Humilie un minet

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Humilie un minet


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© AFP PHOTO / DAMIEN MEYER



Clémentine Rebillat

05/05/2017 Ă  11:11 , Mis Ă  jour le 05/05/2017 Ă  11:19









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Le procĂšs d’un meurtre effroyable en Angleterre. Quatre personnes sont jugĂ©es pour avoir torturĂ© Ă  mort un pĂšre de famille en 2016. 
Il pensait avoir trouvĂ© en ces quatre personnes des amis, mais ils se sont rĂ©vĂ©lĂ©s ĂȘtre ses bourreaux. Un homme de 45 ans est mort en 2016, torturĂ© et humiliĂ© par ses voisins, au nom d’un culte sordide. Les accusĂ©s, Ann C., ĂągĂ©e de 26 ans, Zahid Z., 43 ans, Myra W., 50 ans et Kay R., 56 ans., sont jugĂ©s en ce moment en Angleterre. « The Guardian » rapporte que les premiĂšres agressions contre la victime, Jimmy Prout, ont commencĂ© Ă  la fin de l’annĂ©e 2015. «En peu de temps, Jimmy Prout n’a pas seulement Ă©tĂ© maltraitĂ©, il a Ă©tĂ© torturé», a expliquĂ© le procureur Paul Greaney. L’homme est mort le 9 fĂ©vrier 2016. Son corps avait Ă©tĂ© jetĂ© dans un terrain vague Ă  environ 100 mĂštres de chez lui et avait dĂ©jĂ  commencĂ© Ă  se dĂ©composer et Ă  ĂȘtre mangĂ© par des animaux. «Les quatre accusĂ©s ont pris part Ă  ces violences contre lui, en lui infligeant directement ou en Ă©tant les complices d’autres membres de ce groupe. A la fin, cela a causĂ© la mort de Jimmy Prout», a continuĂ© le procureur.
AprĂšs le dĂ©cĂšs de leur victime, les quatre voisins qui Ă©voluaient comme une sorte de «clan ou de secte», ont fait croire qu’ils Ă©taient Ă  sa recherche. C’est finalement le 25 mars 2016 que Zahid Z. a dĂ©cidĂ© d’appeler la police. Il a alors expliquĂ© qu’il avait Ă©tĂ© attaquĂ© par Ann C. et que c’est elle qui avait tuĂ© Jimmy Prout. Face aux enquĂȘteurs, les trois voisins ont affirmĂ© avoir des aveux Ă©crits de la part d’Ann C. Mais pour le procureur Greany, il ne s'agissait que d’une mise en scĂšne, tous sachant trĂšs bien que Jimmy Prout Ă©tait mort depuis dĂ©jĂ  six semaines. «Ils reconnaissent tous que Jimmy Prout a Ă©tĂ© agressĂ© mais chacun essaye de rĂ©duire son rĂŽle dans cette histoire en accusant les autres», a dĂ©plorĂ© le procureur.
Les tensions ont dĂ©butĂ© entre le groupe de quatre et la victime aprĂšs que Zahid Z. a accusĂ© Ivan C., le frĂšre d’Ann C., de lui avoir volĂ© des biens, notamment un iPad. ObsĂ©dĂ© par cette affaire, il s’était mis Ă  reprocher Ă  Jimmy Prout de n’avoir rien fait pour empĂȘcher ce vol et de ne pas l’avoir aidĂ© Ă  rĂ©cupĂ©rer ces objets. Il s’était alors mis en tĂȘte de se venger. «Le groupe estimait que Jimmy Prout mĂ©ritait d’ĂȘtre puni, et cette punition a Ă©tĂ© brutale», a expliquĂ© le procureur, rappelant que si l’homme modeste a Ă©tĂ© attaquĂ© c’est parce qu’il Ă©tait plus vulnĂ©rable que les autres.
Paul Greaney a racontĂ© quels chĂątiments avaient Ă©tĂ©s infligĂ©s Ă  l’homme (Attention certains dĂ©tails peuvent choquer) . «Ces attaques ont provoquĂ© de terribles blessures et Ă©taient accompagnĂ©es d’humiliations. Le scrotum de Jimmy Prout a Ă©tĂ© ouvert en tranches et ses testicules lui ont Ă©tĂ© retirĂ©s. Ensuite, il a Ă©tĂ© forcĂ© Ă  les manger. Une autre fois, ses dents lui ont Ă©tĂ© retirĂ©es avec un marteau et une pince», a-t-il lancĂ©. Les quatre accusĂ©s nient les faits. Le procĂšs se poursuit. 

(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)
© Tous droits réservés. Steph slave.

3 heures du mat. Le quartier du 93 oĂč le mec m'avait filĂ© rancard Ă©tait carrĂ©ment craignos. J'ai failli faire demi tour. Mais j'Ă©tais trop en manque, excitĂ© grave.

Il m’avait levĂ© sur un site spĂ©cialisĂ©. Ce qu’il cherchait c'Ă©tait un minet cĂ©fran, maso, pour le loper, l'utiliser comme dĂ©fouloir, en faire sa pute, son esclave. À 24 ans, ça faisait dĂ©jĂ  des annĂ©es que je pratiquais le SM. Ado dĂ©jĂ , j'Ă©tais attirĂ© par les mĂąles, la soumission. J'ai commencĂ© Ă  me faire loper Ă  16 ans. De la soumission je suis passĂ© au SM, avec des plans de plus en plus hard. Je me suis fait dĂ©molir par tous types de mecs : des jeunes, des vieux, des blacks, des rebeus. Mais jamais par un manouche.

Zoran, il m'avait chauffĂ© grave. Un rom, 25 ans, super bandant, avec une teub de 24cm. Il m'avait prĂ©venu que j'allais morfler, qu'il allait me foutre la misĂšre. C'est ce que je voulais. J'ai appelĂ© le 06 qu'il m'avait filĂ©. Le squat oĂč il m'attendait Ă©tait au cinquiĂšme Ă©tage. L'immeuble Ă©tait dĂ©labrĂ©. Évidemment pas d'ascenseur. C'Ă©tait encore plus glauque que le quartier lui-mĂȘme. Au cinquiĂšme, toutes les portes Ă©taient dĂ©foncĂ©es, sauf une, entrouverte, d'oĂč filait un rai de lumiĂšre. Je me suis foutu Ă  oilp, comme il l'avait demandĂ©. Il voulait que je sois "exploitable" dĂšs mon arrivĂ©e. J'en ai profitĂ© pour me gazer Ă  donf au poppers.

La porte du squat Ă©tait solide, avec quatre verrous. J'ai refermĂ© et j’ai rejoins Zoran dans la seule piĂšce Ă©clairĂ©e. Elle Ă©tait comme le reste, des planches clouĂ©es qui masquaient les fenĂȘtres, une vielle moquette tachĂ©e, trouĂ©e par endroits, le papier peint qui se dĂ©collait, une ampoule nue qui pendait du plafond. J’avais dĂ©jĂ  fait des plans dans des endroits sordides, mais jamais Ă  ce point.

Zoran lui Ă©tait encore plus bandant que sur ses tofs. Il m’attendait, en boxer, vautrĂ© sur un canapĂ©, les jambes Ă©cartĂ©es. J’ai Ă©tĂ© direct m’agenouiller entre ses cuisses, pour embrasser, sniffer, lĂ©cher l’emplacement de son sexe. Il n'avait pas racontĂ© de craques sur ce qu’il avait entre les jambes : le boxer suffisait Ă  peine Ă  contenir son pacson. Et son slob puait grave le mĂąle, un mĂ©lange d’odeur de sueur, de pisse, de foutre. J’avais la queue raide. TrĂšs vite, j’ai senti la sienne durcir, gonfler, se tendre. Jusqu’à ce qu’elle jaillisse hors du slip, dressĂ©e, raide. J’ai voulu le prendre en bouche. Ça m’a valu une gifle.

« J’t ai pas permis de sucer. Avant de goĂ»ter mon zob, va falloir que tu l’mĂ©rite, t’as pigĂ©, la pute ? »

Nouvelle baffe, encore plus violente.

« Et quand tu parles, tu dis Boss ou MaĂźtre. Je sens que je vais devoir t’apprendre oĂč est ta place. Les p’tit pĂ©dĂ©s comme toi, j’en ai matĂ© d’autres. J’vais t’apprendre Ă  ramper, tu vas morfler grave. J’suis pas une lopette comme les cĂ©fran qui te baisent d’habitude. Tu vas enfin savoir ce que c’est un MĂąle. Et tu diras merci quand j’t’aurai cassĂ©, compris ? »

Il s’est levĂ©, en me tirant par les cheveux pour me mettre debout.

« Tiens toi droit, mains sur la tĂȘte, Ă©carte les jambes, que j’examine la marchandise. »

J’ai obĂ©i, il a enlevĂ© son boxer, qui de toute maniĂšre ne servait plus Ă  rien. Son chibre Ă©tait monstrueux, raide, 24cm au moins, Ă©pais. Le mien, mĂȘme en rut, avec ses 18cm Ă©tait carrĂ©ment ridicule. Il m’a pris les couilles en mains et Ă  commencĂ© Ă  les malaxer, tirant dessus, les tordant, les serrant. J’ai l’habitude de me faire travailler le pacson, mais les autres mecs gĂ©nĂ©ralement ils y vont plus soft, au moins au dĂ©but. J’ai pigĂ© qu’avec lui, ça allait ĂȘtre du hard et que j’allais vraiment dĂ©rouiller. Ça m’excitait encore plus mais j’ai pas pu m’empĂȘcher de couiner.

« Tu peux gueuler autant que tu veux, j’m’en tape. Personne t’entendra, l’immeuble est vide. Mais ça m'Ă©nerve, et quand j’m’énerve, je deviens carrĂ©ment violent. T’as pigĂ©, bĂątard? »

AprÚs mes couilles, ça a été le tour de mes tits. Il les a pincés, tirés, mordus sévÚre. Je bombais le torse pour lui faciliter le travail, tout en serrant les dents.

« Retourne toi, pédé, que je vois maintenant ce que vaut ton trou. »

J’ai obĂ©i, Ă©cartĂ© les jambes, pour lui prĂ©senter mon cul. Ma chatte Ă©tait propre, avant me venir je m'Ă©tais fait un lavement pour qu’elle soit bien clean. Je sais que les mecs, gĂ©nĂ©ralement, ça les branche pas de dĂ©foncer un cul merdeux. Il m’a rentrĂ© d’abord un doigt, puis deux, puis trois, en me fouillant bien profond avant de les ressortir et de les sniffer.

« C’est bien, c’est propre. Et en plus t’es bien serrĂ©, comme j’aime. Quand je vais t’enfiler tu vas le sentir. Reste Ă  voir comment tu te comportes sous les coups. Tu prends quoi : ceinturon, cravache, fouet? »

« Tout ce que le MaĂźtre veut, Boss. C’est pas l’esclave qui dĂ©cide. Mais le fouet, j’ai pas trop l’habitude. »

« Bien rĂ©pondu. Et le fouet, tu t’y feras. Ça m’excite grave. Mais lĂ  c’est juste pour te tester. On va commencer Ă  la ceinture. À genoux, face contre terre ! »

J’ai obĂ©i, prĂ©sentant ma croupe. Zoran, son truc, c'Ă©tait pas sur les fesses, mais sur le dos. Les coups ont commencĂ© Ă  pleuvoir. Je serrais les dents, parce qu’il cognait fort. AprĂšs une vingtaine de coups, il m’a ordonnĂ© de me retourner et de me coucher sur le dos. Il se tenait au dessus de moi, le ceinturon Ă  la main, sa bite raide. À nouveau je me suis pris une vingtaine de coups sur les pecs, le ventre. Je voyais Ă  son regard que ça l’excitait grave. Pour finir, ça a Ă©tĂ© le tour de mon sexe. Dix coups sur le zob, les couilles. J’avais le visage en larmes. J’ai pas pu m’empĂȘcher de gueuler. À son rictus, j’ai compris que c’était ce qu’il espĂ©rait.

« Je t’avais prĂ©venu. Faut pas m'Ă©nerver. Du coup, t’en auras dix de plus. »

Quand enfin il m’a ordonnĂ© de me remettre Ă  genoux, j’avais des marques rouges sur tout le corps. Mais j'Ă©tais toujours en rut.

« Bon. On sent qu’y a du potentiel. La marchandise est de bonne qualitĂ©. Mais pour ĂȘtre au niveau, va falloir un peu de temps pour te casser complĂštement. Suis moi. »

Il m’a entraĂźnĂ© dans la piĂšce Ă  cĂŽtĂ©. Elle faisait dans le 35-40 m2. Avant, ça devait ĂȘtre le living. DĂ©sormais, c’était une playroom pour plans sado maso, avec tout l'Ă©quipement pour dĂ©molir les lopes. Il y avait un grand lit en mĂ©tal, avec juste un matelas, un sling, un colt de tortures, une barre de suspension fixĂ©e au plafond, un carcan, une croix de saint AndrĂ©, une machine Ă  baiser et tout le matos pour s’amuser avec un mec : chaĂźnes, cordes, ball-stretchers, bougies, chastetĂ©, des pinces diverses, sondes, matos pour Ă©lectro, cravache, badine, y compris un fouet. Pas le genre matos de sex shop, un vrai fouet, qui devait marquer grave quand on le subissait.

J’ai compris qu’il Ă©tait sĂ©rieux quand il parlait de me casser total.


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