Fetichiste soumis aux pieds sa maitresse

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Fetichiste soumis aux pieds sa maitresse
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Ce soumis est ravis d avoir la permission de sa maitresse pour prendre ses pieds vernis en bouche et finis par la baiser

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Pendant tout le trajet du retour je me remĂ©morais les derniĂšres vingt-quatre heures et les nouvelles expĂ©riences que j’avais vĂ©cues. Victoria, ma nouvelle MaĂźtresse dominatrice, avait su me rassurer et m’avait donnĂ© envie de me soumettre Ă  elle. Pour autant, une fois sorti du contexte, mon excitation Ă©tait rapidement retombĂ©e. A peine rentrĂ© dans mon appartement, je retirais mon plug et repris mes occupations habituelles. Le reste du week end se passa normalement, sans nouvelles ni de Lauren, ni de Victoria.
Le lundi matin, je dĂ©cidais tout de mĂȘme de re-rentrer dans le jeu en enfilant la culotte que m’avait remise Victoria, ma nouvelle MaĂźtresse dominatrice. Je supposais qu’elle l’avait achetĂ© le samedi matin lorsque nous Ă©tions allĂ©s faire des courses, car il Ă©tait manifeste qu’elle Ă©tait trop grande pour elle. La culotte Ă©tait en dentelle et de couleur violette. J’y Ă©tais un peu Ă  l’étroit dedans, mais la sensation au contact de la matiĂšre Ă©tait agrĂ©able. Machinalement, je commençai Ă  me caresser le sexe Ă  travers la culotte et immĂ©diatement cela me provoqua un dĂ©but d’érection. En regardant la pendule, je m’aperçus que j’étais en retard et je saisis rapidement mon jeans. Une fois enfilĂ©, je me plaçai devant le miroir pour m’assurer que rien ne pouvait laisser Ă  penser que je portais des dessous fĂ©minins. Fort heureusement, c’était le cas.
Durant la matinĂ©e, tout se passa normalement. Je n’avais pas croisĂ© Lauren. Il faut dire que mĂȘme si je ne l’évitais pas, je n’avais pas cherchĂ© Ă  la voir. Je ne savais pas trop comment aborder le week end dernier. Je prĂ©fĂ©rais donc qu’elle fasse le premier pas. C’est ce qu’elle fĂźt dans l’aprĂšs-midi.
Vers 15 heures, elle s’approcha de mon bureau.
– Bonjour, tu as envie de venir prendre un café ?
Nous prĂźmes la direction de la machine Ă  cafĂ© qui Ă©tait situĂ©e Ă  l’étage infĂ©rieur.
– Alors, je m’attendais Ă  ce que tu viennes me voir ce matin. Victoria m’a envoyĂ© un sms pour me dire que tu avais pleins des choses Ă  me raconter.
– Elle ne t’a pas donnĂ© plus de dĂ©tails ?
– Non, elle m’a dit que tu t’en chargerais et que tu savais ce que tu avais à faire.
Une fois servis en cafĂ©, nous avons pris place sur une table un peu Ă  l’écart dans la cafĂ©tĂ©ria. Je commençai alors le rĂ©cit de la journĂ©e du samedi. Lauren m’écoutait avec attention et par moment me demandait quelques prĂ©cisions.
– C’est dommage que je ne t’ai pas vu habillĂ© comme cela, la prochaine fois.
– Victoria m’a prise en photo et elle m’a demandĂ© de te la montrer.
– Tu ne pouvais pas commencer par ça ? pesta Lauren alors que je lui tendais le tĂ©lĂ©phone.
– Ce n’est pas tout, Victoria m’a donnĂ© une culotte et elle m’a demandĂ© de te faire vĂ©rifier que je la portais bien au travail aujourd’hui.
Je remontai un peu la culotte pour montrer Ă  Lauren que j’avais respectĂ© l’ordre de Victoria.
– Mouais, je voudrais la voir en entier, pas juste un petit bout. Viens, allons au wc, comme ça je pourrai mieux la voir.
Fort heureusement, les wc pour femmes Ă©taient dĂ©serts. Lauren me fit signe de la suivre dans le wc handicapĂ©. Nous aurons plus de place. Elle me demanda de retirer mon jeans et saisit son tĂ©lĂ©phone pour me prendre le paquet en photo afin d’envoyer la preuve Ă  Victoria.
– Mais, j’ai l’impression que tu bandes.
Lauren se rapprocha de moi et me caressa Ă  travers la culotte, comme je l’avais fait le matin mĂȘme.
– Oui la situation a pour effet de m’exciter.
– Je vois ça, rĂ©pondit Lauren en continuant Ă  me caresser pour me faire vraiment bander. Elle saisit mon sexe, toujours Ă  travers la culotte et commença Ă  me branler. Elle sentit rapidement mon excitation monter et s’arrĂȘta net.
– J’espùre que tu ne t’attendais pas à ce que je te soulage, dit-elle en me lñchant le paquet et en se sortant des toilettes.
Je m’empressai de remonter mon jeans.
– Que va-t-il se passer maintenant ?
– Tu verras bien, mais d’aprùs ce que je vois, tu as envie de devenir notre soumis.
– Bien, mais au boulot, tu ne changes pas de comportement, je ne veux pas que les autres sachent.
– Je vais voir avec Victoria pour la suite.
Elle me laissa ensuite sur le palier pour rejoindre son bureau.
Les deux jours suivant, je n’ai pas eu de nouvelles, puis le mercredi soir, je reçus un mail de Lauren qui me demandait de complĂ©ter un tableau. Il s’agissait d’une liste de pratique. Je le remplis et le renvoyais Ă  Lauren.
Le jeudi, Lauren passa me voir Ă  mon bureau pour me dire qu’elle avait bien pris note du tableau et que j’allais pouvoir devenir leur chose mais que je n’aurai plus mon mot Ă  dire dans la mesure oĂč elles resteraient dans le cadre que l’on venait de fixer. J’acquiesçai fĂ©brilement.
– Demain soir, à 20h chez Victoria, une lettre sous le paillasson t’indiquera tes consignes.
Cette histoire est magnifique, l’une des meilleures du site et racontĂ© avec des mots juste.
Une soumission innĂ©e en exploration et deux dominatrices dans les respects de l’art. On ne voit pas ceci ici souvent.
Toute fois je demanderais aux administrateurs de #dominamag de bien vouloir demander l’histoire en entier avant sa publication car plusieurs histoires ne se termine ici


Les femmes politiques, les femmes Ă  poigne, portent quasiment toutes des talons hauts. Talon aiguille = phallus dans le sens psychanalytique du terme que lui avait donnĂ© Freud, dĂ©signant le pouvoir. Pas Ă©tonnant que j’aime alors te toiser, perchĂ©e sur mes escarpins vertigineux ! Il y a du fĂ©tichisme dans l’air
 À plat ventre petit ver de terre ! Tu rampes, tu te traines sur mon parquet, obsĂ©dĂ© par cette vision divine. Peut-ĂȘtre alors raisonnent en toi les rimes de cette chanson de Bashung : « J’ai longtemps contemplĂ© Tibias, pĂ©ronĂ©s Au ras des rez-de-chaussĂ©e Ces citĂ©s immenses OĂč je ne rutilais pas J’arpentais des tapis de braise Je suis pas libre  » TrĂȘve de poĂ©sie ! Je m’assois dans mon fauteuil le plus confortable. RelĂšve-toi ! Et vas donc me prĂ©parer un thĂ© au jasmin. Ah te voilĂ  enfin ! Tu me sers une tasse puis je t’ordonne de venir t’assoir Ă  genoux, parterre face Ă  moi. Je veux que tu me vĂ©nĂšres pour mieux me plaire. Je lĂšve lĂ©gĂšrement la jambe pour frotter mon talon aiguille sur tes bras, ton ventre, autour de tes parties gĂ©nitales. J’alterne frĂŽlements Ă  la limite des chatouilles et petits coups vifs qui te font sursauter. D’un instant Ă  l’autre, tu ne sais ce qui va tomber, tu perds le contrĂŽle, ensorcelĂ© par ma beautĂ©. J’attrape tes mains et je les pose sur mes chevilles comme une rĂ©compense. J’y attache tes poignets, nous voilĂ  en pleine fusion. Tu es scotchĂ© Ă  moi au sens propre et figurĂ©. Tu aimerais caresser mes jambes mais c’est interdit. Le fĂ©tichisme implique bien des sacrifices
 Je t’attrape les tĂ©tons, les tords, les pince, les fais rouler entre mes doigts. Tu subis, stoĂŻque. Magnanime, je t’autorise Ă  embrasser mes mollets, tu t’exĂ©cutes. Tes lĂšvres frĂŽlent la rĂ©sille de mes bas. A travers, tu t’enivres du parfum de ma peau. Alors je te dĂ©livre. Tes mains de nouveau mobiles, vont se consacrer Ă  mes pieds. Je t’ordonne de m’îter mes chaussures. Tu galĂšres avec la bouche. Clac ! Je te rĂ©primande d’un coup de cravache sur l’épaule. Avant de venir, tu aurais pu t’entrainer Ă  cette tĂąche propre Ă  tout bon adepte du fĂ©tichisme, nous perdons du temps. Maintenant, active donc tes doigts sur la plante, appuie par petites pressions bien au centre, j’ai des clitoris sous les pieds. A toi de trouver la juste intensitĂ©, guidĂ© par mes rĂ©actions de contentement ou d’énervement. Ça y est ! Une grande dĂ©tente m’envahit, je baille, je m’enfonce dans le fauteuil. Alanguie, j’oublie tout. Je me redresse, l’envie me prend de t’attacher soudain les mains dans le dos avec les menottes alors que tu restes Ă  genoux. Cette position de dĂ©votion, me semble tellement esthĂ©tique ! J’enlĂšve trĂšs lentement mon bas gauche, je le fais glisser sur ma peau qui se dĂ©voile comme un paysage que tu ne peux qu’admirer sans pouvoir le toucher. Frustration ! C’est ça qui est bon ! Mon pied et ses ongles vernis de rouge vif s’approche de ton visage. LĂšche ! Tu te concentres alors sur ta mission : passer ta langue entre chaque orteil avec vigueur. Tu mollis ? Je te pince le tĂ©ton gauche ! Tu reprends ton labeur. Je sens mon pied mouillĂ©, alors avec, j’essuie la salive sur ta joue. Je croise ton regard troublĂ©, tout entier absorbĂ© par cet instant si doux. Mon pied comme un doudou.









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Petite fiotte expérimentée attend votre bon vouloir Respectueusement
Simplement troublĂ©e par votre rĂ©cit. J’y Ă©tais, envie d’ĂȘtre Ă  vos pieds, puis fĂ©minisĂ©e par vous, et vous suivre.
La MaĂźtresse nous faits vivre, pauvre soumis, le contrĂŽle de nos rage, de nos velleitĂ©s de contrĂŽle par cette attitude de respect. Et puis se laisser aller Ă  Ă©couter Bashung c’est savoir que « des coups de lattes des baisers » sont la mĂȘme recherche pour savoir aimer.
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Alors que j’étais assis Ă  mon bureau, le regard dans le vide, elle passa Ă  cĂŽtĂ© de mon bureau. Machinalement, mon regard se posa sur son tailleur puis sur longues jambes et ses escarpins. Il faut avouer que je suis un peu fĂ©tichiste des pieds.
C’est à ce moment-là que Lauren s’approcha de moi
– Tu as l’air d’aimer ses jambes et sa cambrure.
Pris en flagrant dĂ©lit, je ne pouvais qu’acquiescer.
– Oui, j’apprĂ©cie lorsqu’une femme se met en valeur.
– Un peu plus que ça on dirait. Tout à l’heure, je vais boire un verre avec une amie, ça te dirais de venir?
Nous nous retrouvùmes à la sortie du travail, pour rejoindre un bar situé à quelques rues de là.
Son amie nous attendait déjà, un verre de vin à la main.
Lauren fĂźt les prĂ©sentations. Son amie s’appelait Victoria.
Une fois installés, Lauren commença à me taquiner.
– Alors tu profites du travail pour mater les jambes des assistantes?
– Un petit cĂŽtĂ© fĂ©tichiste des pieds peut-ĂȘtre? me demanda-t-elle en faisant remuer ses bottes, afin de les faire dĂ©passer de sous la table.
– FĂ©tichiste des pieds, je ne sais pas, mais oui j’apprĂ©cie les femmes qui portent des talons et avec des bas ou collants.
– Elle acquiesça d’un petit sourire puis changea de sujet. Divers sujets s’enchaünùrent.
AprĂšs avoir fini nos consommations, Victoria me demanda si je souhaitais venir boire un autre verre chez elle en compagnie de Lauren.
Je ne refusai pas la proposition et allai régler les consommations.
En revenant, les deux femmes s’étaient levĂ©es pour enfiler leur manteau. Victoria Ă©tait brune, vĂȘtue d’un chemisier et d’un jean moulant avec des bottines. Quant Ă  Lauren, elle Ă©tait blonde et portait une robe noire avec des collants et des bottes Ă  talons.
Victoria habitait une rue adjacente à proximité du bar, dans un bel immeuble bourgeois.
Une fois arrivĂ© au second Ă©tage, Victoria ouvrit la porte, enleva sa veste, se dirigea dans le salon et s’assit dans un canapĂ©.
AprĂšs avoir dĂ©posĂ© mes affaires dans l’entrĂ©e, je m’engageai Ă©galement vers le salon, mais alors que j’allai entrer dans la piĂšce, Lauren posa sa main sur mon Ă©paule et me dit :
– Puisque tu es fĂ©tichiste des pieds, tu vas aller lĂ©cher les bottines de Victoria.
Je fus un peu surpris mais pas mĂ©content de cet ordre. Je me mis Ă  genoux et m’approchai de Victoria. Elle m’obligea alors Ă  me positionner devant elle et Ă  embrasser ses bottines. J’ai commencĂ© par poser un bisou dĂ©licat sur ses chaussures, puis un autre et un autre. Je sortis rapidement ma langue pour mieux les lĂ©cher. AprĂšs mettre bien affairĂ© Ă  la tĂąche, Victoria les enleva et m’indiqua de faire de mĂȘme avec ses pieds.
Je fus surpris que Lauren ne soit plus dans la piĂšce, mais j’étais trop occupĂ© pour la chercher. J’embrassais les pieds de Victoria, les lĂ©chais, les suçais et les massais. Par moment, elle me forçait Ă  en prendre un Ă  pleine bouche et jouait avec l’autre, me le faisait sentir, me mettait de petites claques.
Victoria semblait apprĂ©cier ce moment. AprĂšs une dizaine de minutes, j’entendis le bruit des talons de Lauren qui revenait dans la piĂšce.
– Tu as l’air d’apprĂ©cier, on va donc pouvoir aller un peu plus loin, me dit-elle en me passant un collier autour de mon cou.
– DĂ©shabilles-toi maintenant ! : m’ordonna Victoria, tu ne gardes que ton boxer.
Je relevai la tĂȘte pour croiser le regard de Victoria. Il Ă©tait ferme et ne me laissait pas le choix. Je me suis levĂ© et un peu maladroitement, j’ai commencĂ© Ă  me dĂ©shabiller devant ces deux femmes. Pendant que je m’exĂ©cutais, Lauren en profitait pour palper diffĂ©rentes parties de mon corps.
Une fois l’opĂ©ration terminĂ©e, Lauren alla s’assoir Ă  son tour sur le canapĂ© et me tira par la laisse pour me faire venir prĂšs d’elle
– Maintenant, tu vas t’occuper de mes pieds !
Je commençai par lui enlever ses bottes. Pendant ce temps, Victoria s’était levĂ©e pour aller chercher des rafraichissement. Je me mis ensuite Ă  quatre pattes pour lui lĂ©cher les pieds. J’avais la bouche sĂšche aprĂšs mettre occupĂ© de Victoria, mais je pris soin de m’appliquer en suçant chacun de ses orteils.
Victoria revient et servit Lauren sans s’occuper de moi. Elle s’assit sur le fauteuil et elles commencùrent à discuter de tout et de rien.
Par moment, Lauren donnait un petit coup sur la laisse pour me guider et Victoria faisait parcourir ses pieds le long de mon corps en me donnant de petits coups.
En remontant sur les mollets de Lauren pour les embrasser, je pus m’apercevoir qu’elle ne portait pas des collants mais des bas, ce qui eut pour effet d’augmenter mon excitation et mon Ă©rection.
L’heure avançant, les deux femmes commandùrent des pizzas, sans pour autant me demander si je souhaitais quelque chose.
AprĂšs un long moment Ă  m’occuper de ses pieds, Lauren me demanda si je souhaitais me dĂ©saltĂ©rer.
Je rĂ©pondis positivement. Lauren me fit signe de me redresser et de m’approcher en tirant sur la laisse puis me dit d’ouvrir la bouche.
Elle but une gorgĂ©e dans son verre, puis elle le recracha dans ma bouche. Elle rĂ©itĂ©ra deux fois l’opĂ©ration. Au gout, je pus m’apercevoir qu’il s’agissait de vin blanc, ce qui ne me dĂ©saltĂ©rait guĂšre.
Alors, quelle reposait son verre, nous fĂ»mes interrompus par la sonnerie. Je redoutais que Victoria me demande d’aller ouvrir, mais il n’en fĂ»t rien. Elle se leva et alla ouvrir. Je pouvais entendre les Ă©changes de banalitĂ©s, puis elle rĂ©apparut avec les pizzas.
Alors que Victoria commençait à les couper, Lauren se leva et tira sur la laisse pour me signifier de la suivre. Alors que je commençais à me redresser, elle me mit une gifle pour bien me signifier que je devais la suivre à quatre pattes.
Je la suivis en rythmant ma cadence sur ses pas. Elle me conduisit jusqu’au toilette. Ensuite, elle me plaça devant la cuvette, retira son string et souleva sa robe. Je constatai qu’elle n’était pas intĂ©gralement Ă©pilĂ©e, mais juste ce qu’il fallait. Elle s’assit et commença alors Ă  se soulager, le tout devant mon regard. Elle me laissa faire et semblait apprĂ©cier la situation. Sur un ton espiĂšgle, elle me dit alors de venir l’essuyer.
J’approchai ma tĂȘte de ses jambes et m’engouffrai jusqu’à son vagin. Je sortis ma langue et commençai Ă  donner des coups de langues le long de sa fente. Le goĂ»t de sa cyprine se mĂȘlait Ă  ma salive. Le gout n’était pas dĂ©sagrĂ©able.
Elle posa ensuite sa main sur ma tĂȘte en m’agrippant les cheveux et me dit d’arrĂȘter, que c’était suffisant.
Elle se remit son string, se lava les mains et me ramena au salon.
Les deux amies discutaient en mangeant, sans se soucier de moi, assis à leurs pieds devant le canapé.
Par moment, elles posaient un bout de pizza sur une assiette par terre pour me nourrir.
A la fin du repas, Victoria se tourna vers moi et me demanda si j’avais apprĂ©ciĂ© la premiĂšre partie de soirĂ©e et si je souhaitais aller plus loin.
J’étais intriguĂ© par ces deux femmes, je ne souhaitais pas dĂ©jĂ  les quitter. Cependant, cette situation me perturbait Ă©galement. AprĂšs quelques secondes de rĂ©flexion, je dus admettre que je prenais du plaisir et que je souhaitais aller plus loin :
– Oui, j’aime beaucoup cette soirĂ©e et ce serait un plaisir de continuer.
– Bien, dit Lauren, allons à la chambre !
Elle se leva et reprit la laisse pour me guider. Alors que je traversais l’appartement derriĂšre Lauren, Victoria me demanda si je m’étais dĂ©jĂ  fait sodomiser.
-Jamais qui ? me dit Victoria
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