MILF ne peut pas résister l'envie de niquer son fils

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MILF ne peut pas résister l'envie de niquer son fils
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Tout allait bien dans la vie de Marion (39 ans) et Guillaume (35 ans), jusqu'au jour où elle découvre que sa fille est enceinte de l'homme de sa vie.























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Mais quel histoire!
Cest honteux de la part de la fille et du beau père.
Ils ont "voulu résister"?
Mais faut arrêter là.
Je plains sincèrement cette pauvre dame.
Je ne reverrai ni ma fille ni mon ex compagnon.
Je referai ma vie loin dans une autre région sans jamais donner de nouvelles!

Je me demande si la relation entre Marie et Guillaume est appellée a durer. Il me parait difficile de vivre un amour construit sur la pire des trahisons. c'est une histoire nee dans la souffrance et qui sera pour toujours entachee par celle-ci. De plus, Marion, la mere doit se sentir coupable d'avoir mis sa fille sur la route de cet homme qui finalement, ressemble a un predateur amateur de tres jeune fille, dont le vecu a facilite ce qui s'est produit. Une relation mere-fille autant mise a mal doit etre bien douloureuse pour l'une et l'autre. J'espere que Marion a pu entre temps rencontrer un homme pour l'aimer elle et uniquement elle. Elle le merite apres avoir consacre sa vie entiere aux autres, autant a ses patients qu'a sa fille. C'est a son tour d'etre enfin heureuse.

Franchement la fille est une salope et lui aussi!!! La pauvre femme après tout les problèmes qu elle as eu?! Sa fille lui fait ça??!! Elle perd son homme et en plus sa fille!!moi je pardonne pas ?!

Je viens de lire votre histoire à l'issue de ma curiosité ...et tout bêtement je ressens la souffrance et la peine que la maman a pu ressentir ...LA. IVIE EST BELLE CE SONT LES GENS QUI LA RENDES TRISTE! Sa fille est égoïste et la mère pas moins ! On dit svt que l'amour ne se contrôle pas? FAUX NOUS CHOISISSONS CHAQUE ÉTAPE DE NOTRE VIE .il faut juste se battre contre nos caprices triste réalité
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Il n'y a eu que de l'amour dans cette histoire... Aux yeux des autres, c'est moi la perdante, mais je ne raisonne pas comme ça. Il n'y a ni perdant ni gagnant. L'amour est arrivé et il a tout emporté. Mais il faut que je commence par mon mariage. J'ai 23 ans, je sors de mon école d'infirmière. J'ai la passion du soin, j'adore faire du bien aux gens, les voir sourire au coeur de la maladie. On me dit souvent que je suis un rayon de soleil. Ça me comble, ça suffit à justifier mon existence. Quand je rencontre Pierre, c'est ce qui me séduit, me plaît : être le soleil d'un homme, amener la lumière dans sa vie. Il est plus âgé que moi, il travaille seul dans une petite imprimerie. Une rencontre banale. Je le croise dans un café. Il m'aborde, on prend l'habitude de se retrouver presque tous les jours, jusqu'à se manquer terriblement quand on ne se voit pas. Puis cela va très vite. Il s'installe chez moi et on se marie. 
Que du bonheur, jusqu'à la naissance de Marie. Là, Pierre devient sombre, parfois méchant. Il ne supporte pas Marie, me reproche de m'occuper d'elle plus que de lui. J'essaie de comprendre, de le faire parler de son enfance, de ses parents. Ça m'attire des sarcasmes de plus en plus amers. Du genre : je me prenais pour une psy, j'étais grotesque... Puis son imprimerie ferme et il se retrouve au chômage. Il s'enferme, vit en reclus, se met à passer ses journées devant la télé, les rideaux tirés. Il s'enfonce dans la dépression en refusant de se soigner. La maison devient lugubre. Marie et moi ne parlons plus qu'à voix basse, on s'empêche de rire pour ne pas déclencher ses colères. Il devient parano, se met à soupçonner Marie de ne pas être sa fille.
De temps en temps, il redevient comme au début, s'excuse, me dit que je suis son ange, qu'il ne me mérite pas. Puis il retombe dans sa haine de lui-même et nous y englobe. L'année de mes 37 ans, on découvre qu'il a un cancer de l'estomac. Je suis persuadée qu'il se l'est fabriqué lui-même. Cet homme qui ne sait pas vivre se met à avoir peur de mourir, à rendre le monde entier responsable de son malheur. La seule chose qui me fait tenir, c'est que Marie peut s'échapper de cette ambiance morbide grâce à sa passion pour le cheval. Elle passe son temps libre dans un haras, se balade et devient une excellente cavalière. Elle a décidé de devenir vétérinaire et de s'occuper des chevaux.
Pierre meurt seul. J'ai épuisé toute ma compassion, je me sens usée. J'ai 38 ans. Je donne ma démission de l'hôpital et je m'installe comme infirmière libérale dans le Cantal. Je trouve une petite maison dans une clairière, complètement isolée. Le premier hiver est très rude. Il fait un froid de gueux. J'ai l'impression que ma vie est finie, que je vais passer mon existence à sillonner les routes enneigées et que je n'aimerai plus jamais. Je passe beaucoup de temps à pleurer, à me réchauffer en sciant des bûches. Je ne vois Marie que les weekends, quand elle revient du lycée où elle est pensionnaire. 
Un jour de février, alors que je pars visiter mes malades, ma voiture dérape sur une plaque de verglas et s'encastre dans une congère de 3 m de haut. Pas de réseau de téléphonie mobile. Personne en vue. Je me mets à sangloter, dans un sentiment d'abandon absolu. Je suis tellement épuisée que je finis par m'endormir, la tête sur le volant. J'aurais pu mourir de froid. Je suis réveillée par des coups frappés à la vitre.
 C'est un grand type. Sans dire un mot, il me sort de la voiture, m'enveloppe dans une couverture et me sert un thé brûlant. Il accroche ma voiture à son tracteur et me ramène chez moi. Toujours sans rien dire, il règle la chaudière à bois et met des bûches dans le feu. Il enlève mes bottes, mes chaussettes, et me frotte les pieds. Il est et il sera toujours l'homme qui m'a réchauffée. Il dit : « Vous êtes l'infirmière. .. » Je le regarde et je commence à parler, sans pouvoir m'arrêter, à lui raconter ma vie, mes illusions perdues, la mort de Pierre, ma tristesse. Il s'appelle Guillaume. C'est un homme des bois, bûcheron, charpentier, sculpteur ­ et veuf, comme moi. Il a 35 ans. Les deux années suivantes sont les plus heureuses de ma vie. Marie vient vivre avec nous, Guillaume installe son atelier dans ma grange. On vit un amour bouleversant mais simple, sans drame, sans déclaration, au rythme des saisons.
C'est au bout de ces deux années qu'apparaissent les premières fêlures. Marie devient distante, parfois triste. Je mets ça sur le compte de l'adolescence et d'un possible premier chagrin sentimental. Quand j'essaie de lui parler, elle se dérobe. Me dit que je ne pourrais pas comprendre. Je n'insiste pas. Je demande à Guillaume de la sortir, de faire des balades à cheval avec elle ou de l'emmener en ville, à Clermont-Ferrand. Elle fête ses 17 ans. Cette année-là, Marie me demande de la remettre à l'internat. Ce que je fais sans poser trop de questions. Elle me manque beaucoup. Nous avons été formidablement heureux à trois et la maison paraît un peu vide sans elle. D'autant que Guillaume part de plus en plus souvent sur des chantiers. 
Un soir, je dis à Guillaume que ça serait bien qu'on ait un enfant. On s'aime, j'ai 42 ans, ça me paraît naturel. Guillaume ne répond pas, ne dit rien. Il sort, et j'entends venir du dehors les coups sourds de sa hache qui tombe sur le bois. Je suis prise d'une angoisse brutale, d'un sentiment d'inquiétude. J'essaie d'oublier cette angoisse, de faire comme si elle n'avait jamais existé. Marie est toujours bizarre. Elle n'accepte de venir le week-end que si Guillaume n'est pas là. Elle insiste tellement là-dessus que je commence à avoir des soupçons horribles, à me demander si Guillaume ne l'a pas agressée sexuellement. Je m'en veux énormément d'avoir des idées pareilles. Je me dis que j'ai vraiment l'esprit tordu, que je suis en train de tout gâcher. Je garde tout ça pour moi, comme si nous étions aussi heureux qu'au début. Mais je sens que ma bonne humeur sonne faux, que quelque chose ne tourne pas rond.
 Ni Marie, ni Guillaume, ni moi n'avons tort
On vit dans cette ambiance lourde jusqu'au début du printemps 2009, trois ans et demi après notre rencontre. Un matin, Guillaume m'annonce qu'il part. Il me prend dans ses bras et me dit qu'il m'aime, qu'il m'aimera toujours, parce que le véritable amour ne s'arrête jamais. Il ajoute qu'il va me faire terriblement mal et que c'est moi qui ne l'aimerai plus, il me demande d'aller dans l'atelier après son départ. J'y trouve une lettre où il m'explique que Marie et lui sont tombés amoureux, qu'ils ont tout fait pour résister, que c'est pour ça qu'elle est repartie en internat et qu'elle ne voulait plus le voir, mais qu'ils n'ont pas pu renoncer à cet amour, qu'ils se sentent tous les deux atrocement coupables vis-à-vis de moi, que la vie est comme ça, plus forte qu'eux. Et, pour finir, que Marie est enceinte.
 Quand je lis ça, je m'évanouis, littéralement : je perds connaissance. Les mois qui suivent, je passe par tous les stades de la dépression, de la haine et de l'humiliation... jusqu'à ce qu'un beau matin je me sente gagnée par un sentiment de paix, parce que la nature est sublimement belle, parce que mon jardin est plein de roses. Je pense à Pierre, à la manière dont il a été rongé par le fiel. Je me dis que je ne peux pas continuer à vivre dans la haine, que je vais finir comme lui. Ni Marie, ni Guillaume, ni moi n'avons tort. Nous sommes juste les jouets des hasards de la vie. 
Je replonge au moment où Marie doit donner naissance à son enfant, celui que j'aurais pu avoir avec Guillaume. Je ne sors peu à peu du désespoir qu'en développant une forme de mysticisme. Je commence à comprendre les femmes qui, autrefois, entraient au couvent à la suite d'un chagrin amoureux. Je sens même que je me détache de mon corps. Je développe des fantasmes : je suis comme un ange qui veille de loin sur Marie, Guillaume et leur enfant, je m'imagine sur mon lit de mort avec Marie et Guillaume qui trempent mes draps de leurs larmes...
Il me faut deux années pour avoir la force de revoir Marie. Elle se jette dans mes bras en pleurant, et je sens à quel point je suis plus solide qu'elle. Je pense que je reverrai Guillaume un jour, quand je serai bien plus vieille. Elle me dit que je lui manque et je la crois.Au travers de cette histoire, je comprends une chose essentielle : le bonheur ne dépend que de soi, pas des autres.
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+




- Salut ! Je t'ai entendue rentré donc je suis voir si tu allais bien. Dit ma belle-mère en m'adressant un clin d'oeil. 

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- Je vais bien, t'inquiète... 

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La bretelle de mon soutient reste accroché dans mes cheveux, ma belle-mère s'approche et m'aide puis, elle caresses ma poitrine en me chuchotant à l'oreille : << Tu as une belle poitrine, tu sais sa ? >>. Ses caresses descendent jusqu'à mes hanches, et l'une de ses mains s'aventure entre mes cuisses. Elle me jettent sur le lit et m'embrasse sur le cou pendant qu'elle caresses les lèvres de ma chatte. Elle se lève et s'assoit sur mon visage. 

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- Lèche-moi sur ma culotte ! Dit-elle excitée. 

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- Non, j'ai pas envie... Laissez-moi tranquille ! 

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Elle se met debout et fait descendre son string, puis enfonce sa chatte toute mouillé sur ma bouche. Elle se déhanche en traînant toute sa mouille sur mon visage. Au bout d'un moment, j'ouvre la bouche ( je sais pas pourquoi j'ai fait sa ) et sors ma langue. À ce moment-là, j'enfonce ma langue dans son vagin et ouvre son cul avec mes mains. J'écarte en grand, ses grosses fesses refaites et enfonce ma tête pour lécher son trou du cul. Je met un doigt dans sa chatte et lèche son trou par derrière. Elle mouillait de plus en plus sur mon doigt et enfonce deux doigts de plus. J'enfonçais mes doigts de plus en plus profond dans son vagin, puis ma main, se laissa entrer toute seule... Ma main entiè
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