Je suis en train de faire mon travail, ceci que beaucoup de femmes ne font pas avec leur maris

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Je suis en train de faire mon travail, ceci que beaucoup de femmes ne font pas avec leur maris

11 OCT. 2016



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Tristesse, colère et peur sont des sentiments qui nous poussent à chercher un coupable à un problème. Mais être mature ça signifie arrêter de rejeter la faute sur les autres, non ?
Une personnalité orgueilleuse aura du mal à reconnaître ses erreurs en se pensant supérieure aux autres, et remettra toujours la faute sur les autres. Mais il n'y a pas que des personnes avec ce type de personnalité qui ne souhaitent pas se remettre en question, craignant des retombées ou se protégeant en rejetant la faute sur les autres. Pourquoi se rendre responsable alors que les autres peuvent l'être ? Que cache le fait de ne jamais vouloir assumer et être responsable ? Pour quelles raisons ces personnes se victimisent et ne se sentent pas responsables ?
Enfant, nous sommes protégés par nos parents, ce sont eux qui sont chargés de nous. Ils nous protègent et prennent soin de vous, mais en grandissant nous apprenons que ce confort et cette sécurité nous en sommes le principal garant pour gagner sa liberté. En assumant totalement nos choix, nos décisions, nous menons notre propre vie comme nous l'entendons. Nous devenons l'acteur de notre propre vie. Tout commence par trouver un travail pour subvenir à ses besoins, puis nous apprenons par la suite à nouer des liens affectifs avec les autres comme nous l'entendons et à nous occuper de notre santé mentale. Nous apprenons peu à peu, à notre rythme, à nous responsabiliser.
C'est là que tout se joue, et qu'il faut faire la différence entre grandir et mûrir. Si le temps passe pour tout le monde, nous grandissons inexorablement, mais la manière dont nous gérons cette responsabilité sur notre vie détermine notre maturité. Prendre ses responsabilités sur ce qui nous arrive, c'est ça la maturité.
Si ce n'est pas en se déchargeant sur l'autre de sa faute que l'on se décharge de sa culpabilité, nous utilisons différentes stratégies pour ne pas avoir les torts pour nous. Mais pourquoi ?
Être coupable, c'est se rendre fragile aux yeux des autres et de nous. Se remettre en question est donc difficile, on est pris en défaut dans ces moments-là et notre image de nous est altérée. Il faut alors endosser la responsabilité, mais pouvons-nous nous décevoir nous-même ? Nous préférons alors que cela soit la faute du voisin pour nous économiser des pensées douloureuses et une mauvaise estime de soi.
Il est possible aussi que nous ayons peur des conséquences, que ce soit perdre l'estime ou l'amour d'une personne, ou de nous retrouver seul. Nous détestons nous sentir rejeté, imparfait ou déplaisant. Chacun préfère donc anticiper en cas de faute pour éviter la sanction, et les excuses que nous nous trouvons sont souvent nombreuses.
Il existe aussi un autre mécanisme qui consiste à se défendre inconsciemment en utilisant la projection. Cette technique revient à reprocher à l'autre ce qui nous appartient mais que nous refusons d'admettre, que ce soit un trait de caractère, un sentiment ou un impair. On projette donc sur l'autre ce qui ne nous plaît pas en nous.
Pour dépasser ces différentes stratégies conscientes ou inconscientes, il faut accepter sa vulnérabilité. Personne n'est parfait, et nous sommes tous vulnérables avec nos défauts et nos erreurs. Les admettre c'est se rendre plus fort et s'alléger. Oser ressentir de la culpabilité vous permettra de vous familiariser avec et d'accueillir les émotions en lien. Il faut s'autoriser à les ressentir pour ne plus se juger, et être à l'écoute de soi. Demandez-vous ce qui va se passer si vous êtes reconnu coupable et cela vous aidera à mieux comprendre votre scénario intérieur.
Grandir et mûrir, c'est apprendre indéniablement. On ne peut pas apprendre sans se tromper, comme pour les mathématiques, le français, il faut s'entraîner et pratiquer pour devenir meilleur. Le processus d'apprentissage suppose donc que l'on se trompe pour passer par un processus complexe de réflexion et d'analyse des faits. Et c'est là que nous avons tendance à pointer du doigt des raisons externes pour justifier nos erreurs. Notre esprit va alors chercher des coupables.
Pour preuve, quand nous nous cognions dans un objet dans une pièce, nous nous demandons que diable fait-il là. On critique alors directement la personne qui aurait pu la mettre ici ou directement l'objet en question. Ce processus est naturel, et est généré par la frustration. Mais parfois l'obstacle qui se dresse sur notre chemin est plus important qu'un objet. Que se passe-t-il quand vous n'êtes pas d'accord avec un ami ? Que vous ne réussissez pas à un examen ? Que vous échouez au Code de la route ? Quand vous avez des problèmes de communication dans votre couple ? Et les exemples sont nombreux...
Quand on ne réfléchit pas, on aura tendance à penser que c'est l'autre le problème, car il se heurte à nous. Vos émotions vous dominent à ce moment-là, et vous recherchez un coupable qui est tout trouvé dans votre esprit. On rejette alors la ou les fautes sur les autres, sur les circonstances ou encore sur vous-même. Stop ! Arrêtez-vous deux secondes et demandez-vous à quoi cela sert réellement de trouver un fautif ? Une fois le coupable trouvé, qu'est-ce que cela vous apporte ? Quand on se focalise à accuser les autres ou s'accuser, on se concentre sur des attitudes et émotions négatives comme la tristesse, la colère, la frustration ou encore la rancœur mais nous n'avançons en rien. Au contraire, cela nous rend malheureux.
Si vous travaillez plutôt sur la solution, à chercher comment changer la situation, vous comprendrez très vite qu'au-delà de perdre du temps à chercher le coupable, vous verrez qu'il est possible de résoudre la situation et de travailler sur celle-ci.
C'est cela mûrir, dépasser ses émotions pour chercher à comprendre d'où vient l'erreur et comment la réparer ou s'améliorer pour la prochaine fois. Quand vous chercherez un coupable la prochaine fois, pensez à vite tourner la page pour laisser les émotions négatives venir sans s'installer, et à chercher des solutions au lieu de coupables. Cela vous permettra d'atteindre de nouveaux objectifs et de laisser ces émotions négatives derrière vous.
La solution se trouve en vous, et personne d'autre ne peut la changer. Laissez les autres vous corriger, mettez votre fierté de côté et restez sincère envers vous-même pour l'être ensuite envers les autres. Osez dire "je me suis trompé", et cette phrase vous semblera de plus en plus facile à dire avec le temps.
Cela dit, personne n′est jamais non plus totalement responsable de ce qui lui arrive. Et les responsabilités sont parfois partagées. Dans ce cas, plutôt chercher à comprendre, à trouver des solutions, plutôt que batailler pour savoir qui est le plus coupable. 

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Bonjour,

Depuis plusieurs années déjà, il y a une voisine (ex-voisine maintenant) que je ne peux plus saquer et ce pour plusieurs raisons :
1) elle m'a une fois accusée d'avoir fait quelque chose d'assez grave (que je ne dirai pas, je veux que ça reste secret) alors que je n'étais pas fautive.

2) pour une personne ayant soi-disant déménagé, elle est beaucoup plus souvent fourrée chez une de ses ex-voisines (on dirait que cette dernière l'héberge) que chez elle (elle a pratiquement déménagé à la porte à côté).

3) elle a viré maboule, c'est-à-dire elle utilise sa voiture tous les jours (bonjour les frais d'essence !), elle fait des choses que même une personne handicapée ne ferait pas, genre elle débarque dans le lotissement pour faire je-ne-sais-quoi et elle repart (elle peut faire ça deux fois dans une seule et même journée)

4) elle est moins discrète que je ne le croyais (même sa voix stridente je ne la supporte plus, on l'entend assez loin, certaines fois elle klaxonne...)

Bref, je n'en peux plus de ses singeries
Difficile de prendre "ses responsabilités" et de ne pas être dans la colère et dans la haine, quand votre vie n'est que conséquences d'une enfance de maltraitance sournoise et manipulatrice. Aujourd'hui, à + de 40 ans, je suis dans une solitude extrême. Je n'ai pas eu les clés pour avancer dans une vie un tant soit peu classique, dans des perspectives constructivistes et positives. Je suis seule, j'ai dû mettre un terme avec les personnes qui sont sensées vous être les plus chères parce qu'effectivement ils étaient mes bourreaux, et qu'un jour il faut se sauver plutôt que de continuer à subir. Mais, ça n'a pas vraiment apporté de positif, comme se sont des personnes manipulatrices, petit à petit elles en sont venues à m'isoler des autres membres de ma famille (sans même que ceux-ci aient ma version des faits). Des carences infantiles, je n'ai pas eu de désir d'enfant. Et bien que j'avais un bon réseau d'amis, au départ dans les mêmes aspirations, ils ont tous fini par avoir des enfants ce qui nous a éloigné. J'ai passé 20 ans à faire des thérapies, étudier la psychologie, à oeuvrer pour m'en sortir, en tentant de changer le regard de ma famille sur moi pour qu'ils m'aiment enfin positivement. Beaucoup d'efforts qui n'ont servi à rien. Aujourd'hui, eux ont une vie bien tranquille, en lien, entourés. Moi je n'ai été que leur bouc émissaire enfant, aimé pour la haine qu'ils pouvaient déverser sur moi. Une alliance indéfectible encore à l'heure actuelle. Je déteste ma vie, de ne pouvoir compter sur personne. Je déteste le fait de n'avoir pu construire, une vie de couple notamment, des liens, avec des gens qui pourraient être là dans la détresse, le soutien et pas seulement dans l'éphémère de la joie. Je sais déjà que personne ne sera là pour ma vieillesse et personne ne sera là pour me pleurer le jour de ma mort. J'attends que la vie passe, dans la colère et la haine. Je ne me sens pas responsable d'être là où j'en suis parce que j'ai beaucoup donner de ma personne pour avoir une bonne situation professionnelle, pour me sortir du passé, pour aller de l'avant malgré tout. Et quand je vois le résultat aujourd'hui, je conçois que je n'ai plus qu'à attendre
Bonjour,
Quelques lignes pour juste dire que je ne suis pas du tout à l’aise avec ma fille de 52 ans , ce que je fais où dise n’est jamais bien , elle trouve toujours quelques choses à redire .
Je suis divorcer depuis longtemps et elle a de très bonnes relations avec son père, c’est comme ça et moi c’est vrai je n’ai jamais été très famille et pourtant j’ai élevé mes 4 enfants toute seule dont mon fils sourd et muet, et qui vie sa vie je suis fière de cela , pour le reste et bien je n’ai pas de relations très proche sauf avec là de mon fils qui sourd et muet, on n’est sur la même longueur d’onde

Je m’arrête là il y aurait tant de choses à dire
Mais je ne veux pas être malheureuse pour ça, j’ai fait ce que j’ai pu pour mes 4 enfants,je me dis aujourd’hui que Chacun vive sa vie, je leurs ai transmis les outils pour le faire avec mes moyens de l’époque.
Ils ont tous des situations, c’est compliqué aujourd’hui pour justement la sœur jumelle de mon fils qui est sourd , d de on mari est malade et c’est bien triste il ne mérite pas cela

Malheureusement c’est la vie
Je fais ce que peut pour les aider

Cordialement
Madame Bachelin
Sa ma servit de lire ces explications sur l’acceptation de soi, je vais mieux comprendre pourquoi les gens font sa. Je me demandais pourquoi ma femme cherchait toujours a se disculper des fautes commises et cela me fâchait qu’elle agisse ainsi, maintenant on est séparé depuis quelques temps et je la vois encore agir de cette façon, avec ses parents, amies, je trouve sa dommage car c’est une bonne personne, merci
bonsoir,
J'ai un conjoint qui ne supporte aucune remarque, même quand elles sont justifiées, on ne se parle plus car il estime que je suis toujours responsable, m'ignore, devient distant, m'appelle par mon prénom, n' a aucune considération pour moi...
Il pense qu'il est parfait, n'est ni serviable, ni attentionné, ni agréable, ni souriant et je ne supporte plus cette situation qui dure depuis plusieurs années, alors que quand nous nous somme rencontrées il aidait le contraire !!
Je suis malheureuse et à part partir car je ne vois pas d'autres solutions, je ne sais plus...
De plus il est persuadé qu'il est parfait, il est comme sa mère pas agréable et rien ne l'intéresse, à part le hand ball, le golf et ses potes. J'ai l'impression que je vis avec un fantôme sous le même toit mais nous partageons rien.
De plus aussi il se parle tout haut pourquoi, pour que je j'entende qu'il s'en fou peut-être c'est ridicule.
Bref quels conseils pouvez-vous me donner ?
Merci
Marie
Bonne année à tous.
Attention, il faut dire que c'est la faute si vous êtes vi
Je pense que les couples qui vont visiter la Tour Eiffel, finissent toujours baisent dans notre hôtel.
Un plan à trois excitant
Première vidéo XXX de cette coquine toulousaine