Femme de ménage garce fait un chantage à son patron

Femme de ménage garce fait un chantage à son patron




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Femme de ménage garce fait un chantage à son patron
Lundi
matin, André m'attendait au bas de l'immeuble pour me conduire au bureau comme
il en avait pris l'habitude. Dans la voiture il m'interroge :


-
Alors ! Remise de notre week-end !


Avec
une moue douteuse je rétorque :


-
Oui ! J'ai beaucoup joui ! Mais j'ai de la peine à te faire confiance et surtout
pourquoi m'avoir fait si mal avec le vibromasseur, on aurait cru que c'est une
autre personne plus cruelle et violente que toi !


-
Arrête tes balivernes ! Je t'ai dis que nous étions seuls et je sais que tu
aimes quand je te fais mal ! Et ne viens pas me dire que cela ne t'a pas fait
jouir !


La
journée s'est déroulée dans la monotonie habituelle. J'ai seulement été surprise
lors du repas à la cantine de découvrir un sourire sur les lèvres de Josiane qui
nous observait cinq tables plus loin. D'habitude elle nous fusillait du regard
et finissait par nous ignorer.


Mardi
j'ai repoussé les avances d'André qui voulait dormir chez moi. Mercredi une
surprise m'a rendue folle de rage. Il était seize heures quand je me suis
approchée de la fenêtre du bureau pour y baisser le store, le soleil déclinant
blanchissait mon écran. Quelle ne fut pas ma surprise et découvrant, traversant
la rue au pied de l'immeuble et se dirigeant vers le café d'en face, André et
Josiane. Quel salaud ! Est s'ils sont de connivence, et si c'était elle chez lui
le week-end dernier. Il fallait que je le sache. M'emparant de mon sac sur le
bureau, je fonce vers la sortie du bureau.


-
Où allez-vous donc comme ça ! Madame ………… ?


La
voix de ma chef de service m'interpelle.


Du
tac au tac et sans réfléchir de réponds :


-
Au café en face ! Et c'est impératif !


-
Il n'en est pas question vous avez déjà eu votre pause !


Idiote,
j'aurais dis que j'allais aux toilettes elle me laissait partir.


-
Mais je vous assure, Madame, c'est impératif !


-
Exclu ! Reprenez votre place sans quoi j'en réfère à la direction ! Vous êtes
déjà assez perturbée depuis votre absence et votre travail s'en ressent ! Allez
poursuivez votre tache !


La
garce, je sais que c'est une amie de Josiane et je suis convaincue qu'elle doit
se douter pourquoi je veux sortir.


Jusqu'à
17 h 30 j'ai été incapable de faire quoi que ce soit, je surveillais ma montre.
A l'heure précise, j'ai foncé vers la sortie pour me rendre dans le bureau
d'André à l'autre bout du bâtiment.


Arrachant
pratiquement la porte, j'entre comme une furie dans la pièce. Surpris, il lève
les yeux.


-
Déjà ! Qu'est ce qui t'amène Rox ?


-
Espèce de fumier ! Je t'ai vu avec Josiane !


J'avance
devant le bureau la main prête pour le gifler. Il se recule prestement.


-
Hé ! Doucement ! Quoi de plus normal ! Nous sommes obligés d'entretenir des
relations professionnelles !


Je
contourne le meuble toujours dans la même intention, il se lève à mon
approche.


-
Oui ! Des relations professionnelles au bistro d'en face ! Tu me prends pour une
conne !


Ma
main part, il la bloque, me tord le bras en arrière dans le dos et me plaque
violemment contre l'armoire.


-
Mais tu vas te calmer petite salope !


Il
me tord le bras très fort vers le haut et je suis obligée de monter sur la
pointe de mes pieds. J'essaie néanmoins de lui donner des coups de talons mais
je perds l'équilibre et me retrouve presque suspendue à mon bras tordu.


J'ai
la respiration saccadée de rage, il me maintient encore un long moment car je
refuse de répondre.


-
Ca y est, tu es calmée ! Je peux te lâcher sans que tu deviennes complètement
folle !


-
Aï ! Arrête, tu me fais mal ! Lâche-moi !


Doucement,
il relâche la pression contre mon dos et enfin la torsion de mon bras. Enfin
lâchée, je me retourne, lui fais face et il constate mes larmes. Il me tend un
mouchoir.


-
Je ne comprends pas ta réaction Roxane ! Je vais régulièrement avec un chef de
service ou l'autre prendre un café là-bas ! Et toi tu pètes les plombs quand
c'est Josiane ! Tu ne t'es pas gênée pour m'utiliser comme bouclier vis à vis
d'elle ! Et a ce que je sache, elle ne t'importune plu depuis !


-
Je ne veux rien savoir ! Je ne veux plus rien à faire avec toi ! Je suis sûr que
tu es de connivence avec elle ! Rends-moi la clef de mon appartement !


-
Navré ! Ma douce ! Je ne l'ai pas sur moi ! Si tu veux, je te l'apporte chez toi
ce soir !


Je
sanglote et ne me laisse pas prendre au piège.


-
Non ! Tu la déposes dans ma boîte aux lettres ! Et ne t'avise pas de monter, mon
frère sera là souvent le soir !


Ravalant
mes sanglots je le contourne et sors du bureau. Je traîne dans les couloirs le
temps que mes yeux sèche, et fini par rentrer chez moi au moyen des transports
publics comme je le faisais auparavant.


J'ai
passé la soirée dans l'angoisse qu'il monte, mon frère ne vient pas chez moi
sans raison que je suis obligée de lui donner et là je ne savais pas quoi lui
dire.


Le
matin en partant travailler j'ai relevé mon courrier sans trouver ma clef.


J'ai
encore passé deux nuits d'angoisse avant d'apprendre qu'il était parti pour un
voyage d'affaire à Taiwan. J'ai patienté deux semaine, le temps qu'il rentre de
voyage avant de trouver ma clé accompagnée d'une lettre.


Ci-joint
la clé que tu m'as réclamée, nous avons passé de merveilleux moments ensemble et
je t'aime. Tu me manques c'est pourquoi j'ai tardé pour te la rendre. Je tiens à
renouer nos relations et pouvoir t'aimer encore longtemps. Je suis presque
certain que Josiane va reprendre son harcèlement sur toi et dans ce cas tu peux
compter sur moi. Tu peux m'appeler ou laisser un message sur mon répondeur quand
tu le veux, je serai là pour t'aimer, te faire jouir et te protéger.


NB:
J'y mets une condition qui ne sera certainement pas pour te déplaire connaissant
tes goûts :


Si
tu fais appel à moi, je veux que tu acceptes ceci : Nous convenons d'un
rendez-vous chez moi, je laisserai ouvert et serai absent. Tu entres et te mets
nue. Je laisserai la paire de menotte sur mon Rocking-chair.
Je veux que tu prennes place sur le siège mais les jambes passées derrière les
montants des accoudoirs. Les jambes ainsi écartées, tu te cales le dos au fond
du fauteuil et en posant tes belles fesses à l'extrême bord du siège, tu relèves
les jambes de façon à ce que tes mollets passent par-dessus les accoudoirs.
Joignant tes pieds au-dessus de ton ventre, tu fermes les bracelets d'acier
autour de tes chevilles. Je te ferai languir un peu avant d'arriver et te
découvrir offerte, attachée sur mon Rocking-chair. Si tu te sens excitée pendant
cette attente, défense de te caresser. Tu ne seras pas déçue, je t'ai rapporté
un instrument de plaisir que tu ne regretteras pas.


J'attends
fébrilement que tu me téléphones ! André qui t'aime."


A la
lecture de cette missive, j'ai été outrée et choquée, il ne manque pas d'air et
il peut encore courir longtemps. Il est fou ce mec.


Au
bureau, et surtout lors des repas à la cantine, ce n'était pas le paradis,
surtout pendant l'absence de mon ex ami. En effet Josiane s'installait à des
tables de plus en plus proche de moi. Elle m'observait intensément et quand nos
regards se croisaient, selon son humeur du jour elle me souriait ou prenait son
masque sévère. Elle était régulièrement à la même table que ma chef de service
et cela me rendait folle de rage qu'elle sache ainsi tout ce qui se passe dans
notre service.


Un
jour avant le retour d'André, son plateau à la main, elle est même venue me
demander si elle pouvait prendre place à ma table. Je l'ai avertie :


-
Vous vous rappelez ce qu'a dit le juge ! Vous devez éviter de vous approcher de
moi et me laisser la paix !


-
Mais ma petite Roxane ! Je voudrai simplement te parler d'un travail que
j'aimerais que tu fasses pour notre service !


-
Alors Madame ! Je suis désolée ! Je suis en pause !


-
Bien ! Nous en reparlerons ! Bon appétit Roxane !


J'étais
furieuse contre moi-même et surtout angoissée. Elle a pris place une table plus
loin.


J'aurais
bien voulu prendre mes repas dans un restaurant mais avec mes finances cela
tenait de l'impossible.


J'ai
vécu encore deux jours le nœud de l'angoisse au ventre. Et cette lettre d'André.
Je dormais de plus en plus mal, et comme à mon habitude, le soir pour
m'endormir, quand je me faisais du bien, la description de la position décrite
revenait de plus en plus souvent dans mon fantasme.


Ce
matin là ma chef m'a convoquée dans son bureau afin de m'expliquer ce que le
service informatique attendait de moi. J'ai été très intéressé et enthousiasmée.
Le seul accroc est intervenu quand ma responsable m'a annoncé qu'elle partait en
vacances le lendemain.


Innocemment
je lui demandais à qui je devrai remettre l'ouvrage.


-
Mais a Madame ……… (Josiane) ! C'est elle qui nous a demandé de réaliser ce
travail !


Décidément
tout s'emboîtait pour me forcer à la rencontrer.


Je
me suis mise au travail d'arraché pied pour essayer d'oublier l'appréhension de
cette rencontre inévitable.


Dans
l'impossibilité de m'endormir le soir venu, je commençais à envisager de renouer
avec André. Plusieurs fois je me suis fait jouir en m'imaginant dans ce fauteuil
à bascule offerte aux caresses lubriques de l'homme.


Le
lendemain, j'avais tellement peur que je me suis décidée à demander à une
collègue de porter le dossier. Ouf, soulagée, mais pas pour longtemps.


Moins
d'une heure après la remise du travail, la chef du service informatique me
demandait dans son bureau. L'estomac noué et les mains moites, je me suis fait
violence pour obéir à Josiane.


Elle
m'a accueilli avec force d'enthousiasme.


-
Bonjour ! C'est parfait Roxane ! Je savais que vous étiez la plus compétente !
Je suis très satisfaite ! C'est du bon travail !


Pommade,
pommade, je suis convaincue qu'elle n'en pense pas un mot !


-
Bien ! Maintenant que vous connaissez le sujet parfaitement, vous en savez plus
que moi, je vous demanderai de m'accompagner à la prochaine réunion de chefs de
service afin que l'on présente le projet ! Ensuite, s'il est accepté, nous
pourrons le présenter à notre filiale d'Annecy.


J'ai
failli tourner de l'œil, ma respiration est restée bloquée et le sommet de mon
crâne pris d'une intense chaleur. Je restais plantée devant le bureau, incapable
même de réfléchir.


-
Bien ! Roxane ! Vous pouvez disposer ! Oh hé ! Roxane !


Voyant
que je ne bougeais pas et que j'étais blême, elle s'est levée, a contourné le
bureau, a posé amicalement sa main sur mon épaule. Tout en m'accompagnant vers
la porte de me dit encore :


- Tu
sais Roxane ! Si ça marche ! Cela peu te valoir un bel avancement !


Je
me suis retrouvée désemparée dans le couloir.


A
midi je n'ai pas été manger et suis allée prendre l'air en ville.


Le
soir j'ai appelé au téléphone l'assistante sociale qui s'était occupée de moi
pour tout lui raconter et lui demander de l'aide ou la conduite à tenir.


-
Mais Madame ! C'est magnifique, vous aurez peut être de l'avancement ! Elle ne
va pas vous manger cette femme ! Elle l'a d'ailleurs promis au juge ! Vous
n'avez aucune raison de paniquer !


Sans
répondre, j'ai raccroché. Pour trouver le sommeil, j'ai dû me branler comme une
folle.


Le
lendemain à midi, mon plateau à la main, je me suis approchée de la table ou se
tenait mon André. Sans demander la permission, j'ai pris place à côté de lui. Il
était avec trois collègues et il me regardait avec étonnement.


-
Bon appétit Messieurs ! Bonjour André !


-
Hé ! Bonjour mon bébé d'amour ! Tu as bien reçu mon mot ?


-
Alors quand est ce que l'on se voit ?


-
Euh ! On pourrait manger au resto ce soir ! Ca
te tente ?


-
Ce n'est pas ce que je t'ai écris ! Dis mois quand tu peux passer chez moi
!


-
Mais…….. ! On pourrait peut être se voir un peu avant, en parler ?


-
Non ma douce ! Il n'en est pas question ! C'est comme je te l'ai écris !
Maintenant tu serais gentille de nous laisser, on aimerait discuter entre hommes
!


Je
suis devenue blanche plus encore que ma couleur naturelle, je devais être blême
quand j'ai saisi mon plateau pour aller me chercher une table ou je serai
seul.


En
traversant la cantine, j'ai aperçu Josiane qui m'ignorait saintement.
L'après-midi ne fût pas productive, je ressassais sans cesse les exigences
d'André et la terreur de me retrouver seul à l'extérieur en compagnie de
Josiane. La nuit a été cauchemardesque et le matin de retour au bureau, j'avais
une mine complètement défaite. Ma collègue m'enjoignait de rentrer chez moi,
mais je refusais, trop peur de continuer à gamberger toute seule. Il me fallait
de la compagnie.


Je
m'en voulais, je n'arrivais à rien. J'avais été incapable de savoir ce que
Josiane avait raconté à André et encore moins capable de lui faire reconnaître
qu'il y avait quelqu'un chez lui lors de notre précédent week-end de jeux
érotiques.


C'est
vendredi soir que je craque. Après m'être enfilé trois bourbons je me décidais à
l'appeler.


Avec
ma chance je suis tombée sur son répondeur. Après avoir écouté sa phrase
annonce.


-
Allô ! C'est Roxane ! Je peux venir dimanche à 14h00 !


J'ai
choisi dimanche pour qu'il ne puisse pas me garder tout le week-end. Sur le
point de raccrocher, j'entends la voix d'André.


-
Non dimanche, ça ne va pas ! Samedi même heure !


-
Bon ! Si tu veux ! Mais tu es sûr que ce n'est pas possible dimanche ?


-
Impossible ! A demain et n'oublies pas que je t'aime !


Epuisée
par ma nuit sans sommeil, je n'ai pas tardé à sombrer dans un profond
sommeil.


Samedi
matin après avoir dormi d'un sommeil réparateur, toujours une sourde angoisse au
ventre, je me suis dépêchée de faire quelques courses, je me suis offert ma
salade préférée, des petites tomates chéris à la mozzarelle avec huile d'olives
et condiments. Sous la douche, je n'ai pas résisté à me faire un petit câlins au
moyen de mon gant de toilette. Ma peau sentait bon la noix de coco, je venais de
changer de gel douche. Habillée d'une jupe plissée qui couvre à peine le genou
et d'un t-shirt moulant, je me délecte du regards hommes envieux des hommes
présent dans le bus.


Ma
main tremble légèrement quand mon doigt presse le bouton de la sonnette de
l'appartement d'André. Je sais pertinemment qu'il n'y a personne mais c'est un
petit truc pour m'en assurer. En insistant plusieurs fois, si une personne est
présente à l'intérieur, elle finira par penser que ce n'est pas moi, d'autant
que j'ai un quant d'heure d'avance. J'ai sonné quatre fois et attendu cinq
minute montre en main. Ben, c'est long cinq minutes.


J'entre
enfin, sur la pointe des pieds, le hall et le salon sont déserts, seul le
fauteuil à bascule est placé au centre du salon face au grand canapé. Je jette
un coup d'œil dans la cuisine déserte ainsi qu'à la salle de bain. La vue de la
barre en travers du haut de l'encadrement de la porte met un premier émoi au
creux de mon ventre, elle me rappel un bon souvenir, la peur passée.


Je
fais également jouer les portes sur leurs gongs pour découvrir celle qui émet le
grincement caractéristique que j'entendais. J'investigue sans résultat. Debout à
côté du Rocking-chair,
occupée à dégrafer ma jupe, je suis intriguée par la largeur du rideau de nuit
de la fenêtre de la terrasse. En effet du côté droit il va largement plus que la
fenêtre. je m'approche et le tire. Quelle n'es pas ma surprise de découvrir
qu'il masque une porte. Brûlante de curiosité, j'ouvre et retrouve la musique du
grincement que je cherche. Cela donne sur un escalier qui monte. je l'emprunte
et me retrouve dans une pièce encore plus grande que le salon. C'est un
véritable studio, mini cuisine, carré de douche et cuvette de WC. Il ne s'est
pas vanté qu'il habitait un duplex. Ce qui me rassure, c'est de découvrir qu'il
n'y a vraiment personne dans l'appartement.


Déposé
sur le gros coussin installé dans le siège qui m'est destiné, se trouve deux
bracelets cuir rembourrés et la fameuse paire de menottes. Je me déshabille
complètement, fixe les bracelets autour de mes poignets, même qu'il n'en parlait
pas dans sa lettre.


Je
me trouve belle avec se large cuir noir autour des poignets et dans ma tête ma
libido s'éveille.


Assise
sur le coussin, le siège qui bascule d'avant en arrière n'améliore en rien mon
équilibre. Je monte une jambe contre ma belle poitrine et fais passer ma
cheville sous l'accoudoir derrière le montant. L'autre cheville est en place, je
me retrouve les jambes écartées sortant de chaque côtés du fauteuil. Attrapant
les bracelets d'acier et m'aidant de l'autre main je soulève et avance mes
fesses jusqu'au bord du siège. Dieu que mon équilibre est précaire, j'ai failli
basculer en avant. Seul les pointes de mes pieds peuvent toucher le sol et
m'aider à maintenir mon équilibre.


Mes
fesses posées, je laisse aller mon corps en arrière. Ouaouououou quel décollage,
j'ai basculé tellement vite que j'ai failli lâcher les bracelets. Je laisse le
balancement s'arrêter pour remonter et passer mes mollets au dessus des
accoudoirs. Une caresse de fraîcheur lèche mon entre-fesses devenu moite pendant
l'exercice. Je rapproche mes pieds l'un de l'autre, je sens mes les lèvres de
mon sexe se décoller et s'entrouvrir. Même sensation de fraîcheur encore plus
agréable. Un peu de gymnastique pour fermer une menotte autour d'une cheville,
quelques contorsion pour enfermer l'autre cheville. J'ai un moment d'hésitation
avant de d'enfiler les mâchoires d'acier l'une dans l'autre. Clic ! Je ne peux
plus revenir en arrière. Clic, clic, clic je termine de serrer. J'ai l'air d'une
grenouille sur le dos les jambes au plafond. Le plus inconfortable est la
cassure de ma nuque provoquée par le dossier, mon menton est plaqué contre mon
sternum et j'admire mes seins qui s'étalent légèrement de chaque côté de mon
torse.


Tandis
que j'observe mon torse qui se bombe à chaque respiration,
La grosse bite de mon beau-père me rend folle de plaisir
MILF ne peut pas résister l'envie de niquer son fils
Un couple baise dans le taxi et ils invitent le chauffeur de taxi

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