Il a déchiré son collant pour lui planter sa teub dans le vagin

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Il a déchiré son collant pour lui planter sa teub dans le vagin

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Rien que de la médecine et de la biologie, mais sous un autre angle
Des médecins irlandais rapportent, dans un article publié en ligne le 14 août 2015 dans l’International Journal of Surgery Case Reports , avoir retiré du rectum un sextoy de 23 centimètres de long sans procéder à une large incision de la paroi abdominale. Leur patient n’a pas hésité à se présenter aux urgences de l’hôpital universitaire Mater Misericordiae de Dublin, sans doute assuré d’y trouver des médecins particulièrement compréhensifs et charitables. Il se plaignait d’une gêne abdominale, d’une sensation de distension, ainsi que de ne plus pouvoir uriner ni émettre de gaz.
Cet homme de 68 ans avait inséré l’objet dans son rectum à des fins de stimulation sexuelle dix heures auparavant et n’avait pu le retirer. Récidiviste, il avait déjà ressenti des douleurs dans le bas du dos après avoir introduit un objet au même endroit son rectum en 2006. A l’époque, il avait été possible de l’extraire du de son fondement après administration de sédatifs. Mais cette fois, les choses ont pris une autre tournure.
Les médecins ont en effet constaté que le corps étranger était à peine palpable dans le rectum, car situé profondément. Les radiographies ont montré un objet légèrement ovoïde de 23 cm, situé au milieu du bassin et faisant saillie du côté gauche du côlon. Par chance, il n’existait pas de signe clinique de perforation.
Une tentative d’extraction du sextoy, après prise d’un sédatif, s’est soldée par un échec. Une anesthésie générale a alors été décidée pour permettre un relachement musculaire total. Un des médecins a alors eu l’idée de se servir, sous contrôle de la vue, d’une pince de Magill (un instrument utilisé pour retirer un corps obstruant les voies aériennes). L’extrémité du sextoy a été agripée puis l’objet phallique retiré en appuyant avec les mains sur la région basse de l’abdomen. La « manipulation bimanuelle » couplée à l’utilisation de la pince de Magill chez ce patient sous anesthésie générale a ainsi permis d’éviter une intervention chirurgicale (laparotomie) consistant à inciser la paroi abdominale afin de permettre un accès direct à la région colo-rectale. 
L’examen de la partie terminale du côlon (sigmoïdoscopie) n’a pas montré de signe de lésion de la muqueuse, ni de saignement. Le patient a pu sortir de l’hôpital le lendemain matin. Très soulagé, on l’imagine.
On ignore encore si ce cas clinique irlandais aura les honneurs du Guinness Book des records. A défaut, les auteurs gagneront peut-être un Ig Nobel. 
Marc Gozlan (Suivez-moi sur Twitter )
Bak Y, Merriam M, Neff M, Berg DA. Novel approach to rectal foreign body extraction . JSLS. 2013 Apr-Jun;17(2):342-5.
Coskun A, Erkan N, Yakan S, Yıldirim M, Cengiz F. Management of rectal foreign bodies . World J Emerg Surg. 2013 Mar 13;8(1):11.
Goldberg JE, Steele SR. Rectal foreign bodies . Surg Clin North Am. 2010 Feb;90(1):173-84.
Akhtar MA, Arora PK. Case of unusual foreign body in the rectum . Saudi J Gastroenterol. 2009 Apr;15(2):131-2.
Rodríguez-Hermosa JI, Codina-Cazador A, Ruiz B, Sirvent JM, Roig J, Farrés R. Management of foreign bodies in the rectum . Colorectal Dis. 2007 Jul;9(6):543-8.
Lake JP, Essani R, Petrone P, Kaiser AM, Asensio J, Beart RW Jr. Management of retained colorectal foreign bodies: predictors of operative intervention . Dis Colon Rectum. 2004 Oct;47(10):1694-8.
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Source : What did we get stuck in our rectum last year ?, Adequate Man National Electronic Injury Surveillance System Insertion of Foreign Bodies (polyembolokoilamania): Underpinnings and Management Strategies, Brandon T. Unruh et al, The Primary Care Companion for CNS Disorders
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Publié par Rédaction E-sante.fr , le 29/12/2017 à 10:41
Ecouteurs, savons, baguettes magiques… Les médecins urgentistes sont parfois amenés à extraire des objets inhabituels des orifices de leurs patients . En témoigne la liste des corps étrangers retrouvés dans le vagin de femmes américaines en 2017. Publiée par le blog Adequate Man , elle suscite autant le sourire que la perplexité.
Cette liste s'appuie sur la base de données de la Commission américaine pour la sécurité des consommateurs. Et en 2017, les Américaines ont su se montrer créatives . L'une d'entre elles s'est présentée aux urgences avec… un téléphone et de l'argent dans le vagin . Interrogée par les médecins, la patiente a expliqué que son partenaire avait inséré les objets au cours d'un rapport sexuel.
D'autres femmes se sont débrouillées par elles-mêmes, s'aidant de bougies, réflecteurs de vélo, d'écouteurs et même d'une baguette magique pour enfants. Prenant parfois des risques inconsidérés, puisqu' un bout de métal rouillé a été extrait par les médecins.
La perle des maladresses revient tout de même à cette patiente qui a décidé d'utiliser des pierres de massage intime . Le fil reliant les 15 cailloux entre eux s'est brisé. L'un d'entre eux n'a pas pu être retrouvé.
Certains rapports évoquent plus la naïveté. C'est le cas d'une femme qui a voulu se rendre à la piscine en période de règles. Dédaignant le tampon, elle a choisi de s'insérer une éponge de cuisine dans le vagin .
Les explications sont rarement données par la base de données. Il faut tout de même saluer la franchise d'une patiente. Consultant à cause d'une balle en silicone coincée dans son vagin, elle a choisi l'honnêteté : le jouet lui servait quand son mari était en déplacement professionnel.
Les hommes ne sont pas épargnés par ces accidents. Trombones, fourchettes et câbles ont dû être retirés des membres virils de plusieurs Américains.
Le vagin mesure 8 à 12 centimètres en moyenne. Ces insertions excèdent donc, de loin, les capacités du corps humain. Ce qui expliquerait peut-être pourquoi ces mésaventures ont fini aux urgences. Mais qu'est-ce qui pousse les gens à tenter de telles expériences ?
Une étude réalisée en 2012 par des chercheurs de l'hôpital général du Massachussetts (Etats-Unis) apporte une piste de compréhension. Plusieurs pathologies mentales peuvent provoquer la polyembolokoilamanie (la manie de s'insérer des corps étrangers dans les orifices), comme une dépression ou un trouble borderline... mais aussi une simple curiosité.
Les chercheurs soulignent donc que, face à ces étranges expériences, les professionnels de santé feraient bien d' afficher un visage impassible . Seule la compassion peut aider à identifier le trouble et le prendre en charge. Les aventurières auraient, de leur côté, tout intérêt à se rappeler que si un objet n'est pas fait pour être insérer dans le vagin, mieux vaut s'abstenir .
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François Fouquet Lundi, 15 août 2022 En voiture vers le passé
L'air
de rien, la cascade des semaines a généré des mois et, tout bonnement, une
autre année s'achève. « Tout bonnement », c'est au niveau du
calendrier : la vie quotidienne a été plus chamboulée qu'un simple tout
bonnement balancé comme ça!
En
cette ère où les libertés individuelles sont invoquées dans tous les combats, il
doit bien se trouver des "outragés", pancarte à la main et encouragés
par des médias sociaux hyperactifs, pour dénoncer fait que le calendrier n'est rien
d'autre qu'un vaste complot mondial destiné à régir nos vies par tranches
égales. Un vaste complot qui a déterminé, à leur insu -oh! sacrilège! - qu'il y
aurait des jours et que ceux-ci auraient un nom. Et que ces jours seraient
invariables d'une semaine à l'autre... C'est une privation outrancière de la
liberté individuelle de vivre sa vie selon le jour de sa convenance...
Je
sais, des fois, je deviens sarcastique.
Je
me rappelle avoir vécu le bogue de l'an 2000 avec un détachement amusé.
Le
bogue de 2021 est plus lourd pour moi.
Le
bogue de 2021, toujours pour moi, j'insiste, c'est l'espace démesurément grand occupé
par les mouvements qui ont réuni des "outragés", devenus trop
présents, sonores et visuels.
Comme
les mouvements servant à nettoyer l'histoire en voulant qu'on arrête de parler
ce certains éléments de celle-ci. Ou ces mouvements qui veulent javelliser les
mots, certains que tout se réglerait en ne disant plus les choses.
Mon
bogue de 2021, c'est aussi l'utilisation abusive des mots ségrégation,
dictature, pestiféré et ostracisé. Comme dans : « La ségrégation
vicieuse causée par le vaccin contre la Covid. Nous vivons en dictature ».
« Je me sens ostracisé... comme un pestiféré, pour dire vrai ».
Je
suis troublé du fait que plusieurs ont fait de la Covid et du vaccin le centre
de leur vie quotidienne. J'ai été inondé de statuts Facebook et de courriels de
la part des complotistes, des antivaccins et autre "antis"... Plusieurs avançaient que « si tu ne
penses pas comme moi, tu es un imbécile. » 
La plupart du temps, je recevais des vidéos souvent douteuses de
quelqu'un qui affirme ceci ou cela et qui affirme tenir dans ses mains une
vérité ultime.
J'en
parle au passé parce que j'ai fait un puissant ménage...
J'ai
choisi de ne pas jouer le jeu de la réplique. Je réalise que dès que quelqu'un plaide
la ségrégation et l'ostracisation parce qu'il ne peut aller au restau, bien,
l'argument suivant, c'est l'insulte personnelle.
Face
à ce tumulte de statuts et courriels, étonnamment, je me sentais souvent gêné
de dire que je m'en remettais à la science et sa façon de contrevérifier et
d'évoluer au fil des découvertes. Avec ses erreurs potentielles, mais ses
succès reconnus aussi. Je me suis tu lorsque bombardé de toutes sortes de
textes et vidéos. Tout ça pour espérer éviter une chicane, une discorde...
Au
fond, c'est l'exagération par rapport à l'application des libertés
individuelles qui constitue mon principal bogue de 2021.
Quand
les libertés individuelles qui viennent tasser, à grands coups de coude, la
nécessaire vie en collectivité.
Rien
ne se passe dans le monde entre le 31 décembre d'une année et le 1 er
janvier de l'autre. C'est à nous de planter notre tente quelque part et de
vivre au mieux dans son environnement.
Le
« quelque part » dont je parle n'est pas un endroit, c'est un état
d'esprit. Un état d'âme.
Je
choisis de maintenir le bien collectif en tête de mes préoccupations. Le
collectif, dans mon « quelque part », c'est le vieillissement de la
population et les impacts qu'il a sur l'emploi, la façon de vivre et le lieu de
résidence des plus âgés, la solitude qui guette nos aînés et les soins de santé
et d'accompagnement qui boitent eux-mêmes passablement.
Le
collectif, c'est la notion de l'accès à un logis décent pour toutes et tous dans
un milieu où les prix à la hausse basculent de plus en plus de personnes en
dehors de leur appartement.
Le
collectif, c'est l'importance d'un département de santé publique qui pose des
gestes, essayant au mieux d'appliquer des connaissances acquises et en devenir.
Tout n'est pas que manipulation politique vile!
Je
plante ma tente dans ce « quelque part » où les gestes concrets sont
plus importants que le bombardement de statuts sur les médias sociaux.
C'est
plus demandant, mais je m'essaye...
Je
regarde certaines pages de médias sociaux d' "antis" et je pense
à mon père qui disait, sur un chantier : « si t'es pas pour aider, au
moins, nuit pas! »

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