Elle veut donner son cul

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Elle veut donner son cul
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Édité et parrainĂ© par louise-auvitu
 Emma a été victime de "stealthing", pratique qui consiste à retirer son préservatif pendant l'acte sexuel. (Flickr/Kerry J/CC)
C'Ă©tait en 2012, CĂ©dric et moi Ă©tions ensemble depuis environ quatre mois. Nous nous Ă©tions rencontrĂ©s Ă  plusieurs reprises lors d’une soirĂ©e entre amis. De fil en aiguille, nous avons commencĂ© Ă  sortir ensemble.
Notre relation, bien que balbutiante, Ă©tait ce qu’on peut qualifier de sĂ©rieuse, mĂȘme si je n’étais pas amoureuse. Parce que CĂ©dric avait cette rĂ©putation de beau parleur, un brin dragueur, je restais sur mes gardes. Il m’a toujours fallu du temps avant d’accorder ma confiance Ă  un homme.
Prenant la pilule, je tenais Ă  ce que nous nous protĂ©gions Ă  chaque rapport. J’ai toujours trĂšs vigilante : hors de question d’avoir un rapport Ă  risque. CĂ©dric avait dĂ©jĂ  abordĂ© la question de faire des tests chacun de notre cĂŽtĂ© et d’arrĂȘter l’utilisation de prĂ©servatif, mais de mon cĂŽtĂ©, je jugeais que c’était un peu trop tĂŽt.
Ce jour-là, on revenait de soirée comme c'était souvent le cas, et on comptait prendre une douche tous les deux. Une chose en entraßnant une autre, ce moment est devenu un peu plus qu'une simple douche.
ImmĂ©diatement, j’ai tout arrĂȘtĂ© pour attraper un prĂ©servatif que j’avais dans un placard de ma salle de bain. Je l’ai tendu Ă  mon compagnon lui faisant entiĂšre confiance. Étant dos Ă  lui, je ne pouvais me fier qu'Ă  ce que je ressentais.
Au dĂ©but, tout semblait normal, mais j'ai soudainement senti que c'Ă©tait diffĂ©rent. Je ne voyais pas grand-chose, mais j’avais l’impression qu’il ne portait plus de prĂ©servatif. Pourtant, je me disais que ça ne pouvait pas ĂȘtre possible.
Et puis, j’ai regardĂ© le sol, et lĂ , je l’ai vu par terre, entre ses deux pieds. Sans mon consentement, il l’avait retirĂ©.
Ma gorge s’est serrĂ©e en un quart de seconde et les larmes me sont montĂ©es. Dans ma tĂȘte, ça a Ă©tĂ© comme un Ă©lectrochoc : Suis-je victime d'un viol ? Ça y est, j'ai peut-ĂȘtre le Sida ? Depuis quand fait-il ça ? Et si je suis enceinte ?
Je me suis écartée de lui aussi vite que j'ai pu, et comme si mon corps ne m'appartenait plus, je me suis sentie vraiment salie.
Je lui ai immĂ©diatement demandĂ© ce qui lui avait pris de faire ça, il m’a rĂ©pondu qu'il n'avait pas rĂ©flĂ©chi et que le prĂ©servatif l'avait toujours frustrĂ©. Comme si son plaisir Ă©tait la prioritĂ©, peu importe les consĂ©quences que ça pouvait avoir sur moi !
Pour une femme, c'est déjà difficile d'avoir un rapport sexuel dénué de soumission, si subtile soit-elle, alors si en plus on ne peut plus compter sur la bienveillance de l'autre, on ne touche plus personne !
Pour lui, ma réaction était démesurée
J’avais l’impression d’ĂȘtre face Ă  un Ă©tranger, un homme que je ne connaissais plus. J’ai enfilĂ© une serviette, puis nous avons eu une dispute. Pour lui, il n’y avait aucun risque, car il s’estimait "clean". Moi, j’étais sous le choc. Il m’avait trahie. C'Ă©tait un acte Ă©goĂŻste, d'un machisme tellement profond et un total manque de respect.
Évidemment pour lui, ma rĂ©action Ă©tait dĂ©mesurĂ©e.
Je lui ai demandĂ© de s’habiller, de prendre ses affaires et de partir de chez moi. Le lendemain, je lui ai tĂ©lĂ©phonĂ© pour mettre fin Ă  cette relation. Je savais qu’il me serait impossible de lui faire Ă  nouveau confiance.
Je l’ai recroisĂ©, mais jamais nous n’avons reparlĂ© de ce qui s’était passĂ© ce soir-lĂ .
Trahie, j’ai eu du mal à faire à nouveau confiance
AprĂšs cet Ă©vĂ©nement violent et humiliant, j’ai prĂ©fĂ©rĂ© me taire. Je me suis simplement confiĂ©e Ă  ma meilleure amie qui, hors d’elle, voulait aller lui parler. Je lui ai demandĂ© de ne pas le faire. Je voulais juste tourner la page et l’oublier.
MĂȘme si je me suis sentie victime, je n’ai Ă  aucun moment envisagĂ© de porter plainte. Pour quel motif d’ailleurs ? Je me sentais souillĂ©e, trahie.
Il m’a fallu du temps pour m’en remettre. Pendant plusieurs mois, j’avais peur d’avoir de nouveaux partenaires. Et quand les choses se sont apaisĂ©es, que j’ai repris un peu confiance en moi, j’ai continuĂ© Ă  ĂȘtre paranoĂŻaque. DĂšs que j’avais un rapport, je vĂ©rifiais que le prĂ©servatif Ă©tait bien en place, quitte Ă  choisir des positions sexuelles qui me permettaient d’avoir cette sĂ©curitĂ©-lĂ .
Depuis quelques jours, j’ai eu l’occasion de prendre connaissance d’autres tĂ©moignages . C’est triste de rĂ©aliser que je ne suis pas la seule victime de "stealthing". J’espĂšre sincĂšrement que cette mauvaise expĂ©rience ne se reproduira.
Propos recueillis par Guillaume Reuge et Louise Auvitu
Ça continue le cours d'Anglais ! Il faut vraiment donner un nom anglais Ă  tous nos actes de la vie courante ? Je vais au Foof-Truck, j'ai attrapĂ© le Burn-Out, et maintenant mon copain me fait du Stealthing...??? Je suis Fed-Up !
PlutÎt qu'un mot anglais que peu de monde comprend, je propose "dérobade" qui reprend le sens anglais de dissimulation et de furtivité tout en l'enrichissant d'un sens littéral puisque dérober signifie : "dépouiller de sa premiÚre peau ou de son écorce". Ce mot rend aussi compte du caractÚre dissimulé de l'acte (cf. "porte dérobée"). On aimerait que les journalistes fassent ces efforts linguistiques qui redonneraient un peu de lustre à leur profession.
Une relation oĂč l'une, pas amoureuse, le prenant pour un dragueur, campe sur ses positions et refuse l'arrĂȘt du prĂ©servatif, et l'autre qui perd ses inhibitions et son sens moral au retour d'une soirĂ©e.
Ce n'est pas un drame, c'est d'une médiocrité sans nom.
@LĂ©a 7
Ce n'est pas un drame ?
Vous pensez à la confiance qui doit se construire ? Si, c'est un drame, demain, un partenaire séropositif enlÚve son préservatif à votre insu, et ce n'est pas un drame ? Forcer une femme, ce n'est pas un drame ?
Je l'ai toujours dit, la pire ennemie de la femme, c'est la femme. Quand on lit un pareil commentaire signé d'un prénom féminin, on est révoltée, ou bien on croise les doigts pour que le pseudo soit en fait celui d'un macho indécrottable.
Non ce n'est pas un drame, sinon dans votre tĂȘte R jf. Il a dĂ©connĂ© gravement, mais nuancez votre indignation : son inconsĂ©quence aurait pu porter Ă  consĂ©quences, mais tout est bien qui fini bien. Elle est pas en sucre la demoiselle, cela fait partie des ratĂ©s de la vie de couple. Elle en connaĂźtra d'autres.
En fait, cette histoire est un non-Ă©vĂšnement.
@ R jf Bah non, je suis bien une femme, d'une autre gĂ©nĂ©ration que vous sans doute, et ce n'est pas la peine de pousser des cris effarouchĂ©s ni de stigmatiser Ă  tout-va. Les fĂ©ministes de la premiĂšre heure comme moi ont ƓuvrĂ© pour la libĂ©ration de la femme, avec les rĂ©sultats que l'on connaĂźt, mais on assiste depuis une dizaine d'annĂ©es Ă  une dĂ©rive ridicule et navrante, certaines se comportant comme de petites princesses riches, apeurĂ©es, hautaines envers l'hommes responsables de tous les maux selon elles.
@ R jf
(2) Votre amie s'en remettra. Et attendra peut-ĂȘtre d'avoir une vraie relation de confiance, de bien connaĂźtre l'autre, avant d'accepter des relations sexuelles, qui comportent toujours une part de risque, car des prĂ©servatifs qui glissent tout seuls, cela existe aussi. Mais le mot drame est excessif : il s'applique aux famines, aux guerres, Ă  la disparition d'ĂȘtres chers, pas Ă  un coup foireux d'aprĂšs-soirĂ©e.
Quel rapport avec le fait d'ĂȘtre en sucre ou non?? Je crois que vous ne comprenez pas le problĂšme en fait. Respecter les limites de l'autre,ça vous parle?
@Bruno Du Chemin
"son inconséquence aurait pu porter à conséquences"

Voilà qui est fort bien dit... et qui prouve que dans tous les cas - avec ou sans conséquences, et dans le cas de transmission de maladies il faut plusieurs semaines de recul - cette question du respect de la volonté exprimée par l'autre, est essentielle pendant le rapport sexuel.

Quant Ă  celles qui prĂ©tendent ĂȘtre des "fĂ©ministes de la premiĂšre heure" qui "auraient oeuvrĂ© pour la libĂ©ration de la femme", je rĂ©pondrai qu'on connaĂźt les rĂ©sultats, et on les voit dans leurs propres rĂ©actions, puisque malgrĂ© quelques conquĂȘtes mĂ©morables (remises en cause d'ailleurs de plus en plus) la fameuse "libĂ©ration" reste de surface, et cela perdurera tant que des mufles se comporteront comme des mufles sans indigner personne.

J'ai un fils de trente ans, et je ne l'imagine pas avoir un comportement pareil. C'est juste un comportement de s...aud.

Il est donc important que les jeunes femmes apprennent à se méfier d'une pseudo-liberté que nous sommes loin d'avoir, et à décoder certains signaux chez leur partenaire récent ou nouveau.
@ R jf Une libération de surface ? Les retours vers le passé n'existent que dans les films, heureusement, car aucune femme n'aimerait revivre les années cinquante : pas de contraception, des maternités non désirées, les avortements interdits, le travail des agricultrices non reconnu, les inégalités des salaires, la ségrégation des emplois, l'accord du mari nécessaire pour ouvrir un compte en banque...Une prédominance masculine de fait.
Emma a eu une mauvaise expĂ©rience avec un homme malhonnĂȘte, il y a cinq ans : mais elle fait de cette histoire une victimisation et un drame. Cela n'en mĂ©ritait pas tant. Si elle vit un jour un vĂ©ritable drame, que personne ne lui souhaite bien sĂ»r, elle verra tout de suite la diffĂ©rence.
Je suis sidérée de lire de tels commentaires (Léa7 - féministe de la 1ere heure, hahaha, laissez-moi rire - et Bruno Du Chemin - sexiste ordinaire -).
Pas un drame ? "ratĂ©s de la vie de couple" ? Alors que ça aurait pu mal se finir, il aurait pu ĂȘtre porteur de MST ou IST ! Mais OUF, ce n'est pas le cas, holalala ! N'empĂȘche que le risque Ă©tait BIEN rĂ©el (beaucoup ignorent ĂȘtre porteurs de MST ou IST). C'est intolĂ©rable d'avoir fait courir ce risque Ă  sa partenaire.
Il était clairement convenu entre les deux qu'ils continuaient à utiliser le préservatif, garant de sécurité pour la jeune femme. En Îtant en douce le préservatif, il a non seulement rompu le "contrat" mais aussi la confiance et a provoqué une angoisse de la jeune femme par rapport aux risques potentiels de MST et IST. Sans oublier un éventuel avorton qui aurait pu s'incruster et l'obliger à passer par une IVG. Mais je suppose que l'IVG non plus, ce n'est rien pour vous, c'est une simple opération ?
Il n'a pas été inconséquent ! Il a été un vrai sld, point, pour tous les points évoqués plus haut.
C'est effarant de voir votre niveau trĂšs bas de logique.
Tout est une question de génération. La vie des femmes de mon ùge,féministes ou pas, a le plus souvent été traversée par le décÚs d'un conjoint, un cancer, parfois la perte d'un enfant, l'inquiétude autour de parents ùgés, des soucis financiers ou de chÎmage, alors, désolée, non, je ne peux pas compatir au"drame" représenté par un risque de Mst, de plus, prenant la pilule, Emma ne risquait pas de tomber enceinte.
La confiance brisĂ©e, d'accord, ce n'est pas drĂŽle, mais s'il fallait s'attarder dessus et faire un article pour chaque crĂ©tin rencontrĂ© dans sa vie, la liste risque d'ĂȘtre longue, sans compter que cela empĂȘche de mĂ»rir et d'Ă©voluer.
@LĂ©a7
La confiance brisĂ©e,ce n'est pas drĂŽle?? Ca me semble ĂȘtre un euphĂ©misme quand en l'occurence,le risque implique un risque de sida,herpĂšs gĂ©nital et autres maladies loin d'ĂȘtre anodines,sans parler du risque de grossesse,la pillule n'Ă©tant pas fiable Ă  100%.
Ce n'est pas à vous de décider comment Emma ou qui que ce soit doit réagir et si faire un article était approprié ou non.
Quelle virulence ! Emma a-t-elle attrapĂ© quoi que ce soit ? Non. C'est bien la preuve qu'elle sortait depuis quatre mois avec un garçon sain, qui se savait en bonne santĂ©.D'ailleurs, Ă  la rĂ©flexion,il n'y a mĂȘme pas de confiance brisĂ©e, puisque d'emblĂ©e Emma n'avait aucune confiance en lui, s'imposant la pilule, lui imposant le prĂ©servatif.
Et puis basta, Emma dit que, "pour une femme, c'est déjà difficile d'avoir un rapport sexuel dénué de soumission", vous la défendez, donc vous décidez que d'emblée l'homme est déjà un horrible dominant, alors courez vite vous mettre à l'abri derriÚre toutes vos barricades et bonne chance.
Vous sautez aux conclusions. La défendre n'implique pas partager son avis sur tous les points.
" puisque d'emblée Emma n'avait aucune confiance en lui, s'imposant la pilule, lui imposant le préservatif."
Vous pensez que ça aurait été mieux qu'ils n'utilisent rien? Ca n'aurait pas été trÚs responsable du coup,rien que pour éviter le risque de grossesse. Utiliser un préservatif aprÚs 4 mois de relation n'a rien de spécialement choquant parce que contrairement à ce que vous dites,on ne peut jamais savoir. Le HPV en particulier n'entraine aucun symptÎme chez les hommes alors qu'il peut provoquer sur un cancer du col de l'utérus chez les femmes. Beaucoup de gens sont sérépositifs sans le savoir... Bref,il y a toutes les raisons d'utiliser les préservatifs car toute prévention est préférable à n'importe quel traitement et ce n'est pas une fois qu'on a attrapé quelque chose qu'il faut se lamenter.
Mais de toute façon,ce n'est vraiment la question. La question est qu'Emma a consenti Ă  un rapport avec prĂ©servatif et qu'il l'a enlevĂ© Ă  son insu. Il n'a pas respectĂ© les conditions. Il a donc trahi sa confiance,mĂȘme si on peut estimer que sa rĂ©action est exagerĂ©e.
Bon, vous en convenez, la réaction d'Emma est exagérée. J'admets aussi que cet homme a mal agi. On en reste là ?
Non,je n'en conviens pas parce que j'estime que ce n'est pas à moi de décider de comment les gens doivent réagir. Je comprends juste qu'on puisse le penser,par rapport aux termes qu'elle utilise,c'est différent.
On ne sait pas si Emma n'a rien attrapé. On sait juste qu'elle a mis fin a la relation. Elle n'a jamais dit qu'elle n'avait rien attrapé...
Rien que pour le VIH, il faut attendre minimum 6mois aprĂšs un rapport contaminant pour connaĂźtre sa sĂ©rologie. On peut tout Ă  fait ĂȘtre testĂ© nĂ©gatif un jour et ĂȘtre positif plusieurs mois aprĂšs un rapport.
Certaines maladies comme l'herpes ou les lésions du col de l'utérus n'appraissent pas non plus le lendemain du rapport....
Donc vous inventez votre propre histoire avec garçon en bonne santĂ© ". Excusez moi, un garçon qui de 1 est volage et de 2 a l'habitude de retirer sa protection Ă  l'insu de ses partenaires, n'a que trĂšs peu de chances d'ĂȘtre en bonne santĂ© ...
D'autant plus qu'il ne connaissait pas le statut d'Emma avant de retirer son préservatif. Il ne fait pas courir uniquement
un risque Ă  sa partenaire mais Ă  lui mĂȘme car rien ne dit qu'Emma ou BĂ©atrice ou ChloĂ© ne sont pas malades non plus.
En gros oui c'est dramatique que des personnes qui prĂ©tendent ĂȘtre Ă  l'avant-garde du fĂ©minisme n'aient aucune notion d'hygiene sexuelle et de la gravitĂ© de ce type de pratique, sans compter la banalisation du dĂ©faut de consentement
En lisant tout je suis confortĂ©e dans ma dĂ©cision de ne plus commenter. Quand on n'est pas du mĂȘme avis, soit c'est la censure, soit on se fait traĂźner dans la boue. Aucune tolĂ©rance, aucune libertĂ© d'expression possible, la dĂ©mocratie en sort perdante.
bienvenue au club, Sybille! je n'écris plus ici ; t'imagines le tollé si j'avais dit, quand on sort avec n'importe qui, il faut s'attendre à n'importe quoi? tout écart au politiquement correct, et hop, la toile s'enflamme.
Un mot à la mode ne rend pas la chose plus acceptable ou plus inacceptable, ça a un cÎté ridicule qui a fait que j'ai tardé à lire ce billet.
Le fait est que pour savoir si l'on peut faire confiance Ă  quelqu'un il n'y a qu'un moyen : faire confiance. Un homme qui cherche Ă  contourner la rĂšgle qu'on a fixĂ©e, ne serait-ce que verbalement, avec des solutions bancales, c'est mĂȘme pas la peine de continuer Mademoiselle, et tant pis si vous en aviez envie, ce sont des signaux clairs.
J'en conviens, ça fait un sacré tri, beaucoup de ces messieurs rechignant à faire cet effort préfÚreront chercher à vous culpabiliser (si tu es si "rigide" là-dessus, c'est parce que tu as des moeurs légÚres, tu n'es pas fidÚle etc.). Tout dépend donc de vos besoins.
Mais il n'y a pas de relation sexuelle sans risque tant qu'on n'a pas trouvé l'ùme-soeur (et encore...). Les risques en question étant divers et variés.
Tout cela dans l'hypothĂšse oĂč ce rĂ©cit est authentique et sĂ©rieux. J'ai quand mĂȘme l'impression qu'il s'agissait surtout de caser le mot "stealthing".
C'est dingue, le gauchiste contemporain arrive Ă  rendre tout dĂ©gueulasse ! Le paysage urbain, le peuple, la nation, le "vivre-ensemble", l'art, la culture, et ici, mĂȘme une relation sexuelle consentie ! Un petit dĂ©saccord ou malentendu sur les modalitĂ©, et hop ! c'est la «violence», «l'humiliation», «la soumission», « la salissure», «la souillure» etc... La suite ? la misogynie patriarcale blanche et catholique, le sexisme blanc et catholique etc...
J'arrive à la connaitre comme si je l'avais enfantée, la gauche bien-pensante !
Elle a été parfaitement claire sur le fait qu'elle ne voulait pas avoir de rapports sans préservatif.
"Super Glue" colle tout ! MĂȘme le sexe.
Si vous en ĂȘtes encore lĂ  aprĂšs 4 mois de relation vous avez bien fait de rompre.
Tout dépend des priorités de la personne qui rencontre des gens comme elle qui font passer leur plaisir personnel avant tout
Des deux,la personne qui a fait passer son plaisir personnel avant tout,c'est son mec qui a retiré le préservatif à son insu.
Je suis choquĂ©e des commentaires de certain(e)s. C'est un scandale de retirer en douce son prĂ©servatif. C'est un abus de confiance, une trahison. C'est immoral, et trĂšs violent. Personne n'a le droit d'agir ainsi. Quand un acte sexuel commence sur la base d'un accord mutuel : on ne prend pas de risques ni d'avoir un enfant, ni d'attraper des maladies sexuellement transmissible, cet accord conditionne l'acte sexuel. Enlever son prĂ©servatif en douce pour raisons de frustration, c'est instrumentaliser le corps de l'autre et le traiter comme un fourreau masturbatoire et non comme le corps d'autrui, un autre ĂȘtre humain qui a droit Ă  tout son respect. Pratique puante au possible.
Je souscris.
Merci de l'avoir Ă©crit
Avec votre point de vue fĂ©ministe qui voit de la soumission Ă  l'homme dans la relation sexuelle, vous pouvez faire une croix sur un avenir heureux de femme Ă©panouie. Question d'Ă©poque, dont vous ĂȘtes victime, retour Ă  l'obscurantisme aprĂšs des dĂ©cennies de bien-ĂȘtre fĂ©minin et masculin.
N'ayant JAMAIS utilisé de préservatif et ayant 64 balais ,tout cela me fait doucement rigoler !
« J’espĂšre sincĂšrement que cette mauvaise expĂ©rience ne se reproduira. »

â–ș On ne s'en fait pas pour vous.. un «ami» de perdu, dix de retrouvĂ©s..
On ne peut pas donner tort Ă  cette personne de respecter la sĂ©curitĂ© dans un monde de libertĂ© sexuelle oĂč le risque n'est pas nul, on peut le dire. Son point de vue et son choix illustre cependant la sociĂ©tĂ© de prĂ©caution dans laquelle nous vivons.
Le "stealthing"
 c'est exactement ce qui va arriver aux Ă©lecteurs de Macron!
Mais aprĂšs tout, chacun son problĂšme.
Pourquoi? Vous pouvez expliquer un peu plus?






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