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Instant Ă©rotique : Mon meilleur ami (interdit aux -18ans)







par

Privas Winner

il y a 2 ans il y a 2 ans | Un article de GnadoeMedia.com
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L’amour est une chose que bien des sciences n’arrivent à expliquer. La plupart se limitent Ă  une dĂ©finition scientifique, la libĂ©ration des endorphines, de l’hormone de l’attachement et bien d’autres qui provoquent une sensation de bien-ĂȘtre et de confiance auprĂšs de l’ùtre aimĂ©. Pour ma part j’ai tendance Ă  penser que je suis maudite en amour. J’ai rĂ©cemment dĂ©couvert que ThĂ©o mon homme, mon ex pour ainsi dire, me trompait depuis un bon moment avec une collĂšgue de son bureau. Je ne dirai pas que j’étais trop bĂȘte mais plutĂŽt trop amoureuse pour le voir. Son comportement envers moi n’avait pas changĂ©, petits cadeaux par ci petites sorties par lĂ  , à la seule diffĂ©rence qu’il devenait hystĂ©rique à chaque fois que j’avais son tĂ©lĂ©phone en main.
Un jour il vint passer la nuit chez moi, c’était l’une des plus belles de ma vie, je me doutais pas que le pire allait se produire le jour suivant. Au levĂ© du jour, je m’étais rĂ©veillĂ©e plus tĂŽt que lui pour faire mes tù¹ches mĂ©nagĂšres quotidiennes, à peine je m’étais levĂ©e du lit que son iPhone se mit Ă  Viber successivement sur une longue durĂ©e. Je prends le tĂ©lĂ©phone pour jeter un Ɠil sans avoir l’intention d’ouvrir les messages. Je remarque qu’il a changĂ© de mot de passe. DiscrĂštement je pose tous ses doigts l’un aprĂȘs l’autre sur le capteur d’empreintes digitales jusqu’à tomber sur l’annulaire, le dernier doigt, qui dĂ©bloqua le tĂ©lĂ©phone. Une certaine Tatiana lui avait envoyĂ© deux SMS «J tai envoyĂ© ue tite surpriz sur wtsp» et le suivant qui disait «Jspr kavec ça tn rveil sra plu aptissant, rdv c7 aprĂšm, ton fr8 dĂ©fendu est impatient» Un cƓur, un concombre et une banane Ă©taient placĂ©s Ă  la fin du message. La tĂȘte toujours froide, je passe sur l’application WhatsApp et je remarque qu’elle aussi est bloquĂ©e par un capteur, c’était nouveau ça, je prends son doigt que j’essaie de poser sur le capteur. Il failli se rĂ©veiller, il grogne toujours Ă  moitiĂ© endormi et se retourna sur le cĂŽtĂ©. Je poursuis son doigt et je le place sur le capteur. J’entre le nom de la pute dans la barre de recherche mais rien, ThĂ©o n’était pas si bĂȘte. Alors j’entre les lettres une Ă  une et un nom apparut « Tate » avec cinq messages non lus, j’entre dans la discussion et je remarque que ce ne sont que des photos accompagnĂ©es d’émojis pervers. Mon cƓur redoubla l’intensitĂ© de ses battements dans ma poitrine, malgrĂ© cette matinĂ©e fraĂźche à cause de la pluie je commençais Ă  suer des gouttes froides. Une part de moi me disait » vas-y tĂ©lĂ©charge ces images, tu auras le cƓur net » et l’autre part me disait « Ema, c’est pas bien ce que tu fais, tu risques de dĂ©couvrir ce que tu ne veux pas dĂ©couvrir » Parfois l’ignorance est un remĂšde de prĂ©vention contre la douleur, je le sais mais je n’en pouvais plus, il fallait que j’enlĂšve ce voile qui m’empĂȘche de voir plus loin que les cadeaux de ThĂ©o. Je tĂ©lĂ©charge ces photos et ce que je dĂ©couvre entraina ma chute, la chute de notre couple. Cette Tate ou Tatiana avec envoyĂ© des photos d’elle en lingerie sexy, string et soutien-gorge, et des nudes oĂč elle exhibait sa poitrine plus grosse que la mienne avec un doigt sur la langue et un regard provocateur. J’entre dans une colĂšre noire, le genre de colĂšre qui peut vous faire casser un Ă©cran plasma que vous avez payĂ© la veille avec le trois quarts de votre salaire. Il n’était pas nĂ©cessaire que je porte mes verres pour comprendre ce que cela signifiait. Je remonte leur discussion et je dĂ©couvre que leurs relations avait commencĂ© depuis plus d’un mois. Je prends mon tĂ©lĂ©phone, je m’envoie les photos puis je supprime la discussion. Je remets le tĂ©lĂ©phone en place aprĂȘs avoir pris soin de supprimer le contact de cette pute et ses photos dans la galerie de ThĂ©o. Je m’en vais faire mes tĂąches tout en faisant bonne mine. Une heure plus tard je le dĂ©pose devant sa boĂźte tout en lui souhaitant de passer une bonne journĂ©e. Il posa un baiser sur mes lĂšvres avant de sortir du vĂ©hicule. Ce baiser qui autrefois Ă©tait ma source de motivation, le soleil de mes jours sombres, ne m’inspire maintenant que dĂ©goĂ»t, colĂšre et amertume. Je me demandais comment peut-il ĂȘtre si calme et si opaque. Son comportement envers moi n’avait pas changĂ©, il portait à merveille son manteau de double identitĂ©e.
Ma journĂ©e au boulot fut la plus catastrophique depuis mes dĂ©buts Ă  l’entreprise. J’étais à la fois distraite et dĂ©primĂ©e. Je melangeais les tĂąches et je me retrouvais plus dans ce que je faisais. Plusieurs collĂšgues ayant remarquĂ© mon absence d’esprit me demandĂšrent ce qui n’allait pas, et je racontais mon histoire. Les conseils Ă©taient nombreux, la plupart me suggĂ©raient de menacer cette Tatiana et de la faire sortir de notre vie sans que ThĂ©o le sache, comme quoi les hommes sont tous les mĂȘmes et qu’un homme si attentionnĂ© Ă©tait rare.
Je ne savais plus quoi faire, leurs conseils suivaient tous une bonne logique et leurs arguments Ă©taient solides. À la pose je prends mon tĂ©lĂ©phone et je contacte Romain, c’était mon meilleur ami depuis plus de dix ans dĂ©jĂ  . Ce dernier dĂ©crocha aussitĂŽt et me demande ce qui n’allait pas. Il eu droit au mĂȘme rĂ©cit que les autres mais avec plus de dĂ©tails. Romain prit une profonde inspiration et me demanda ce que je pensais faire. J’attendais de lui qu’il me donne un de ces bons conseils comme il avait l’habitude de le faire mais cette fois «c’est à toi de prendre une dĂ©cision pas moi» m’avait-il rĂ©pondu.
Je rĂ©ussis à terminer cette journĂ©e tant bien que mal et j’ai demandĂ© à voir ThĂ©o d’urgence. Je lui donne un rendez-vous dans un bar de la place à dix-neuf heures. Ce dernier àson arrivĂ©e prĂ©sentait une mine qui me fit comprendre qu’il a su que j’avais fouillĂ© son tĂ©lĂ©phone.
ThĂ©o : Comment s’est passĂ©e ta journĂ©e, Ema ?
Moi : Pas bien et ta journée à toi ?
ThĂ©o : TrĂšs bien comme d’habitude. J’ai

Moi : Pleine d’excitation je suppose.
Moi : Je ne suis pas lĂ  pour parler de la pluie et du beau temps. C’est qui cette meuf ? (En lui montrant la photo sur mon tĂ©lĂ©phone)
Théo : Attends Ema je peux tout expliquer.
Moi : M’expliquer quoi ? Que tu me trompes ? Que tu te tapes cette meuf depuis un mois ? Et qu’elle t’envoie des nudes ? (En dĂ©filant les photos sous ses yeux)
Théo : Calme toi Ema, sois pas hystérique, on peut tout arranger.
Moi : T’inquiĂšte pas, je ne suis pas lĂ  pour te faire des remontrances. Nous deux c’est fini. T’es comme tous mes ex, vous rĂ©flĂ©chissez avec vos bites.
Je plaque un billet de cinq cents francs sur la table pour payer la bouteille de coca cola que je n’avais mĂȘme pas bu et je me dirige hors du bar. J’étais Ă  bout. Devant ThĂ©o j’étais restĂ©e froide et calme hors ce n’était pas moi. Moi c’est ça, entrain de pleurer en criant comme je le fais maintenant dans mon vĂ©hicule. Je donne de violents coups de poings sur le volant et mes larmes n’arrĂȘtent pas de couler. Tellement j’avais mal, tellement je me sentais trahie, dupĂ©e, prise pour une conne et une imbĂ©cile.
Je dĂ©marre la voiture et j’appuie furieusement sur le champignon d’accĂ©lĂ©ration. Je voulais quitter au plus vite cet endroit, et il ne fallait surtout pas que ThĂ©o sorte et me voit pleurer la tĂȘte contre le volant Ă  cause de lui. Il ne le mĂ©ritait pas mais, j’avais mal.
J’arrive Ă  mon appartement et je dĂ©couvre que Romain Ă©tait dĂ©jĂ  lĂ  Ă  m’attendre. Il Ă©tait le seul Ă  possĂ©der le double de mes clĂ©s, il savait sĂ»rement dĂ©jĂ  quelle dĂ©cision j’allais prendre et que j’aurai besoin de ses Ă©paules pour pleurer.
Furieuse, je n’adresse aucun mot Ă  Romain, je me dirige vers ma chambre Ă  coucher, je sort tout ce qui appartient Ă  ThĂ©o et je les balance violemment contre la porte en pleurant. Je vais chercher un sachet plastique non pour y mettre les effets de cet homme infidĂšle. Je prends un couteau de cuisine, je perce un Ă©norme trou sur chacun de ses habits, vestes, chemises, culottes, pantalons et je fais passer le sachet plastique Ă  travers tous les trous puis je l’attache comme plusieurs clĂ©s reliĂ©es Ă  un seul porte-clĂ©s. Je les dĂ©pose Ă  l’entrĂ©e de la porte que je ferme violemment. Je m’adosse contre la porte puis je me laisse glisser sur le sol et je commence Ă  pleurer la tĂȘte entre les mains. Romain qui depuis le dĂ©but m’observait sans dire un mot s’approcha vers moi, m’aida Ă  me relever et me prit dans ses bras. Mes larmes coulaient de plus bel. «Pleure autant que tu veux, lĂąche toi, libĂšre toi contre mes Ă©paules; Je suis lĂ  pour toi comme toujours, et surtout dĂ©verse toi sur moi» Ă  cette derniĂšre phrase je me dĂ©colle de lui, je le regarde droit dans les yeux et on Ă©clatĂšrent tous deux de rire malgrĂ© ma douleur.
Romain : Je vais te prĂ©parer un truc Ă  manger, repose toi et continue de pleurer sinon je m’en vais.
Moi : Haha trĂšs drĂŽle, continue de te moquer. (En me couchant dans le canapĂ©) Mais s’il te plaĂźt viens rester prĂȘt de moi, j’ai besoin d’un ami Ă  mes cĂŽtĂ©s.
Il vint s’asseoir prĂȘt de moi avec une bouteille de vin et deux verres Ă  vin, aprĂšs m’avoir frappĂ© sur les jambes pour que je lui fasse de la place. On vidait Ă  nous deux la totalitĂ© de la bouteille en l’espace d’une quinzaine de minutes, comparĂ© Ă  Romain, je tenais difficilement l’alcool, mais il me fallait oublier cette douleur.
Moi : Tu m’aimes toi, vrai ? (En caressant son visage d’une main dĂ©sordonnĂ©e)
Romain : L’alcool te monte Ă  la tĂȘte, tu sais plus ce que tu fais (en arrĂȘtant ma main qui se promenait sur son torse)
Moi : Si Si, je sais ce que je fais. Je sais que tu ne me feras jamais de mal, je comprends pas pourquoi depuis toutes ces annĂ©es tu n’as pas trouvĂ© de fille qui te convienne. Tu les repousses toutes et tu es toujours prĂ©sent pour moi. (En lui caressant de nouveau le visage)
Romain : Tu sais trùs bien pourquoi Ema, feins pas l’ignorante.
Romain : Tu commences Ă  jouer avec mes sentiments, tu sais plus ce que tu fais. (En essayant de se lever)
Je le retiens et je le tire vers moi pour lui donner un baiser auquel il ne rĂ©pondit pas. Il se leva, prit les verres et la bouteille puis se dirigea vers la cuisine. Je le suis discrĂštement Ă  son insu. Il dĂ©posa les verres et se heurta Ă  moi en se retournant. «Ema tu » avait-il commencĂ©. Je mets un doigt sur ses lĂšvres et lui ordonne de se taire «Shhuuut, ne gĂąche pas tout»
Je le plaque contre le rĂ©frigĂ©rateur et je commence Ă  l’embrasser. Il essaye de me repousser mais je m’agrippe Ă  lui. Au bout d’un moment il me serra contre lui et notre baiser devint plus intense . Il me caresse tendrement avec zĂšle. Il plaque sa main sur mon postĂ©rieur et le presse fermement comme je l’aime. Je lĂąche un petit gĂ©missement de plaisir. Il commença Ă  couvrir tout mon corps de baisers, des baisers chauds et agrĂ©ables comme je les aime. Il reprit ma tĂȘte entre ses mains et m’embrasse Ă  nouveau. Je lui caresse le torse par dessus la poitrine et je plonge ma main dans son pantalon. Il inspira profondĂ©ment me serrant plus contre son lui. Nos gestes Ă©taient un mĂ©lange de zĂšle et de dĂ©licatesse.
Je saisis sa bite Ă  l’intĂ©rieur de son pantalon et commence Ă  le malaxer comme un pate a modeler. Je sentais qu’elle devenait de plus en plus dure et chaude dans ma paume. Je suis tellement excitĂ©e que je la malaxe vigoureusement. J’ouvre prĂ©cipitamment la ceinture de son pantalon, je dĂ©fais les boutons et son pantalon tombe systĂ©matiquement au sol. J’introduis ma main dans son boxer et sortit sa bite chaude de dĂ©sir. Il continuait ses baisers tout en me caressant. Il me soulĂšve et me dĂ©pose sur la cuisiniĂšre. Il passe sa main dans mon dos et d’une main experte il ouvre la fermeture de ma robe. Je profite de sa proximitĂ© pour lui lĂ©cher le cou. Il plongea sa tĂȘte dans le creux de ma poitrine et la couvrait de baiser sans toutefois enlever mon soutif.
Il fit passer dĂ©licatement sa main sur ma cuisse et la fit plonger sous ma robe. Je sens sa main progresser sur ma cuisse et aller Ă  l’encontre de ma chatte. Le contact entre sa main et ma chatte me fit frĂ©mir. Je n’en pouvais plus du dĂ©sir. J’écarte lĂ©gĂšrement les jambes. Et je saisis sa bite que je caresse avec vivacitĂ© tout en l’invitant Ă  me pĂ©nĂ©trer. Je ne m’étais pas prĂ©parĂ©e pour une entrĂ©e rapide et fracassante.
Il plaça sa bite Ă  l’entrĂ©e de mon sexe et me pĂ©nĂ©tra d’un coup sec et violent. Sa bite toucha systĂ©matiquement le fond de ma chatte. J’eus droit Ă  un mĂ©lange de douleur et de plaisir intense. Il gĂ©mit lorsque sa bite toucha le fond. Je saisis sa tĂȘte et je l’embrasse au point de ne plus la lĂącher. Il commença Ă  me tamponner frĂ©nĂ©tiquement. Il me baisait comme s’il rattrapait tout ce temps pendant lequel il m’a dĂ©sirĂ©e. Mon plaisir Ă©tait Ă  son sommet. Je gĂ©missais et je hurlais de plaisir. Il passa sa main sur le bas de mon dos et me tirais avec rythme, ce qui augmenta non seulement mon plaisir mais Ă©galement la puissance de ses coups. Mes cris remplissait la cuisine et tout mon appartement. Au bout d’un moment je me mis Ă  trembler de tout mon ĂȘtre. Ma respiration s’accĂ©lĂ©ra et j’eus l’impression d’exploser de plaisir. Je lĂąche un grand cri dans ses oreilles. Je le serre contre moi, il compris que je venais d’atteindre ma jouissance. Il continua de me baiser sans perdre le rythme puis il grogna tout en tremblant contre moi. Je sens la chatte se faire envahir par son foutre chaud. Il se colla contre moi et respirait essoufflĂ©.
Il passa une bonne minute Ă  l’intĂ©rieur de moi avant de se retirer.
Romain : On devient quoi nous deux ? (En me fixant)
Moi : Nous sommes toujours des amis. Je ne veux pas gùcher notre amitié.
Romain : Pas pour longtemps, j’ai bien l’intention de te conquĂ©rir maintenant que tu es libre. Je serai et ton ami, et ton homme.
Moi : Bonne chance (en descendant de la cuisiniĂšre)
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par

Sylvanus vossah

il y a 2 ans il y a 2 ans | Un article de GnadoeMedia.com
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Nous espérons que vous avez apprécié la fin de notre petite aventure titrée « Tournage sans montage « . Nous vous revenons avec une toute nouvelle aventure. Lisez plutÎt.
Avec cette pandĂ©mie, le gouvernement a fait fermer toutes les Ă©coles et Ă©glises. Au dĂ©but c’était assez ennuyeux et fatiguant. j’ai fini par m’y faire en me plongeant dans les nombreux romans que mon professeur de français m’a prĂȘtĂ©.
On entretenait une vraie relation de professeur Ă  meilleur Ă©lĂšve. Au delĂ  de son cours, je l’adorait, elle. J’en viens presque Ă  oublier quel jour Ă©tait quel jour, tellement tous se ressemblent. Les cours en ligne et sur les mĂ©dias sociaux ont dĂ©butĂ©. Pour nous les Ă©tudiants en master c’était une autre histoire, nos cours dĂ©butaient Ă  partir de 18h comme Ă  l’heure normale des cours avant le confinement.
J’avais terminĂ© mes trois mois de stage en entreprise et j’ai repris la routine quotidienne de ma vie. Un concours rĂ©gional de littĂ©rature a Ă©tĂ© organisĂ©, la premiĂšre partie Ă©tait la rĂ©daction d’un projet et la deuxiĂšme l’explication dĂ©taillĂ©e d’une Ɠuvre littĂ©raire au choix parmi celles proposĂ©es. Ma professeur de français m’encouragea Ă  m’inscrire et Ă  concourir, ce que j’ai acceptĂ© Ă  condition qu’elle soit mon coach dans cette aventure.
Le jour fatidique approcha Ă  grand pas, elle et moi on travaillait un jour sur trois. Elle venait Ă  mon domicile car elle a pour tradition de ne jamais montrer son habitation Ă  ses Ă©tudiants ou Ă©lĂšves. Bien qu’elle me dĂ©passe de sept ans, il nous arrivait de discuter comme des personnes du mĂȘme Ăąge.
Nous fĂ»mes un jeudi, c’était la veille du dĂ©pĂŽt des travaux littĂ©raires effectuĂ©s. Ma professeur Ă©tait venue avec des plats faits maison, aujourd’hui c’est le dernier jour, nous allons Ă©normĂ©ment travailler a-t-elle dit avant d’entrer dans la maison. Mes parents Ă©taient au courant de notre travail et ils m’encouragaient Ă  donner le meilleur de moi mĂȘme. Ce qu’ils ne savaient pas, c’est que je nourrissais en moi un amour passionnĂ© pour ma professeur. Bien qu’elle soit toujours vĂȘtue de robe de grands mĂšres je la trouvais terriblement sexy peu importe son accoutrement.
Ma prof dĂ©posa son sac et enleva son cache-nez Ă  usage unique. Elle le jeta Ă  la poubelle et demanda de l’eau et du savon pour se laver les mains, le respect des rĂšgles barriĂšres Ă©tait primordiale.
Ma prof : Alors ? Tu terminĂ© le projet et l’explication de l’Ɠuvre ?
Moi : Oui nĂ©nĂ© ( elle m’interdisait de l’appeler madame ou professeur, j’ai donc choisi nĂ©nĂ© c’était assez drĂŽle) en relisant mon projet j’ai ajoutĂ© certains dĂ©tails pour le rendre plus explicite.
Ma prof : D’accord, fait voir ( en prenant le document de sept pages de mes mains)
Moi : Pour l’explication dĂ©taillĂ©e, j’ai modifiĂ© la structure de mon Ɠuvre. J’ai remarquĂ© qu’arrivĂ© Ă  un moment j’étais sorti de la peau de l’auteur donc j’ai radiĂ© la derniĂšre partie. Je vais terminer d’ici une heure ou deux.
Ma prof : Excellent. Pendant ce temps je vais jeter un Ɠil sur ton projet (elle ne quittait pas le document des yeux)
Le temps passa plus vite que je l’espĂ©rais. La prĂ©sence ma prof dans la salle oĂč j’ai l’habitude d’étudier m’empĂȘchait de me concentrer totalement. Je jetais des coups d’Ɠil discrets vers elle et je la dĂ©shabillais du regard en essayant de deviner les rondeurs qui se cachent sou
Quand son pĂšre n'est pas lĂ 
Plantureuse péruvienne Lil Chica
Doigtée intensément

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