Jeune ado vit une exérience

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Jeune ado vit une exérience
RTL INFO , publié le 30 septembre 2019 à 07h03
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La chaîne Youtube belge "Would you react ?" ("Réagiriez-vous" en français) a publié une nouvelle vidéo en caméra cachée. Cette fois, elle s'intéresse aux capacités de réaction et d'intervention de personnes lorsqu'une bande de jeunes harcèle et agresse un jeune isolé. "Énormément de gens vont réagir, ce qui redonne foi en l'humanité" , introduit Jonathan, principale figure de "Would You React ?".
Dès la première expérience, tournée au parc Elisabeth à Bruxelles (près de la station de métro Simonis) avec un tout jeune adolescent agressé par 6 ou 7 autres gamins jouant aux délinquants, des adultes interviennent très vite. Ainsi, un jeune couple n'hésite pas à s'interposer et à affronter les jeunes agresseurs: "Vous êtes 18 contre un mec seul, c'est complètement débile. Vous n'avez pas de c..., attaquez-vous à des mecs plus grands que vous (...) Vous êtes ridicules, rentrez chez vous, allez voir votre mère!" leur adresse la femme. Quant à l'homme, il repousse fermement un des agresseurs.
Le concept des émissions "Would You React ?" est de demander, une fois la caméra cachée dévoilée, aux personnes filmées d'expliquer ce qu'elles ont pensé et ressenti puis d'y ajouter l'analyse d'une psychologue. Dans cette scène, l'âge des agresseurs (presque des enfants) joue un rôle majeur. Le couple reconnait qu'il aurait peut-être hésité à deux fois avant d'agir s'il s'était agi de délinquants d'une vingtaine d'années. La psychologue confirme que le cerveau évalue le danger avant une réaction possible.
D'autres expériences similaires sont menées dans la vidéo que vous pouvez regarder ci-dessous.
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par Amina Boumazza
Créé le 17/01/2022 à 08:24 , modifié le 17/01/2022 à 08:24


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Disparue depuis le 10 janvier, une jeune Ardéchoise de 14 ans a pu être retrouvée à Marseille, où elle était retenue prisonnière, grâce à sa messagerie Snapchat.
Alors qu’elle vivait l’un des pires cauchemars, la jeune fille de 14 ans a pu compter sur son instinct de survie. Enfermée dans un immeuble du 15e arrondissement de Marseille, l’adolescente était séquestrée par deux hommes qui l’ont "violée, frappée et peut-être droguée dans la nuit” , peut-on lire dans le journal Midi Libre.

Disparue le 10 janvier dernier, les gendarmes d’Ardèche avaient lancé des recherches, sans parvenir à retrouver sa trace. Ce lundi-là, elle ne s’était pas présentée à son établissement scolaire. Placée actuellement en famille d’accueil, l’adolescente avait déjà tenté de fuguer pour retrouver sa mère biologique. La thèse d’une énième fugue était donc suivie.

Mais cette fois, l’adolescente n’a pas donné signe de vie durant près de quatre jours, jusqu’à ce qu’elle parvienne à contacter sa mère. La victime a pu prévenir sa famille en lui écrivant des messages via Snapchat et Instagram.
Les enquêteurs sont prévenus par les proches de l’adolescente. Le vendredi 14 janvier, la mère de la disparue, les informe que sa fille est séquestrée quelque part dans Marseille et qu’elle a reçu des messages de secours via les applications Snapchat et Instagram.

Pour la retrouver, la police de Marseille a l’idée d’utiliser les applications pour géolocaliser la jeune fille de 14 ans. Grâce à l’implication de l’adolescente, les policiers parviennent à identifier l’appartement où elle est retenue prisonnière. Lorsqu’ils frappent à la porte de l’appartement, les policiers découvrent deux hommes, l’un âgé de 24 ans et l’autre de 64 ans. Ils sont aussitôt interpellés mais nient avoir violenté l’adolescente . Les deux hommes assurent qu’ils ne connaissaient pas l’âge de la victime et que les relations sexuelles étaient toutes consenties.

Délivrée, la jeune fille est sous le choc après avoir vécu cette expérience terrorisante. Une information judiciaire a été ouverte par le parquet de Marseille pour des chefs d’inculpation de séquestration et viol sur mineure de 15 ans. Une demande de placement en détention provisoire des deux suspects a été transmise.

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Une adolescente sur 13, âgée de 14 à 20 ans, déclare avoir déjà eu une expérience sexuelle de groupe, selon cette étude publiée dans le Bulletin de la New York Academy of Medicine, « Urban Health ». Parmi ces jeunes femmes, une sur deux a vécu cette expérience dite « multi-person sex » sous la contrainte et l’âge moyen de la première expérience est de moins de 16 ans…
Emily Rothman, professeur agrégé de sciences de santé communautaire à l'Ecole de Santé de l'Université de Boston de la Santé (BUSPH) a interviewé 328 femmes sur leurs rapports sexuels avec des partenaires multiples, soit consensuels ou forcés. Les auteurs appellent ce type de relations « multi-person sex » ou MPS, en expliquant qu'il s'agit de tout type d'expérience sexuelle en groupe allant de la relation sexuelle souhaitée au viol collectif.
7,3% des participantes déclarent ce type d'expérience MPS dont plus de la moitié sous la contrainte. 45% déclarent dans cette situation l'absence d'utilisation du préservatif par les participants masculins au cours de l'expérience la plus récente. Ces participantes ou victimes s'avèrent plus susceptibles de fumer, d'avoir été déjà victimes de violences ou d'abus sexuels dans l'Enfance, ou d'avoir déjà été diagnostiquées avec une maladie sexuellement transmissible (IST), selon l'étude.
Des adolescentes «liquored up » ou droguées par leurs partenaires sexuels: L'âge moyen de la première expérience de MPS est de 15,6 ans, heureusement la majorité d'entre elles signalent que « c'était une expérience unique ». 54% de ces jeunes filles étaient mineures… Les auteurs ajoutent qu'une jeune femme sur 5 avec ce type d'expérience MPS, a eu plusieurs expériences. Un tiers des participantes ou victimes étaient sous l'emprise de l'alcool ou des drogues lors leur plus récente expérience, et pour 50% d'entre elles, là encore sous la contrainte.
Les MPS constituent un risque potentiel pour la santé sexuelle et reproductive , rappellent les auteurs, puisque seulement 55% déclarent l'utilisation systématique de préservatifs. " Compte tenu de la proportion importante de jeunes filles ayant déclaré une MPS non consensuelle, des recherches supplémentaires pour mieux prévenir cette forme particulière de violence sexuelle, sont urgentes. Si de nombreuses études ont été menées et publiées sur les MPS adultes, en particulier en raison de leur association avec la transmission du VIH et des maladies sexuellement transmissibles, mais peu d'attention a été donnée aux MPS chez l'adolescent.
C'est un sujet important de santé publique qui a reçu très peu d'attention jusqu'à aujourd'hui, conclut Emily Rothman. « Il est temps pour les parents, les pédiatres, les institutions et les services de santé communautaires de prendre note que la majorité de ces jeunes filles, dans cette étude, ont déclaré avoir subi des pressions, des menaces et ont été forcées à participer aux MPS au moins une fois ».
Source: Journal of Urban Health DOI: 10.1007/s11524-011-9630-1Online First™ Multi-person Sex among a Sample of Adolescent Female Urban Health Clinic Patients (Visuel © piumadaquila.com - Fotolia.com)
Cette actualité a été publiée le 17/12/2011
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La chaîne YouTube belge "Would you react" a mené une expérience sociale en rue avec trois acteurs. Le but ? Voir comment réagissent les gens lorsqu'ils sont confrontés à des adolescents qui forcent un autre à regarder des images porno. 
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La caméra cachée, vue près de 120.000 fois, pose la question : "Et vous, comment auriez-vous réagi si vous aviez vu un jeune ado forcé par ses amis à regarder une vidéo porno ?" . Dans la vidéo, certains passants ne réagissent pas, d'autres sont mal à l'aise et d'autres encore interviennent.
Avec cette caméra cachée, "Would you react" tente de faire passer un message aux jeunes, grâce à l'intervention d'une sexologue.
"Le message de notre vidéo est principalement pour les jeunes qui sont de plus en plus nombreux à consommer du porno sur internet, mais qui ne sont absolument pas accompagnés ou préparés. On leur fait comprendre que cela ne doit pas être un sujet tabou, qu'ils peuvent en parler, pour notamment prendre conscience que les images pornographiques ne sont pas la réalité !" , explique Jonathan Lambinet de "Would You React".
Un message est également adressé aux parents qui n'abordent pas assez le sujet avec leurs enfants. Seulement 10 % d'entre eux osent leur parler de sexualité. La vidéo les incite donc à davantage les encadrer pour dédramatiser le sujet.
https://www.youtube.com/watch?v=yO0NkGODX4o

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