Elle le fait pour son pays

Elle le fait pour son pays




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Elle le fait pour son pays





Moteur de recherche















S'inscrire
Connexion






Article mis à jour le 17/08/22 12:45


La Rédaction

Mis à jour le 17/08/22 12:45



Nouveau départ, nouvel amour, nouvelle vie pour Sophie Tapie. Sur les réseaux sociaux, la chanteuse partage des instantanés de son bonheur partagé. Un sourire qui fait chaud au coeur après une année compliquée.
Le temps du sourire pour Sophie Tapie. Et cette nouvelle joie là, ce n'est ni sous la protection de la Bonne Mère à Marseille qu'elle la trouve, ni dans les artères parisiennes, mais bien près de l'océan Atlantique. Direction le Pays-Basque pour la chanteuse, qui partage son bonheur tout frais sur son compte Instagram.
Mini-short, chemise à carreaux XXL, boots rock et sourire ultrabright, Sophie Tapie prend la pose pour illustrer son changement de vie. En légende de la photo, "new place, new life". Soit "nouvel endroit, nouvelle vie". Pas de doute possible, la jolie blonde au patronyme célèbre semble bien surfer sur la vague du bonheur. Et c'est au Pays-Basque qu'elle écrit cette nouvelle page, comme l'illustre ce cliché pris dans le chemin pavé d'hortensias qui mène aux charmantes plages de Guéthary. 
Depuis juillet dernier, de sous-entendus en clichés sur la toile, Sophie Tapie a levé le voile sur celui qui fait battre son coeur: le sportif Baptiste Germain, joueur de rugby dans le club biarrot, le Biarritz Olympique. Récemment, la jeune femme a partagé une photo de leur couple tout sourire, précisant en commentaire: "Nous deux contre le reste du monde" , déjà prête à faire face aux critiques et autres commentaires.
Sophie Tapie a retrouvé l'amour dans les bras d'un jeune sportif, si l'on en croit la story Instagram de celui-ci. Qui est donc le nouvel élu de son cœur ?
Invitée de l'émission "La Maison des Maternelles" sur France 2, Sophie Tapie a raconté à coeur ouvert son parcours, son enfance et ce dont elle est "super fière".
Une idylle comme un nouveau départ pour celle qui a bravé plusieurs tempêtes, à commencer par la disparition tragique de son père à l'automne 2021. Bernard Tapie, son pilier, son roc, s'était éteint après un long combat contre la maladie. Quelques mois après, elle annonçait divorcer de son amour de longue date, Jean-Mathieu Marinetti. " 5 ans d'amour qui vont se transformer d'un commun accord, en je l'espère en 100 ans d'amitié. L'année n'a été simple pour personne. C'est une page qui se tourne pour en écrire de nouvelles ", précisait-elle encore.
Prête à croquer la vie à pleine dents, à profiter de la douceur et de l'authenticité du Pays-Basque, Sophie Tapie semble plus épanouie que jamais. 
Le temps du sourire pour Sophie Tapie. Et cette nouvelle joie là, ce n'est ni sous la protection de la Bonne Mère à Marseille qu'elle la trouve, ni dans les artères parisiennes, mais bien près de l'océan Atlantique. Direction le Pays...
Les informations recueillies sont destinées à CCM Benchmark Group pour vous assurer l'envoi de votre newsletter.
Elles seront également utilisées sous réserve des options souscrites, à des fins de ciblage publicitaire.
Vous bénéficiez d'un droit d'accès et de rectification de vos données personnelles, ainsi que celui d'en demander l'effacement dans les limites prévues par la loi.
Vous pouvez également à tout moment revoir vos options en matière de ciblage. En savoir plus sur notre politique de confidentialité .


Publié le 16/08/22 à 19h15
— Mis à jour le 16/08/22 à 20h24

La finale de Drag Race France a été diffusée samedi sur France 2 et s’est conclue par la victoire de Paloma. Cette première saison de la compétition de drag-queens n’est pas passée inaperçue. Elle a conquis un public aux profils variés. L’impact de l’émission pourrait avoir un impact pour les dix candidates mais aussi, plus largement, pour l’ensemble des artistes de la scène drag française.
Plus politiques et inclusives, de nouvelles scènes secouent le milieu drag
Machos, conservateurs, dandys... Drag-king, l'art de faire mâle


Une faute ?


197


commentaires


110

partages



Partager sur Messenger




Partager sur Facebook




Partager sur Twitter




Partager sur Flipboard




Partager sur Linkedin





Sauvegarder l'article




En vous inscrivant à cette newsletter, vous rejoignez la communauté 20 Minutes – Pourquoi je deviens membre 20 Minutes ?


La politique RSE de 20 Minutes est certifiée par le label Silver d’Ecovadis

Merci de lire 20 Minutes ! Nous respectons votre vie privée et c’est grâce à la publicité que nous vous permettons de recevoir à chaque instant une information de qualité gratuitement.
En acceptant ces cookies vous pourrez déguster l’actualité chaude et croquante, garnie avec les pépites du web , ou vous pouvez aussi Continuer sans accepter
*20 Minutes a été élue marque préférée des Français dans la catégorie presse d’information nationale, dans le cadre d’une étude réalisée en juin 2022 avec l’institut OpinionWay, auprès d’un échantillon représentatif de la population française.
Culture « Drag Race France », le phénomène qui a ouvert grand les yeux du pays

DRAG-QUEENS Alors qu’une saison 2 de « Drag Race France » a déjà été annoncée, retour sur le succès de cette émission et son impact pour la société autant que pour les drag-queens elles-mêmes
Jeudi 11 août, au Café Beaubourg à Paris, peu avant 20h. Des centaines de personnes se pressent devant l’établissement et la queue s’étire jusqu’au boulevard Sébastopol. Tous et toutes sont venues assister à la projection du dernier épisode de Drag Race France , qui oppose trois drag-queens : La Grande Dame, Soa de Muse et Paloma. La ferveur et l’enthousiasme de ce public plutôt jeune – mais pas exclusivement – est quasiment palpable. Pour un peu, on se croirait à la projection d’une finale de Coupe du monde, version nettement plus gay-friendly.
Plusieurs écrans ont été installés à l’intérieur et à l’extérieur de l’établissement. L’assistance suit avec attention cette finale, le dernier maxi-défi, le dernier défilé, le dernier lipsync [une épreuve de synchronisation labiale ou « playback » sur une chanson française] . Quand, au bout d’une heure, l’animatrice Nicky Doll annonce que Paloma remporte la première édition de Drag Race France , la foule laisse éclater sa joie. Entourée de ses deux dauphines, la drag-queen originaire de Clermont-Ferrand savoure en direct son sacre et sa nouvelle popularité avant de goûter aux joies du bain de foule.
La Grande Dame se souvient : « On blaguait avec Soa et Paloma que ça allait finir comme la sortie du Loft avec Loana. On l’espérait un peu secrètement et on l’a eu. C’était très beau à voir. »
La popularité de cette adaptation d’une émission américaine à succès semble avoir débordé le cadre de la communauté LGBT+. Sur Twitter, Paloma est ainsi félicitée par Isabelle Rome, la ministre chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Egalité des chances, mais aussi par Olivier Bianchi, le maire de Clermont-Ferrand, et Stéphane Sitbon-Gomez, directeur des programmes de France TV, qui annonce dans la foulée qu’une saison 2 aura lieu.
Ce dernier tweet montre que France Télévisions semble satisfaite d’avoir été le diffuseur de Drag Race. Lancée le jour de la Marche des fiertés LGBT+ parisienne, cette première saison a été diffusée sur la plateforme France TV Slash, avec une mise en ligne tous les jeudis, puis sur France 2 les samedis à minuit.
Initialement, France Télés avait annoncé que seul le premier épisode serait diffusé à l’antenne. Avec 914.000 spectateurs (11,6 % de l’ensemble du public, selon Médiamétrie), la chaîne a changé d’avis et diffusé le reste de la saison en troisième partie de soirée. Les audiences ont considérablement baissé par la suite, mais cela peut sans doute s’expliquer par le fait que les fans n’attendaient pas le samedi soir pour découvrir l’épisode. Les chiffres d’audience de France TV Slash, eux, n’ont pas encore été communiqués.
Si le succès a été au rendez-vous, c’est parce que l’émission produite par Endemol et Shake Shake Shake a tenu ses promesses en termes de qualité. Les dix drag-queens retenues par la production ont assuré le show avec des prestations souvent mémorables, des tenues qui ont fait honneur à notre réputation de pays de la mode et beaucoup de moments d’émotion.
On se souvient notamment de ce lipsync incroyable entre Lolita Banana et La Big Bertha sur Corps de Yseult. La première, se sentant rejetée par les autres candidates, s’est carrément rasé les cheveux sur scène, avant que sa concurrente ne vienne la prendre dans ses bras.
En attendant que de nouvelles drag-queens prennent la relève, les dix candidates entendent bien profiter de leur notoriété post-émission. L’ensemble du cast, accompagné de l’animatrice Nicky Doll part à la rentrée pour une tournée en France et en Belgique intitulée Drag Race France live . Elle débutera par trois shows au Casino de Paris.
Chacune va ensuite poursuivre sa carrière individuellement. Paloma va rejoindre la saison 5 de la série Balthazar sur TF1. La Grande Dame, habituée des défilés de mode, aimerait avoir une chronique radio ou faire de la télé. « On a trop hâte de faire Fort Boyard avec Soa et Paloma », blague-t-elle. Soa de Muse, que l’on pourra retrouver à la rentrée dans son cabaret dans le XVIIIème arrondissement de Paris , espère, elle, pouvoir se produire en France et à l’étranger.
Le reste du milieu drag français peut-il profiter de la dynamique Drag Race ? Depuis quelques années des scènes drag se développent un peu partout en France, à Bordeaux, Nice, etc. Pourtant, lors de l’émission, les candidates ont évoqué à plusieurs reprises les difficultés qu’elles avaient à vivre de leur art.
Paloma veut croire que les choses s’amélioreront. « J’espère que les organisateurs de soirées, ceux qui engagent des drag-queens vont nous considérer comme des intermittents, comme des artistes et nous payer correctement. Mais cela ne va pas être si simple que ça. » Elle ajoute : « Il faut qu’on pense aux drags locales. Drag Race , c’est très bien, mais c’est une vision très particulière du drag, c’est un concours et le drag c’est beaucoup d’autres choses, il y a mille autres facettes. »
En interview, plusieurs participantes à Drag Race France ont insisté sur leur désir de ne pas trop tirer la couverture à elles. « Je pense que ça va vraiment changer le quotidien du drag, affirme La Grande Dame. On a été vraiment à l’origine d’une découverte pour plein de gens. Nous, on va être très bien bookées, très bien payées, mais notre grande peur c’est que les autres filles ne soient pas réévaluées à leur juste valeur. J’ai le sentiment qu’on a été assez militants par rapport à tout ça et qu’on a exprimé assez clairement notre volonté de faire changer les choses par rapport à tout le monde et pas seulement par rapport à nous. »
Au-delà du milieu drag, les reines peuvent-elles changer la société ? Lors de l’épisode final, Olivier Rousteing, directeur artistique de Balmain, qui était juge invité, a ainsi lancé à Soa de Muse en particulier et aux autres reines qu’elles étaient une « révolution » pour la France.
L’une des forces de ce casting, c’était notamment sa diversité, autant en termes artistiques qu’en termes d’identité. Un message de visibilité adressé à la population générale, mais aussi au milieu drag. Aux drag-queens non-blanches qui auraient du mal à s’affirmer, Soa lance : « Vous avez votre place et si on vous dit que vous n’avez pas votre place, vous déchirez tout et vous vous imposez. » D’ailleurs, la drag-queen dont les parents sont martiniquais, constate par exemple qu'« en Martinique, ça bouge déjà ! On ne le sait pas parce qu’on n’y est pas mais il y a plein de personnes queers, il y a plein d’artistes. Mon rêve ce sera de partir là-bas, avec d’autres personnes avec qui je bosse déjà. » La révolution drag ne fait que commencer.
« Drag Race France » : « La France n’a pas de figure trans identifiable…

25/06/22 | OUI OUI BAGUETTE

« Drag Race France » : De l'art d'assaisonner une compétition de…

27/06/22 | VOUS TEMOIGNEZ

« Ça casse les préjugés »… « Drag Race France » racontée par celles et…

Choix de consentement © Copyright 20 Minutes - La fréquentation de 20 Minutes est certifiée par l’ACPM


Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes en nous basant sur votre consentement :
stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal , publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Les cookies de diffusion de publicité ciblée , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal



Français

English

Español

عربي





Newsletters

Recevoir France 24

Applications

RSS





Qui sommes-nous ?

Espace Presse

Contacter France 24

Publicité

Nous rejoindre

Mentions légales

Confidentialité

Cookies

Centre de préférences

Gestion des notifications





Les Observateurs

RFI

RFI Savoirs

RFI Musique

RFI Instrumental

Mondoblog

MCD

InfoMigrants

CFI

Académie

France Médias Monde




Texte par :


Cyrielle CABOT






Vidéo par :


Catherine NORRIS-TRENT



Suivre


|
Tarek KAI







Afghanistan

Humanitaire

Taliban

Famine


Ajouter France 24 à votre écran d'accueil
© 2022 Copyright France 24 - Tous droits réservés. France 24 n'est pas responsable des contenus provenant de sites Internet externes. Fréquentation certifiée par l'ACPM/OJD.

Depuis le retour des Taliban au pouvoir le 15 août 2021, l'Afghanistan fait face à une grave crise humanitaire. Aujourd'hui, selon l'ONU, 95 % de la population ne mange pas à sa faim. Une situation précipitée par le gel des avoirs de la Banque centrale afghane aux États-Unis et les sanctions internationales qui ont mis l'économie du pays à l'arrêt.
"La vie des Afghans a totalement basculé le 15 août 2021. Aujourd'hui, ils meurent de faim et le pays est plongé dans l'une des pires crises humanitaires au monde", assène Fereshta Abbasi, spécialiste de l' Afghanistan pour l'ONG Human Rights Watch. À l'aube de la prise de Kaboul par les Taliban il y a un an, la moitié de la population vivait déjà sous le seuil de pauvreté. Depuis, la situation n'a fait qu'empirer . Le pays, privé d'aide internationale – qui constituait jusqu'alors 80 % de son budget – a vu son système économique s'effondrer, privant de nombreux Afghans de revenus, de nourriture et de soins de santé.
À son arrivée à Kaboul en mars, Samy Guessabi, directeur régional de l'ONG Action contre la faim, a ainsi découvert une ville quasi à l'arrêt. " Beaucoup d'Afghans ont perdu leur emploi et ceux qui continuent à travailler ont vu leur salaire baisser massivement", témoigne-t-il. "En parallèle, l'arrêt des financements internationaux a entraîné une crise des liquidités. Les gens ne peuvent donc même pas retirer leurs économies à la banque. Et ceux qui ont quitté le pays ont beaucoup de mal à envoyer de l'argent à leurs proches."
"Pour de nombreuses familles, il n'y a plus qu'une priorité, se loger et se nourrir. Pourtant, quand on circule au milieu des étals des marchés, la nourriture ne manque pas", poursuit l'humanitaire
Baise et tarte à la crème pour la webcam
Deux petites ados s'amusent avec une bite
Interrogatoire de police

Report Page