Fille EMO se fait baiser par l'ami de son frère

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Tout ce que vous vouliez savoir sur la sexualité active ou passive (sans jamais oser le demander)
Nul besoin d'avoir des doigts de fée pour se faire plaisir.
SEXUALITÉ - On peut avoir envie de se masturber et ne pas vouloir mettre la main à la pâte. Quelquefois parce qu’on souhaite innover, d’autre parce que nos doigts ne sont pas toujours si efficaces que ça quand il s’agit de se faire du bien.
Pour combler votre besoin de davantage d’options, on a mis au point cette petite liste qui décrit quatre manières de s’envoyer en l’air seule, et sans les mains. Suivez le guide.
Cette technique est vieille comme le monde. Tout ce dont on a besoin, c’est d’un traversin pour les plus old-school, ou d’un coussin plus ou moins dur selon nos préférences. La couette mise en boule peut aussi faire l’affaire. Ensuite, on monte dessus à la manière d’une cavalière qui enfourche son fidèle destrier. On se met à faire des va-et-vient comme si on y était, et on laisse notre esprit vagabonder.
Certaines s’imagineront en compagnie d’un·e partenaire, d’autres simplement qu’elles sont seules, indépendantes et fières alors qu’elle parcourent une étendue déserte, cheveux aux vents. Parfois l’émancipation excite autant qu’un plan à trois.
Il y a des objets du quotidien qui peuvent s’avérer parfaitement adéquats quand on cherche à jouir solo. Le pommeau de douche est résolument l’un d’entre eux. Et c’est même peut-être le meilleur. Facile d’accès et pratique à manipuler - on n’a clairement pas besoin de lire de manuel explicatif -, il peut même nous faire goûter aux plaisirs du chaud/froid, dont les résultats sont plus que concluants.
On vous aurait même conseillé d’aller chercher un glaçon pour amplifier les sensations, mais l’usage des mains reste trop évident. Côté pression aussi, le pommeau fait des merveilles. On peut jouer avec la distance pour l’intensifier, et ainsi provoquer le geyser de plaisir tant attendu.
Dans ce scénario, la seule chose que vous ayez à faire est de vous asseoir, et de laisser la technologie oeuvrer pour votre bien - et celui de votre orgasme. Placez au préalable un vibromasseur de la taille souhaitée sur l’assise, puis installez-vous sur ce qui s’apprête à être le meilleur moment de votre journée, voire de votre semaine.
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Cet article date de plus de quatre ans.



Publié le 10/11/2017 10:33


Mis à jour le 10/11/2017 10:35



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Des mineures enrôlées comme prostituées dans certaines banlieues françaises... Pour "Complément d'enquête", Rola Tarsissi a rencontré Lucille et Sophie, 17 et 16 ans. L'une est proxénète, l'autre prostituée. Dans cet extrait, la seconde confie ses impressions.
En France, entre 5 000 et 8 000 mineures se prostitueraient, selon les estimations. Un fléau qui n'existait pas il y a encore cinq ans. Dans cet extrait d'un numéro de "Complément d'enquête" sur les nouveaux trafics d'êtres humains, une jeune fille confie s'être prostituée jusqu'en janvier 2017 sur le site Vivastreet . 
"Je pouvais gagner jusqu'à 20 000 euros par mois", explique Sophie, 16 ans, qui dit avoir "fait ça pendant deux mois et demi, trois mois" – peut-être davantage, selon sa copine Lucille, qui jouait, elle, le rôle de la proxénète. Elle n'appelait pas ça de la prostitution, elle disait "je vais bosser". 
Sophie ne semple pas avoir conscience de ses actes. Elle montre sans difficulté la photo aguicheuse qu'elle avait postée sur la Toile. La première fois qu'elle a "fait ça" pour de l'argent, qu'a-t-elle ressenti ? "Je sais pas comment décrire, en fait, sur l'instant… C'était bizarre… Genre tu te dis 'ah ouais… je me suis donnée pour de l'argent'. Après, tu vois les sous, tu te dis que c'est des sous rapides à se faire. Mais c'est pas facile. Parce que tu te donnes." 
Extrait de "Dealers d'adolescentes", un reportage diffusé dans "Complément d'enquête" le 9 novembre 2017.
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Par
Juliette Harau
le 23/07/2019


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C'était un défi d'adolescent. A 18 ans, Clément Grobotek décide d'entrer dans l'âge adulte en intégrant l'armée. Son père y fait carrière, le jeune homme sera donc parachutiste comme lui. Il y voit aussi une façon de préparer le terrain pour le coming-out qu'il n'a pas encore fait : « Je me sentais obligé de prouver que je pouvais être gay et avoir un métier considéré comme un métier d'homme. Je me disais que le jour où j'annoncerai mon homosexualité, je serais militaire et que ça casserait les clichés. Que ça passerait mieux auprès de ma famille. » 
Clément a l'intention de tout dire d'entrée de jeu, dès son arrivée au régiment. Il est alors pour lui hors de que question d'entamer ce nouveau départ sur des non-dits. Pourtant, il change vite d'avis face à l'homophobie ambiante : « La première chose que j'ai entendue en entrant à l'armée c'est " On n'est pas des pédés ici ! " A partir de ce moment-là je me suis dit " ok, tu ne dis rien " » . S'en suivent des mois de silence et de faux-semblants. Quand il enfile ses rangers, chaque matin, Clément devient quelqu'un d'autre. Et tous les jours, il joue les codes attribués à la masculinité pour faire croire qu'il est hétérosexuel.
Fatigué par cette ambiance pesante, il finit par se confier à un autre militaire... qui révélera son secret au reste du régiment. Dans cette vidéo produite par Têtu et Loopsider, Clément raconte ses 3 années d'homophobie quotidienne qui ont poussé le tout jeune adulte qu'il était à nourrir des pensées suicidaire. Aujourd'hui tatoueur à Paris, heureux marié et ouvertement gay, il aimerait voir l'armée évoluer et apprendre à mieux accueillir les personnes LGBT+.


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