Entretien d'embauche coquin

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Entretien d'embauche coquin
Une belle petite étudiante se fait défoncer en entretien. Son père lui a bien dit de tout faire pour avoir le poste car il ne financerait pas une nouvelle année d'étude. Cette salope pervers l'a pris au mot et se laisse atomiser le cul par le vieux recruteur. Elle est heureuse de se faire prendre.
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Un entretien d’embauche très particulier filmé avec des Google Glass… 0
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Voici ce que donne un entretien d’embauche avec des Google Glass, vous savez ces nouvelles lunettes de chez Google à la pointe de la technologie et bientôt utilisées par tous les geeks de la planète… Bref, grâce à toute cette interactivité, l’entretien d’embauche de cette jeune femme sexy va se dérouler d’une façon peu commune et plutôt originale, la jeune femme sexy est embauchée pour le job suite aux diverses recommandations de l’équipe qui voit la jeune femme en direct par la webcam. Le recruteur ne semble pas vraiment objectif pour le poste… et grâce aux Google Glass il peut vérifier en direct ce que dit la candidate. Très beau fake ! On vous laisse imaginer ou plutôt voir ce que ça donne ! LOL
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Josse avait fait un stage peu concluant, j’avais néanmoins décelé chez lui une autre capacité que j’ai décidé de tester avant de lui faire signer son CDI.
Il est entré dans mon bureau d’un pas gauche et mal assuré. J’avais lu au moins cinq fois de suite le torchon qu’il m’avait remis au dernier jour de son semestre de stage pour essayer d’y trouver un intérêt quelconque, ou au moins une phrase sans faute d’orthographe. Cela s’est révélé être une cause perdue ! Ce jeune homme n’avait manifestement rien fait d’utile durant son séjour chez nous, il n’avait rien compris à la politique interne de l’entreprise et, qui plus est, s’exprimait dans un français familier et aléatoire. J’avais reçu une bonne dizaine de candidatures qui valaient mieux que la sienne mais le poste qui s’était libéré dans nos locaux ne demandait pas de compétences particulières.
Il allait juste passer les trois quarts de son temps dans la pièce collée à la mienne, à trier des papiers et à archiver des dossiers. Si son travail était routinier et ennuyant, le mien n’était guerre mieux ! Plus que d’un homme talentueux et brillant, j’avais avant tout besoin de quelqu’un qui sache me divertir et m’occuper pendant mes longs après-midis. C’est dans cette idée que j’avais convoqué à cet entretien Josse, le stagiaire qui m’avait semblé le mieux gaulé de tous les candidats. J’avais décerné chez lui ce regard lubrique qui présageait qu’il saurait se servir de son sexe pour me faire jouir inlassablement. Je ne pouvais plus supporter ce job à hautes responsabilités et soporifique au possible, il en allait de ma santé mentale.
Il se tenait face à moi, les mains coincées entre les cuisses, et me regardait comme un petit garçon pris en faute.
«Votre dossier ne m’a vraiment pas convaincue, il va falloir me montrer que vous avez d’autres compétences si vous voulez rester chez nous…»lui ai-je dit d’une voix sèche et autoritaire. Il m’a balbutié qu’il était «très motivé» et qu’il avait vraiment envie de «poursuivre sa carrière au sein de l’entreprise». Sa sincérité en était presque touchante.
Les mains toujours bloquées dans son entrejambe – cachait-il un érection mal contrôlée d’ailleurs ? -, je l’ai enjambée d’un coup, comme certaines enfourcheraient leur cheval.
Je voulais qu’il sente que je contrôlais la situation, que je pouvais tout faire de lui. qu’il n’était que ma monture prête à m’emmener où je le lui demandais.
De mes deux mains, j’ai dégrafé ma veste, laissant apparaitre mon soutien-gorge. Ma paire de seins, ronde et galbée, était un atout indéniable pour prendre les hommes dans mes filets. Plus d’un client avait été séduit par ma poitrine généreuse et avait signé, sans trop y prêter attention, les contrats que je lui présentais.
Josse a plongé sa tête entre mes deux seins, le regard émerveillé. Ca y’est les hostilités étaient lancées ! J’avais envie de sa queue, envie de découvrir enfin si Josse valait le coup d’une embauche.
Lorsque que je l’ai plaqué contre mon bureau et que j’ai découvert la bête, j’ai retenu un petit cri de surprise.
Mon sens de l’intuition ne m’avait pas trompé, Josse avait vraiment une queue hors-norme, un chibre qui dépassait amplement tous les sex-toys que j’avais pu collectionner dans les tiroirs de mon bureau.
Ca pour me remplir, il me remplissait. Je pouvais à peine descendre jusqu’à la moitié de sa queue. Son gland, énorme, butait contre ma glotte et essayait de se trouver un passage pour s’enfoncer jusque dans ma gorge.
Il fallait que j’arrête tout de suite cette fellation ou ma mâchoire allait rendre l’âme.
Je me suis allongée sur le bureau en écartant bien les jambes. «On va bien voir si il sait s’occuper de moi !» Très poliment, Josse s’est agenouillé et à glissé sa langue tout en haut de ma vulve. Il a pris soin d’écarter mes lèvres avec douceur avant de la descendre plus bas. Il me lapait comme un petit animal, léchant bien le pourtour de ma chatte avec application. Tiens, voilà une qualité qui ne transparaissait pas dans son rapport de stage : le perfectionnisme. Josse était minutieux, il léchait tantôt à droite de mes lèvres, tantôt à gauche, dans un mouvement presque chorégraphique.
La pression de sa langue sur ma fente humide variait délicieusement, subtilement. Il tournait autour de mon clitoris même sans oser y toucher. Ca n’allait pas, il fallait vraiment qu’il se «lâche plus» s’il voulait avoir le poste ! Je ne pouvais pas garder auprès de moi un jeune homme, même aussi bien membré que lui, qui ne puisse pas me satisfaire entièrement.
J’ai repoussé sa tête gentiment et il s’est enfilé en moi de suite !
Ah l’impatience, la fougue, la passion… voilà de très belles qualités que je n’avais pas découvert de prime abord chez lui ! J’ai caressé mon clitoris de la main droite. Sa bite énorme emplissait tout mon vagin, je me demandais même comment il avait pu la faire entrer en entier.
La sensation d’être complètement dilatée était très agréable, combinée à ma masturbation frénétique, c’était même plus qu’excitant !
J’ai du ralentir le rythme au risque de jouir trop vite . Je ne voulais pas terminer tout de suite cet entretien d’embauche alors que je n’avais pas pu tester encore l’ensemble de ses compétences. J’ai commencé à caresser tout mon corps : mes seins, mes lèvres, mon cou. Cela faisait longtemps que je ne m’étais pas sentie aussi légère, aussi déconnectée du quotidien. Il faut dire que toutes ces journées au bureau me rendaient particulièrement tendue. Même mon médecin m’avait proposé récemment de me signer une ordonnance pour prendre du repos. Mais je n’aimais pas me reposer. J’étais le genre de femme qui a besoin d’être toujours en action, de tout contrôler.
S’offrir du temps de repos était pour moi un acte de faiblesse et ne faisait pas parti de ma nature. il fallait constamment que je me décharge, que j’expulse tout ce que j’avais accumulé. J’ai besoin de sexe environ trois fois par jour, si ce n’est plus, les semaines de grand rush. J’ai besoin de sentir de la chaleur humaine qui me remplit, qui me fait jouir et qui m’emporte loin de tout. J’aime me retrouver dans ce monde où je ne suis plus qu’une bête, plus qu’un animal qui ne s’exprime que par son sexe et qui fait abstraction de toute responsabilité. Josse arrivait à me faire oublier mon environnement, à transformer mon corps en un réceptacle à plaisir.
Je ne sentais plus que le tambourinement des à-coups de sa bite en moi, sa grosse queue qui tapait au fond de mon vagin à un rythme effréné. J’ai observé attentivement son visage. Il prenait son pied Il avait les mains agrippées à mes deux cuisses et fermait la bouche en savourant les sensations de sa queue.
C’était un homme qui aimait le sexe, qui aimait baiser, ça se voyait ! Nous allions bien nous entendre. Il fallait que lui aussi se fasse plaisir en moi, c’était très important. J’aimais savoir l’effet que je procurais sur mes conquêtes, cela décuplait mon plaisir.
Josse m’a prise par la taille et s’est placé au dessus de moi. Dans cette position, son sexe s’engouffrait encore plus loin en moi. J’ai commencé à gémir. «Et merde !» me suis-je dit. Il fallait que je reprenne le contrôle, il fallait que je lui montre que c’était moi qui dominais la situation et qu’il n’était pas question qu’il pense une seconde que son embauche était déjà validée. Je me suis relevée sur les coudes et lui ai sommé de retirer sa veste et sa chemise. Il s’est empressé de m’obéir docilement.
Je pouvais observer son torse luire sous l’éclairage des néons. C’était vraiment une belle bête. Musclé, bien taillé, il avait la puissance d’un homme qui s’entretien au quotidien. Je me suis fermement accrochée à son téton pour mieux me tenir. Il s’est laissé faire, me prouvant qu’il était entièrement à ma merci.
Je voulais aller plus loin. J’ai poussé tous les classeurs et les piles de dossiers qui s’entassaient inlassablement sur mon bureau. J’ai jeté mon soutien-gorge et ma jupe par-dessus bord pour m’allonger entièrement nue sur ma table froide. Seuls mes talons noirs, laqués et tranchants, restaient le dernier indice de ma postion dominante.
Josse est venu s’empaler sur moi, bras tendu. Ses muscles se contractaient et se décontractaient au rythme de ses va-et-vient. Il n’était plus le jeune petit stagiaire, timide et réservé que j’avais vu au début de mon entretien. Il était devenu cette bête avide de sexe qui avait envie de me prendre de toutes parts. Des larges soupirs s’échappaient de sa bouche et formaient un espèce de bruit rauque très bestial.
Je touchais son visage pour contempler son expression. Il était concentré, attentif. Encore des talents indéniables pour réussir dans le monde de l’entreprise ! Décidément Josse se révélait bien meilleur amant que rédacteur de dossiers. Le bruit des tiroirs qui claquait en cadence rythmait nos ébats effrénés. J’ai fermé les yeux une seconde fois, et me suis laissé chavirer. -Boum- -Boum- -Boum- Je n’entendais plus que les sons sourds de nos deux corps qui tapaient contre le bois, comme un métronome. Mes cris, que je laissais s’échapper de ma bouche sans plus aucune retenue, venaient souligner cette mélodie improvisée, fougueuse et cadencée.
Je l’ai repoussé avec douceur et me suis agenouillée sur un coin de mo bureau. L’équilibre était assez difficile à maintenir, je me suis cramponnée du mieux que j’ai pu aux côtés glissants. Josse est arrivé par derrière sans aucune précipitation. Il a ajusté ma position pour que ma chatte se retrouve pile à la bonne hauteur de sa bite et m’a pénétrée très facilement. Mon vagin avait conservé sa forme élargie, j’étais prête a subir un autre assaut !
Je me suis retournée pour admirer le torse herculéen de mon jeune stagiaire. Mon regard partait de ses pectoraux, suivait la ligne centrale jusqu’à son nombril et s’arrêtait sur le haut de sa queue qui me pilonnait inlassablement.
«Lui, c’est sûr, je le prends !» me suis-je dit en mon fort intérieur. J’avais rarement connu un homme avec une telle endurance, une telle facilité à se mouvoir et à se positionner. Nos deux corps étaient totalement compatibles, l’un répondait aux secousses de l’autre sans aucune maladresse. Je savais qu’un CV aussi bien taillé pour moi était très rare de nos jours.
J’ai passé mes doigts le long de ma taille et lui ai lancé un regard éloquent :
«C’est ici que tu signeras ton contrat !» ai-je indiqué en remontant ma main pour me caresser la poitrine. La moue concentrée de Josse s’est rapidement transformée en un sourire. Au delà de la simple perspective d’embauche, je savais que ce qui le rendait si heureux, c’était la promesse de nouvelles parties de jambes en l’air au bureau. Il avait exactement le profil que je cherchais !
J’aurai dû me reconvertir dans les ressources humaines, j’était excellente pour dénicher les nouveaux talents : les hommes à la libido bien développée, les biens membrés qui savent comment utiliser leurs ressources et les pervers qui vous emportent loin dans leurs fantasmes. D’autant que je m’en souvienne, j’ai toujours eu un sixième sens pour deviner la sexualité d’un homme, son potentiel orgasmique, son niveau de brutalité, ses préférences sexuelles.
Par exemple, un homme autoritaire et en constante recherche de contrôle, se révèlera être une vraie carpette au lit, attentiste, et passif. Mais Josse n’était pas comme ça. La première fois que je l’avais vu, il se trainait des les couloirs de l’entreprise telle une âme en peine, passant son temps à plaisanter avec ses collègues et à tourner la tête dès qu’une jupe au dessus du genoux passait devant ses yeux. Eux, c’était les meilleurs coups ! Ils n’avaient aucun problème à assumer leur corps, leurs fantasmes, leur libido. J’avais recroisé Josse plusieurs fois par la suite, et il m’avait fait le même effet à chacune de nos rencontres. L’effet d’un homme sûr de lui, qui n’a pas peur de ses faiblesses et de ses pensées. Josse s’affairait toujours derrière moi. Il approchait parfois sa tête près de mon corps pour que je sente son souffle chaud en bas de ma nuque. J’avais l’impression qu’il allait me dévorer.
Mais il lui restait une dernière étape à passer : celle de l’éjaculation !
Je me suis allongée sur mon bureau, croupe relevée. Il a passé sa main autour de son énorme queue, comme s’il se saisissait d’un pistolet chargé.
J’imaginais déjà son foutre blanchâtre gicler sur mon cul et se glisser entre ma raie. J’attendais avec impatience sa décharge, comme un accomplissement à cet entretien, comme la confirmation absolue que cet homme était celui qu’il me fallait.
Josse caressait le creux de mes reins langoureusement. Il savait qu’il devait expulser son sperme pour moi, pour me satisfaire. Il avait deviné l’enjeu de cette épreuve et savait que toute erreur, à ce stade de la relation, était inexcusable. Cela faisait bien 5 minutes qu’il astiquait à toute allure son membre turgescent mais rien n’y faisait : mes fesses restaient désespérément immaculée.
Tout d’un coup, il a fermé les yeux. Partait-il dans des mondes inconnus ? Faisait-il abstraction de tout pour se concentrer sur la musique de sa verge dure contre mon cul ferme et musclé ? Je ne sais pas exactement où il s’est échappé, mais en quelques secondes, un long filet chaud et gluant est venu m’asperger le derrière, victorieux et triomphant. Josse s’est penché vers moi pour venir me mordiller les lèvres mais je ne suis pas laissée faire. Il fallait que je lui montre que malgré son entretien réussi avec brio, je restais sa boss. Je l’ai repoussé du bout des doigts et ai contourné mon bureau. Le s
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