Plan à trois avec deux bombes

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2.3.3.1 Réemploi pendant l'Occupation
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Article principal : Ligne Maginot .
Articles détaillés : RIF , BAF et RAP .
Articles détaillés : Moselstellung et Forts de Metz .
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Article connexe : Bataille de Metz .

↑ L' ouvrage du Mont-Agel est rétrogradé en 3 e classe le 7 avril 1940 .

↑ Si le commandement des ouvrages est le plus souvent assuré par un fantassin, dans les cas du Rochonvillers et du Hackenberg il s'agit d'un artilleur, tandis qu'à l'ouvrage du Pas-du-Roc il s'agit d'un sapeur (l'ouvrage est inachevé en 1940, les travaux sont dirigés par le commandant de l'ouvrage jusqu'au début des combats).

↑ Les noms indiqués des forts de Metz sont ceux donnés par les Français à partir de 1918.

↑ L'idée a été publiée par le colonel Tricaud en 1923 [ 10 ] .

↑ Le canon de 520 mm est un matériel français d' artillerie lourde sur voie ferrée développé en 1916, le plus gros calibre connu à l'époque, tirant un obus de 1 650 kg . Les deux exemplaires ne furent jamais opérationnels. Source : Stéphane Ferrard , France 1940 : L'armement terrestre , Boulogne, ETAI, 1998 , 239 p. ( ISBN 2-7268-8380-X ) , p. 223 .

↑ Pour le cas des travailleurs polonais, voir l'article sur l' immigration polonaise en France .

↑ Le béton utilisé est défini par la Section technique du génie (STG) selon les normes suivantes pour un mètre cube de béton damé : 400 kg de ciment , 0,3 m 3 de sable et 0,9 m 3 de galets .

↑ Dans le cas de la construction des ouvrages plus tardifs, les cuirassements sont directement installés lors de la coulée du béton.

↑ Par manque de place dans les chambres de tir, les antichars de 47 mm sont souvent remplacés par des pièces de 37 mm AC sous casemate et par des petits canons de 25 AC sous les cloches et tourelles (montés en arme mixte ). Le seul antichar de 25 mm monté sous casemate l'est dans le bloc 1 du Welschof, installé en 1940.

↑ Sept tourelles pour une arme mixte et un mortier ont été installées le long de la ligne, mais seulement deux l'ont été sur des ouvrages, à Boussois et Anzeling .

↑ Sur les 100 canons de 75 mm installés sous casemate le long de la ligne, quatre le sont en Corse dans les casemates de l'Arena, de Saint-Cyprien et de Santa-Manza. Cf Organisation défensive de la Corse .

↑ Sur les 86 mortiers de 81 mm installés sous casemate, deux le sont dans la casemate d'intervalle d'Hoffen Ouest, qui aurait dû faire partie du petit ouvrage du Bois-d'Hoffen, ajourné et remplacé par un couple de casemates.

↑ Le Memorandum sur les fortifications françaises ( Denkschrift über die französische Landesbefestigung ) est publié le 1 er octobre 1941 à Berlin par l' Oberkommando des Heeres . Il fait 448 pages.

↑ Le mortier de 600 mm tire à quatre ou six kilomètres deux types d'obus capables de percer 2,5 à 3 m de béton, la schwere Betongranate de 2 170 kg et la leichte Betongranate de 1 700 kg . Ce type de mortier a été produit à sept exemplaires nommés Adam/Baldur, Eva/Wotan, Odin, Karl/Thor, Loki, Ziu et Feni. Source : « 60 cm Mörser Gerät 040 "Thor" » [ archive ] , sur http://www.whq-forum.de [ archive ] .

↑ Le canon de 800 mm tire à quarante kilomètres deux types d'obus, le Panzerbrechendes Geschoss de 7 100 kg capable de percer sept mètres de béton et la Sprenggranate de 4 800 kg .

↑ 40 coups de 420 mm seraient tombés sur le Schœnenbourg selon le lieutenant Larue, 52 selon le capitaine Stroh et 28 selon le Denkschrift de 1941.

↑ Ces reconstitutions filmées ont lieu contre les ouvrages de La Ferté, de Fermont et du Schœnenbourg.

↑ Sont démontés et emportés par les Allemands : la tourelle de 75 mm modèle 1933 du bloc 5 de l' ouvrage de Vélosnes ; la Tourelle de 75 mm R modèle 1905 /34 du bloc 5 de l' ouvrage du Chesnois ; la tourelles de mitrailleuses de l' ouvrage de la Ferme-Chappy ; les tourelles pour deux armes mixtes des ouvrages d'Eth , des Sarts , de La Salmagne , de Bersillies , de Boussois (bloc 2), du Chesnois (bloc 1), de Thonnelle (bloc 4) et de Velosnes (bloc 1) ; les tourelles pour une arme mixte et un mortier de l' ouvrage de Boussois (bloc 3) et des casemates de Tallandier, d'Héronfontaine, de Rocq, du Bois de Marpent Nord et du Bois de Marpent Sud.

↑ L'Alsace-Moselle est administrée de 1940 à 1944 en tant que CdZ-Gebiet Lothringen et CdZ-Gebiet Elsass .

↑ Commande du CTF à la DEFA (Direction des expérimentations et fabrication d'armement) en mars 1952 : 53 jumelages de mitrailleuses, 80 périscopes, 13 pièces de 135 mm , 33 mortiers de 81 mm et 8 pièces de 75 mm , soit une commande de 905 millions de francs en comptant les rechanges.



↑ Extrait du procès-verbal de la 21 e réunion de la CORF le 24 avril 1929 : « Le Général Président donne la parole au Colonel Thiriot pour l'exposé du projet de l'ouvrage puissant du Hackenberg » . Source : Alain Hohnadel et Robert Varoqui , Le fort du Hackenberg : Tourisme militaire dans le plus gros ouvrage de la ligne Maginot , Thionville, G. Klopp, 1992 , 4 e éd. , 53 p. ( BNF 36186941 ) .

↑ « Association Petit ouvrage de Rohrbach - Association Fort Casso » [ archive ] , sur http://www.fortiff.be/ [ archive ] .

↑ Mary et al. 2001 , tome 2, p. 18-19.

↑ Mary et al. 2009 , tome 4, p. 29.

↑ Mary et al. 2009 , tome 5, p. 10-73.

↑ Décision ministérielle du 10 février 1936, applicable à partir du 16 mars 1936.

↑ Décision ministérielle du 28 avril 1937, applicable au 1 er janvier 1938.

↑ Mary et al. 2003 , tome 3, p. 8-11.

↑ Rapport sur l'organisation défensive des frontières , rapport n o 171F de la Commission de défense des frontières, 6 novembre 1926. Source : Jean-Yves Mary , Alain Hohnadel et Jacques Sicard , op. cit. , t. 1, p. 13-17 .

↑ Revenir plus haut en : a et b M. Tricaud , « Essai sur la fortification permanente actuelle », Bulletin technique du génie militaire , Nancy-Paris-Strasbourg, librairie Berger-Levrault , t. 53,‎ juillet-décembre 1923 , p. 487 ( lire en ligne [ archive ] ) lire en ligne [ archive ] sur Gallica

↑ Note de la CORF du 3 avril 1929.

↑ Note sur l'armement des ouvrages des RF construits pendant le premier cycle de travaux , n o 291/ORF du 7 septembre 1928.

↑ Mary et al. 2001 , tome 2, p. 63.

↑ Mary et al. 2009 , tome 4, p. 90.

↑ Mary et al. 2001 , tome 2, p. 63-64.

↑ Mary et al. 2000 , tome 1, p. 23.

↑ Mary et al. 2009 , tome 5, p. 12.

↑ Mary et al. 2000 , tome 1, p. 40.

↑ Mary et al. 2000 , tome 1, p. 41-42.

↑ Mary et al. 2000 , tome 1, p. 42-43.

↑ Mary et al. 2009 , tome 4, p. 34.

↑ Alain Hohnadel et Robert Varoqui , Le fort du Hackenberg : op. cit. , p. 15 .

↑ Mary et al. 2000 , tome 1, p. 47.

↑ Alain Hohnadel et Robert Varoqui , Le fort du Hackenberg : op. cit. , p. 45 et [PDF] BRGM , « notice explicative de la carte géologique n o 114 (Thionville-Waldwisse) » [ archive ] , sur http://infoterre.brgm.fr/ [ archive ] .

↑ Mary et al. 2001 , tome 2, p. 64.

↑ Mary et al. 2000 , tome 1, p. 45-46.

↑ Mary et al. 2001 , tome 2, p. 64-81.

↑ Mary et al. 2000 , tome 1, p. 42.

↑ Mary et al. 2001 , tome 2, p. 50-52.

↑ Revenir plus haut en : a et b (de) « Gros Ouvrage Schœnenbourg » [ archive ] , sur http://www.festungsbauten.de [ archive ] .

↑ Mary et al. 2003 , tome 3, p. 59.

↑ « Ligne Maginot, armement, lance-flammes » [ archive ] , sur http://www.maginot.org/ [ archive ] .

↑ Mary et al. 2003 , tome 3, p. 182-184 .

↑ Mary et al. 2003 , tome 3, p. 185-186 .

↑ Mary et al. 2003 , tome 3, p. 188-189 .

↑ Mary et al. 2003 , tome 3, p. 209 .

↑ Mary et al. 2003 , tome 3, p. 213-215 .

↑ Mary et al. 2003 , tome 3, p. 243 .

↑ Jean-Louis Burtscher, « Sous le feu de la grosse Bertha » [ archive ] , sur http://www.lignemaginot.com [ archive ] .

↑ Mary et al. 2003 , tome 3, p. 205 .

↑ Directive de guerre n o 61 du 24 août 1944 .

↑ (en) « The U.S. Army vs. The Maginot Line » [ archive ] , sur http://www.militaryhistoryonline.com [ archive ] .

↑ (en) « Real Bitch » [ archive ] , sur http://44thdivision.efour4ever.com/ [ archive ] .

↑ (en) « Sluggers at a German Siegfried Line Fortress: December 1944 » [ archive ] , sur http://44thdivision.efour4ever.com/ [ archive ] .

↑ Rapport du chef du 3 e bureau de l'état-major du 21 juin 1960 .

↑ Mary et al. 2009 , tome 5, p. 152-176.







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Un ouvrage de la ligne Maginot est une construction militaire ayant pour but de protéger une portion de la ligne Maginot .

Un ouvrage désigne au sens large n'importe quel élément (casemate, blockhaus, abri, fossé, digne, etc.) composant ladite ligne ; mais au sens précis du terme, un « ouvrage » est synonyme d'un fort , soit une grosse fortification autonome. Ces ouvrages sont composés d'un ensemble de blocs en surface, reliés le plus souvent entre eux par des galeries profondément enterrées, avec des œuvres vives souterraines communes (magasins, casernement , usines, etc.).

Ces constructions ont été mises en chantier au début des années 1930 , ont servi pendant la Seconde Guerre mondiale , ont été réutilisées pendant la guerre froide avant d'être progressivement abandonnées par l'armée française.

Le terme utilisé dans les documents militaires dès les premiers chantiers est celui d'« ouvrage » [ 1 ] , mais le terme de « fort » est dans quelques cas employés, d'abord dans plusieurs projets des années 1920 , ensuite encore aujourd'hui localement (par exemple le « fort Casso » est le surnom de l' ouvrage de Rohrbach [ 2 ] ).

Dans le cas unique de l' ouvrage du Hochwald , un troisième terme est employé étant donné ses dimensions (onze blocs de combat, neuf casemates de fossé, un bloc-observatoire et trois entrées, sans compter le réduit) : celui d' « ensemble », officiellement subdivisé en deux ouvrages (Hochwald Ouest et Hochwald Est) avec chacun leur propre caserne, usine et entrée des hommes.

Un ouvrage s'organise autour de son armement et de sa mission, ainsi, suivant les rôles attribués, on retrouve différentes tailles d'ouvrages et différents éléments. De plus, l'adaptation au terrain est également prépondérante dans l'organisation générale de ces ensembles fortifiés.

Dans le système des régions fortifiées, la ligne fortifiée, appelée « ligne principale de résistance », est composée de plusieurs ouvrages entre lesquels la continuité du barrage est assurée par des casemates d'intervalle . Bien que les ouvrages aient été triés en cinq classes dans les années 1930 , l'usage est de les répartir en deux grands types d'ouvrages : d'une part les « gros ouvrages » (GO), disposant de nombreux blocs avec un armement comprenant de l' artillerie ( canons , obusiers et mortiers ), d'autre part les « petits ouvrages » (PO), allant du monobloc jusqu'à six blocs armés presque uniquement avec des armes d' infanterie ( mitrailleuses , lance-grenades et fusils-mitrailleurs ). Les gros ouvrages doivent couvrir toute la ligne en flanquement avec leur artillerie sous casemates et fournir une action frontale grâce à leur artillerie sous tourelles , tandis que les petits ouvrages soutiennent les casemates d'intervalle grâce à leurs tourelles de mitrailleuses .

Officiellement, il y a cinq catégories d'ouvrages selon leur importance, auxquels on peut rajouter les avant-postes des Alpes :

Les 57 petits ouvrages (« PO », appelés aussi « ouvrage d'infanterie », ils sont 36 dans le Nord-Est et 21 dans le Sud-Est) correspondent aux classes 3, 4 et 5, ils comptent de six blocs à un seul (monobloc), abritant des armes d' infanterie (plus dans plusieurs cas des mortiers de 81 mm , d'où l'appellation parfois de « petit ouvrage d'artillerie » ou mixte). Dans le Nord-Est, ces ouvrages assurent la continuité des feux de mitrailleuses et de canon antichar le long de la ligne de résistance grâce à des créneaux tirant en flanquement de part et d'autre de l'ouvrage, rajoutant en plus grâce à une tourelle pour deux mitrailleuses une action frontale ou sur les arrières. Les projets de la CORF prévoyaient aussi de les équiper chacun avec une tourelle pour deux mortiers de 81 mm , tourelles qui furent ajournées pour faire des économies (elles n'ont été installées qu'aux ouvrages de l'Immerhof et de l'Otterbiel ). Quant aux petits ouvrages du Sud-Est ( Alpes ), leur mission n'est pas d'assurer un flanquement (rendu impossible par le relief), mais d'interdire une vallée ou un col.

Il existe trois catégories de petits ouvrages : ceux prévus comme tels, ceux qui ne sont que des ouvrages d'artillerie inachevés et ceux qui sont des « abris actifs ». Les ouvrages monoblocs sont des cas un peu à part, cumulant deux chambres de tir et la tourelle pour mitrailleuses dans un seul gros bloc (au lieu de trois) pour des raisons d'adaptation au terrain. Les petits ouvrages d'infanterie prévus comme tels sont les ouvrages de Bersillies , de La Salmagne , de La Ferté , de la Ferme-Chappy , de l'Immerhof (mixte), du Bois-Karre (monobloc), de l'Oberheid , de Sentzich (monobloc), du Coucou (un observatoire non construit), de Hobling (entrée non construite), de Bousse , de Berenbach , du Bovenberg , de Denting , du Village-de-Coume , Annexe Nord de Coume (monobloc), Annexe Sud de Coume (entrée non construite), du Bambesch (entrée non construite), de l'Einseling (monobloc), de Teting (entrée non construite), du Welschof (entrée non construite), de Lembach (entrées non construites), du Châtelard , de la Cave-à-Canon , d'Arrondaz , du Col-de-Buffère , du Gondran E , des Aittes , Saint-Ours Bas (monobloc), du Col-de-la-Moutière , de Fressinéa , de Valdeblore , de la Baisse-de-Saint-Véran et du Col-de-Brouis .

Les petits ouvrages qui sont des ouvrages d'artillerie inachevés pour des raisons budgétaires (les blocs d'artillerie et d'entrées sont repoussés en second cycle, jamais financé) sont les ouvrages d'Eth , des Sarts , de Boussois , de Thonnelle , du Mauvais-Bois , du Bois-du-Four (monobloc), d'Aumetz , de Coume , du Mottenberg , du Kerfent , de Laudrefang , du Haut-Poirier , de Rohrbach et de l'Otterbiel (mixte).

Se rajoutent à la liste des petits ouvrages les abris actifs du Sud-Est, qui sont de simples abris-cavernes sur lesquels a été greffé une casemate d'infanterie ou un observatoire d'artillerie.

Les 40 gros ouvrages (« GO », appelés aussi « ouvrage d'artillerie », ils sont 22 dans le Nord-Est et 18 dans le Sud-Est) correspondent aux classes 1, 2 et 3, ils comptent de dix-neuf à cinq blocs, ces derniers abritant de l'artillerie ou des armes d'infanterie (souvent une association des deux). Ces ouvrages doivent assurer le flanquement de la ligne de résistance à partir de leurs casemates et de leurs différentes tourelles (ces dernières peuvent en plus agirent frontalement et sur les arrières).

Il existe trois catégories de gros ouvrages, selon leurs dimensions. Les ensembles sont les plus vastes parmi les ouvrages, tellement qu'ils sont subdivisés en deux éléments appelés demi-forts, demi-ouvrages ou ailes, reliés par des galeries formant un arborescence en Y : c'est le cas des ouvrages du Hackenberg , du Simserhof et du Hochwald .

La deuxième catégorie correspond à des ouvrages dont les organes sont reliés par une unique et longue galerie : c'est le cas des ouvrages du Chesnois , de Fermont , de Latiremont , de Bréhain , de Rochonvillers , de Molvange , de Soetrich , du Kobenbusch , de Métrich , du Billig , du Michelsberg , d'Anzeling , du Schiesseck et de Schœnenbourg .

Enfin la troisième catégorie correspond à des ouvrages plus concentrés, installés sur des reliefs (colline dans le Nord-Est ou escarpement dans le Sud-Est), ne nécessitant qu'une galerie courte (donc sans voie ferroviaire de 60 cm ) : c'est le cas des ouvrages de Vélosnes , du Galgenberg , du Mont-des-Welches , du Grand-Hohékirkel , du Four-à-Chaux , de Saint-Antoine , du Sapey , du Lavoir , du Janus , de Roche-la-Croix , de Saint-Ours Haut , de Rimplas , de Gordolon , de Flaut , du Monte-Grosso , de l'Agaisen , de Saint-Roch , du Barbonnet , de Castillon , de Sainte-Agnès , du Mont-Agel , de Roquebrune et de Cap-Martin .

Dans les Alpes , les 29 avant-postes ( AP ) sont de véritables ouvrages, composés de plusieurs petits blocs reliés entre eux par des galeries souterraines. Les différences avec les autres ouvrages sont d'abord leurs dimensions plus modestes, ensuite qu'ils ont des blocs plus légers et moins armés (uniquement des armes d'infanterie), que leurs plans ont été établis par les 14 e et 15 e régions militaires et non par la CORF et qu'ils ont été construits par la main-d'œuvre militaire (MOM).

Ces avant-postes sont placés au plus près de la frontière franco-italienne , en avant de la ligne principale de résistance composée des ouvrages CORF , comme avec l' avant-poste du Collet-du-Pilon . L' avant-poste de Pont-Saint-Louis est à part, car se limitant à un simple blockhaus défendant un barrage routier.

Bien qu'il y ait eu une évolution dans la construction des ouvrages de la ligne Maginot, tous sont organisés au moyen de trois composantes :

L'accès à un ouvrage se fait en général par des blocs servant d'entrées, théoriquement au nombre de deux par ouvrage. Pour plusieurs ouvrages, les soucis d'économie ont imposé soit la construction d'une unique entrée (appelée alors entrée mixte), soit d'aucune (une casemate de l'ouvrage se voit alors équipée d'une porte). L'intérêt d'avoir deux entrées est principalement pour avoir deux entrées d'air distinctes, les deux étant éloignés l'une de l'autre et surtout pas à la même altitude (en cas de bombardement, les gaz toxiques s'accumulent dans les fonds). Ces deux entrées sont spécialisées, l'une plus grande sert à l'entrée des munitions ( EM ), la seconde plus
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