Elle semble aimer la natation

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Elle semble aimer la natation
Aimez-vous la natation ? Pourquoi ?
· L'auteur a 94 réponses et 99 k vues de réponse · 3 ans
Anciennement Professeur de piano · L'auteur a 706 réponses et 129,1 k vues de réponse · 2 ans
A étudié à Lycée Dumont d'Urville Toulon · L'auteur a 2 k réponses et 5,6 M vues de réponse · 2 ans
Quels sont les effets de la natation sur le corps ?
À quoi ressemble le corps d'un nageur ?
Est-ce une bonne idée d'apprendre à nager en mer ?
La natation fait-elle vraiment grandir ?
Au bout de combien de temps peut-on observer un changement physique en pratiquant la natation ?
Quelles disciplines ont les mĂȘmes bienfaits que la natation ?
Quels sont les bienfaits de la natation ?
La natation favorise-t-elle la prise de muscles, ou permet-elle au contraire de les affiner ?
L'homme s'approche-t-il de sa limite en natation (record olympique, 
) ?
La natation est-elle un moyen de prendre des centimĂštres (tailles)?
Combien de temps et de profondeur tu peux aller dans l'eau en nageant ?
Pourquoi aimez vous nager Ă  la mer ?
Comment expliquez-vous l'engouement récent pour la natation ?
Vous avez longuement couru le long de la plage. Le soleil se lÚve. Vous entrez dans l'eau. Vous vous laissez dériver en faisant la planche. Que ressentez-vous ?
A partir de quel age peut-on commencer la natation ?
Quels sont les effets de la natation sur le corps ?
À quoi ressemble le corps d'un nageur ?
Est-ce une bonne idée d'apprendre à nager en mer ?
La natation fait-elle vraiment grandir ?
Au bout de combien de temps peut-on observer un changement physique en pratiquant la natation ?
Quelles disciplines ont les mĂȘmes bienfaits que la natation ?
Quels sont les bienfaits de la natation ?
La natation favorise-t-elle la prise de muscles, ou permet-elle au contraire de les affiner ?
L'homme s'approche-t-il de sa limite en natation (record olympique, 
) ?
La natation est-elle un moyen de prendre des centimĂštres (tailles)?
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Oui. Le pire, c’est que je l’ai vraiment rĂ©alisĂ© lorsque j’ai arrĂȘtĂ© d’en faire. Faut pas attendre de ne plus avoir les choses pour rĂ©aliser qu’on les aime. Une petite phrase Ă  graver dans mon cerveau, et ceux qui aurait pu (peuvent) se retrouver dans cette situation.
Passons au pourquoi du comment de la natation.
J’ai commencĂ© Ă  la natation depuis mes 3 ans. On m’a en quelque sorte plongĂ©e dedans. Au dĂ©but, il y avait cette connotation avec la dĂ©couverte. Pendant nos vacances, je pouvais nager loin* parce que je savais nager. Comme ça, on pouvait aller voir les petits poissons, les crabes, les algues, les oursins, les coquillages
. du large*. C’était la classe ultime. Enfin, pour moi.
* En fait, j’étais plus proche du rivage qu’autre chose. Erreur de perception. ;)
Plus tard, plus mĂ»re, lorsque j’allais en pratiquer en “compĂ©tition”, j’ai compris que j’aimais ce sport :
AprĂšs, il y a bien ce quelque chose en plus qui se passe dans ce sport qu’on ne retrouve pas dans les autres. Peut-ĂȘtre, est-ce aussi le fait de s’étendre dans l’eau ? D’entendre ce clapotis dans ses oreilles ? De prendre plusieurs positions pour avancer ?
J’habite en pleine montagne mais j’ai toujours Ă©normĂ©ment nagĂ©. Outre les bienfaits physiques, la natation vaut des wagons entiers de mĂ©dicaments tels que: anti-dĂ©presseurs,somnifĂšres,tranquillisants etc
 Comme tout le monde je suis passĂ© par des moments trĂšs difficiles dans ma vie. Je peux dire que nager, m’a sauvĂ© du dĂ©sespoir quelquefois.Rien que ça.
La natation c'est toute mon enfance.
Avec 12 heures d'entraßnement par semaine plus les compétitions le week-end, je passais beaucoup de temps dans les bassins, ce qui m'a value un titre de championne du Var en relais.
Pour l'anecdote, lors d'une compétition amicale à Monaco, le Prince Albert II y participait également, il devait avoir 16-17 ans.
La natation m'a apportée plus que de savoir nager, elle m'a donnée l'amour du sport.
La natation c'est toute mon enfance.
Avec 12 heures d'entraßnement par semaine plus les compétitions le week-end, je passais beaucoup de temps dans les bassins, ce qui m'a value un titre de championne du Var en relais.
Pour l'anecdote, lors d'une compétition amicale à Monaco, le Prince Albert II y participait également, il devait avoir 16-17 ans.
La natation m'a apportée plus que de savoir nager, elle m'a donnée l'amour du sport.

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Pascal Plante : « Un tĂ©moignage d’amour Ă  la natation »


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Environ, 6 400 bassins existent en France, 650 bassins sont certifiés FFN
Environ, 6 400 bassins existent en France, 650 bassins sont certifiés FFN
L’eau libre a fait son apparition aux J.O. en 2008. Seul le 10 km figure, au programme de la plus grande compĂ©tition planĂ©taire
Les championnats du monde de Barcelone en 2013 sont les premiers Ă  avoir accueilli des Ă©preuves de High Diving
Les premiers championnats du monde de natation se sont disputés en 1973 à Belgrade
Les relais mixtes apparaissent pour la 1Ăšre fois en compĂ©tition officielle lors des champ. d’Europe de Chartres en petit bassin (2012)
Le water-polo a été le premier sport collectif français champion olympique à Paris en 1924. Les Bleus ont battu la Belgique en finale (3-0).
La FINA inaugure les épreuves des duos mixtes en natation synchronisée lors des championnats du monde de 2015 à Kazan.
Le plongeon a intégré le programme olympique dÚs les Jeux Saint-Louis en 1904
Pour la premiÚre fois il y aura une épreuve de duo mixte en natation synchronisée aux championnats du Monde 2015
Jean Boiteux a remportĂ© le premier titre olympique de la natation française aux Jeux d’Helsinki de 1952 avec 400 m nage libre en 4’30’’07
Le plongeon tricolore n’a ramenĂ© qu’une mĂ©daille olympique. C’était Mady Moreau en 1952 Ă  Helsinki, qui a terminĂ© deuxiĂšme du tremplin Ă  3 m
12,7 millions de français pratiquent la natation en loisir
Les Jeux Olympiques de Barcelone en 1992 sont les premiers depuis Munich en 1972 à se dérouler sans aucun boycott.
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En tant qu’ancien nageur, qu’est-ce qui vous a donnĂ© envie de rĂ©aliser un film sur votre discipline ?
Je voulais cĂ©lĂ©brer la natation parce que ma retraite sportive ne s’est pas accompagnĂ©e d’une dĂ©prime. J’ai arrĂȘtĂ© de nager vers 19 ans, ce qui est assez jeune, mais j’ai quand mĂȘme remportĂ© des mĂ©dailles nationales. J’étais suffisamment talentueux pour me poser la question : « Je vais au bout oĂč j’arrĂȘte ? » . Ma transition post natation a Ă©tĂ© paisible car je nourrissais dĂ©jĂ  une passion pour les arts. Au fond de moi, je savais que j’allais y mettre toute ma dĂ©votion et le temps nĂ©cessaire pour vivre cette nouvelle vie. Je ne voulais pas ĂȘtre Ă  50% dans la natation et dans le cinĂ©ma. Pour moi, ça aurait Ă©tĂ© perdant-perdant !
Il ne s’agit toutefois pas d’une Ɠuvre autobiographique ?
Non, absolument pas, mais j’ai des amis qui ont poursuivi leur carriĂšre au plus haut niveau. J’ai fini par constater que certains se retrouvaient parfois dans des situations complexes Ă  l’issue de leur carriĂšre. Ceux qui ont repris les Ă©tudes, par exemple, Ă©taient souvent les plus ĂągĂ©s de leur classe. Ils passent d’une discipline dans laquelle ils excellent Ă  un nouvel environnement dans lequel ils doivent faire leur preuve. J’ai observĂ© que les reconversions qui se dĂ©roulent le mieux sont celles qui sont animĂ©es par une vĂ©ritable passion.
La nageuse canadienne Katerine Savard (médaillée de bronze avec le relais canadien 4x200 m nage libre aux Jeux de Rio en 2016 et demi-finaliste du 100 m papillon aux Jeux 2021 de Tokyo, ndlr) incarne Nadia dans le film le second long métrage du réalisateur Pascal Plante (Photo : Nadia, Butterfly).
Nadia, Butterfly Ă©voque justement ce sujet : la « petite mort » qui accompagne la fin d’une carriĂšre de sportif de haut niveau.
Oui, c’est exactement ça ! On peut mĂȘme parler d’un deuil. C’est d’ailleurs comme ça que j’ai conçu le scĂ©nario. Nadia est un peu juvĂ©nile, en quĂȘte de sensations et de nouveautĂ©s. On enterre Nadia l’athlĂšte pour dĂ©couvrir une jeune femme naĂŻve et un peu perdue. Au dĂ©but, elle tente de se projeter dans l’avenir, mais elle est dans le dĂ©ni. Elle se met en tĂȘte qu’elle a encore une course Ă  disputer, puis elle passe par la colĂšre envers elle-mĂȘme et les autres avant de progresser vers l’acceptation

Qui s’accompagne d’ailleurs d’une certaine forme de sĂ©rĂ©nitĂ©, non ?
Nadia laisse sa vie d’athlĂšte au bord de la route, mais aussi son enfance car elle comprend que sa vie de nageuse professionnelle l’infantilise. Symboliquement, le monde du sport est reprĂ©sentĂ© dans le film par les mascottes olympiques. Dans le sport de haut niveau les symboles sont forts parce qu’une mĂ©daille en elle-mĂȘme ne vaut Ă  la fois rien et tout en mĂȘme temps ! Dans le film, la peluche des JO qu’elle gagne dans une salle d’arcades japonaises est une broutille, mais celle qu’elle reçoit sur le podium, qui est pourtant exactement la mĂȘme, a une toute autre valeur ! Je voulais aussi montrer que l’athlĂšte est compĂ©titif dans tout ce qu’il entreprend, qu’il ne renonce jamais et qu’il est habitĂ© par une soif de victoire qui peut finir par l’aveugler et le dĂ©tourner de ce qu’il est intrinsĂšquement.
En tant qu’ancien nageur et compĂ©titeur de haut niveau appliquez-vous ces prĂ©ceptes dans votre carriĂšre de rĂ©alisateur ?
Disons que j’ai gardĂ© une discipline que j’ai hĂ©ritĂ© de mes annĂ©es aquatiques. Un tournage n’a rien Ă  voir avec une performance sportive, mais dans l’approche, dans la rigueur, il y a des similaritĂ©s. Toutefois, la part de libertĂ©, de lĂącher-prise et de crĂ©ativitĂ© dans mon travail de rĂ©alisateur n’a rien de commun avec la recherche du geste parfait que j’ai pu expĂ©rimenter en natation. Si l’exigence est la mĂȘme, le but diffĂšre ! Dans le sport, il faut dominer. L’Ɠuvre cinĂ©matographique tient davantage de la proposition, d’une vision. Il n’y a aucune volontĂ© d’imposer.
Au final, on ne sait pas si Nadia, Butterfly est un film positif ou critique Ă  l’égard du monde sportif. Pouvez-vous nous Ă©clairer ?
Je pense qu’il y a un entre-deux, mais le film est plutĂŽt bienveillant. J’ai tenu Ă  collaborer avec de « vraies » nageuses pour bĂątir un film honnĂȘte car c’est un milieu que j’aime et que je ne souhaitais pas « maltraiter ». D’ailleurs, la natation est l’enfant pauvre des sports au cinĂ©ma car peu d’Ɠuvres cinĂ©matographiques la mettent en valeur. Ce film, c’est un peu un tĂ©moignage d’amour pour ma discipline. Toutefois, il Ă©tait Ă©galement important de montrer que l’olympisme n’est pas tout rose. Le film a Ă©tĂ© tournĂ© en 2019 et met en scĂšne les Jeux de 2020 qui n’ont finalement pas eu lieu, mais on savait que l’on tournait des JO presque mĂ©taphoriques. Et moi, ça me plaĂźt que le film soit une fiction.
A propos des Jeux, comment avez-vous tournĂ© l’impressionnante scĂšne du relais qui nous captive pendant de longues minutes au dĂ©but du film ?
J’ai pris le parti de rendre la course moins intelligible. Je voulais montrer la confusion et l’adrĂ©naline, suivre quelques protagonistes dans ce magma d’émotions. Je tenais vraiment Ă  ce que cela paraisse rĂ©el et surtout ne pas tricher en Ă©dulcorant le rĂ©cit. Pour cela, nous avons filmĂ© en plans sĂ©quences en suivant les quatre Canadiennes dans le tumulte de la plage de dĂ©part et des passages de relais. Techniquement, c’était un dĂ©fi car les actrices ont nagĂ© Ă  vitesse rĂ©elle, mais je me suis dit qu’il fallait que les spectateurs vivent la course de la façon la plus authentique qui soit !
Pourquoi avoir porté votre dévolu sur des nageuses, dont la Canadienne Katerine Savard (médaillée de bronze avec le relais canadien 4x200 m nage libre aux Jeux de Rio en 2016 et demi-finaliste du 100 m papillon aux Jeux 2021 de Tokyo, ndlr) qui incarne Nadia dans le film, et non des actrices chevronnées ?
Il fallait une vraie nageuse ne serait-ce qu’au niveau du budget car nous n’avions pas la possibilitĂ© de crĂ©er des images de synthĂšse pour reconstituer les scĂšnes de course. La musculature et les routines des athlĂštes Ă©taient aussi importantes Ă  retrouver Ă  l’image. Et ça, c’est difficile Ă  retrouver, mĂȘme chez des acteurs expĂ©rimentĂ©s ! Pour le film, il y avait dĂ©finitivement des dĂ©fis, un travail avec la nageuse pour apprendre Ă  jouer, mais Katerine n’a pas pris de cours. C’est un heureux hasard que la nageuse la plus rapide ait Ă©tĂ© la meilleure lors des auditions ! Je recherchais une personne touchante et je trouvais qu’elle nous invitait dans sa tĂȘte. Il fallait simplement la mettre Ă  l’aise, notamment en choisissant la bonne partenaire pour elle dans le film qui est son amie dans la vraie vie (Ariane Mainville). Donc ça a roulĂ© car elles ont vu ce film comme une vĂ©ritable aventure humaine. Je leur avais promis une belle expĂ©rience, je crois que c’est rĂ©ussi !
Une « belle expĂ©rience » de vie et de cinĂ©ma, mais le film traite, lui, d’une expĂ©rience plus douloureuse, celle de la fin de carriĂšre

(il intervient) Ce long mĂ©trage aborde beaucoup de sujets : la transition de l’athlĂšte vers une nouvelle vie, le passage de l’enfance Ă  l’ñge adulte, l’évolution d’une amitiĂ© aussi car en prenant sa retraite sportive Nadia laisse des amies derriĂšre elle. Je ne voulais pas me contenter d’un unique thĂšme. Cela aurait Ă©tĂ© trop rĂ©ducteur. La vie est tellement plus riche. Je trouve en tout cas que ces questions donnent un rythme atypique Ă  ce film par rapport Ă  ce qu’on l’habitude de voir autour du sport.
Au-delĂ  du rythme et des nombreux plans sĂ©quences, nous avons Ă©galement Ă©tĂ© frappĂ©s par le cĂŽtĂ© documentaire de certaines scĂšnes. S’agissait-il d’une volonté assumĂ©e ?
D’une certaine façon oui, mais il s’agissait surtout de dĂ©peindre un univers « étriqué » rĂ©gi par des codes trĂšs prĂ©cis. Nadia Ă©volue dans ce milieu, mais avec le temps, elle finit par se poser des questions sur son Ă©panouissement personnel et intellectuel. Je suis content que le film soit un peu « documentaire », en partie aussi parce que ce sont de vraies nageuses qui interprĂštent les personnages principaux, mais il n’en demeure pas moins une Ɠuvre de fiction.
Nous avons aussi cru percevoir une critique du traitement journalistique de la natation aux Jeux olympiques. Est-ce le cas ?
C’est davantage un constat sur le formatage qui est prĂ©sent aux Jeux. Le simple concept d’un corridor de presse et d’une zone mixte me semble trĂšs
 spĂ©cial ! Les journalistes font ce qu’ils peuvent, mais je pense que s’il y a une critique, elle n’est pas contre eux. Le fait que les questions des mĂ©dias soient « creuses » n’était pas voulu dans le film. Je voulais surtout montrer qu’à peine sortie de leur course, les athlĂštes doivent mettre des mots sur leurs Ă©motions, leurs doutes et des questions auxquelles ils n’ont pas de rĂ©ponse.
Avez-vous de nouveaux projets en cours ?
J’espĂšre pouvoir tourner un film l’annĂ©e prochaine, mais pour le moment je profite et je soutiens la vie de Nadia, Butterfly . Je n’avais aucune idĂ©e de ce qu’allait ĂȘtre l’avenir du film Ă  cause de la pandĂ©mie. La sĂ©lection Festival de Cannes a Ă©tĂ© une surprise totale ! J’ai pu exorciser cette envie de tourner un long mĂ©trage sur le sport, mais le prochain sera totalement diffĂ©rent.
Recueilli par Adrien Cadot (avec Issam Lachehab)
Cliquez sur l’affiche pour dĂ©couvrir la bande-annonce !
Le rĂ©alisateur quĂ©bĂ©cois s’est fait remarquer avec Les Faux Tatouages , son premier long mĂ©trage de fiction, laurĂ©at du Grand prix Focus QuĂ©bec/Canada au FNC 2017 et sĂ©lectionnĂ© Ă  la Berlinale 2018. DiplĂŽmĂ© de l’UniversitĂ© Concordia Ă  MontrĂ©al en 2011, Pascal Plante n’a pas tardĂ© Ă  Ă©crire et rĂ©aliser de nombreux courts mĂ©trages, incluant Blonde aux yeux bleus (Meilleur court mĂ©trage Canadien, VIFF 2015), Nonna (Slamdance 2017) et Blast Beat (Slamdance 2019). Le cinĂ©aste quĂ©bĂ©cois se dĂ©crit comme un cinĂ©phile devenu cinĂ©aste de fiction, au regard de documentariste. Nadia, Butterfly est son deuxiĂšme long mĂ©trage de fiction, en sĂ©lection officielle pour la 73e Ă©dition du Festival de Cannes en 2021.

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Pascal Plante : « Un tĂ©moignage d’amour Ă  la natation »


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Le plongeon tricolore n’a ramenĂ© qu’une mĂ©daille olympique. C’était Mady Moreau
Salope Ă  la peau laiteuse
Monte sur le levier de vitesses
Je suis presque sûr que ce n'est pas un vrai massage

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