Fick Figaro Une histoire de baise allemand

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Fick Figaro Une histoire de baise allemand
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VIDÉO - Le comĂ©dien de 38 ans, chroniqueur sur la chaĂźne L'Équipe et animateur sur M6, a remportĂ© l'Ă©preuve de la lutte dans la boue en duo avec Karima Charni grĂące Ă  une stratĂ©gie dĂ©routante.
L'animateur de 64 ans officiera chaque samedi en deuxiÚme partie de soirée aux cÎtés de Léa Salamé.
L'animateur de 64 ans assurera le rÎle d'«invité permanent» dans le talk-show de Léa Salamé.
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Humiliations, bizutages et chantages
Traduit (avec son aimable permission) de « Musical Dicks: A Sibling Fuck Story »
Rejoindre une sororitĂ© avait Ă©tĂ© un truc de fou
 et ça devenait encore plus dingue que je ne l’avais imaginĂ©.
Cela m’avait dĂ©jĂ  donnĂ© l’occasion d’offrir une branlette Ă  un inconnu dans un centre commercial, de brouter la chatte d’une de nos sƓurs aĂźnĂ©es devant toute la sororitĂ©, de sucer une bite Ă  travers un glory-hole, et de chevaucher un Sybian aussi longtemps que je l’avais pu en face des autres.
Pas que je sois prude. J’avais dĂ©jĂ  eu mon content de bites au lycĂ©e, baisĂ© quelques mecs, m’étais essayĂ©e Ă  l’anal plusieurs fois, et avais bouffĂ© de la chatte au lycĂ©e (qui ne la pas fait ?) mais rien ne m’avait prĂ©parĂ© Ă  ça.
ParticuliĂšrement la prochaine tĂąche
 qui Ă©tait d’une perversion dĂ©licieuse
Nous portions toutes la mĂȘme tenue qui semblait issue d’un porno mal Ă©crit. Un costume de pom-pom girl salope, avec un porte-jarretelles et des bas. Cela dit, j’avais l’air plutĂŽt canon dedans. On nous demanda aussi de ne porter ni soutien-gorge ni culotte.
On nous mena jusqu’à la grande salle du rez-de-chaussĂ©e. Je vis une douzaine de chaises formant un cercle et je me demandais instantanĂ©ment si nous allions jouer Ă  un jeu de chaises musicales. Durant Thanksgiving, comme membre du conseil des Ă©lĂšves au lycĂ©e, j’avais participĂ© Ă  l’organisation d’une compĂ©tition de chaises musicales oĂč l’on s’était fait un peu d’argent. Chaque participant payait deux dollars et le gagnant remportait une tarte Ă  la citrouille.
Tout d’un coup, on nous mit des bandeaux sur les yeux. Une fois les yeux couverts, on entendit du bruit dans la piĂšce. Il devint Ă©vident que d’autres personnes nous rejoignaient.
La présidente de la branche locale de notre sororité, Amber nous donna des ordres :
« vous allez ĂȘtre menĂ©es Ă  vos chaises. Une fois-lĂ , arrĂȘtez-vous et attendez. »
On me fit faire quelques pas puis on m’arrĂȘta.
Amber continua : « Aujourd’hui, tenez-vous prĂȘte pour une aventure palpitante ! »
On entendit des rires venir de tous cÎtés.
Son ton m’intriguait, elle impliquait quelque chose de vilain, et je ne comprenais pas comment un jeu de chaises musicales pouvait ĂȘtre dĂ©crit comme une « aventure palpitante. »
« Bizutes, à genoux, » ordonna Amber.
« Penchez-vous en avant et n’utilisez que votre bouche. Pas de mains, dĂ©couvrez votre premiĂšre surprise. »
Je n’avais aucune idĂ©e ce que pouvait ĂȘtre la surprise et j’hĂ©sitais. Puis j’entendis un grognement juste Ă  cĂŽtĂ©, et c’est alors que j’ai tiltĂ©.
« DĂ©pĂȘchez-vous bizutes Josie, Bonnie et Tiffany, » le ton Ă©tait devenu ferme et nous grondait. AprĂšs quatre jours de bizutage j’avais compris qu’Amber n’avait aucune patiente face Ă  la moindre insolence.
Tiffany
 c’est moi. Je me penchais en avant supposant que j’aurais une bite face Ă  moi, et sans surprise il y en avait une. Mais je dus me pencher trop loin en avant et je tombais tĂȘte la premiĂšre sur un malheureux entrejambe.
« Ah merde, » grogna bruyamment le gars Ă  qui j’avais de toute Ă©vidence donnĂ© un bon coup de boule dans les parties.
« DĂ©solĂ©e, dĂ©solĂ©e, dĂ©solĂ©e, » je m’excusais, garder l’équilibre n’avait jamais Ă©tĂ© mon fort.
« Suce cette bite pour lui donner meilleure mine, bizute Tiffany, » ordonna une sƓur alors que je me rĂ©Ă©quilibrais. « Tu peux utiliser tes mains pour te maintenir, mais tu n’as le droit d’utiliser que ta bouche pour rendre cette bite suffisamment dure pour le jeu. »
J’étais encore plus curieuse du type de jeu que ce serait. Allait-on jouer Ă  une variante sexuelle du jeu des chaises musicales ?
Je plaçais mes mains sur les jambes de l’inconnu pour ne pas retomber pendant qu’il disait: « dorlote-moi ça avec tes jolies lĂšvres, bizute. »
Je me considĂšre comme une plutĂŽt bonne suceuse de bite. J’ai fini seconde au concours de vitesse pour avaler une giclĂ©e de sperme au glory-hole et je suis arrivĂ©e cinquiĂšme au concours du « plus grand nombre de dĂ©charges tirĂ©es ». On avait trente minutes et j’ai obtenu un score de sept. Je me penchais en avant et trouvais la queue toute flasque ; elle semblait ĂȘtre de bonne de taille, et je lui dis, en essayant d’ĂȘtre aussi sexy que possible : « je vais te donner de bons soins. »
Les yeux bandĂ©s et ne pouvant utiliser mes mains, une simple tache comme celle de mettre une bite dans sa bouche devenait plus bien compliquĂ©e qu’on aurait pu le croire au premier abord. Cela me prit trois essais avant que son champignon ne m’entre dans la bouche.
Une fois bien rentrĂ©, j’utilisais ma langue pour tourbillonner autour de la queue, sachant que je ne pourrais pas lui faire une bonne pipe avant qu’elle ne soit au moins Ă  moitiĂ© dure
 J’ai toujours aimĂ© le moment oĂč une queue durcit dans ma bouche
 J’aime sentir en moi le pouvoir de faire raidir une bite avec juste ma langue et ma bouche
 et de la prĂ©parer pour la suite

« Une fois que votre homme est dur, redressez-vous bizutes. » nous instruit Amber
Cela me poussa Ă  engloutir sa bite Ă  moitiĂ© dressĂ©e, je ne voulais pas ĂȘtre la derniĂšre Ă  finir.
Utilisant ma langue et y mettant une bonne dose de salive je le fis durcir en quelques secondes
 et rĂ©alisais qu’il faisait au moins vingt bons centimĂštres et Ă©tait bien Ă©pais. J’adore les bites bien larges qui me remplissent la chatte.
Le gars était impressionné car il dit : « Putain, celle-ci a une bouche de chaudasse. »
Comme je me relevais sachant juste que ce type serait un bon coup, je rĂ©pondis : « On se voit plus tard, j’ai un autre trou oĂč j’aimerais que tu me fourres ta grosse bite. »
« Bizutes, cette activitĂ© sera la derniĂšre avant le gala de demain. Il dĂ©cidera de votre place dans le grand bal et aussi de la robe que vous serez autorisĂ©e Ă  porter, » expliqua Amber, qui ajouta, « ou si on vous permet de mettre une robe  »
Il y eut quelques hoquets de surprises dans la salle.
« Nous allons jouer aux bites musicales, » dĂ©clara-t-elle, ce qui Ă©tait logique. « À chaque manche, celle qui n’aura pas de bite en elle sera Ă©liminĂ©e. Une fois Ă©liminĂ©e, vous recevrez une enveloppe qui contiendra soit une punition, soit une faveur si vous remportez suffisamment de manches. Lorsque vous ĂȘtes Ă©liminĂ©es, vous pouvez choisir la robe que vous voulez. Mais la personne qui sera Ă©liminĂ©e aprĂšs vous aura la prioritĂ© si elle demande la mĂȘme robe. Les rĂšgles sont-elles bien claires ?
« Oui, Maitresse Amber, » dirent les vingt-quatre d’entre nous Ă  l’unisson, comme nous avions Ă©tĂ© entraĂźnĂ©es Ă  rĂ©pondre, comme de bons petits chiots soumis.
« Vous pouvez enlever vos bandeaux, » annonça Amber.
Curieuse de voir Ă  qui appartenait la grosse queue qui venait de quitter ma bouche, je me dĂ©pĂȘchais d’obĂ©ir. Je fus surprise de voir un binoclard malingre en face de moi. Il sourit un peu gĂȘnĂ© comme le font les geeks. J’étais abasourdie de voir une aussi grosse bite sur un type aussi maigre.
Je souris en retour, essayant de paraĂźtre dĂ©contractĂ©e et non choquĂ©e, « j’adore toujours autant cette belle bite. 
Amber continua ses explications : « Le long de l’escalier vous pouvez voir vingt-quatre robes, enfin plutĂŽt vingt-quatre habits, »
Je dĂ©tournais mon regard du binoclard Ă  grosse bite pour voir une sĂ©rie de robes magnifiques et de quatre
 « habits. » Ces quatre choses-lĂ  Ă©taient horribles : une robe vert pĂąle Ă  pois violets. Une combinaison une-piĂšce de sport jaune que ma grand-mĂšre n’aurait pas voulu mettre. Une grenouillĂšre Ă  points rouges au niveau des nichons et de la chatte. Et un simple t-shirt oĂč Ă©tait Ă©crit « Bimbo vide-couille » avec une mini-jupe si courte que ce ne devait mĂȘme plus ĂȘtre vraiment une jupe.
Je devais gagner. Si ĂȘtre Ă©liminĂ©e en premier pouvait permettre de choisir la plus belle robe, rien ne garantissait que les Ă©liminĂ©es suivantes ne la choisiraient pas. Les quatre derniĂšres robes seraient forcĂ©ment les plus pourries, et elles seraient Ă©changĂ©es contre celles que les gagnantes voulaient. Oui, il fallait finir dans le top quatre pour bien s’en sortir.
Sauf que, mĂȘme pas
 Puisque je me rendais compte que mĂȘme en finissant deuxiĂšme on courrait le risque de se retrouver avec une des merdiques, si la gagnante choisissait de prendre la robe que vous veniez de choisir.
Je devais gagner si je voulais ĂȘtre sĂ»re de ne pas me retrouver avec un des costumes de clown.
« Par ailleurs, continua Amber, Ă  chaque tour nous sortirons un des gars, et la perdante de la manche devrait sucer ou baiser ce gars, ou faire les deux
 À moins qu’on lui donne une autre tĂąche. Et, je suis dĂ©solĂ©e pour vous les mecs, mais on vous sortira selon l’ordre croissant de ce que vous avez de plus important
 la taille de votre bite. »
Toutes les filles, moi y compris, avons alors jetĂ©es un Ɠil pour Ă©valuer la marchandise qui Ă©tait Ă  notre disposition. À ma grande surprise, beaucoup des types dans mon pĂ©rimĂštre avec de belles grosses bites.
Sarah alla vers un des mecs Ă  quelques siĂšges sur ma droite et lui dit, « dĂ©solĂ©, l’étalon. »
Le pauvre gars Ă©tait mortifiĂ© de savoir ĂȘtre le premier Ă  partir.
Sarah haussa les Ă©paules : « Allez, soit pas triste, tu seras le premier Ă  te vider les couilles dans l’une de nos bizutes. »
« TrĂšs bien bizutes, premier round. Comme pour un jeu de chaises musicales, vous allez marcher en cercle, sans vous arrĂȘter jusqu’à ce que la musique stoppe. La seule diffĂ©rence est que vous ne vous devrez pas toujours vous asseoir sur leurs genoux
 alors Ă©coutez attentivement les instructions pour chaque manche, » expliqua Amber.
Je pouvais dĂ©jĂ  envisager le mĂ©lange de branlette, de pipe et peut-ĂȘtre mĂȘme de baise qu’on nous demandait. Bizarrement, en regardant ces bites plutĂŽt bien grosses qui nous saluaient toutes, je devenais assez excitĂ©e et j’étais dĂ©jĂ  mouillĂ©e. Je souris Ă  mon binoclard, remarquant que tous les mecs avaient des airs de geeks : « Je reviendrais pour celle-lĂ . »
La musique commença et je me mis Ă  marcher, me concentrant sur les queues qui Ă©taient toutes dures et prĂȘtes Ă  l’action. MĂȘme si je n’étais pas une traĂźnĂ©e, j’aimais la bite
 beaucoup
 et la taille avait son importante
 et pas qu’un peu !
Je fis un tour complet, ayant vu les vingt-trois queues bandĂ©es, elles m’avaient presque toutes impressionnĂ©e. Deux Ă©taient mĂȘme noires et ça, c’était un tabou que je n’avais encore jamais franchi. Je me concentrais sur les bites et pas les visages.
Amber nous donna quelques renseignements pendant le second tour : « J’espĂšre que vous apprĂ©ciez ces grosses queues de la fraternitĂ© Beta Delta Kappa. Car bien que Alpha Kappa Pi soit notre fraternitĂ© associĂ©e, nous travaillons parfois secrĂštement avec Beta Kappa Pi
 Je crois que vous comprenez pourquoi. »
Tout en continuant Ă  marcher mes pupilles s’écarquillĂšrent, j’étais soudainement trĂšs inquiĂšte. Est-ce que mon frĂšre se trouvait parmi les vingt-trois bites sur lesquelles je venais de saliver ? Il Ă©tait en deuxiĂšme annĂ©e et membre de la fraternitĂ© Beta Delta Kappa (il avait tout juste 14 mois de plus que moi, nos parents avait eu des bĂ©bĂ©s dos Ă  dos). Je continuais Ă  marcher, Ă©vitant les contacts visuels, je tremblais en pensant au risque, mais j’écoutais toujours les instructions d’Amber.
« Quand la musique s’arrĂȘtera, vous vous mettrez Ă  genoux et branlerez la bite sur laquelle vous pourrez mettre la main, » continua Amber.
Je finis le second tour, Ă©vitant de regarder les mecs de face, inquiĂšte que mon frĂšre soit parmi eux. Mais s’il l’était
 tant mieux pour lui. Toutes ces bites avaient des tailles impressionnantes, et certaines Ă©taient plus grosses que tout ce que j’avais expĂ©rimenté  deux semblaient aller au-delĂ  des vingt-cinq centimĂštres.
Ça me surprit et je restais hĂ©sitante.
En voyant mes consƓurs bizutes se mettre Ă  genoux, je me rendais vite compte que toutes les bites autour de moi Ă©taient dĂ©jĂ  prises. Je paniquais et regardais dĂ©sespĂ©rĂ©ment autour de moi
 j’avais besoin d’une bite dans ma main.
Je vis une autre bizute lancer elle aussi des regards affolĂ©s, et je me dĂ©plaçais rapidement Ă  la recherche de la bite libre. Elle fit la mĂȘme chose. Voyant finalement la bite solitaire et esseulĂ©e, je plongeais littĂ©ralement dessus, l’attrapant juste avant que ma camarade bizute ne l’atteigne.
Le type grogna. Je venais de lui donner un coup de tĂȘte dans ma prĂ©cipitation
 deux gars, deux bites, deux coups de tĂȘte. « DĂ©solĂ©e, » je m’excusais, Ă  la fois envers le type et envers la pauvre bizute bouleversĂ©e qui fut la premiĂšre Ă  se faire sortir.
Amber dit : « Eh bien, c’était Ă  un cheveu. Erin, tu es la premiĂšre Ă©liminĂ©e. Rampe jusqu’à moi. »
Je la regardais ramper vers Amber, elle semblait à la fois dévastée et mortifiée.
« Choisis une robe, » lui ordonna Amber.
Erin se déplaça parmi les robes et en choisit une bleue, mignonne, mais pas étourdissante.
« Maintenant, ouvre ton enveloppe, » l’avisa Amber. Une troisiĂšme annĂ©e dont je ne me souvenais pas du nom tendit une enveloppe avec le nombre vingt-quatre Ă©crit dessus.
Erin l’ouvrit à contrecƓur, sortant un papier rouge. En le lisant, son visage tout entier pali.
« Lis-le à haute voix, » exigea Amber.
Erin en pleurs, lut : « Finir derniĂšre, il ne faut pas ĂȘtre fiĂšre. Ce soir, tu es un urinoir humain, c’est toujours mieux que de faire la putain. »
Il y eut un moment de stupeur accompagné de hoquets de surprise dans la salle.
Erin implora : « S’il vous plaĂźt, je vous en prie. Ne me faites pas faire ça.
— Ton destin est scellĂ©, rĂ©pondit Amber avec dĂ©dain. Va d’abord servir le numĂ©ro 24, puis ValĂ©rie t’emmĂšnera Ă  une place spĂ©ciale pour la nuit.
— Continue Ă  te plaindre, et on te fera partir. On dĂ©cidera alors si on t’exclut de la sororitĂ© ou si on fera durer la punition un mois, menaça Amber, suis-je clair ?
— Oui, chuchota Erin, baissant la tĂȘte.
— Bien, maintenant profite du numĂ©ro 24, » dit Amber en renvoyant la bizute mortifiĂ©e qui se dirigea vers le premier gringalet.
Pendant tout ce temps, je jetais des coups d’Ɠil autour de moi, priant que mon frĂšre ne soit pas parmi les vingt-trois bites se faisant branler. Comme j’étais Ă  genoux, je ne pouvais pas en voir beaucoup, mais je fus heureuse de ne pas le trouver parmi ceux qui Ă©taient Ă  proximitĂ©.
« Les bizutes restantes, debout, » ordonna Amber.
Je lùchais la bite dans ma main et répétais, « désolée. »
Pendant que l’on enlevait du jeu l’un des gringalets et sa chaise, je continuais Ă  observer. Debout, j’avais une bien meilleure vue
 je soupirais et sentis une boule se former dans mon estomac. Mon frĂšre Ă©tait bien lĂ . Je pouvais le voir Ă  l’autre bout. Je ne pouvais voir que l’arriĂšre de son crĂąne, mais c’est tout ce dont j’avais besoin. C’était bien lui.
La musique recommença pendant qu’Amber donnait de nouvelles instructions : « Cette fois, quand la musique s’arrĂȘtera, vous ferez une gorge profonde sur la bite que vous mettrez dans votre bouche. »
Quelques filles glapirent, d’autres pouffĂšrent. Ces bites Ă©taient franchement grosses, et pour beaucoup de bizutes il ne serait pas facile de les enfourner dans leur gorge. Heureusement, j’avais une assez bonne expĂ©rience en suçage de bite, et je pensais ĂȘtre capable de le faire.
À force de marcher, je finis par arriver devant mon frĂšre et je laissais Ă©chapper un soupir. Sa bite Ă©tait Ă©norme, peut-ĂȘtre la plus grosse de toutes. Merde, si je voulais gagner il y avait une probabilitĂ© majeure qu’à un moment ou un autre je finisse par lui toucher la queue
 peut-ĂȘtre mĂȘme par la sucer
 peut-ĂȘtre mĂȘme par me l’enfiler

« Vous n’ĂȘtes pas sortie du bois jusqu’à ce que la bite soit enfoncĂ©e complĂštement dans votre bouche, » clarifia Amber.
Je continuais Ă  marcher, j’avais le vertige Ă  envisager les consĂ©quences. Je devais gagner. Mais je ne voulais pas commettre un inceste pour ça. Bien que
 je devais l’admettre
 il avait une bite extraordinaire : grosse et Ă©paisse
 elle Ă©tait mĂȘme complĂštement rasĂ©e.
Marcher en rond me rapprochait à nouveau de mon frÚre, je soupesais le problÚme. Commettrais-je un inceste pour gagner ?
La question fut rĂ©solue sans que j’aie Ă  y rĂ©pondre
 Mon instinct et mon dĂ©sir de gagner prirent le contrĂŽle quand la musique s’arrĂȘta. Je me trouvais entre mon frĂšre et un autre type. Le chibre du type Ă©tait entiĂšrement englouti par une asiatique affamĂ©e dont je ne me souvenais pas du nom, quelque chose avec une sonoritĂ© bizarre, et avant de me rendre compte de ce que je faisais j’étais Ă  genoux et l’énorme queue de mon frĂšre en train de me chatouiller les amygdales.
Des rires, des bruits d’étouffements et des mouvements frĂ©nĂ©tiques rĂ©sonnaient autour de moi, pendant que j’étais agenouillĂ©e en face mon grand frĂšre avec ce qui semblait ĂȘtre vingt-cinq centimĂštres enfoncĂ©s dans ma bouche. Je respirais par le nez et me concentrais pour ne pas m’étouffer.
J’avais la bite de mon frùre dans la bouche.
J’avais l’énorme bite de mon frĂšre dans ma bouche.
Ma chatte, me trahissant, devenait trĂšs trĂšs humide.
Merde, j’aurais aimĂ© porter une culotte.
Merde, je devenais bouillante Ă  sucer l’énorme bite de mon frĂšre, la plus grosse que j’ai eue dans ma bouche.
« Il semble qu’on ait une perdante. Brenda, tu es Ă©liminĂ©e, annonça Amber.
— Cette salope m’a poussĂ©, protesta Brenda
— Tu n’aurais p
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