Mature Plutôt Entré En Âge Se Laisse Faire Par Le Gynéco

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ma première visite chez le gynéco - histoire érotique
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ma première visite chez le gynéco



 

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A peine mes 18 ans dépassés, ma mère Claire avait décidé de m’accompagner chez son gynéco pour une première visite. Le rendez vous avait été pris pour un mardi matin à 10heures.

Notre tour vint et nous rentrâmes dans le bureau du docteur attenant à son cabinet d’examen..
Claire commença à prendre la parôle et le docteur Bernard très vite se retourna vers moi pour me poser des questions précises : Depuis quel âge as-tu tes règles ? sont elles régulières ? etc etc.
Bon si tu veux bien nous allons passer à coté pour t’examiner.
Une fois dans son cabinet il me dit d’une voix douce, déshabille toi, ne garde que ton slip . Tu peux te mettre derrière la paravent si tu veux.
Oh oui que je voulais ! je me retrouvai comme une petite fille tremblante et intimidé. Bon d’accord le docteur aurait pu être mon père, ou plutôt justement. Cela me rendait toute timide. Enfin les mains sur les seins je sortis de derrière mon paravent, très naturellement comme si de rien n’était.
Viens sur la bascule me dit il nous allons te peser. Je montais donc sur la bascule les bras ballant le long du corps et là en s’arrêtant quelques instant, il me dit :Wouah Laure tu es devenue une très belle jeune fille.
53kg Bien pour 1m 70 non ?
Seulement 1,68m répondis je. Bien très bien bon équilibre.
Viens t’asseoir sur la table je vais t’examiner.
Ces simples mots commencèrent à me donner des frissons. Voila un homme que je ne connaissais pas une demi-heure auparavant et devant qui je me trouvais nue ou…presque.
Les deux marches du tabouret et me voila couchée sur le tissu jetable de la table d’examen. Il se saisit du stéthoscope autour de son cou, l’ajusta à ses oreilles et me dit gentiment attention "ça va être froid".
Et voilà, sa main dépose le petit rond de métal sous mon sein gauche, il écoute ma respiration, les battements de mon cœur… pendant ce qui me semble être une éternité, le déplace un peu à droite à gauche entre temps le métal a tiédi et la sensation devient agréable.
A ce moment il me demanda : assieds toi. Et il continue de m’ausculter omoplate gauche, en haut en bas, puis la droite, puis vers les cotes. Et enfin le verdict : Bon jeune Laure tout va bien.
Maintenant je vais te palper les seins et t’apprendre à le faire comme toute femme doit savoir s’examiner afin de découvrir d’éventuelles anomalies pouvant dégénérer.
Il se plaça derrière moi et les mains en coupe, commença à me palper les deux seins puis sa main droite vint rejoindre la gauche et il pétrit mon sein gauche doucement mais fermement afin de détecter d’éventuels kystes ou grosseurs. C’était malgré tout délicieux .Il passa au sein droit ce que j’attendais avec impatience déjà. Il recommença paume en dessous, main droite par-dessus tendre palpation, caresse, ouh là là je m’emballe…
Oui mais pour une jeune fille de 18 ans cette découverte d’un homme mûr, fût-il de l’age de mon père, était très agréable.
Allonge toi. Tout ces ordres étaient délicieux à exécuter. Ses mains abandonnèrent mes seins pour palper mon ventre, d’abord délicatement, puis à l’approche des cotés beaucoup plus fermement, profondément, on avait l’impression qu’elles voulaient pénétrer mon ventre. Elles descendirent au dessus du pubis, que j’avais pris la peine de soigneusement raser la veille. Presque intégralement. Mais encore caché à sa vue par mon slip de coton blanc qui renforçait mon coté petite fille. Sa main s’attardait sur le centre de mon ventre et soudain après une ultime palpation il fit le tour vint se placer entre mes jambes et sans me demander mon avis fit glisser mon slip le long de mes cuisses puis retira complètement ma culotte.
En cet instant précis ma température devait au moins atteindre quarante degrés !
Je vais maintenant examiner ton sexe et te faire un frottis, rassures toi ce n’est pas douloureux..
Rassurée je l’étais, mais dans un état que je n’avais pas connu même lors de mes caresses nocturnes intimes.
C’est précisément à ce moment que le docteur Bernard me demanda "Je suppose Laure que tu t’es déjà masturbé ?"
Je fus bien obligé de répondre : Oui docteur.
Bien mais tu sais tu peux continuer cela est excellent pour t’aider à développer tes sensations sexuelles et te préparer à tes premiers rapports. As-tu déjà couché avec un garçon ?
Oh non docteur criais-je presque. Pendant que nous discutions, sa main gauche caressait de façon très efficace mon clitoris, qui se mit à entrer en érection et durcir entre le haut de mes grandes lèvres. C’était très chaud ! Mais était-ce encore un examen ? Peu m’importait la sensation d’être un jouet entre ses mains était si agréable, que je l’aurais laissé faire n’importe quoi. Il l’avait bien senti d’ailleurs et prenait possession de mon corps alors que ma mère était dans le bureau d’à coté.
Je ne pus m’empêcher de laisser échapper un énorme soupir et mon bas ventre se souleva à la rencontre de sa main. Il me dit d’un ton doctoral : bien tu réagis très bien au stimulis… J’étais même complètement mouillée et en transe. Il se contenta de me dire : bon cela va aller mieux pour introduire le spéculum. A ces mots j’entendis sexe et mon ventre se sentais près a accueillir l’objet mâle que le docteur allait introduire dans mon sexe. Il se retourna et pris un étrier sur la table d’à coté et le positionna en bout de la table d’examen puis installa le second. Je n’avais encore jamais subi d’examen gynécologique et compris soudainement que j’allais carrément être offerte à sa vue et a ses mains lorsqu’il prit une de mes jambes, la leva, la replia pour l’installer haut dans l’étrier. Il me dit : avance tes fesses au bord de la table et dans le même temps attrapa ma deuxième jambe.
Ce fut une sensation atrocement agréable de me sentir ainsi offerte à sa merci.Il ganta sa main droite de latex, enduisit le gant de vaseline et du bout de l’index écarta sans difficulté mes grandes lèvres puis un deuxième doigt rejoignit le premier et ce furent deux doigts qui pénétrèrent mon sexe, déjà bien lubrifié. C’est parfait me dit-il, cela va bien se passer. Il retira sa main et aussitôt une sensation de vide envahit mon sexe attendant à nouveau d’être remplit.
Aussi ce fut presque avec plaisir que je senti le métal froid du spéculum envahir lentement mais d’une main ferme l’intérieur de mon sexe. Il me sembla qu’il pénétrait jusqu’au fond de mon vagin. Il se pencha pour regarder et vérifier la position de l’instrument à l’intérieur de moi et soudain actionna un levier métallique. Je ne ressenti pas immédiatement ce sexe de métal grossir en moi , mais au bout de deux fois le contact fût très net et l’impression d’être écartelé de intérieur, très forte. J’émis un petit Ahhh !
Ca va s’enquit’ il ? Oui oui, mais c’est surprenant !
Il écarta encore un peu le spéculum, se pencha et admira longuement l’intérieur de mon vagin. J’avais l’impression de ruisseler de tout mon sexe. Le docteur se retourna, ouvrit un tube et en sorti la baguette muni d’un embout en forme de coton et l’introduisit délicatement dans mon sexe béant. Il atteignit le col de l’utérus frotta quelques fois… sensation assez désagréable et remit la baguette dans le tube en verre.
Un clic de métal, l’objet se détendit et mon sexe retrouva son élasticité. De son doigt ganté il essuya mes lèvres détrempées et me dit : on dirait que cela t’as mise dans tout tes états. Il me caressa le sexe épilé qui devait vraisemblablement lui plaire et me dit : bon nous allons nous revoir pour les résultats du frottis.
Allez rhabille-toi et rejoins nous. Me dit il en m’aidant a enlever mes jambes des étriers.
Bien chère Madame, Laure est en parfaite santé, tout à fait femme et nous aurons les résultats de son frottis sous 4/5 jours. A ce moment j’entrais rhabillée dans le bureau et consultant son agenda, il se tourna vers moi et me demanda :
est ce que tu peux repasser au cabinet disons mardi à 17 heures.
Oui pas de problème mon dernier cours est à 16h.
A suivre...


Récit érotique écrit par Bourguignon [→ Accès à sa fiche auteur] .
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Histoire érotique Publiée sur HDS le

13-05-2005 dans la catégorie Pour la première fois
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On a tendance à l’oublier, mais la libido des humains ne s’arrête pas à soixante-dix ans. C’est un sujet peu traité, sans doute dans un souci de pudeur et de respect des personnes du « troisième âge », mais le fait est que nos anciens conservent des besoins sexuels. Rien à voir avec la ménopause ou l’andropause : testostérone et phéromones peuvent diminuer au fil du temps dans l’organisme, et l’influence de ces hormones se faire moins puissante, mais le désir ne s’éteint jamais.
Le personnel qui travaille en maisons de retraite le sait bien, et le vérifie au quotidien. Difficile d’obtenir des informations concrètes sur ce qui se passe entre ces murs, mais il m’a été donné de rencontrer une infirmière travaillant actuellement en EHPAD (Établissement d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes, des maisons de retraite médicalisées), et ce qu’elle rapporte sur la question est assez méconnu du public. Donc intéressant.
En maisons de retraite, les femmes mènent le bal
D’abord, les femmes ayant une longévité supérieure aux hommes, il faut savoir qu’elles sont plus nombreuses que leurs congénères masculins en maisons de retraite, que celles-ci soient médicalisées ou non. Et donc, logiquement et contrairement au reste de la société, ce sont plus souvent les femmes qui prennent l’initiative dans ces micros sociétés lorsqu’un pensionnaire leur semble attirant. Il peut même y avoir une vraie concurrence entre dames pour obtenir les faveurs du plus séduisant retraité de la maison. Les femmes âgées restant des femmes, on est certes loin des lourdes dragues du style « Wesh, donne-moi ton 06, beauté », mais certaines savent s’y prendre pour se faire comprendre et remarquer. Comme s’asseoir à la table d’un homme, et s’inviter d’autorité à partager son repas sans lui demander son avis, par exemple. L’infirmière, Élise, témoigne :
« À la maison de retraite où je travaillais avant, un établissement plutôt haut de gamme par rapport à bien d’autres et qui n’avait rien de l’un de ces tristes “mouroirs” qui font parfois les faits divers, nous avions vu arriver un retraité encore assez fringuant et plutôt bel homme, mieux conservé que la moyenne des résidents en tout cas. On a tout de suite senti les dames toutes émoustillées. Entre elles, elles ne parlaient que de lui, et c’était un véritable concours quant à qui d’entre elles allait le plus vite retenir son attention. Même âgées et pas forcément avenantes, certaines restent très coquettes, et se parent volontiers de leurs plus beaux atours quand elles veulent séduire. Certains hommes mangent tout seuls et un peu misérablement dans leur coin, mais ça se bousculait à la table de ce nouveau pensionnaire dès le premier soir. On a même dû faire des mises au point discrètes en demandant aux dames de ne pas le harceler et de conserver leur réserve. Sans grand effet, je dois le dire.
Pareil au moment du coucher. Chaque pensionnaire avait son studio individuel, mais ça circulait librement dans les couloirs. Et je vous avoue qu’on préférait parfois fermer les yeux sur ce qui se passait certaines nuits, du moment que c’était en silence. Et il arrivait qu’il s’en passe de belles ! Parfois, au petit matin, nous retrouvions des dames dans le lit de certains messieurs, et nous pouvions constater que la nuit leur avait été agréable… »
Bernadette est toujours très élégante quand elle souhaite attirer l’attention d’un nouveau et craquant pensionnaire.
Près d’un retraité sur quatre est sexuellement actif, ou aimerait l’être !
La sexualité des « vieux » est un sujet tabou sur lequel nous avions peu de détails jusque-là, mais le personnel médical connaît la musique, même s’il n’aime pas communiquer sur la question. Pourtant, les faits sont là : selon la psychiatre spécialiste du troisième âge Véronique Lefebvre des Noëttes, 8 % des pensionnaires en maisons de retraite seraient actifs sexuellement, et 15 % « aimeraient bien, mais ne peuvent pas », en raison d’absence de partenaire ou de difficulté physiques. On compte donc 23 % d’érotomanes potentiels, hommes et femmes, dans nos maisons de retraite !
« Les hommes, poursuit Élise, je dirais qu’il y en a trois types : ceux qui n’ont plus d’activité sexuelle apparente et à qui ça ne semble pas manquer. Ceux qui en ont un peu, ne serait-ce que par une masturbation discrète, mais qui restent corrects dans leur comportement avec les pensionnaires et le personnel. Et quelques rares cas de véritables obsédés sexuels et exhibitionnistes. Ceux-là sont pénibles, vite identifiés. Tout juste s’il ne faut pas les attacher pour faire leur toilette, tant leurs mains peuvent vous empoigner à l’improviste sans aucun complexe. Pareil pour la toilette intime, ils sont tout fiers de nous montrer leur drapeau fièrement érigé, commentaires fleuris à l’appui. Et je peux témoigner que tous ne sont pas impuissants passé quatre-vingts ans ! 
Certaines femmes ne sont pas en reste, même si elles sont moins graveleuses question vocabulaire, ni harceleuses avec le personnel. Ça se limite à un peu d’exhibitionnisme, comme se balader dans les couloirs avec la robe de chambre ouverte. Sinon, pour entrer dans les détails, je confirme que la sexualité est bien présente en maison de retraite. Cela se comprend car il s’agit de petites sociétés fermées. Les pensionnaires sortent très peu, certains pas du tout en raison de leur état de santé, et beaucoup ne reçoivent jamais aucune visite de l’extérieur. Pour eux, tout se passe donc en interne, la maison de retraite est le seul univers qu’ils connaissent, le seul lieu où des rencontres et un peu de chaleur humaine restent possibles. Des couples se font et se défont donc, comme ailleurs dans le reste de la société. Il y a des histoires d’amour, du sexe. Ça va, ça vient. Des amours se transforment en chamailleries et rivalités, voire en haines incompréhensibles du jour au lendemain. Il est assez vrai que les vieux ont tendance à prendre avec l’âge un comportement d’ados immatures sur ce sujet. On tombe vite amoureux, et on se quitte aussi facilement. Et nous, personnels, on doit savoir gérer tout ça et faire en sorte que ça n’empiète pas sur la vie sociale de la collectivité. Que ça ne se voie pas trop en tout cas. Une maison de retraite n’est pas un club échangiste ! »
Pour un pervers gérontophile, la maison de retraite est aussi, naturellement, un vrai paradis. Ce type de déviance est rare, mais il existe, notamment chez les hommes. Mais quand le gérontophile fait partie du personnel soignant, ça fait tache, et on le licencie sans faire de vagues.
Parfois, des soins peu orthodoxes et très spécialisés !
« Cela n’est jamais arrivé chez nous, mais une collègue m’a raconté une histoire pas piquée des vers d’un soignant masculin qui abusait de certaines dames. Il a mis quelque temps à être détecté, car figurez-vous que bien des “victimes” étaient relativement inconscientes, voire pour quelques unes assez honorées, de ses caresses poussées, loin de s’en scandaliser ou de vouloir porter plainte. C’est une soignante femme qui l’a un matin pris en flagrant délit dans la chambre d’une pensionnaire, en train de lui faire un pseudo examen gynéco, pour lequel il n’était naturellement nullement qualifié. Il n’y avait paraît-il jamais eu viol au sens où il ne les pénétrait pas sexuellement de son pénis, mais l’homme palpait les femmes, les faisait mettre nues sans raison, leur imposait des soi-disant examens, leur caressait la vulve et le clitoris, etc. Il a été licencié pour faute grave, mais l’établissement concerné a soigneusement fait en sorte de ne faire aucune publicité sur l’affaire. Et le fait que la pensionnaire n’ait pas souhaité porter plainte a arrangé tout le monde. »
Élise tient tout de même à préciser que ce qu’elle décrit là sont des comportements exceptionnels. Mais ils existent. Pour elle, la sexualité en maison de retraite est plutôt un signe de bonne santé des pensionnaires, aussi bien physique que mentale. D’ailleurs, ceux qui aiment le sexe ont statistiquement tendance à vivre plus longtemps que d’autres. À l’inverse de certains, ils n’ont pas envie de se laisser mourir, les plaisirs du sexe et de l’érotisme étant un moteur et une motivation qui les aident à continuer d’aimer la vie. Souvent, sans même parler de sexe, le simple contact mutuel de la chaleur de leurs corps leur suffit. Pourquoi donc s’entêter à voir dans nos vieux des êtres asexués, ou qui n’auraient plus droit aux plaisirs de la sensualité ? Certes, les corps ne sont souvent plus très esthétiques, mais qu’importe. Vieilles et vieux s’arrangent gentiment entre eux dans leur petit univers, et tous y trouvent leur compte. Tant mieux si leurs activités érotiques les aident à rester en vie, du moment que tout se passe dans une certaine discrétion, comme partout ailleurs.
Et, comme partout ailleurs, il n’y a pas que des hétéros en maisons de retraite, ainsi que l’explique Élise :
« L’homosexualité dans nos murs est davantage taboue, sans doute à cause de la génération des pensionnaires, qui n’ont pas sur le sujet la même familiarité décomplexée que les générations récentes. Il y a quelques cas discrets et relativement assumés chez les femmes, celles-ci étant plus nombreuses. Chez les hommes, c’est plus difficilement décelable. Je sais qu’il y a un ou deux homos chez nous, mais ils ne le revendiquent surtout pas, sans doute pour ne pas risquer d’endurer des moqueries et de se retrouver isolés et stigmatisés. Je ne me souviens pas d’histoires d’amour homosexuelles entre hommes dans mon établissement actuel, mais j’ai eu des échos en ce sens venant d’autres lieux. Pour conclure sur une note amusante, je peux juste dire que le beau nouveau pensionnaire dont je vous parlais tout à l’heure s’était avéré être gay. C’est en tout cas ce qu’il a fini par avouer à une dame qui le harcelait depuis des jours, lui écrivant des poèmes enflammés et venant cogner à sa porte en pleine nuit. L’information a circulé immédiatement, calmant aussi sec les ardeurs de toutes les prétendantes ! Et, entre nous, j’avoue que je ne sais toujours pas s’il a dit ça pour avoir la paix ou si c’était la vérité… »
Sachant qu’une personne sur cinq a aujourd’hui plus de soixante ans, ce ratio sera d’une personne sur trois en 2050, selon certaines études démographiques [1] . De quoi envisager somme toute l’avenir et la vieillesse avec optimisme, pour les libertins en tout cas : les maisons de retraite seront sans doute d’ici là devenues de réjouissants lupanars !
Consommateur de porno, obsédé sexuel et journaliste pigiste po
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