Elle reçoit une double ration de bite

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Elle reçoit une double ration de bite
Immersion dans la police toulousaine











Béatrice Bruna est aujourd'hui en convalescence dans l'Aude.
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Dix-huit mois qu'elle attendait. Le 4 décembre, Béatrice Bruna a reçu le coup de fil qui a changé sa vie. Un rein et un pancréas étaient disponibles à l'hôpital Rangueil. L'ancienne diabétique est aujourd'hui en convalescence dans l'Aude, et témoigne: "Je sais que c’est une chance. Il y en a qui galèrent pendant des années avant d’avoir une greffe. C’est important d’en parler, de sensibiliser les gens au don d’organes. La greffe, c’est un grand espoir, il faut y croire, et ne pas avoir peur." Pour sa mère, "Béatrice a reçu le plus beau des cadeaux, celui tant attendu et qui vaut la renaissance espérée. Il n’y a pas de merci assez grand envers celui ou celle qui a fait un si grand geste.»
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Voler l’homme d’une autre et sous ses propres yeux, Céline ne s’en serait jamais cru capable. Mais la tentation était trop forte.
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Partir seule en vacances avec ses deux enfants, c’est rigolo, mais il y a mieux. Je décide donc de louer, avec ma meilleure amie et son mari, une maison au bord de l’eau pour nous et nos quatre fils. J’ai besoin de chaleur, d’horizon bleu et de cigales. Nous optons pour la Méditerranée. Comme la maison est grande, Bruno, le mari de Nathalie, propose d’y convier Pierre et Fabienne, un couple d’amis que je ne connais pas, mais dont Nathalie me dit toujours du bien. 
Nous sommes déjà installés sous un olivier, quand la voiture apparaît au bout de l’allée. Fabienne en sort la première, mais je n’ai d’yeux que pour Pierre. Le soleil dans la figure, les mains sur le volant, le front ridé par la lumière, il me regarde. J’essaie de me remettre les idées en place. Il n’est pas question de faire n’importe quoi. Est-ce mon divorce qui produit cet effet-là ? Il faut dire que mon ex-mari a cessé de me toucher après la naissance de notre deuxième fils… Qui a 9 ans. Pierre me fait la bise, et son odeur me pénètre. Des papillons me montent à la tête tandis que mon cerveau analyse chaque fragrance que Pierre exhale, menthe, chaleur, reste de parfum sur le lin de sa chemise. Et tout mon corps se liquéfie. Pierre est là depuis quelques heures et, chaque fois qu’il sort de ma vue, je le cherche. Je sais qu’il sait. Je sens qu’il sent. Et cette attirance mutuelle qui a germé en une fraction de seconde ne s’estompe pas au fil de la journée. Le soir, à table, alors que nous nous asseyons côte à côte, nos genoux se frôlent. Nathalie parle de mon récent célibat , annonçant à qui veut l’entendre que les hommes, sur la plage, n’auront qu’à bien se tenir. Mes fils râlent de ces mauvaises blagues. Fabienne se joint à Nathalie pour me souhaiter : « Bonne chasse ! ». Et, à ce moment-là, la main de Pierre effleure ma cuisse. Je suis en nage. De la racine des cheveux à l’arrière des genoux, mon corps libère de l’eau. J’ai l’impression de me défaire de kilos de trop. Ces kilos de lourdeur sentimentale, d’échec. Je me sens redevenir légère.
Chacun part se coucher et, dans ma chambre, je recadre mes pensées. Fabienne est là, sous le même toit. Il n’est pas question que je me laisse aller à faire n’importe quoi avec le mari de l’amie de ma meilleure amie. Mais qu’est-ce qui m’arrive ? Moi qui suis toujours si droite, qui me vante de n’avoir jamais trahi personne, je serais donc capable de voler le mari d’une femme sous ses propres yeux ? Le lendemain est un jour de malchance. Quand je me réveille, les garçons sont déjà partis à la plage avec Fabienne, Bruno et Nathalie. Pierre lit devant la maison, attendant le réveil de sa fille Nancy pour les rejoindre. Quand il me voit, il me tend une tasse de café. Je m’assieds à côté de lui et une vague d’émotion me recouvre. Je voudrais dire un mot sur Fabienne, afin de placer une sorte de barrière entre nous, mais je me tais. Nos yeux se croisent, s’agrippent et se dévorent pendant de longues secondes. Je fuis son regard, je me lève et pars sous la douche. Ma situation est impossible, je refuse de m’autoriser une telle légèreté, mais mon corps désire Pierre à un point tel que je vais devenir dingue si je reste ici avec lui… Alors que je cogite sous la douche, la porte de la salle de bains s’ouvre. Pierre la referme à clef derrière lui, me pose la main sur les lèvres, et entre avec moi sous l’eau chaude. Nous faisons l’amour comme si c’était la millième fois. Ce corps inconnu me connaît. Nos souffles restent silencieux, profonds comme deux extases muettes. Subjuguée par la violence de notre élan l’un pour l’autre, je perds la tête. Je n’ai jamais aussi bien fait l’amour. La petite voix de Nancy qui appelle son père à travers la maison nous ramène à la raison. Pierre se rhabille et va la rejoindre. Je reste là, anéantie, ivre d’amour, de bonheur… et de culpabilité.
Nous partons tous trois à la plage pour rejoindre les autres. Fabienne a déjà repéré pour moi tous les célibataires. Nathalie me présente sa propre liste. et nous rions entre filles. si la situation était autre, Fabienne pourrait devenir une bonne amie ! Je passe des heures dans l’eau, afin d’éviter d’établir toute connivence avec elle. Quand nous rentrons à la maison et que Pierre me frôle alors que nous préparons le repas tous ensemble, je ne veux plus qu’une chose : lui. Dès lors, tout est prétexte à nous retrouver en tête à tête. Je descends à la cave chercher des bouteilles de vin et il arrive deux minutes après pour m’aider. Nos étreintes durent parfois une seule minute mais leur force est dévastatrice. Nous ne pensons qu’à ça mais nous ne nous parlons pas. Comme deux enfants enjoués, nous inventons des stratagèmes. Graves comme deux malfaiteurs, nous apaisons nos craintes dans nos ébats. Nous ne parlons de rien, et surtout pas de la situation. Nous sommes purement aimantés l’un par l’autre et survoltés dès que nous ne pouvons pas nous toucher.
Hier soir, Fabienne est allée se coucher un peu plus tôt. Nous avons traîné dehors, Nathalie, Bruno, Pierre et moi. J’avais l’impression d’être en couple, en vacances avec ma meilleure amie. Quand Pierre est allé rejoindre Fabienne, j’ai eu un choc. Je me suis demandé s’ils faisaient souvent l’amour ensemble. J’ai posé la question telle quelle à Nathalie qui m’a répondu ne pas connaître assez Fabienne pour pouvoir me renseigner sur la fréquence, mais qu’elle la connaissait quand même assez pour me dire que c’était oui ! Je m’en suis voulu de ne pas tout lui raconter. Mais qu’aurais-je ressenti, moi, si Nathalie avait couché avec le mari d’une de mes amies, présente de surcroît ? Cette nuit-là, Pierre est venu me rejoindre dans ma chambre. Nous avons fait l’amour des heures, rien ne pouvait nous séparer. Il est parti à l’aube. Pendant le petit déjeuner, alors que Pierre tardait à nous rejoindre, Fabienne nous a dit qu’il avait souffert d’une grosse insomnie et qu’il était parti marcher. La semaine a continué. Je n’avais qu’un seul but, faire l’amour avec lui et que personne ne le sache. Avec Pierre, j’ai trouvé le soleil d’été que je cherchais, celui qui brûle et qui dévaste. Mais je n’assume pas la trahison. Quand la semaine s’achève, nous nous promettons de dîner tous ensemble à la rentrée et la voiture de Pierre et Fabienne disparaît à l’angle de la route. a cette seconde, je me jure de ne jamais le revoir. Je crains que mon corps ne me hurle l’inverse, mais non, je le sens apaisé, soulagé, comme si ma trahison s’éloignait. J’espère ne pas manquer de volonté. A peine une heure après son départ, Pierre m’envoie un texto. Je n’y réponds pas. Comme l’a dit Nathalie quand ils ont quitté la maison, Fabienne et Pierre sont magnifiques ensemble… alors je veux les laisser en paix. Je ne sais pas à qui je fais cette promesse. C’est sans doute à l’homme qui viendra pour moi, car, grâce à Pierre, mon corps s’est réveillé. Je veux penser que cette folie a juste servi à ça. Oui, je crois que mon corps est de nouveau prêt à aimer. Quelqu’un de libre.
Vous avez envie de raconter votre histoire ? Nos journalistes peuvent recueillir votre témoignage. Écrivez-nous à cmh@cmimedia.fr
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Publié le mardi 8 novembre 2016 à 11:30 par La Rédaction Sarkozy « Une double ration de frites » pour les élèves qui ne mangent pas de porc (VIDEO)
C’est la dernière phrase choc du candidat à la primaire de droite dans son acharnement contre «la tyrannie des minorités».
C’est dans son habitude de s’acharner contre les minorités. Ce lundi, Nicolas Sarkozy a balancé une nouvelle phrase choc lors d’un meeting à Neuilly-sur-Seine, concernant le communautarisme dans les écoles. Un sujet qui lui tient visiblement à cœur. 
«Je n’accepte pas dans nos écoles qu’il y ait des tables de juifs et des tables de musulmans. Et si dans sa famille on ne mange pas de porc, et bien le jour où à la cantine il y a des frites avec une tranche de jambon, et bien le petit il ne prend pas de tranche de jambon. Il prendra une double ration de frites. C’est la République. La même règle et le même menu pour tout le monde. C’est ça la République» , s’est exprimé le candidat à la primaire de droite. 
Une déclaration qui n’a pas manqué de faire réagir sur les réseaux sociaux. Beaucoup ont ironisé avec humour : 
Double ration de frites C'est la République On dirait une mauvaise phase de rap. https://t.co/CnRhSjRFI7
Je reviens du futur et 3/4 des français sont convertis à l'islam depuis que Sarkozy a proposé double ration de frites aux enfants musulmans.
bonjour aujourd'hui c'est double ration de frites #Sarkozy pic.twitter.com/fLkxPt1fF4
Le combat de Nicolas Sarkozy pour la laïcité dans les cantines qui ne date pas d’hier. En 2012, il se positionnait déjà en faveur de menus uniques : «Nous voulons les mêmes menus à la cantine pour tous les enfant de la République» affirmait t-il en pleine campagne présidentielle. 
En 2015, Sarkozy s’était révolté contre les menus de substitution le jour où du porc est proposé dans les écoles. «Je suis opposé aux repas de substitution. Je soutiens la décision du maire (de Chalon-sur-Saône, ndlr) : si vous voulez que vos enfants aient des habitudes alimentaires en fonction de leur confession, vous allez dans un établissement privé confessionnel. La République est laïque » , déclarait-il sur le plateau du JT de TF1. 
Cela concerne les musulmans qui veulent fêter l'Aïd-el-Fitr. Cette disposition, permise par la loi laïcité, fait s'insurger plusieurs syndicats, qui évoquent clientélisme et inégalités. 
Le candidat à la primaire de la gauche a tenté une comparaison délicate, avant de devenir la cible de nombreuses critiques chez les politiques et les internautes. 
Porc pour tous, parce que l'école est laïque et ne doit pas plier face aux impératifs de l'Islam. Telle est la vision de l'édile de Beaucaire (Gard), Julien Sanchez. Il a pris une mesure radicale en ce début d'année, qui déclenche la grogne et la fronde d'associations et membres du gouvernement.
Dans une tribune parue ce dimanche dans Le Parisien, 300 personnalités dénoncent l'explosion d'un nouvel antisémitisme sur le sol français. Un fléau antidémocratique qui, depuis le début des années 2000, a vu des bébés et des grands-mères périr, parce que juifs,
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