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Il en est Ă  qui Allah a parlĂ© ; et Il en a Ă©levĂ© d’autres en grade. A JĂ©sus fils de Marie, Nous avons apportĂ© les preuves Canada Goose Pas Cher , et l’avons fortifiĂ© par le Saint Esprit[8] (TSC Al Baqara : 253) ou encore Et parmi les prophĂštes, Nous avons donnĂ© Ă  certains plus de faveurs qu’à d’autres. Et Ă  David, Nous avons donnĂ© le ‘ZabĂ»r'[9] (TSC, Al ‘Isrñ’ ‘Le Voyage Nocturne’ : 55)..

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Publié le 27.06.2016


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de la découverte de la sexualité de mon frÚre
Je me dĂ©cide ce soir. Je me mets face Ă  mon ordinateur et je tente d'Ă©crire ce qui est en moi. Aujourd'hui je suis prisonniĂšre de mes Ă©motions. Je suis prisonniĂšre de ma peur. Je suis prisonniĂšre de mon secret. Mon corps ne cesse de me demander de crier. Mon corps ne cesse de me demander de parler. Mon cƓur en a rĂ©ellement le besoin et l'envie mais mon cerveau lutte pour que je me taise. HĂ©las pour moi, c'est lui qui gagne. Alors, je me tais. Pour se venger, mon corps me fait mal. Il me fait mal de partout. J'ai mal au dos, j'ai mal au torse, j'ai mal aux pieds, aux bras, Ă  la tĂȘte. Tous les jours une nouvelle partie de moi se manifeste.
Je ne peux pas parler... Alors j'essaie d'Ă©crire. Je ne sais pas oĂč cela va me mener. Je vais laisser parler mon cƓur. Je vais laisser parler mon Ăąme. J'aimerai que mon histoire serve Ă  d'autres. J'aimerais que mon histoire brise des tabous.
Je pense que certains vont ĂȘtre déçus... Rien de trash... Tiens, c'est Ă©trange, je me prends en flagrant dĂ©lit de minimisation des faits, ce qui me cause encore et toujours prĂ©judice dans la reconnaissance de ma souffrance. Il est fort probable que je sois dans l'incapacitĂ© de tout Ă©crire d'une traite. Que je fasse des allers et retours dans la chronologie. Je ne sais mĂȘme pas par quoi commencer. Le dĂ©but ? J'ai bien des difficultĂ©s Ă  tirer sur le fil et Ă  trouver le dĂ©but de la bobine.
Mes souvenirs sont trÚs flous. Des images me reviennent inlassablement, par flash. Les sensations physiques me hantent quand je m'endors le soir ou à des moments improbables au détour d'une image, d'une odeur, d'un effleurement, d'un mot, d'une série TV. Ces souvenirs fracassent à chaque instant ma joie de vivre. Ils me replongent inévitablement dans le passé, dans le noir, dans un trou béant sans fond. Je ne suis jamais en paix.
Lors de mon premier souvenir, j'ai, je pense, 3-4 ans. Je situe mon Ăąge en fonction des lieux que j'occupe et de leur configuration. En fait, c'est comme si mes yeux Ă©taient sortis de mon corps et que j'assistais Ă  la scĂšne. Que vois-je ? Je me vois nue avec un homme. C'est un stagiaire que mes parents accueillent Ă  la maison pour apprendre le mĂ©tier d'agriculteur. Mes souvenirs s'arrĂȘtent lĂ . Que s'est-il passĂ© vraiment ? Je l'ignore en fait. Je sais que mes parents Ă©taient partis en rĂ©union et qu'ils m'avaient confiĂ©e Ă  sa garde. Pourquoi me suis-je retrouvĂ©e dans son lit ? Pourquoi Ă©tais-je nue ? J'en n'en ai aucune idĂ©e...
A mon deuxiÚme souvenir j'ai 8 ans. Je sais que c'est avant que mes parents rénovent leur maison en 1981. Je suis née en 1973. Mathématiquement, j'ai donc avant 8 ans. Dans ce souvenir, je me vois. En fait, c'est comme si mes yeux étaient sortis de mon corps et que j'assistais à la scÚne. Que vois-je ? Je me vois d'abord jouer avec mon frÚre. Nous faisons du catch ! Mon frÚre a 6 ans de plus que moi. Il a donc environ 14 ans. Le début de son adolescence. Puis, je me vois immobilisée. Lui, assis sur moi me chevauchant ses deux genoux posés sur mes bras. Je ne peux pas bouger. Il me chatouille. Je ris. Je hurle de rire. Tout va bien.
J'ai un autre souvenir, fugace celui-ci. Je suis sur un matelas, ou sur un tapis oĂč je suis nue avec mon frĂšre dans la mĂȘme piĂšce que dans le souvenir prĂ©cĂ©dent.
Dans le souvenir d'aprĂšs, les travaux de construction des chambres sont achevĂ©s. D’une chambre commune Ă  toute la famille, nous sommes rĂ©parties en trois chambres : mes parents, mes deux sƓurs ensemble et mon frĂšre et moi. Je vais partager la mĂȘme chambre avec mon frĂšre pendant cinq ou six ans. Nos lits sont installĂ©s parallĂšlement, le mien jouxte la porte d'entrĂ©e. Une table de nuit les sĂ©pare. C'est le soir, je me suis dĂ©pĂȘchĂ©e d'aller me coucher avant tout le monde. Je sens ma peur. C'est Ă©trange comment j'ai oubliĂ© certains faits mais comment la sensation de peur reste palpable. MĂȘme maintenant, l'angoisse m'envahit. Ce soir-lĂ , je suis recroquevillĂ©e sur moi-mĂȘme, les couvertures levĂ©es trĂšs haut sur mon visage. La lumiĂšre est Ă©teinte. J'essaie de dormir, mais j'en suis incapable car j'ai peur. Je ne sais pas pourquoi je sais que cela aura lieu ce soir, encore. Comment le savais-je ? Etait-ce parce qu'on Ă©tait un samedi et c'Ă©tait toujours le samedi ou parce que j'avais interprĂ©tĂ© des signaux pendant la journĂ©e ? La porte s'ouvre. Les battements de mon cƓur s'accĂ©lĂšrent. J'ai les yeux fermĂ©s. Mes oreilles sont en alerte. Elles suivent le bruit de ses pas qui contourne mon lit sur la moquette. Je les perçois mieux que si j'avais les yeux ouverts. Je sens l'air qui se dĂ©place autour de moi. Il allume sa lumiĂšre de chevet. Les ressorts couinent. Il s'assoie sur son lit. Puis, j'entends les bruissements des vĂȘtements qu'il enlĂšve. Je lui tourne le dos, j'ai toujours les yeux fermĂ©s. J'essaie d'avoir une respiration apaisĂ©e alors qu'elle est tout sauf apaisĂ©e pour lui donner l'illusion que je dors.
Il se glisse sous ses draps. Quelques minutes s'écoulent, puis il murmure : « je sais que tu ne dors pas » ! La gravité de sa voix m'aurait presque fait sursauter s'il n'avait pas fallu que je fasse semblant de dormir. Je ne réponds pas. Je fais celle qui dort, qui n'entend rien, pour lui donner tort. Le silence est pesant. Je suis concentrée sur le rythme de ma respiration pour qu'il soit le plus régulier et le plus naturel possible. Il répÚte : « Je sais que tu ne dors pas !" Il rajoute : « Viens !". A nouveau : « Viens ! » Je ne sais pas combien il a répété cette injonction. Je suis restée silencieuse comme mortifiée le plus longtemps possible. Au bout d'une période indéfinie, je lui dis « non, je ne veux pas ! ». Je sais que je l'ai répété plusieurs fois. Là, il me répond « Je te promets, c'est la derniÚre fois ! ». Est-ce cette phrase qui m'a décidée ? Je ne sais pas. Je sais que je me suis levée et je suis allée sur son lit en sachant pertinemment ce qui m'attendait et ce n'était pas une partie de catch. Je savais également que ce n'étaiT pas la derniÚre fois. Comme je n'ai pas de souvenirs entre ces deux réminiscences, je pense qu'il a du se passer beaucoup de fois qui ont créé le climat de peur dans ma vie.
Ensuite que s'est-il passĂ© sur ce lit ? Des chuchotements qui me demandent de me dĂ©shabiller... Des chuchotements qui me disent que je suis belle... Des susurrements dont je ne me rappelle plus le sens. Je vois Ă  nouveau l'image du dessus... Je sens le souffle chaud de sa bouche sur ma peau, sur mon visage, dans mon cou. Il est entre mes jambes. Il me caresse. Il m'embrasse... Partout... Moi ? Je ferme les yeux. Je ne dis rien. J'en suis incapable. J'attends. J'attends que ça se passe. Il ne m'a pas violĂ©e physiquement puisqu’il n'y a jamais eu de pĂ©nĂ©tration, mais il a violĂ© mon Ăąme. J'ai le sentiment qu'il n'aurait pas pu me faire plus mal. Je ne me rappelle plus comment cet Ă©pisode s'est terminĂ©.
Mon dernier souvenir est, me semble-t-il, plus tard ou est-ce avant ? Le temps est un problĂšme pour recoudre les morceaux. Je crois que je suis encore plus vieille, mais je ne suis pas certaine de l'enchaĂźnement des Ă©vĂšnements. Nos lits ont changĂ© de place. Ils sont toujours parallĂšles, mais dans l'autre sens. Je crois que mon frĂšre n'a pas le mĂȘme lit. C'est un lit deux places. Mes souvenirs sont Ă  nouveau furtifs. Mon frĂšre avait apportĂ© dans notre chambre Ă  cette Ă©poque le tourne-disque vinyl de mes parents. Il avait tendance Ă  mettre la musique Ă  fond sans me demander mon avis. Ce soir-lĂ , il a effectivement mis la musique du film "Midnight express" Ă  un niveau sonore Ă©levĂ© dans la chambre. Je pense que c'Ă©tait pour masquer les bruits du lit Ă  ressorts. Aujourd'hui, je ne supporte plus cette musique, moi qui l'aimait tant, avant. Je la dĂ©teste. J'ai le corps qui rĂ©agit dĂšs que je l'entends. Elle est un facteur dĂ©clenchant mes souvenirs.
De ce soir-lĂ , je vois Ă  la scĂšne tantĂŽt du dessus comme si c'Ă©tait une autre, tantĂŽt Ă  ma place. Nous sommes encore nus tous les deux. Il est entre mes jambes Ă©cartĂ©es. Il me demande de toucher son sexe. Je ne veux pas, cela me dĂ©goute. Je sens son haleine sur mon visage. Il m'embrasse. Il me touche partout. Il touche mon sexe. Je finis par toucher le sien. Je sens sa duretĂ© dans ma main, et sa moiteur Ă  l'entrĂ©e du mien. Il n'ira pas plus loin. Enfin, je crois. Ce souvenir-lĂ  viendra me perturber jusque dans ma relation avec mon mari, lorsque nous avons commencĂ© notre histoire. Quand nous avons commencĂ© Ă  nous caresser, j'ai refusĂ© de lui toucher le sexe parce que j'avais peur de retrouver les sensations dĂ©sagrĂ©ables que j'ai connues avec mon frĂšre. J'Ă©tais prĂȘte Ă  la pĂ©nĂ©tration dĂšs le dĂ©but ; je prĂ©fĂ©rais cela plutĂŽt que de le toucher. Heureusement, mon ami a Ă©tĂ© tendre, gentil et comprĂ©hensif. Il m'a accompagnĂ©e avec sa propre main.
Peu de souvenirs. Pas de quoi en faire un plat ! En fait, il y en a trop mais aussi pas assez. J'ai la certitude qu'il y a eu plus d'Ă©vĂšnements de ce genre, mais ma mĂ©moire a tout effacĂ© et c'est horrible. Les spĂ©cialistes parlent d'amnĂ©sie post-traumatique. Habituellement, on entend parler de ce phĂ©nomĂšne lorsqu'une personne a vĂ©cu une agression d'une violence inouĂŻe ou la guerre. J'ai parfois le sentiment d'ĂȘtre une sorte d'usurpatrice ou de mythomane. Je n'ai jamais eu mal. Je n'ai subi « que des caresses ». Pas de quoi fouetter un chat !
La premiĂšre fois qu'un psychologue a Ă©voquĂ© cela devant moi, j'ai eu beaucoup de difficultĂ©s Ă  comprendre pourquoi j'Ă©tais touchĂ©e par ce phĂ©nomĂšne. Je me rappelle que le professionnel me posait des questions assez prĂ©cises sur tous les faits. Mes rĂ©ponses Ă©taient irrĂ©vocablement les mĂȘme « je ne sais pas ». Pour moi c'Ă©tait trĂšs dĂ©routant. Comment pouvais-je ne pas me rappeler de tout cela ? L'absence de souvenir contribue Ă  augmenter le trouble en moi. Les sensations sont Ă©tranges et difficilement explicables. J'ai le sentiment Ă  la fois d'avoir tout vĂ©cu mais aussi que c'est arrivĂ© Ă  quelqu'un d'autre comme si j'avais Ă©tĂ© la spectatrice de mes sensations et de mes Ă©motions.
J'ai la certitude qu'ils se sont rĂ©pĂ©tĂ©s toutes les semaines pendant environ 2 Ă  3 ans. Mon frĂšre me le confirmera plus tard d'ailleurs. Ce sont ces quelques rĂ©miniscences du passĂ© qui ont semĂ© le trouble Ă  mon adolescence. Etait-ce rĂ©ellement arrivĂ© ou Ă©tait-ce le fruit de mon imagination dĂ©lirante ? J'ai tellement enfoui ces pensĂ©es que lorsqu'elles surgissaient, elles semaient le doute dans ma tĂȘte. Avais-je Ă©tĂ© une victime ou Ă©tais-je en train de sombrer dans la folie pure et simple ? Longtemps j'ai cru que les Ă©vĂ©nements avaient eu lieu entre 7 et 8 ans. J'ai interrogĂ© ma mĂšre rĂ©cemment sur la date d'emmĂ©nagement dans les nouvelles chambres. Elle m'a dit que c'Ă©tait en 1982-1983. Cela a sonnĂ© comme une claque pour moi mais en mĂȘme temps cela a Ă©clairci quelques incohĂ©rences entre les images de mes souvenirs et ce que mon intellect me soufflait. Dans mes souvenirs visuels, mon frĂšre Ă©tait plus grand que s'il n'avait que 13 ans. Un autre Ă©vĂ©nement a semĂ© le trouble, c'est le changement de lit de mon frĂšre. Pourquoi a-t-il changĂ© de lit en baissant de qualité ? Avec maman, nous sommes remon
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