Elle jouit comme une chienne

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Elle jouit comme une chienne
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mansail :
elle attends pour mettre les saucisses Ă  cuire


mansail :
rigole pas le pépÚre


mansail :
pas mieux...


mansail :
cool ça a bien protéger la voiture ;j'espÚre qu'elle a rien


mansail :
une belle brochette de co.....d.;les passages cloutés se traversent à pied en poussant le velo


mansail :
passage Ă  niveau avec composants chinois......






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Je m’appelle LĂ©a. Je suis une zoophile. J’aime ça, j’aime les chiens ! J’ai dĂ©couvert ça avec mon chien un jour. Maintenant je baise avec mon chien au moins quatre fois par semaine. Une amie avait envie d’essayer, je vais donc l’aider. Je l’avais fait venir Ă  la maison. Clara Ă©tait sur le canapĂ©.
— Tu te souviens l’autre soir quand on avait parler de 
 zoophilie.
— Ah ouais ! Haha ! Tu le fais avec ton chien tu m’avais dit. J’ai bien envie d’essayer mais ça me fait peur.
Je l’a rassurait. Je fis venir mon chien, Jack. Un gros chien. Il allait dĂ©jĂ  faire des cĂąlins Ă  Clara. Il l’a lĂ©chait sur le visage.
Elle hĂ©sitait puis commença par enlever sa veste, son pantalon et son haut. Elle restait en culotte et soutiens gorge. Je touchais la culotte de Clara pour que Jack la lĂšche. Il commença Ă  la lĂ©cher avec sa grosse langue. Je sentais qu’elle aimait ça. Au bout de quelques minutes, c’est elle qui enlevait sa petite culotte. Jack sautait sur sa chatte en continuant de la lĂ©cher.
-Oh oui 
 Mmm 
 mmm 
 que c’est bon. Oui vas-y Jack. Vas-y lùche moi encore la chatte j’aime tellement ça.
Je l’entendais couinĂ©. J’étais moi mĂȘme trĂšs excitĂ©. Je me touchais la chatte et touchant le sexe de Jack. Au bout d’un moment, je dĂ©cidais de passer au niveau supĂ©rieur.
Je fis monter Jack sur Clara. Il aimait lĂ©cher ses seins ce qui lui faisait du bien d’aprĂšs ce que j’entendais. Ensuite, il trouva son trou et commença Ă  donner des coups de butoir.
Mais au bout de quelques secondes, elle ne sentait plus la douleur. Elle ne sentait plus que l’immense plaisir de la zoophilie.
— Oh Jack ! Oh oui ! Ça fait du bien j’aime ça. Oh vas-y encore je vais jouir 
 Mmmm
. Oui je jouis ! Oh ! Oh ! Je jouis.
Elle couinait. Je me touchais la chatte tout en regardant ce spectacle. Elle aimait ça et Jack aussi. Il l’a lĂ©chait de partout. Soudain il arrĂȘta.
Elle n’hĂ©sitait plus. Elle se retournait. Il lĂ©chait son petit trou.
Jack avait envie. Il mit son sexe dans son trou de balle et commença ses coups. Il allait de plus en plus vite. Elle aimait.
— Oui, oh oui ! Jack tu me fais jouir ! Oh oui le toutou ! T’aime m’enculer. J’adore !
Elle aimait ça. Jack ne s’arrĂȘtait pas et lui mĂȘme semblait beaucoup aimĂ©. Il finit par arrĂȘter. Elle se retournait et il lui lĂ©chait la chatte encore. Elle couinait et je vis le sperme de Jack sortir.
Je pris donc le sexe de Jack qui avait bien grossi et le mis dans la chatte de Clara. Il mit de gros coup de butoirs. Elle explosait de joie ! Elle avait un orgasme trùs intense.
Le chien lui lĂ©chait ses gros seins. Clara jouissait tellement. Je me masturbait en la regardant se faire baiser par Jack. Ensuite elle arrĂȘta.
Je n’attendais que ça. J’enlevais tous mes habits pour me retrouver complĂštement nu. Je fis venir Jack sur moi. Il lĂ©chait ma chatte et mis vite sa bite dans ma chatte. Clara l’encourageait. J’aimais ça.
— Mmmm
. tu sais que j’aime ça mon chien 

Je finissais par jouir au bout de quelques minutes. Je sentis le sperme de Jack en moi. Clara souriait en voyant le sperme de Jack sortir de moi.
Nous finissions sur le canapé. Jack léchait la chatte de Clara puis la mienne.
— Alors, t’as aimĂ© ta premiĂšre fois LĂ©a ?
-Oh oui ! On recommence quand tu veux.
Le lendemain nous nous sommes installĂ©s bien Ă  l’abri entre deux dunes perpendiculaires Ă  la cĂŽte. Nous sommes sur nos serviettes face Ă  l’ocĂ©an. Ma femme a gardĂ© son maillot de bain, un magnifique deux piĂšces trĂšs suggestif, qui donne envie d’en voir plus tellement il en cache peu, mais, ça ne fait rien, ça donne l’impression Ă  ma chĂ©rie d’ĂȘtre un peu moins exposĂ©e que si elle Ă©tait nue. Elle sait trĂšs bien ce qui l’attend, en tout cas elle sait qu’elle va retrouver Damien, qu’il risque de revenir accompagnĂ© d’un couple, libertin lui aussi, et mĂȘme si elle ne veut pas se l’avouer, l’attente lui paraĂźt interminable. Elle pense que d’avoir un maillot peut cacher l’excitation qui commence Ă  s’écouler doucement entre ses cuisses, mais je me suis bien rendu compte que son bas de maillot minimaliste Ă©tait anormalement humide entre-jambes. Je la laisse donc s’installer sur sa serviette, et je me dĂ©shabille complĂštement, la bite en semi-Ă©rection, j’essaie de ne pas trop penser Ă  ce qui va arriver quand Damien sera lĂ , je ne veux pas bander trop vite pour ne pas bloquer ma petite femme, il me faut la prĂ©parer avant qu’ils arrivent. Je sors donc la crĂšme solaire et commence Ă  l’étaler sur le corps alangui de ma dulcinĂ©e. Je masse bien pour faire pĂ©nĂ©trer la crĂšme. mais surtout parce que je sais l’effet que les massages ont sur ma petite femme adorĂ©e. En effet ses cuisses s’ouvrent sa respiration devient plus profonde, sa bouche s’entrouvre et ses yeux se ferment comme pour cacher le trouble qui l’envahit. Elle sait bien la coquine dans quel but je cherche Ă  l’exciter, mais elle prĂ©fĂšre faire comme si tout venait de moi, comme si elle n’y Ă©tait pour rien ! La salope, moi je sais bien que si Damien ne devait pas venir, elle serait déçue ! Un peu plus tard, je vois arriver, sur la plage, un petit groupe de personnes, trois ou quatre, je ne distingue pas bien de loin, mais au fur et Ă  mesure qu’ils s’approchent je vois qu’il y a trois personnes, deux hommes et une femme. et deux grands chiens noirs qui courent autour d’eux. Je cache l’érection brutale qui me prend quand je vois les deux superbes dobermans bien racĂ©s qui les accompagnent. Je sais pourquoi ils sont lĂ  et j’ai soudain hĂąte de voir la suite, hĂąte de voir ces deux mĂąles impressionnants de puissance Ă  l’action. Ma femme se relĂšve un peu quand elle entend arriver tout ce petit monde, elle sourit Ă  Damien qui s’approche d’un pas dĂ©cidĂ©, me serre la main et s’installe rapidement dans le dos de ma femme pour la caresser et l’embrasser gentiment dans le cou craignant qu’elle ne rĂ©agisse dĂ©favorablement. Il fait rapidement les prĂ©sentations: Tristan, la soixantaine bien tassĂ©e, ancien prof de gym aux muscles encore apparents sous une peau fripĂ©e par trop d’exposition au soleil, des cheveux argent et un sourire ravageur; Viviane, sa femme, plus jeune, 48 ans, brune Ă  la peau mate et satinĂ©e, on sent qu’elle prend soin de son corps, elle est uniquement vĂȘtue d’une robe rouge Ă  petite mailles qui laisse voir une poitrine lourde mais ferme et un ventre Ă  peine bombĂ© comme je les aime, elle porte juste un string mais l’un et l’autre sont adeptes du bronzage intĂ©gral, d’ailleurs tout le monde se dĂ©shabille rapidement, comme pour sceller irrĂ©mĂ©diablement un pacte licencieux entre nous tous. Tout en faisant les prĂ©sentations les mains de Damien courent sur le corps de ma femme, il l’embrasse dans le cou, lui caresse les seins, la charme en lui disant que la journĂ©e s’annonce bien avec deux si belles femmes au corps sublimes. Viviane qui connaĂźt son cotĂ© sĂ©ducteur sourit et laisse tomber son sac pour s’assoir Ă  cotĂ© de ma femme. Tristan tient du coup les deux superbes bĂȘtes qui gĂ©missent et tirent la laisse pour rejoindre leur maitresse. Damien encourage ma femme Ă  se dĂ©vĂȘtir, lui disant qu’elle est la seule Ă  avoir du tissu sur le corps, il cherche Ă  dĂ©faire les nouds de son haut. Il commence par celui du dos qui relĂąche ses seins qui restent cependant cachĂ©s par le tissu. Il les caresse alors plus fermement et joue avec les tĂ©tons qui se dressent. Il me sourit avec un clin d’oil. Moi, pendant ce temps, je parle des chiens avec Tristan, tout en regardant d’un oil intĂ©ressĂ© mon Ă©pouse si bien entourĂ©e de Damien et Viviane. Il fait mettre ma femme Ă  genoux alors que Viviane s’accroupit devant elle et lui explique que lorsqu’on a un joli corps, il faut le montrer. Elle dĂ©fait le noud derriĂšre le cou et le tissu tombe. Les seins de ma femme restent dissimulĂ©s par les mains qui les ont empaumĂ©s. Les tĂ©tons roulent doucement entre les doigts de Damien, et Viviane saisit un tube crĂšme bronzante. » Il faut prendre bien soins de si beaux trĂ©sors. « Et ils enduisent leurs mains de crĂšme et badigeonnent ma femme sur tout le corps en prenant soin de bien la caresser aux endroits sensibles. Elle ondule sous les caresses et gĂ©mit de plus en plus fort. Les ficelle sur ses hanches sont rapidement dĂ©faites et c’est Viviane qui se colle Ă  elle par devant et lui crĂšme les fesses. La queue de Damien, toujours derriĂšre elle, est tendue Ă  l’extrĂȘme. Viviane la lui masse en mĂȘme temps que les fesses de ma femme. Il glisse alors sa bite entre les cuisses de ma salope, coulissant un moment dans son marĂ©cage gluant d’excitation, il commence Ă  lui branler le clito avec son gland. Elle gĂ©mit de plus belle et les deux chiens gĂ©missent en cour. Ils trĂ©pignent et Tristan me sourit en m’expliquant qu’ils adorent prendre les femmes en chaleur et que Viviane est leur chienne prĂ©fĂ©rĂ©e. Un tel discours, a le don de me faire bander encore plus fort si cela Ă©tait possible, Tristan s’en aperçoit et sourit voyant mon excitation et mes yeux brillants, se disant que je dois ĂȘtre en train d’imaginer ma femelle prise d’assaut par ses deux chiens, ce en quoi il ne se trompe d’ailleurs pas du tout !
Viviane frotte ses seins contre ceux de ma femme et l’embrasse langoureusement puis goulument ce qui semble la faire craquer ajoutĂ© aux caresses des quatre mains qui courent sur son corps. Les mains de Damien s’égarent entre les deux corps pĂ©trissant les quatre mamelles Ă  sa disposition. Elles glissent sur le cul de Viviane pour la plaquer contre ma femme et quand il fait glisser sa queue plus loin entre ses cuisses, c’est comme s’il voulait pĂ©nĂ©trer Viviane. Leurs bouches entrent dans un ballet infernal et leurs trois langues finissent pas se mĂ©langer pendant que les mains de Viviane malaxent le cul de ma femme et que ses doigts se perdent dans la raie et glissent dans son petit trou. Ma femme n’est plus inactive, elle gĂ©mit, ses mains caressent le dos de Viviane, glissent sur ses cuisses, hĂ©sitent sur son cul, mais sa bouche embrasse toutes les lĂšvres et les langues Ă  sa portĂ©e. Les chiens glapissent et gĂ©missent devant le spectacle. Ils sont attirĂ©s par les bruits de salive, les soupirs et les odeurs qu’exhalent les deux femelles. Ils tirent sur leurs laisses et Tristan se laisse entrainer doucement vers le dos de Viviane que les deux chiens s’empressent de renifler puis de laper Ă  grands coups de langues » Oui mes jolis, elle est chaude et elle a envie de vous. « On voit le bout rouge de leur bite s’ériger puissamment. Viviane tend son splendide cul vers leurs museaux et saisissant ses fesses de ses mains, les Ă©carte pour mieux s’offrir Ă  leurs langues. Ce faisant, elle se retrouve le cul en l’air, la tĂȘte sur la serviette entre les cuisses de mon amour. Ma chĂ©rie est abasourdie par ce qui se dĂ©roule sous ses yeux, mais excitĂ©e en mĂȘme temps, elle regarde ces fesses Ă©cartelĂ©es se faire laper en profondeur par ces grandes langues agiles. Damien dans son dos n’en perd pas une miette lui non plus et tout en la pelotant de plus belle il commente Ă  l’oreille de ma femme, lui disant tout le bien que cela lui procurerait si elle Ă©tait lĂ©chĂ©e comme ça, la faisant fantasmer sur des pĂ©nĂ©trations a****les. Tristan encourage ses chiens : » Oui mes tous beaux elle va s’occuper de vous. « Et Viviane se retourne vers ses amants Ă  poils, elle s’allonge sous eux et entreprend de masturber les deux molosses qui ne bougent plus. Elle les fait durcir chacun dans une main. On voit leur bite enfler entre ses doigts, elle les couvre de caresses et de baisers sur leur fine pine, pointue et tendue. Ma femme est Ă©berluĂ©e de ce qu’elle voit, Tristan me confie que Viviane est une vraie chienne et que mĂȘme aprĂšs avoir jouit toute une soirĂ©e avec Tristan et Damien, elle va encore voir ses chiens pour avoir sa dose de foutre a****l. Mes yeux s’agrandissent devant le spectacle de la femme entre ses deux chiens. Tristan me touche le coude, et du menton me fait signe de regarder ma femme. Elle est allongĂ©e sur le dos Ă  cĂŽtĂ© de Viviane, la tĂȘte tournĂ©e vers elle pour la regarder s’occuper des molosses, la bite de Damien glisse entre ses cuisses, fourre le sillon de sa chatte et je vois son gland Ă©carter, refouler ses lĂšvres et bousculer son clito. Ses mains courent sur son ventre et ses seins. ExcitĂ©e par ce qu’elle voit elle commence Ă  onduler sous ses caresses et c’est elle qui cherche la queue qui la tourmente, en lançant son bassin en avant au mĂȘme rythme que lui, recherchant une pĂ©nĂ©tration qui la dĂ©livrerait. Enfin je vois la bite tendue se glisser entre ses lĂšvres et au long feulement qu’elle pousse je comprends qu’elle a eu ce qu’elle dĂ©sirait et que la longue queue bien raide de Damien est calĂ©e tout au fond de ses entrailles. Les chiens rĂ©agissent aussitĂŽt en glapissant un peu. Tristan commente, comme pour lui-mĂȘme, mais je sais que ça m’est aussi adressĂ©, il sait, il voit, que ça m’excite : » Oui mes chĂ©ris, elle est belle cette petite chienne, je sais qu’elle vous plaĂźt mais il va falloir l’apprivoiser et elle sera bientĂŽt Ă  vous « Elle se glisse un peu plus sous un des males et, se saisissant de sa bite, la dirige vers sa bouche, hĂ©sitante, elle a dĂ©jĂ  senti un sexe comme celui-lĂ  la pĂ©nĂ©trer, et elle en garde un souvenir Ă©mu, mais elle n’a encore jamais osĂ© le prendre en bouche, elle tĂąte de sa langue le bout pointu et suintant, en goutant le jus, le trouve diffĂ©rent du sperme humain, puis, se le met carrĂ©ment en bouche, aspirant tout ce qui s’en Ă©coule. Elle se trĂ©mousse sous la queue qui la ramone en cadence, s’enfonçant de plus en plus loin. Elle commence Ă  glapir que c’est bon, elle presse les mains qui la caressent sur ses seins. Viviane n’en peut plus et elle se met Ă  quatre pates. AussitĂŽt le chien qu’elle suçait la monte et la saillit d’un coup. Elle rĂąle de bonheur. Rex la perfore Ă  grand coup et elle glapit comme une chienne en chaleur. Ma femme l’observe et semble l’envier malgrĂ© les coups de boutoir que Damien envoie dans sa chatte. Viviane se cambre sous son mĂąle et l’encourage Ă  la dĂ©foncer. On voit la pine du chien enfler et le noud pousser pour Ă©carter les lĂšvres de la chatte de Viviane qui pousse un feulement de jouissance quand enfin il passe en force la barriĂšre de son con. Le chien la bourre avec force et ses seins ballotent divinement, je me mets Ă  genoux Ă  cĂŽtĂ© d’elle et entreprends de les lui torturer de lui tordre les bouts, de les malaxer, de les faire balloter encore plus fort. La salope a vraiment l’air d’apprĂ©cier les traitements conjoints de son amant Ă  poils et de mes mains sur ses mamelles. Son visage est dĂ©formĂ© par le plaisir et elle gĂ©mit comme une malade. Pendant ce temps juste Ă  cĂŽtĂ© de moi Damien continue de besogner ma petite pute. Je la contemple dans son plaisir et ajoute ma queue tendue Ă  exploser Ă  celle de Sultan, dans sa bouche. Sultan voulant certainement passer Ă  autre chose, contourne le couple et s’approche de leurs sexes emboitĂ©s et se met Ă  les lĂ©cher Ă  grands coups de sa langue rĂąpeuse. Damien ferme les yeux sous cette caresse inattendue sur ses couilles et jusques sur son cul. Tristan me fait signe de m’approcher pour voir le spectacle de ces sexes en action en train de se faire lĂ©cher par la bĂȘte en rut. Je ne peux m’empĂȘcher de porter ma main dans ce marĂ©cage de foutre humain, de cyprine, de salive canine, je tĂąte les lĂšvres sexuelles de ma salope de femme, je sens la queue tendue qui y glisse, je la serre un moment entre mes doigts, excitĂ© de tenir la bite qui donne tant de plaisir Ă  mon amour. Je la sors de la chatte de ma femme, malgrĂ© ses protestations, et l’offre Ă  la langue du chien qui, attirĂ© par les effluves de femelle en chaleur qui s’en Ă©chappent, se met Ă  la lĂ©cher avec force, je la lui tends de maniĂšre Ă  ce qu’il en lĂšche le frein, qui est la partie la plus sensible, je la sens du coup se tendre encore plus dans ma main et, sentant son plaisir arriver, je la replonge rapidement dans le ventre de ma femme pour qu’elle y dĂ©verse le torrent de sperme que je sens arriver dans les couilles de Damien que je serre de mon autre main.
Je contemple ma femme qui hurle un » Ouiiiiiiiiiii » de satisfaction quand elle sent cette tige se replonger d’un coup au fond d’elle pour y exploser. Je m’approche de son visage que j’embrasse, je lui caresse le ventre et les seins, tandis que son baiseur la bourre violemment jusqu’à ce qu’il se cale au fond d’elle pour jouir. Je la regarde dans les yeux et lui dis que je la trouve belle, sublime, quand elle jouit, qu’elle se fait prendre comme une chienne et que je l’aime. Elle plante ses yeux dans les miens et lĂąche un long feulement de jouissance quand elle sent la queue plantĂ©e en elle dĂ©verser toute sa semence chaude dans son ventre alliĂ©e aux coups de langue rĂąpeuse sur ses lĂšvres boursoufflĂ©es et son clito tendu. Elle serre son amant contre elle, le maintenant soudĂ© Ă  elle pour prolonger la sensation de son membre dans son con liquĂ©fiĂ©, elle sourit, elle est bien, son visage est dĂ©tendu, je l’aime quand elle est comme ça, mer calme aprĂšs la tempĂȘte. Je fais glisser ma queue sur son visage vers sa bouche. Elle me lĂšche en me souriant comme pour me remercier du plaisir que je lui ai permis de prendre. Elle att**** ma bite, la prend dans sa bouche, le visage de Damien est Ă  quelques centimĂštres de ma verge, il s’est un peu reculĂ© quand je me suis prĂ©sentĂ©, mais son regard reste rivĂ© aux lĂšvres de ma chĂ©rie. Elle le regarde Ă  son tour, lui sourit, et de son autre main, passe derriĂšre sa nuque et l’attire vers sa bouche dĂ©jĂ  occupĂ©e. Il hĂ©site un peu, puis se laisse faire, je sens ses lĂšvres sur ma hampe, c’est un contact Ă©trange, un peu rĂąpeux Ă  cause de la barbe, mais quand elle la sort de sa bouche pour la lui enfoncer dans la sienne, je sens sa langue s’enrouler autour de mon gland, et je trouve ça plutĂŽt agrĂ©able, je dois bien le reconnaitre ! Je me demande ce que ça fait de sentir le contact d’une queue sur sa langue, il faudra que je tente l’expĂ©rience Ă  l’occasion, aprĂšs tout ça risque de n’ĂȘtre pas dĂ©sagrĂ©able ! Damien gĂȘnĂ© par la tĂȘte du chien qui cherche toujours Ă  se faufiler entre les cuisses de ma femme, sort d’elle et s’écarte pour la contempler, Ă©cartelĂ©e, s’offrir Ă  la langue qui se prĂ©cipite pour recueillir le nectar qui s’échappe abondamment de sa chatte. Elle semble entrer dans sa chatte gonflĂ©e pour aller le chercher et le laper plus au fond. Elle s’arque boute sous le plaisir et j’en profite pour me glisser sous son bassin, Tristan lui soulĂšve un peu le buste pour m’aider Ă  passer complĂštement au dessous. Ma que
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