Hypnotisée par ses coups de bite

Hypnotisée par ses coups de bite




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Hypnotisée par ses coups de bite
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Mesure d'audience , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
Paramétrer les cookies Accepter et fermer


Se connecter







Rechercher sur le site











Elle


Psycho & Sexo


C’est mon histoire









Partager sur facebook









Partager sur twitter









Partager sur pinterest









Suivez-nous





Lien vers réseau social facebook








Lien vers réseau social twitter








Lien vers réseau social pinterest








Lien vers réseau social youtube








Lien vers réseau social instagram








Lien vers réseau social snapchat










Newsletter Psycho-Sexo
Je m'inscris


Contacts





Annonceurs




Abonnez-vous




La rédaction




Et depuis toujours, Elle s'efforce de vous proposer des articles de qualité, engagés et exclusifs. La publicité est un des moyens de nous soutenir. En acceptant ces cookies, vous nous permettez de maintenir cette exigence éditoriale.
Nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des données personnelles vous concernant comme celles liées à votre visite sur ce site. Nous pouvons également utiliser des traceurs exemptés du recueil du consentement pour le dépôt de cookies de mesure d’audience. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur 'Paramétrer' ou dans notre page 'Données personnelles et cookies' .
De son voisin, Violette n’aperçoit que la silhouette par la fenêtre. Ça ne l’empêche pas de rêver de lui. Jusqu’au jour…
L’hiver dernier, j’ai passé beaucoup de temps à la maison pour rédiger un mémoire d’histoire de l’art. Ainsi, tous les soirs, j’étais assise devant l’ordinateur, entourée de livres du début du XXe siècle sur la photographie. Le plus difficile, quand on entreprend un tel travail, c’est d ne pas se laisser déconcentrer. Surtout, ne pas aller toutes les cinq minutes sur Facebook ou sur Twitter. Je ne m’autorisais qu’une connexion par jour. Je devais en être à la moitié de mon mémoire lorsqu’un événement m’a donné un excellent prétexte pour perdre mon temps… Mon appartement, situé au quatrième étage, donne sur une cour intérieure. Pour sauvegarder son intimité, on a intérêt à s’équiper de bons rideaux ; à travers celui de mon bureau, j’ai vu, par un sombre après-midi, la lumière s’allumer dans l’appartement d’en face. Inoccupé depuis quelque temps, le logement était vide, et ses murs jaunâtres avaient besoin d’un bon lessivage. La lumière blafarde dispensée par une ampoule nue n’arrangeait pas les choses. Puis j’ai aperçu la silhouette élancée d’un homme jeune, apparaissant et disparaissant successivement derrière les trois fenêtres. Rien de spectaculaire en vérité, mais, à côté du travail ardu sur lequel je m’échinais jour après jour, c’était un divertissement appréciable. Dissimulée derrière mon rideau, je n’ai pas pu m’empêcher de penser au film d’Hitchcock « Fenêtre sur cour ». La position de voyeuse était décidément très amusante. Quand l’inconnu s’est penché au dehors par une fenêtre, j’ai attrapé mon Smartphone pour prendre une photo. Manquant de contraste, mal cadré, mon cliché ne montrait qu’une ombre en contre-jour. Mais cette ombre était inspirante ! J’ai continué à espionner l’immeuble d’en face, jusqu’à ce que la lumière s’éteigne, une quinzaine de minutes plus tard.
Le lendemain, j’ai été distraite dans mon travail. Je levais le nez de l’ordinateur fréquemment. Y avait-il de la visite en face ? Vers 19 heures, la lumière s’est allumée et il est apparu, portant un escabeau et des sacs. Puis il a commencé à peindre les murs et les plafonds. Â 23 heures, il s’est arrêté. Je n’avais pas cessé de le regarder. Il a ouvert la fenêtre pour évacuer l’odeur de la peinture. J’ai pris une nouvelle photo. Il est revenu le lendemain à la même heure, puis les jours suivants. J’en ai déduit qu’il travaillait ailleurs dans la journée. Quant à moi, j’observais l’avancée des travaux. La fenêtre la plus à droite était celle de la cuisine, qui prenait des couleurs ocre. Les deux autres, elles, permettaient de constater que le garçon appréciait les harmonies de bleu et de violet. Cette diversion à heures fixes m’encourageait à travailler avant l’arrivée du voisin. Car, dès qu’il apparaissait, j’étais hypnotisée par sa présence de l’autre côté de la cour. J’en apprenais de plus en plus sur lui. Ses cheveux étaient châtain foncé, il avait de grandes jambes et un rire tonitruant qui traversait la cour jusqu’à mes oreilles lorsqu’il lui prenait de téléphoner à la fenêtre. Quand il arrivait, il portait un manteau sur une veste et une chemise. Puis il se changeait pour se vêtir d’un vieux sweat shirt. J’éprouvais un sentiment mitigé lorsque je le voyais torse nu. Un amusement certain, pimenté d’une pointe de culpabilité… et assorti d’un certain trouble. À la fin de la semaine, j’avais une petite collection de photos que j’étais allée jusqu’à publier sur mon mur Facebook dans un album nommé « L’Inconnu à la fenêtre ». Rien à voir avec l’œuvre d’un paparazzi ! Rien d’indécent ni d’indiscret. C’étaient des images poétiques, des compositions en clair obscur que j’avais retouchées avec des filtres photo, sur lesquelles mes « amis » Facebook me complimentaient.
« Dès qu’il apparaissait, j’étais hypnotisée par sa présence de l’autre côté de la cour ».
Lorsque le garçon a eu terminé les travaux, il a apporté des meubles, et des lampes, et s’est installé. Hélas, il a aussi accroché des rideaux, bien trop opaques à mon goût. Je ne le voyais distinctement que dans sa cuisine mais il n’y passait guère de temps. Comme je savais que l’entrée de son immeuble était voisine de la mienne, je m’étais une ou deux fois précipitée dehors en voyant qu’il sortait de chez lui… Mais, jusqu’alors, je ne l’avais pas encore croisé. Cela finirait bien par se produire, me disais-je. En attendant, je perdais beaucoup de temps à regarder par la fenêtre au lieu de travailler. Et puis, un jour, est arrivée une invitation sur Facebook, un certain Samuel dont le nom ne me disait rien. La photo de profil me rappelait bien quelqu’un, mais je n’osais pas y croire : ce visage sympathique et harmonieux ressemblait à celui de mon voisin d’en face que je n’avais pu jusqu’alors que deviner ! Si c’était lui, par quel miracle était-il arrivé jusqu’à moi ? Avant d’accepter sa « demande d’amitié », je lui ai envoyé un message laconique : « Bonjour, on se connaît ? » La réponse ne s’est pas fait attendre. « Il paraît que oui », me répondit Samuel. Aïe ! Savait-il que je publiais des photos de lui ? Logiquement, personne, en dehors de mes cinquante et quelques « amis », ne pouvait les voir. Mais y avait-il une faille dans mes réglages de confidentialité ? Pendant que je vérifiais mon compte Facebook, un autre message de Samuel est arrivé. « Une collègue m’a montré tes photos. » J’ai vérifié. Nous avions bien une « amie » en commun, Fanny, que j’avais connue au lycée. « Ça fait drôle de se retrouver sur des photos prises à son insu », a répondu Samuel. Je me suis excusée, lui précisant que je ne pensais pas qu’on puisse l’identifier. En fait, m’a t-il raconté, Fanny avait cru reconnaître Samuel, avec qui elle travaillait tous les jours, mais, n’en étant pas certaine, elle lui avait montré les photos. « Heureusement que je ne suis pas parano ! » a-t-il conclu. Avant de me proposer : « On prend un verre vendredi soir ? » Il m’a fallu un moment avant de pouvoir répondre. Tout à coup, le garçon sur lequel j’avais projeté sinon mes fantasmes, au moins une certaine forme de désir, s’offrait à une « vraie » rencontre. J’ai accepté, mais je n’en menais pas large. Pendant les quelques jours qui ont précédé la date de notre rendez-vous, je me suis représenté mille fois la scène, inventant ses répliques et les miennes. J’étais en train de construire un roman-photo dans ma tête !
En attendant, j’avais tellement le trac que je n’osais même plus risquer un oeil par la fenêtre de chez moi. Je me suis rendue dans le café avant Samuel, ce qui m’a permis de le voir arriver. Sûr de lui, il a rejoint ma table à grandes enjambées, retirant déjà son manteau. Il a commandé une pinte de bière avant même de me saluer. « L’artiste et son modèle », s’est-il esclaffé. Je lui ai réitéré mes excuses pour mon atteinte à sa vie privée. Même si je n’avais rien dévoilé de lui, je concevais qu’il puisse être furieux contre moi. Mais Samuel a balayé mes objections d’un grand mouvement. « Cela nous aura donné l’occasion de faire connaissance ! » Pendant que je buvais un Martini, Samuel éclusait bière sur bière. C’était un gentil garçon, mais plus l’heure tournait et plus je comprenais qu’il n’était pas du tout mon genre. Trop direct, pas assez subtil pour me charmer. Et lorsque, en quittant le café, il m’a invitée à visiter son appartement, j’ai poliment refusé. Le lendemain, je suis allée acheter du tissu pour me confectionner des rideaux plus épais. Il fallait que je sois tranquille pour terminer mon mémoire au plus vite. À l’approche du printemps, je me promettais de ne plus passer autant de temps chez moi. La ville était pleine de gens que j’avais hâte de rencontrer !
Vous avez envie de raconter votre histoire ? Nos journalistes peuvent recueillir votre témoignage. Écrivez-nous à cmh@cmimedia.fr
Podcast - C'est mon histoire : « J'ai partagé une nuit avec des jumeaux »
Podcast - C'est mon histoire : "Ma mère a réveillé ma passion"
Podcast - C'est mon histoire : « J'ai croisé l'homme dont j'étais folle amoureuse »
Podcast - C’est mon histoire : « Il avait deux familles »
C’est mon histoire : « J’ai dit stop à l’alcoolisme de mon mari »
C’est mon histoire : « Je l’ai épousée quand elle a quitté les ordres »
Comprendre les paralysies du sommeil : « J’allais au lit en ayant peur »
5 positions sexuelles pour une pénétration jouissive
Intuition : 6 conseils pour booster son sixième sens
Le Kama-Sutra de la semaine : 7 positions pour faire grimper la température
Sabrine, sur Tinder depuis trois ans : « J’ai tendance à ne matcher qu’avec des losers »
Le Kama-sutra de la semaine : 7 positions célestes pour faire l’amour sous les étoiles
Julien, divorcé sur les applis de rencontres : « Je me suis pris la réalité en pleine gueule »
Le Kama-sutra de la semaine : 9 positions parfaites pour le dimanche matin
C’est mon histoire : « Ce qui se passe au hammam reste au hammam »
J’ai testé pour vous : le double orgasme avec un sextoy
Sabrine, sur Tinder depuis trois ans : « J’ai tendance à ne matcher qu’avec des losers »
Les 7 péchés capitaux du Dr Aga (7/7) : La luxure
Partager des souvenirs avec les enfants améliore leur santé mentale à l’âge adulte



Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Mesure d'audience , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
Paramétrer les cookies Accepter et fermer


Se connecter







Rechercher sur le site











Partager sur facebook









Partager sur twitter









Partager sur pinterest









Suivez-nous





Lien vers réseau social facebook








Lien vers réseau social twitter








Lien vers réseau social pinterest








Lien vers réseau social youtube








Lien vers réseau social instagram








Lien vers réseau social snapchat










Newsletter Psycho-Sexo
Je m'inscris


Contacts





Annonceurs




Abonnez-vous




La rédaction




Et depuis toujours, Elle s'efforce de vous proposer des articles de qualité, engagés et exclusifs. La publicité est un des moyens de nous soutenir. En acceptant ces cookies, vous nous permettez de maintenir cette exigence éditoriale.
Nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des données personnelles vous concernant comme celles liées à votre visite sur ce site. Nous pouvons également utiliser des traceurs exemptés du recueil du consentement pour le dépôt de cookies de mesure d’audience. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur 'Paramétrer' ou dans notre page 'Données personnelles et cookies' .
Après les fails du sexe, nos lectrices se souviennent de leur meilleur coup. Retour sur leur partie de jambes en l’air la plus mémorable, la plus insolite ou la plus drôle.  
Nous étions dans la voiture pour aller en vacances dans le Sud de la France. Le GPS affichait dix heures de route, ça promettait d’être long. En plein été, il faisait chaud, j'étais donc habillée très légèrement et je retrouvais mon conjoint après deux semaines de vacances, chacun de notre côté. Pendant toute cette période loin l’un de l’autre, nous avions passé nos journées à nous envoyer des messages coquins . Autant dire que nous étions tous les deux très excités. Sur la route, nous avions même du mal à nous retenir... À mi-chemin, il a posé sa main sur ma cuisse, remonté ma jupe et commencé à me toucher tout en conduisant. Je n’ai jamais été aussi excitée de ma vie. À tel point que j’ai commencé à lui faire une fellation, en prenant garde de ne pas me faire surprendre par les voitures qui nous dépassaient. C'était clairement imprudent, mais tellement incroyable. Ce côté voyeur et le frisson du sexe en public m’a fait vibrer d’adrénaline et de plaisir. C’était le meilleur sexe de ma vie.  
J'avais eu l'idée d'une promenade dans la forêt de Fontainebleau, mais je l’avoue, cette idée n’était pas innocente. Mon copain m'avait avoué quelques temps plus tôt que son fantasme était de faire l’amour dans les bois. Il avait donc prévu un petit pique-nique et moi, des préservatifs et une jolie culotte. Après 30 minutes de marche, je me suis tournée vers lui et je lui ai lancé, nonchalamment : « Ça te dit de réaliser ton fantasme ? » La réponse ne s’est pas fait attendre. « Oui ! », s’est-il exclamé, très enthousiaste. On s'est enfoncés dans un coin isolé, les ronces jusqu'aux hanches, pour que personne ne nous surprenne. Arrivés derrière un gros rocher au beau milieu de la végétation haute, on a commencé à s'embrasser et à faire l'amour. Mais la faune était contre nous. Une guêpe a commencé à me poursuivre, puis on a entendu un sanglier farfouiller dans les herbes à quelques mètres de nous. Il a fallu escalader le rocher pour lui échapper, en mode trekking de l’extrême. Un super souvenir : du bon sexe et beaucoup d’adrénaline.  
Avec mon copain, on a essayé de faire l’amour en musique . On imaginait une scène sensuelle, comme dans les films, alors on a cherché une playlist pour instaurer une atmosphère sexy. Tout avait bien commencé mais en plein milieu des hostilités, la musique du générique d’ « Oggy et Les Cafards » s’est lancée. Immédiatement, toute la magie du moment est retombée et on n’a pas pu s’empêcher d’exploser de rire. Maintenant c’est devenu un running gag. Dès que cette chanson passe, ou que l’on y pense pendant l’amour, on ne peut s’empêcher de partir en fou rire. Souvent, mon copain la chante au beau milieu d’un rapport et inévitablement, ça gâche tout. Merci à la personne qui avait ajouté par erreur (ou volontairement) cette musique à la playlist « sexe » de Spotify.  
Dès nos premiers rendez-vous, Vincent m’avait laissé comprendre qu’il était friand de stimulation prostatique. Plusieurs fois, lors de rapports sexuels, il m’a demandé de glisser un doigt et m’a initiée au massage de la prostate. À tous les coups, il atteignait un orgasme qu’il décrivait comme « inégalable » en comparaison à la jouissance classique obtenue par la stimulation de son pénis. Voyant qu’il aimait vraiment ça, et fantasmant moi-même sur la pénétration, je lui ai un jour proposé de passer à l’étape supérieure en évoquant l’utilisation d’accessoires. S’en sont
Elle passe le contrôle
Une bonne queue pour une latina
Deux bites pour la consoler

Report Page