Elle ne peut pas refuser l'argent

Elle ne peut pas refuser l'argent




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»

































Elle ne peut pas refuser l'argent

Rester informé des actualités citoyennes et administratives


Non-diffusion des données : L'email que vous nous communiquez est utilisé pour l'envoi de la newsletter, rien d'autre.

Actualités administratives en continu
Service fourni par DemarchesAdministratives.fr

DĂ©marche
mise Ă  jour le 30/01/2020 Ă  11h42
- La RĂ©daction de DemarchesAdministratives.fr

Toute personne est tenue d’accepter un rùglement en liquide sous peine de sanctions. Cependant, il est possible de refuser ce mode de paiement dans certains cas particuliers. Le point sur la situation.
Service fourni par DemarchesAdministratives.fr

  ©2010-2022 DemarchesAdministratives.fr - Tous droits réservés - Change Ad Consent
Do not sell my data

En France, le paiement en espĂšces est monnaie courante. En effet, les piĂšces et billets en euros ont « cours lĂ©gal ». Cela signifie que dans le cadre d’une transaction, il y a une obligation de les accepter. Toutefois, il existe des situations d’exceptions. DĂ©cryptage.
Tout crĂ©ancier a pour obligation d’accepter un paiement en espĂšces, dans la limite d’un plafond fixĂ© par la lĂ©gislation.
Pour les achats entre particuliers, il n’existe pas de restriction particuliĂšre. Toutefois lorsque le montant du paiement en liquide est supĂ©rieur Ă  1 500 €, il est obligatoire d’établir un document Ă©crit et cosignĂ© par les deux parties en guise de preuve.
Par contre, un particulier qui effectue un achat auprĂšs d’un professionnel pourra s’acquitter de son dĂ» en espĂšces dans la limite de :
En ce qui concerne le versement d’un salaire , l’employeur ne peut s’opposer à le reverser en liquide si ce dernier n’excùde pas 1 500 € net.
Enfin par exception, la direction gĂ©nĂ©rale des finances publiques n’est tenue d’accepter la monnaie que jusqu’à 300 €.
Bon Ă  savoir : Ces restrictions ne s’appliquent pas aux personnes dĂ©pourvues de compte de dĂ©pĂŽt et qui n’ont par dĂ©finition que ce seul moyen de paiement.
En ce qui concerne les transactions en cash entre professionnels, elles sont limitĂ©es Ă  1 000 € en gĂ©nĂ©ral et 3 000 € pour les acquisitions immobiliĂšres qui donnent lieu Ă  des formalitĂ©s de publicitĂ© fonciĂšre. À l’inverse, elles sont totalement proscrites pour les achats de mĂ©taux.
Il est possible de refuser un paiement en espĂšces en dessous du seuil fixĂ© dans certaines situations. C’est notamment le cas lorsque :
Toute personne qui refuserait d’accepter un paiement en espĂšces s’expose Ă  une amende de 2e classe dont le montant peut s’élever Ă  150 € .
Inversement, celles qui l’auraient acceptĂ© au-dessus des plafonds dĂ©finis par la lĂ©gislation encourent une peine financiĂšre Ă  se rĂ©partir qui peut aller jusqu’à 5 % du montant de la transaction.


Notre Temps, Ă©ditĂ© par le groupe Bayard, respecte votre vie privĂ©e. Nous et nos partenaires utilisons des cookies pour stocker ou accĂ©der Ă  des informations stockĂ©es sur votre terminal comme des identifiants uniques, traiter des donnĂ©es personnelles non sensibles comme l’adresse IP ou les pages que vous avez visitĂ©es afin d’amĂ©liorer la qualitĂ© de votre expĂ©rience de navigation, mesurer et analyser l’audience du/des sites. Vous pouvez accepter ou refuser ces traitements en paramĂ©trant vos choix. Vous verrez toujours de la publicitĂ© mais elle ne sera pas personnalisĂ©e.Vous pouvez Ă  tout moment revenir sur votre consentement en cliquant sur le lien " Gestion des cookies " ou dans notre politique de confidentialitĂ© sur ce site.Vos prĂ©fĂ©rences s’appliqueront aux sites Notre Temps et Ă  la Boutique Notre Temps.
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Cookies traceurs analytics , Cookies traceurs publicitaires , DonnĂ©es de gĂ©olocalisation prĂ©cises et identification par analyse du terminal , PublicitĂ©s et contenu personnalisĂ©s, mesure de performance des publicitĂ©s et du contenu, donnĂ©es d’audience et dĂ©veloppement de produit , Stocker et/ou accĂ©der Ă  des informations sur un terminal
Personnaliser mes choix Accepter & Fermer

Dossier coronavirus
Un assureur proche de vous
Psychologie
Couple et sexualité
Prévention
MĂ©decines douces
MĂ©decine
Forme
Beauté
Nutrition


Vie commune
ImpĂŽts
Logement
Succession
Assurance
Banque
Droit du consommateur
Emploi
Société
Prevoyance
DĂ©marches administratives


Ma vie Ă  la retraite
RĂ©version
Comprendre
Ma pension
Partir
Préparer


Mon conjoint et moi
Autonomie
Intergénération
Guide des aidants
Petits-enfants / grands-parents


Maison
Voiture
Animaux
Jardin
Cuisine


Internet
Smartphone / tablette
Ordinateur


Télévision et radio
Langue française
Histoire
Musique
Sorties
Tourisme
Musées
Cinéma
Livres
Loisirs créatifs


Jeux de logique
Jeux concours
Jeux en ligne


CroisiĂšres maritimes
CroisiĂšres fluviales


Experts notre temps
Magazines notre temps
Edito notre temps
Evenements notre temps


Entretiens de la silver eco
Cours de langue





Accueil





Droit & argent





Banque






Publié le 27/05/2021 à 18h12

-
Mise Ă  jour le 27/05/2021 Ă  18h12

par Guillaume Le Nagard


- Lecture en 9 min


Vous devez accepter l'utilisation des cookies de Digiteka pour lire la vidéo Je modifie le paramétrage de mes cookies


Emmanuelle Wargon officiellement nommĂ©e Ă  la tĂȘte du rĂ©gulateur de l'Ă©nergie




Le texte sur l'accélération des énergies renouvelables examiné à la rentrée




Route: Waze, Mappy et Moovit devront inciter les conducteurs Ă  rouler plus vert




Les prix de l'immobilier sur le littoral dopés par la crise sanitaire, selon la Fnaim




Sécheresse: "nécessité d'accélérer les transitions", affirme Christophe Béchu



Avec la newsletter ne ratez rien de l'actualité


Retraite | Santé | Droit | Loisirs | Argent

Vous devez accepter l'utilisation des cookies de Outbrain pour voir la liste des contenus conseillés Je modifie le paramétrage de mes cookies
Vous devez ĂȘtre connectĂ© pour dĂ©poser un commentaire Se connecter / S'inscrire

Avec la newsletter ne ratez rien de l'actualité


Retraite | Santé | Droit | Loisirs | Argent


© 2022 BAYARD - Tous droits réservés

"Pour cause de Covid, la maison ne prend plus les espĂšces": des Ă©criteaux de ce type sont apparus chez certains commerçants lors des premiers mois de l’épidĂ©mie de coronavirus. Traduire: seules les cartes bancaires sont autorisĂ©es.
Une injonction Ă  mettre sur le compte de l’inquiĂ©tude sanitaire. Elle est exagĂ©rĂ©e, le ministĂšre de SantĂ© a clairement indiquĂ© que le risque de contamination par l’échange d’espĂšces est in­fime. Mais surtout, elle est illĂ©gale: un commerçant ne peut vous refuser de rĂ©gler en espĂšces. *
Autres exemples: "Minimum carte bleue: 15€." Toujours agaçant pour qui a donnĂ© ses derniĂšres piĂšces au boulanger et doit courir au distributeur de billets pour payer son journal. Mais pas illicite.
Ou encore, un "Nous n’acceptons pas les chĂšques", parfois lĂ©gitime. ­Peut-on imposer ou interdire un mode de rĂšglement? Ou en encadrer l’usage et les montants? Voici le guide de ce que les commerçants doivent accepter
 ou pas.
Rien n’interdit de rĂ©gler le TrĂ©sor public en petites coupures, voire en piĂšces. Mais jusqu’à 300€ seulement
Une rĂšgle gĂ©nĂ©rale: pas de refus possible de la part du commerçant. Les piĂšces et billets de banque sont les seuls instruments de paiement Ă  avoir un cours lĂ©gal. À ce titre, ils ne peuvent ĂȘtre refusĂ©s (art. R642-3 du Code pĂ©nal) sous peine d’une contravention de 2e classe, soit 150€ (art. L131-13 du mĂȘme code). C’est le seul moyen de paiement obligatoirement acceptĂ©.
"Il n’existe guĂšre de contentieux sur ce point, signale l’avocat Franck Singer. Le dommage est gĂ©nĂ©ralement trop minime pour entamer une action." Il prĂ©cise nĂ©anmoins que le consommateur lĂ©sĂ© Ă  ce titre peut s’adresser Ă  la direction dĂ©partementale de la protection des populations du lieu oĂč se trouve l’entreprise concernĂ©e par le litige (coordonnĂ©es sur www.economie.gouv.fr/dgccrf/ coordonnees-des-DDPP-et-DDCSPP ).
Le DĂ©fenseur des droits peut aussi ĂȘtre saisi. Il a rappelĂ© la rĂšgle, dĂšs le 30 mars 2020, signalant la situation particuliĂšre des "majeurs protĂ©gĂ©s" (tutelle, curatelle) et des personnes en situation de prĂ©caritĂ© sociale, privĂ©s de moyens de paiement Ă©lectroniques: "Cette situation relĂšve des textes qui interdisent les discriminations, notamment la loi n° 2008-496 du 27 mai 2008." ­
Un montant maximum. Les rĂ©sidents ­fiscaux français peuvent rĂ©gler des professionnels en numĂ©raire jusqu’à 1000€. Au-delĂ , il faut sortir le carnet de chĂšques, la carte de paiement ou de crĂ©dit, ou faire un virement. L’infraction peut se traduire par une amende de 5% des sommes indĂ»ment rĂ©glĂ©es en espĂšces, partagĂ©e entre le client et le vendeur.
Ce plafond ne s’applique pas aux transactions entre particuliers. Pour les particuliers n’ayant pas leur domicile ­fiscal en France et n’agissant pas pour les besoins d’une activitĂ© professionnelle, le maximum grimpe Ă  15 000€.
Rares cas spĂ©ci­fiques Ă  noter: un salaire peut ĂȘtre payĂ© en espĂšces jusqu’à 500€; l’acquisition d’une propriĂ©tĂ© immobiliĂšre aussi, Ă  concurrence de 3000€.
Un nombre de piĂšces limitĂ©. Vous souhaitez vous dĂ©barrasser de vos piĂšces rouges et jaunes auprĂšs d’un commerçant? LĂ  aussi, la loi ­fixe une limite.
Au-delĂ  de 50 piĂšces, le paiement en espĂšces peut vous ĂȘtre refusĂ©.
Une boutique ne doit pas refuser les paiements en numĂ©raire, mais elle peut restreindre les points de rĂšglement en espĂšces Ă  certaines caisses, voire aux seules caisses automatiques. "Elles doivent ĂȘtre disponibles en proportion suffisante, nuance Me Singer, et ne pas provoquer ­ une attente exagĂ©rĂ©e des clients. En pĂ©riode de Covid, le commerçant pourrait mĂȘme subir un contrĂŽle sanitaire dans ces circonstances."
Un billet amputĂ© d’une partie ou lĂ©gĂšrement brĂ»lĂ© peut ĂȘtre lĂ©gitimement refusĂ©, de mĂȘme qu’un billet largement dĂ©chirĂ© ou coupĂ© en deux. Mais, selon le niveau de dĂ©gradation, il reste Ă©changeable auprĂšs de la Banque de France ou d’une de ses antennes, ou encore Ă  La Poste.
En cas de soupçon de fausse monnaie, le commerçant peut aussi opposer un refus. S’ils se rĂ©vĂšlent faux, les billets ne doivent plus ĂȘtre utilisĂ©s. RapportĂ©s Ă  la Banque de France, ils seront dĂ©truits sans donner lieu Ă  compensation, mĂȘme si le porteur est de bonne foi.
Par mesure de sĂ©curitĂ©, il peut ĂȘtre permis aux commerçants de refuser les espĂšces en horaires de nuit.
En vue de décourager le vandalisme, les horodateurs peuvent ne pas accepter les espÚces et vous imposer un rÚglement par carte.
La Poste ne vous autorise pas Ă  glisser un billet dans une enveloppe de courrier. Le dĂ©cret du 21 mai 2013 modifiant le Code des postes et des communications Ă©lectroniques est clair: "L’insertion de billets de banque, de piĂšces et de mĂ©taux prĂ©cieux est interdite dans les envois postaux, y compris dans les envois Ă  valeur dĂ©clarĂ©e, les envois recommandĂ©s et les envois faisant l’objet de formalitĂ©s attestant leur dĂ©pĂŽt et leur distribution. "
Non seulement vous n’aurez aucun recours si le billet destinĂ© Ă  votre neveu disparaĂźt en route, mais vous serez en infraction. Il vous reste le mandat cash qui lui permet d’aller retirer Ă  son bureau de poste la somme que vous aurez dĂ©posĂ©e Ă  son intention dans le vĂŽtre (mais l’opĂ©ration est payante).
La carte bancaire est devenue un moyen de paiement gĂ©nĂ©ralisĂ© et relativement sĂ»r. "La carte continue d’avoir la prĂ©fĂ©rence des Français qui l’utilisent dans plus de la moitiĂ© des transactions scripturales en volume", confirme l’Observatoire de la sĂ»retĂ© des moyens de paiements (OSMP), dĂ©pendant de la Banque de France, dans son dernier rapport (septembre 2020).
Le dĂ©veloppement du paiement sans contact, dont le plafond a Ă©tĂ© portĂ© Ă  50€ au dĂ©but de la crise sanitaire, explique la tendance (+ 60% en nombre de transactions et + 120% en montants entre 2019 et mi-2020). ­
Pourtant, rien n’oblige un commerce Ă  s’équiper d’un terminal de paiement Ă©lectronique. Il peut refuser un paiement en carte et librement choisir de n’accepter que des rĂšglements en espĂšces jusqu’au maximum lĂ©gal pour ce montant (1000€).
C’est de plus en plus rare, mais des vendeurs de marchĂ©, par exemple, peuvent parfaitement vous demander uniquement des piĂšces et des billets. En revanche, si le commerce est alliĂ© Ă  un rĂ©seau de cartes bancaires, il est tenu d’accepter les cartes correspondantes (Visa, Mastercard ou American Express).
Et il lui est interdit de refuser un paiement par carte à un client plutît qu’à un autre. Sa pratique ne peut pas discriminer et doit faire l’objet d’une information à tous les consommateurs.­
Votre boulanger ou votre marchand de journaux n’accepte pas les rĂšglements en carte infĂ©rieurs Ă  10€ ou 15€? Ce refus s’explique en gĂ©nĂ©ral par la commission interbancaire qu’il doit payer sur ces rĂšglements. Celle-ci, comportant une partie ­fixe, est d’autant plus pĂ©nalisante pour les petits montants. Et en effet, votre commerçant peut fixer ses limites de montant au paiement par carte.
La limite supĂ©rieure sera plutĂŽt dĂ©terminĂ©e par votre banque en fonction du type de carte, mais le commerçant peut aussi en imposer une, par exemple, pour privilĂ©gier les virements, qui font moins l’objet de fraudes, pour des montants importants. ­
Les conditions de vente d’un commerce doivent ĂȘtre clairement affichĂ©es Ă  l’entrĂ©e du magasin ou aux caisses, ainsi que dans les conditions gĂ©nĂ©rales de vente (art. L112-1 du Code de la consommation): rĂ©seaux de cartes acceptĂ©s, minimum et maximum de paiement.
Ces conditions visibles de tous Ă©vitent de rĂ©server ce traitement Ă  certains clients et pas Ă  d’autres. Dans la pratique, bien sĂ»r, il peut lui arriver de faire preuve de tolĂ©rance pour un habituĂ© qui, exceptionnellement, n’a plus de monnaie en poche.
Les taxis ont l’obligation d’accepter les espùces, comme tout commerçant, mais aussi les cartes de paiement.
Un commerçant veut vous faire payer des frais supplémentaires pour un paiement par carte bancaire, prétextant la commission appliquée par la banque­? Cette pratique nommée "surcharging" est tout simplement interdite (art. L112-12 du Code monétaire et financier).
AnnĂ©e aprĂšs annĂ©e, le recours au chĂšque recule dans les habitudes des consommateurs. L’OSMP constate ainsi qu’en 2019, le nombre de rĂšglements par chĂšque a encore faibli de 9%. Il est maintenant supplantĂ© par la carte bancaire, mais reste prisĂ© pour les montants Ă©levĂ©s. ­
Un commerce n’est pas tenu d’accepter les rùglements par chùque, pas plus que par carte.
C’est la rĂšgle gĂ©nĂ©rale. L’article L112-1 du Code de la consommation s’applique encore: il doit le signaler clairement Ă  sa clientĂšle, par affichage notamment.
Mais s’il s’est a liĂ© Ă  un centre de gestion agrĂ©Ă© - intermĂ©diaire financier qui assure pour les vendeurs la gestion de leur flux de paiements par chĂšque -, il doit l’afficher en magasin et il est cette fois tenu d’accepter ce moyen de paiement. ­
Appel d’un(e) responsable de caisse ou d’un vigile, demande de deux piĂšces d’identitĂ© diffĂ©rentes
 Les mesures de sĂ©curitĂ© prises par certains commerces Ă  l’égard des signataires d’un chĂšque semblent parfois vexatoires. Mais il s’agit du moyen de paiement qui fait le plus l’objet de fraudes, indique l’OSMP, passĂ© devant la carte bancaire en 2019 (46% du total des fraudes, en augmentation dans un contexte d’usage dĂ©croissant).
Ce qui peut expliquer la frilositĂ© ou le luxe de prĂ©cautions des commerçants Ă  son Ă©gard. "Demander deux piĂšces d’identitĂ© est licite, relĂšve Me Singer. Et si une mention ou une photo ne semble pas correspondre Ă  l’identitĂ© du porteur du chĂšque, cela peut constituer un motif lĂ©gitime de refus.'
Le commerçant peut Ă©galement vĂ©ri­fier qu’un chĂšque n’a pas Ă©tĂ© volĂ© auprĂšs du Fichier national des chĂšques irrĂ©guliers (FNCI) s’il y est abonnĂ© (gĂ©rĂ© par la Banque de France et indĂ©pendant du fi­ chier des incidents de paiement).
En revanche, il est illégal de refuser des chÚques au prétexte que leur signataire serait domicilié en dehors de la région ou du département du lieu de vente, ce qui constituerait une discrimination en raison du lieu de résidence (infraction pénale et plusieurs décisions du Défenseur des droits). ­
Comme pour la carte bancaire, le commerçant est libre de ­fixer les montants minimum et maximum de rĂšglement par chĂšque. Sous rĂ©serve d’afficher ces conditions.
En cas d’infraction routiĂšre, il est possible de rĂ©gler sur le champ une amende - contre remise d’une quittance - en espĂšces ou par chĂšque, plus rarement par carte bancaire, les forces de l’ordre possĂ©dant peu de terminaux de paiement.
Le rĂšglement diffĂ©rĂ© propose des modes de paiement bien plus variĂ©s: timbre-amende, en ligne, par tĂ©lĂ©phone ou en espĂšces au guichet d’un centre des Finances publiques (pour un maximum de 300€)


Un massage trĂšs complet
Plan Ă  trois avec deux bombes
Un black sur une salope blanche

Report Page