière s'engourdissait dans un éclair
de douleur brûlante. Entre temps la volée suivante s'abattit. Kelly se sentait
maintenant incapable de garder son sang-froid dans cette épreuve. Son unique
centre d'attention était le feu en constante réanimation sur son derrière
charnu. Elle ruait, hurlait, pleurait, suppliait pendant que son père
travaillait chaque centimètre de son cul avec la brosse à cheveux. S'il n'avait
pas encore eu l'occasion de voir sa chatte avant, aujourd'hui c'était chose
faite tellement elle tournait ses jambes et les écartait dans un dernier effort
pour essayer de dissiper un peu la douleur atroce s'emparant de son postérieur.
Tandis que la fessée continuait, elle montrait un spectacle de grimaces
enfantines encore plus fort que Lynn...... si c'était possible !
Quand elle se remit debout au moment de l'échange entre le père et la mère,
au milieu de la punition, elle se rendit à peine compte du regard fixe et avide
que Bill et John avaient pour ses seins et son sexe nu. Elle supplia sa mère de
ne pas continuer à la fesser, faisant là aussi écho aux supplications plaintives
de Lynn, argumentant qu'elle avait accepté volontairement la fessée dans un
moment de détresse. Mais de retour en place, elle hurla et sanglota quand les
claques recommencèrent.
Elle décida de continuer à compter uniquement parce que si elle ne l'avait
pas fait ceci aurait eu pour effet de prolonger la punition. Sa mère la
martelait, visitant à nouveau soigneusement chaque partie de son postérieur avec
la brosse à cheveux.
Au fur et à mesure qu'ils avaient grandi, les fessées comportaient d'abord
dix puis ensuite vingt claques. A présent Bill en recevait habituellement
trente, et naturellement Lynn avait enduré ce nombre bien avant aujourd'hui.
Autant que Kelly pouvait se souvenir, pourtant, elle fut la première à en
recevoir quarante en une seule séance.
Lorsque sa mère donna les dernières volées, son petit cul n'était plus qu'une
vaste étendue de souffrance.
Après avoir hoqueté "Quarante" alors que la dernière gifle claquait sur son
petit cul, Kelly détendit son corps et tomba presque des genoux de sa mère qui
l'aida à se remettre sur les pieds. Avec précaution elle se pétrit les fesses
douloureuses, tout comme Lynn l'avait fait. Lynn avait pleuré pendant la plus
grande partie de la fessée de Kelly, revivant peut être sa propre punition de ce
soir.
Maintenant que les deux jeunes filles avaient reçu leur punition, leur Père
dit à Lynn d'enlever à nouveau son peignoir. A travers ses larmes Kelly eut la
première réellement bonne vision du cul de Lynn entièrement cloqué. D'après le
feu qu'elle ressentait sur son petit cul elle s'imaginait que ses fesses étaient au moins aussi ro
Quand son père n'est pas là
MILF française
Trois filles turques pour une jeune homme

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