Il lui beurre le cul

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Il lui beurre le cul


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« Ne pas nous en chier une pendule »
Une des premières Dédexpressions que j’ai dessinées ! Vous avez trouvé ?
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Expressions françaises imagées, illustrées au pied de la lettre et traduites en anglais !
Tout vouloir, sans contrepartie. Vouloir gagner sur tous les plans.
L’usage de cette expression de la fin du XIXe siècle.
Le bon sens paysan veut qu’on ne puisse pas, honnêtement, vendre le beurre qu’on vient de fabriquer, en garder l’argent, mais garder aussi le beurre, histoire de pouvoir le revendre encore et encore.
Vouloir toujours tout garder à soi, vouloir tout gagner sans rien laisser aux autres, c’est vouloir le beurre et l’argent du beurre.
‘Le cul de la crémière’, c’est le bonus et ça relève du langage familier, bien sûr.
Littérale : « To want the butter and the butter’s money too. » (and the milk lady’s ass)
Equivalent : « To have one’s bread and eat it » ou « Have your cake and eat it, too » ou « To want to have your cake and eat it »
Définition de l'expression "Avoir la tête dans le cul" : Faire preuve d'une fatigue extrême. Origine de l'expression : Expression relativement récente, datée du 20ème siècle, elle invoque un état de fatigue extrême, avec les symptômes que cela implique, comme la vue brouillée et une perception faible, comme si on…
Définition de l'expression "Avoir le cul entre deux chaises" Être tiraillé entre deux situations, ne pas savoir quoi choisir. Quelque peu familière voire vulgaire, l'expression "Avoir le cul entre deux chaises" s'emploie lorsqu'on fait face à un dilemme, que l'on se retrouve entre deux parties opposées, ce qui peut nous…
Définition de l'expression "Avoir le cul bordé de nouilles" : Avoir beaucoup de chance. Origine de l'expression : L’origine de cette expression est difficilement identifiable. Toutefois, elle vient à l’évidence de celle plus réduite « avoir du cul », donc être chanceux. L’apparition de la fin de phrase « bordé…
[…] Vouloir le beurre, l’argent du beurre et le cul de la crémière = 1970 […]
On ne peut tout avoir, il faut donc savoir faire des choix. Ce proverbe est parfois suivi de « et le sourire de la crémière par-dessus le marché. » Cette dernière partie est variable et possède souvent une connotation érotique.
[…] si sa présence sur terre est tolérée, c’est bien uniquement parce qu’il faut des personnes comme lui pour s’occuper des tâches. L’expression est effectivement grossièrement utilisée pour couper court aux familiarités […]
« Le cul de la crémière » est un ajout vulgaire qui n’existe pas dans l’expression d’origine.
Ce proverbe est parfois suivi de « et le sourire de la crémière par-dessus le marché.
Selon https://www.linternaute.fr › proverbe ›
Comme vous êtes toujours plus nombreux à participer aux devinettes et à m’encourager sur les réseaux sociaux, je voulais vous faire ce petit cadeau. Voici un e-book sympathique qui explique les 20 Dédexpressions les plus …
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Definition from Wiktionary, the free dictionary
Hé, tu savais que Julien a gagné la loterie ? Il a le cul bordé de nouilles , lui. Hey, did you hear Julien won the lottery? He's one lucky bastard .
Literally, “to have one's arse fringed with noodles”.


Vital Puissant ? , 1864 ( p. 7 - 12 ).
book L’Anti-Justine ou les délices de l’Amour (1798) Rétif de La Bretonne Vital Puissant ? 1864 Amsterdam V Chapitre — XXVIII. — De l’enculo-connillerie Rétif de La Bretonne - L’Anti-Justine ou les délices de l’amour, 1864.djvu Rétif de La Bretonne - L’Anti-Justine ou les délices de l’amour, 1864.djvu/7 7-12 


Dernière modification il y a 1 an par Cunegonde1


Ma réponse fit sourire Trait-d’Amour, qui sans
doute n’y ajouta aucune foi. « Eh bien ! reprit-il, je
vais vous donner un plaisir que vous n’avez jamais
eu, ni ces bougres-là non plus. Je tiens cette pratique
de l’abbé Chonauche, ancien genovéfin, qui m’a souvent
enculé avant que j’eusse de la barbe au menton
et du poil au vit. Un jour, voyant que je m’ennuyais
de son culetage, il me dit d’aller lui chercher la petite
Culfraisé, la cadette, jolie comme un amour et non
encore vendue à un lord. Il envoyait douze francs à la
mère ; la fille devait en recevoir autant. L’abbé la fit
appuyer un coude sur la commode, il se mit derrière
elle et l’encula ; j’étais devant et je l’enconnais ; nous
limions, nos deux vits se sentaient ou la garce tortillait
du cul de façon que nous croyions le sentir. Chonauche
la laissait pousser tantôt du con sur moi, et
alors son vit déculant à moitié, il avait l’agrément de la réenculer ; quand elle foutait du cul, je déconnais presque
alors, puis je réenconnais ; ce joli jeu dura tant que
Chonauche put retenir son foutre, car il ne déchargeait
pas, il se réservait pour mon cul. En conséquence, il
fit mettre la jolie Culfraisé sur le dos, je l’enconnai ;
l’abbé m’encula et nous déchargeâmes tous trois. Nous
ne prendrons pas la manière du genovéfin, elle est
trop fatigante pour foutre, mais il payait la jolie bougresse…
Payez-vous madame ?… Non, certes, c’est
une honnête femme, je m’en suis aperçu à sa fouterie :
une putain ne fout pas comme madame. En ce
cas, je vais vous donner une expérience physique sur
une de ces deux fillettes… Allons, Minonne, allons,
Connette, laquelle des deux veut être enculée et
enconnée tout à la fois en même temps ? Qu’elle se
trousse ! »

Durant cet entretien, qui la laissait tranquille, Conquette
s’était couvert le con et les tétons, les deux filles
étaient assises à côté d’elle dététonnées ; elle leur baisa
le boutonnet et leur couvrit la gorge de sang-froid avec
leurs fichus. (Madame Poilsoyeux redevenait toujours
modeste dès qu’on ne la foutait plus.) Les deux filles
répondirent ensemble : « Moi !… moi !… — L’une
après l’autre, dit Trait-d’Amour ; vous avez ici de la
pommade ou du beurre frais ? — Oui, répondit
en rougissant la belle Con-Satiné ; tenez, ma
pommade est là, et voici du beurre. — Gardons ce
beurre frais pour vous, belle dame, aussi belle au cul
et au con qu’au visage », reprit Trait-d’Amour. Minonne
se pommadait la rosette. « C’est donc toi qui passes
la première, ma sœur ? — Oui, c’est toi qui me dépucelleras le cul. — J’y suis pucelle aussi, s’écria Connette.
— Ce ne sera pas moi qui aurai ton pucelage
d’arrière, répondit Trait-d’Amour ; mon vit est aujourd’hui
entièrement réservé à madame, et quoique le
culetage m’ait toujours fait peur, agent ou patient, le
cul satiné de madame me tente autant que l’étroit
fourreau de son con qui se réempucelle en une
semaine, ou seulement en faisant bidet à l’eau froide ;
je suis sûr que madame n’a jamais été enculée (à
genoux, il lui regarda le cul) et que c’est aussi un
pucelage. » Conquette rougissait.

Les deux camarades de Trait-d’Amour tirèrent au
premier roi à qui dépucellerait le cul de Minonne, car
tous deux le voulaient avoir ; ce fut Cordaboyau (un
bellot à vit moyen) que le sort favorisa ; il se pommada
le vit jusqu’à la racine. Trait-d’Amour fit coucher
Minonne sur le côté. Il mit Cordaboyau devant son
cul et Brisemotte (un beau gros vit) devant son con.
Les jeunes gens se poussaient l’un sur l’autre à qui
mieux mieux, ce qui donnait un tel plaisir à Minonne
qu’elle se récria : « Dieux ! que j’ai de délices !… c’est
une fouterie de princesse !… On dit que la reine foutait
entre d’Artois et Vaudreuil… ce dernier a le cul…
— Allons, disait Trait-d’Amour, tâchez de décharger
tous trois en même temps. » Cordaboyau retint la
garce par les hanches pour enfoncer plus avant ; Brisemotte
en fit autant, de sorte que, rendue immobile,
elle s’agitait néanmoins en tous sens. « Examinez
bien, dis-je à Conquette Ingénue, pour faire la même
chose à votre tour, car il faut que vous expérimentiez
tous les genres de fouterie. » Elle considéra le jeu à travers les bâtons de son éventail. Minonne haletait…
Connette, ébahie, restait immobile à la contempler.
« Que fais-tu là, bougresse ? lui dit Trait-d’Amour,
notre grand-maître des cérémonies ; patine-nous
madame, suce-lui le bout des tétons, gamahuche-la ;
elle a le con propre comme un visage de mariée. » Ces
mots énergiquement prononcés, survient en danse la
reine de la fête, ce que je vais décrire.

Connette, tandis que Minonne travaillait et qu’elle
était travaillée, découvrit les tétons de madame Poilsoyeux
et les siens, elle en suça les bouts, elle se les
fit sucer ; ces chatouillements de la bouche de Conquette,
aussi satinée que son con, mirent la jeune
Connette en fureur amoureuse ; elle trousse madame
Poilsoyeux, lui insère la langue dans le con, lui chatouille
le haut de la motte ; la belle émoustillée regardait
cependant Minonne ; celle-ci avertit ses deux fouteurs
qu’elle était prête à décharger ; ils redoublent de
fourgonnage, elle s’écrie : « Vit divin !… » et elle se
pâme… L’enculeur et l’enconneur l’inondaient de
foutre ; il ruisselait des deux côtés. Ma fille, vivement
gamahuchée par Connette, est hors d’elle-même, et
cette modeste beauté dit à la jeune fille : « Ôte-toi,
garce ! un fouteur !… un fouteur !… deux cents fouteurs !… »
Trait-d’Amour l’entend, il dérange Connette
acharnée, en la tirant par la jolie crinière de son con
blanc. Il emplit le trou du cul de madame Vitnègre
de beurre frais, s’en frotte le vit décalotté, se met le
bas-ventre sur les fesses, enfile la rosette sans écouter
les petits cris de l’enculée, l’étreint vigoureusement,
se retourne en se mettant sur le dos, le vit dans le cul de la belle jusqu’à la garde ; son con bien en face, il
crie à son maître : « À ce con beau qui vous supplie,
enconnez raide. Piquez des deux, la garce est enculée
et je vais vous donner le mouvement. Pardon, déesse,
je ne me connais plus… Connette, boulonne, boulonne
les couilles de ton maître… » Cependant, j’enconnai
ma délicieuse fille en sentant le vit de Trait-d’Amour
qui m’étrécissais le passage encore et qui
donnait au conin des oscillations que jamais con n’a
eues. Je délirai en m’écriant : « Chien de Vitnègre,
cocu tout à fait du con et du cul !… » Cette idée m’enflamma
et sa brutalité m’empêcha de décharger trop
tôt. Je parvins au charmant pinçoir au fond du conin ;
il me suça le vit, et Trait-d’Amour me communiquait
tous ses mouvements et en faisait faire d’insolites à
mon adorable fouteuse, déjà préparée par la langue
de Connette… Elle s’écria : « Ah !… lime… oh !…
je… dé…charge… foutre !… — En voilà du foutre
plein votre con, reine des vits et des dieux ! » s’écria
Trait-d’Amour ; et je sentais les oscillations de son
gros vit qui éjaculait. Enfin, je déchargeai moi-même.
Ma fille, inondée de foutre, trémoussait rapidement.
« Con satiné de mon vit, m’écriai-je, que tu es délicieux !… »
Madame Vitnègre émettait encore quand
Trait-d’Amour décula. Ce mouvement le fit redécharger…
Conquette, dans le con de laquelle je laissais
osciller mon vit après décharge, gigottait, trémoussait,
tremblait sous moi ; Connette m’avait
quitté les couilles ; Trait-d’Amour, toujours bandant,
était revenu vers nous. « Fous-la-moi tout chaud, lui
dis-je, elle décharge encore… Et toi, dis-je à Connette, boulonne-lui la bouteille à miel du bourdon
d’amour. » Elle m’obéit, mais Minonne, déculée,
déconnée, lavée, était libre ; elle vint remplacer Connette
en me demandant si cela n’était pas impertinent
de chatouiller les couilles de son frère pendant qu’il
foutait ma maîtresse !

Cordaboyau, cependant, et Brisemotte happèrent
Connette, le premier cette fois enconnant tandis que
l’autre enculait, pour donner une perspective encourageante
à ma fille. Mais tout finit. Madame Vitnègre
cessa de décharger, on la déconna. Trait-d’Amour la
mit au bidet. Elle se couvrit modestement le con et
les tétons, puis elle dit aux fillettes : « Mes bonnes
amies, allons aider mon hôtesse pour le souper. »
Elles y coururent. « Si vous n’avez préparé, dit ma
fille, que pour notre souper ordinaire, je vous avertis
qu’il faut le double. — Je n’ai pas assez donc, reprit
madame Brideconin . — Vite au rôtisseur de vis-à-vis,
reprit la belle Vitnègre, et de bon vin ou je ne boirai
que de l’eau : un bon mariage paiera tout cela. » On
alla chez le rôtisseur, le successeur d’Ellie, qui promit
un copieux souper pour dans une heure. Conquette
rentra auprès de nous avec les deux jolies filles.

« Rebandez-vous ? me dit Trait-d’Amour ; il ne faut
pas laisser languir nos cons avec l’expectative d’un
bon souper. — Je brûle à la vue du tour de cul et du
pied de ma déesse, mais je ne suis pas raide, lui
répondis-je. — Je roule dans ma tête une idée qui
vous raidira. »


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