Elle peut en gérer deux grosses
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Accueil » Question » Comment gérer ce bébé « surprise » ?
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« Voilà, je suis enceinte de 4 mois, une grossesse surprise. Déjà maman d’un petit bout de 20 mois, j’appréhende énormément l’arrivée du second… Les nuits courtes, allaitement, les bains, les repas… c’est fois deux, et ils vont tout deux me solliciter vu leur jeune âge. Rien que d’y penser ça me donne le tournis. Auriez-vous des conseils ? Ou témoignages de maman qui sont dans ce cas. Merci »
Tu ne dois pas avoir de craintes particulières à avoir.. c’est sur que tout est une question d’organisation..
Je suis enceinte de 6 mois avec une chouquette de 16 mois et un garçon de 9 ans.. je vais recommencer à travailler après mon congé mater à 100%… et j’allaite également
Le fait d’être dans des âges rapprochés va surement te fatiguer au début.. je ne te dis pas le contraire.. mais parfois l’arrivée d’un autre petit bout va rendre le premier beaucoup plus autonome..
Il ne faut pas hésiter également à demander un coup de main à ton mari.. Tire ton lait avant de dormir pour qu’il puisse donner le premier bib de la nuit par exemple et toi te reposer un peu plus… les deux à la sieste l’après midi.. et hop Maman aussi..
Tu vas tellement être comblée et pleine de joie de voir tes boutchoux évoluer et créer une tendre complicité qu’il y aura plus de bons jours que de mauvais… et puis après quelques temps bébé 2 fera ses nuits.. tu seras beaucoup plus d’attaque!!
N’hésite pas également à trouver une nounou.. pour déposer ton petit loup quelques heures l’après midi et te reposer.. tu as diverses solutions qui peuvent t’aider à améliorer ton quotidien!!!
Courage !!
Je suis dans ton cas : j’ai accouché il y a un peu plus de deux semaines et j’ai déjà un petit garçon de 2 ans.
Il a été important pour nous de « préparer » l’aîné lorsque j’étais enceinte. Un peu tous les jours, lui expliqué qu’il y a un bébé dans le ventre de maman. Au début il ne comprend pas mais au fur et à mesure que le ventre grossit, il se rend compte que quelque chose se passe tout en gardant un côté abstrait. Et puis un jour il nous a dit que bientôt le bébé serait à la maison et que lui serait un grand-frère.
Depuis la naissance, c’est vrai que ça n’a pas été facile. Mais il a vite compris que si je donnais le sein à bébé il devait attendre son tour pour me demander quelque chose.
Après c’est une question d’organisation et d’habitudes : le soir après manger et avant que bébé réclame, on prépare les repas pour le lendemain midi et soir, ça me permet d’être plus tranquille la journée, douche également le soir quand le papa rentre du boulot. Du moment qu’on a de quoi manger et des vêtements à se mettre sur le dos, le reste je m’en fiche si le ménage n’est pas fait ! Et comme le dis Céline quand tout le monde dort l’après-midi, je m’assoupis aussi pour récupérer et être d’attaque pour la nuit
Je me permets de vous répondre car j’ai été dans votre cas il y a maintenant …16 ans !!! Et avec du recul, il y a beaucoup de choses que je n’ai pas faites !!! Une chose primordiale : reposez-vous en même temps que vos petits bouts ! C’est primordial. Acceptez que tout ne soit pas parfais…que le linge traine….que le ménage ne soit pas nickel que la maison soit en désordre…organisez-vous en fonction de vos petits et faites vous aider !!! Oui un âge rapproché et usant je ne vous le cache pas mais c’est génial, pour preuve j’ai eu trois enfants après les deux rapproches de deux ans et demi…on s’en sort très bien mais il faut un minimum fermer les yeux sur ce qui est moins important ..n’ayez pas peur du regard des autres si tout n’estpas parfait , l’important est de » tenir le choc » sur la durée !!! Je vous souhaite pleins de bonnes choses pour toute votre petite famille .
Bonjour,
Je suis maman de 3 enfants : 5 ans, 3 ans et 1 an. Comme vous pouvez constater ils on 2 ans d’écart comme pour les votre. Effectivement au début c’est stressant et beaucoup de boulot, mais il faut être une maman organisée. Au grand il faut lui explique les choses : que l’on peu pas tous faire en même temps… Et a part ce planning chargé c’est que du bonheur, les enfants grandissent ensemble et son beaucoup plus complices en grandissant.
Bon courage.
Maman de 2 petits bouts de 26 et 8 mois…
Chez nous c’était souhaité et on ne regrette rien!
La 2° se « cale » sur le premier car on ne lui laisse pas trop le choix mais elle a fait ses nuits très vite (pas d’alitement par contre pour moi) et leur complicité est magique!
On voit le bon côté des choses : sortie des couches en même temps
Bon courage et pas de panique; c’est du bonheur avant tout
Salut, moi j’ai des jumeaux de 15 mois, et je suis aussi enceinte de 5 mois. Perso j’appréhende pas de trop, se sera juste une autre organisation, mais si moi j’arrive a gérer, t’y arrivera . Stresse pas, une fois organiser ça viendra tout seul. Courage
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Envie d'enfant : le bon timing
Marianne Morizot
Journaliste spécialisée en tourisme/gastronomie/bien-être/parental
Publié le 05/12/2018 à 23h01
, mis à jour le 05/12/2018 à 23h01
Sommaire
Avoir des enfants rapprochés ou pas ?
Grossesses rapprochées : les précautions à prendre
L’organisation : le secret pour bien vivre une nouvelle grossesse
Préparer son tout-petit à l’arrivée d’un autre bébé
Détecter les signes d’alerte et se faire aider
Sources
https://www.insee.fr/fr/statistiques/2668280 Interviews de Catherine Pierrat, psychologue à Nice, spécialisée dans l'accompagnement des familles (couples, enfants...) http://www.psychologue-nice.org/ et Nicolas Dutriaux, sage-femme libérale à Herblay et Secrétaire général du Collège National des Sages-Femmes de France. Association of Short Interpregnancy Interval With Pregnancy Outcomes According to Maternal Age, JAMA, 29 octobre 2018 – en ligne ici
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Quelques mois après la naissance de votre premier enfant, vous vous sentez prête à retomber enceinte, voire vous l’êtes déjà. Écart d’âge idéal entre deux bambins, organisation au quotidien, annonce à l’aîné… Catherine Pierrat, psychologue et Nicolas Dutriaux, sage-femme, livrent leurs conseils pour concilier vie de future et jeune maman.
Avant de se lancer dans une nouvelle grossesse, beaucoup de jeunes parents s’interrogent sur la question de l’écart d’âge. Pour Catherine Pierrat, psychologue, " il n’y a pas d’idéal ! Chaque écart a ses avantages et ses inconvénients. Et plusieurs critères peuvent intervenir tels que le caractère des enfants (c’est plus facile d’avoir deux bébés "cools" rapprochés s’ils dorment bien), les conditions de vie de la famille (possibilité de se faire aider, de reprendre le travail à temps partiel), les capacités des parents à s’organiser, à supporter le manque de sommeil... ".
En pratique, d’après les chiffres de l’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE)¹, publiés en 2017, quatre ans, en moyenne, séparent la naissance de l’aîné de celle du cadet. Autre chiffre significatif : l’âge des primipares est évalué à 28 ans et demi. En résumé, avant 30 ans, les couples français ont tendance à patienter quelques années avant d’agrandir leur famille.
En revanche, horloge biologique oblige, les femmes qui deviennent maman pour la première fois autour de 35 ans, et désirant un second enfant, seraient tentées d’enchaîner deux grossesses, comme Elise, 37 ans. Deux mois à peine après son accouchement, elle envisage déjà de retomber enceinte. Mais pour les professionnels de santé, même si la décision finale appartient au couple en fonction de ses envies et de ses ressentis, il est essentiel de laisser un temps de repos au corps et à l’esprit .
Fiable, conviviale et rassurante : la nouvelle app Ma Grossesse de Doctissimo vous accompagne.
" L’écart d’âge idéal entre deux enfants, sur le plan physique pour la jeune maman, est autour de 27 mois . Il est donc recommandé d’attendre que votre aîné ait 18 mois avant de retomber enceinte, surtout en cas de césarienne . Ce délai permet notamment au corps de reconstituer ses réserves en fer. En deçà, il y a plus de risque de menace d'accouchement prématuré ou de petit poids à la naissance ", prévient Nicolas Dutriaux, sage-femme, avant d’ajouter " s’il y a eu des complications lors de la première grossesse, de l'accouchement ou de ses suites, il est préférable de patienter jusqu’à la guérison, ou à minima une stabilisation suffisante de votre état de santé ". Il en est de même pour les mamans souffrant de pathologie chronique ( hypertension , diabète , maladie auto-immune…).
En octobre 2018, u ne étude parue dans le Journal de l'Association médicale américaine (Jama) a montré, qu'un intervalle de moins d'un an entre deux grossesses augmentait les risques généraux liés à la grossesse (chez la femme), surtout après 35 ans.
" La consultation préconceptionnelle trouve ici toute son importance surtout quand elle peut être pluriprofessionnelle entre le gynécologue et le médecin référent de la pathologie qui donnera son aval pour une nouvelle grossesse " ajoute le sage-femme.
Du point de vue psychologique, au-delà de la fatigue, du manque de sommeil, des bouleversements hormonaux et changements physiques, il ne faut pas sous-estimer l’impact de deux grossesses rapprochées sur la vie du couple . En effet, les jeunes parents devront gérer deux bambins, pas encore autonomes. Cette situation exige beaucoup d’organisation, de patience et d’énergie. Néanmoins , l’aide de l’entourage est un paramètre déterminant . Une seconde grossesse, avec un enfant en bas-âge, ne sera pas obligatoirement plus compliquée, si la maman est bien soutenue et aidée.
D’après la psychologue, contrairement à ce que l’on pourrait croire, " le conjoint et l’entourage ne vont pas automatiquement tenir compte de la présence d’un premier enfant avec les conséquences que cela implique sur la seconde grossesse ". Aussi, dès l’annonce officielle de l’heureux événement aux proches, n’hésitez à demander de l’aide et à formuler clairement vos attentes, en disant par exemple : " J’ai besoin de me reposer, est-il possible de garder Jules cet après-midi ? ". Le mieux étant de pouvoir solliciter une garde régulière quelques heures par semaine .
Au quotidien, on se simplifie la vie en diminuant certaines activités et "obligations". A défaut de déléguer les tâches ménagères à des tiers, on lève le pied sur le ménage, la cuisine, le rangement. Pourquoi ne pas faire une liste de ce qui est inutile et/ou chronophage et ainsi alléger son planning ? Autre astuce pour gagner du temps (et de l’énergie) : faire ses courses via Internet et opter pour la livraison à domicile. Ou demander à son conjoint de s’en charger.
N’oubliez pas non plus d’ anticiper l’organisation pour le départ à la maternité et les jours suivants. Qui va garder votre aîné, l’emmener à l’école... ? Un problème d’autant plus important si votre famille est loin, que les grands-parents travaillent toujours. Plus tôt la question est posée, plus vite une solution sécurisante se dessine dans l’intérêt de toute la famille.
Pensez notamment aux dates du congé paternité et aux modes de garde pour vos deux enfants . Si votre tout-petit est encore en crèche , sollicitez dès le début de votre grossesse une deuxième place dans la même structure d’accueil pour éviter toute complication ou choisissez en une proche de l’école de votre aîné. Et, réfléchissez à un plan B en cas de refus. Plusieurs options s’offrent à vous : l’emploi d’une assistante maternelle, une demande de congé parental , un poste à temps partiel (pour vous, votre conjoint) ou pourquoi pas une garde assurée par les grands-parents. N’hésitez pas à consulter la convention collective de votre société, à prendre rendez-vous avec votre responsable des ressources humaines pour aménager votre temps de travail pendant la grossesse (pour rappel, c’est un droit) et à questionner la Caisse d’Allocations Familiale (CAF) sur les congés et divers aides auxquels vous pouvez prétendre. Bref, dès les premiers mois, libérez-vous des soucis logistiques afin de profiter sereinement de votre grossesse et de votre aîné.
Après les questions d’organisation, l’annonce de l’arrivée d’un autre membre de la fratrie est aussi un moment clé pendant la grossesse. Avant 3 ou 4 ans, il est préférable d'attendre le plus possible pour en parler à votre bambin, car à cet âge la grossesse est très abstraite et le temps peut lui paraître long. Néanmoins, en fonction de son degré de maturité et des circonstances ( par exemple, si vous êtes particulièrement fatiguée ), vous pourrez lui dire à la fin du premier trimestre.
Reste à trouver la bonne formule face à un enfant en bas-âge. Pas toujours facile… Le conseil de la psychologue : lui "parler vrai" avec des mots simples qu’il peut comprendre. Il faut lui expliquer que l’on est plus fatiguée que d’habitude, que l’on a besoin de s’allonger de temps en temps… Cependant, on évitera de dire que l’on a "mal", cela pourrait inquiéter votre bambin et lui faire associer "maladie, douleurs" à l’arrivée d’un petit frère ou d’une petite sœur.
" Chaque enfant peut réagir de différentes manières à la grossesse de sa maman, en fonction de son âge ",
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