Jeune fille se fait tirer en POV dans une maison de luxe

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Jeune fille se fait tirer en POV dans une maison de luxe

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Un Parisien de 34 ans a été arrêté dans la nuit de jeudi à vendredi dans le quartier Montorgueil (IIe) après une rixe au cours de laquelle un coup de feu a été tiré en pleine rue.
Appelés par un restaurateur, les policiers ont trouvé dans la poche du suspect un pistolet Beretta chargé. Alors qu'il le contrôlait, un deuxième homme de 44 ans s'est présenté à eux comme la victime.
Cet habitant de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) a expliqué avoir été agressé pour « une histoire de cigarette » par une dizaine d'individus à coups de barres de fer et s'être fait tirer dessus par l'un d'entre eux, qui l'a manqué.
Des malfaiteurs de plus en plus souvent armés
Les policiers ont effectivement constaté un impact de balle dans la vitrine du restaurant le Tambour, à environ quinze centimètres du sol. « Nos collègues sont de plus en plus fréquemment confrontés à des individus armés. Cela devient inquiétant », a réagi Yvan Assomia, le secrétaire régional du syndical Alliance.
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Un homme de 30 ans s'est fait tirer dessus, lundi vers 19 h 50 à Coulommiers. Un témoin de la scène, qui s'est déroulée devant un commerce de la cour Gambetta, a prévenu la police. Il a rappelé peu après pour indiquer que le blessé, qui avait marché quelques mètres après le coup de feu, s'était effondré. Plusieurs hommes sont alors arrivés en voiture pour le récupérer et l'emmener.

Le problème pour la police, c'est qu'elle ne trouve ni blessé, ni trace de sang, ni douille. Mais la réalité du coup de feu est confirmée par l'enregistrement d'une caméra de surveillance. Hélas pour les enquêteurs, la vidéo ne montre la plaque minéralogique d'aucun des protagonistes.

Mais l'affaire connaît un rebondissement peu avant 22 heures. Les pompiers sont appelés au domicile d'un homme blessé par balle à Coulommiers. Il s'agit de celui qui s'est fait tirer dessus un peu plus tôt. L'homme, qui présente une plaie d'un peu moins d'un centimètre dans le ventre, a été conduit à l'hôpital, où il est gardé par des policiers. Ses jours ne seraient pas en danger.

La police judiciaire de Meaux est en charge du dossier. Pour le moment, les enquêteurs ne disposent que de peu d'éléments pour comprendre l'affaire et identifier l'auteur du coup de feu. Le nom d'un possible tireur a circulé dès lundi soir. Mais cet homme a été mis hors de cause par la police judiciaire. « On reprend tout depuis le début », expliquait une source, ce mardi soir.

Les enquêteurs ignorent même le calibre de l'arme employée. Une source proche du dossier précise que, si le blessé s'en est sorti c'est soit grâce à la chance, soit grâce au calibre employé. Car vu la partie du corps visée, l'abdomen, le coup de feu aurait pu lui être fatal.
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Publié le 19/10/2011 à 09h26
• Mis à jour le 10/06/2020 à 13h36


Écrit par


Ch.L avec AFP




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Mignières (28) : une femme se fait tirer dessus









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Selon nos dernières informations, la femme âgée de 40 ans qui conduisait mardi matin sa fille à l'école primaire de Mignières (Eure-et-Loir), a été grièvement blessée par un homme qui lui a tiré une décharge de chevrotine dans la tête avec un fusil à canon scié.


Les faits se sont produits vers 7h45, sur une petite route de campagne à Mignières, un village situé au sud de Chartres .

La mère de famille, professeur à Brou (28), était au volant de sa voiture lorsqu'elle a reçu une gerbe de plombs, tirée par un homme cagoulé qui a ensuite pris la fuite. Elle avait à son bord sa fille âgée de huit ans et une collègue de travail qui a été placée sous protection policière. 
 
 " L'auteur présumé attendait sa victime sur la route. Il a stoppé la voiture que conduisait la mère de famille, a brisé la vitre conducteur, avant de tirer à deux reprises ", indique un enquêteur.

L'auteur présumé du coup de feu pourrait être son ex-compagnon qui est activement recherché . Agé de 58 ans, l'homme avait loué la veille une fourgonnette blanche qu'il a abandonné sur place après commis son crime.

La victime a été transportée au centre hospitalier de Chartres, puis transférée mardi midi vers un hôpital parisien dans un état jugé sérieux, tandis que la fillette extrêmement choquée, n'a pas été physiquement blessée.

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