Je séduis le prof de mon fils
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Une maman d'un petit garçon de 5 ans s'inquiète des reproches que l'enseignant de maternelle fait à son fils. De nature très calme et réservé, son petit garçon commence à perdre confiance en lui... Que faire et comment en parler sereinement avec l'enseignant ? Notre expert maître d'école, Sylvain Grandserre, lui répond.
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j ai moi même rencontrer ce genre de souci pour mes enfant suite a notre déménagement dans un village de l Oise au porte de l Eure 1500 habitant ou j espérai reprendre un nouveau départ pour moi et mes enfant après plusieurs année sous les coups .mais se ne fut qu une suite de malveillance qui a commencer par l école j avais miser tellement sur ce nouveau départ pour mes enfants mon grand est partie en internat privé se fut une réussite même si ses ensuite la chance du premier emploi qui est plus difficile, le deuxième dyslexique fut très bien épauler durant sa scolarité se qui ne fut pas du tout le cas après les plus grande difficulté ont été rencontrer par le 3 eme humiliation Les persécutions subies de cet maîtresse qui se sens toute puissante ont eu un grand impacte sue sa vie et d un enfant gentil et vivant il a fini par devenir turbulent toute étai bon pour les autre enfant a lui faire faire puisque du coup il ses mi a manquer d assurance un jour suite a une bêtise durant son trajet scolaire elle décide que celui ci ne prendra plus le car scolaire et rentre chaque jour a pied sans me le dire pour ne pas envenimé sa situation cela dur une année jusque deux ans après que je découvre je me met en chasse des vérité et tout se retourne rien ni fait malgré ma grande demande de dialogue pour éclaircir tout cela je ne baisse pas les bras je continue mais le Temp passe et a tout les niveau les porte se ferme en disant que ses pas vrais que ses trop vieux même l académie dit ses pas possible sa ses pas passer pendant se Temp cet directrice passe le mots comme quoi elle a reçu une lettre du conseille régional qui lui dit de le faire (après un échange de couriez et d appel au conseil régional )il s avère que toute est faut se qui alors que ses collègue allai dans sont sens (nous somme une équipe pédagogique on se fait confiance )personne a chercher a voir ses soit disant lettre ou même vérifier qu'elle existai bien et de toute ses année a faire éclater la vérité le climat ses beaucoup dégradé chaque jour est un calvaire d'aller dans cet école a ce jour plusieurs cas d élevés qui se dit malmener dans cet école et des parents qui bataille pour que sa change on bien du mal problème qui n est pas partager par tout les parents de ceux qui non pas de souci et qui juge par des ragot malveillant en faisant cela vous été les complices pourtant beaucoup ont été témoin et le sont encore
n’oublions pas que nos enfants sont les adulte de demain de plus une partie des parents qui mon dis oui moi je sais mais je ne ferai rien pour pas que l'on s'acharne sur mon enfant mais si au final sa vous arrivai quand même voudriez vous ete seul
Lorsque j'étais en maternelle,la maîtresse s'est acharnée contre moi (brimades, humiliations devant les autres élèves, etc.). J'étais excellente élève, mes parents ne sont aperçus de rien, pour eux je n'aimais pas aller à l'école comme beaucoup d'autres enfants et comme je réussissais, il n'y avait pas de raisons de s'inquiéter.
La maîtresse était toute puissante dans sa classe accompagné par ses deux enfants scolarisés dans l'établissement, rien ne sortait des murs de l'école. Elle me menaçait si je parlais. Pour se couvrir, elle n'hésitais pas à demander à ce que je vienne chez elle pour jouer avec sa fille. Bien sûr, je refusais catégoriquement. Elle était directrice et s'occupait des 3 classes de maternelle comme cela se fait à la campagne. Il n'y avait aucun garde-fou.
Ma parole s'est libérée lorsque je l'ai croisé dans la rue avec ma mère, je rentrais au lycée. Je suis restée muette alors que ma mère me demandait de la saluer. A cet instant, tout met revenu. C'était enfui au fond de moi et j'ai enfin pu en parler à mon entourage. Mes parents sont tombés des nues.
L'ancienne ATSEM qui s'occupait uniquement du ménage et n'avait pas le droit de nous aider lorsque nous étions petits à étayer mon témoignage en expliquant qu'elle vivait l'enfer lorsqu'elle travaillait avec elle.
Le fils de la maîtresse du haut de ses 3 ans lui disait même clairement qu'elle ne servait à rien. Par peur de perdre son emploi, elle s'était tue.
Les persécutions subies à la maternelle ont eu des effets sur ma vie. Il a fallut que je fasse un long travail sur moi-même mais j'ai pu mettre des mots sur ce qu'était cette maîtresse : une PERVERSE NARCISSIQUE (PN). Ce n'est même pas une maladie, c'est incurable car il s'agit d'une personnalité. On retrouve souvent les personnes atteintes de perversions narcissiques dans des postes hiérarchiques au travail. La seule solution quand on est face à eux : la fuite.
Aujourd'hui, j'attends un heureux événement. J'appréhende le premier jour où je devrais mettre mon enfant à l'école maternelle bien que j'ai travaillé sur moi à ce sujet. D'ailleurs, je ne pourrais pas m'empêcher de m'alarmer au moindre signes d'alerte car il n'y a aucune barrière dans l'éducation nationale pour détecter ce genre de profil psychologique. Pour preuves, je donne des cours à l'Université en parallèle de mon activité et je peux vous dire qu'un PN passe très facilement le recrutement.
Il faut arrêter de penser que le problème ne peut venir que de l'enfant, les professeurs peuvent rapidement avoir un sentiment de supériorité et se croire tout permis dans une classe. Ils sont nommés à vie et n'ont plus besoin de se remettre en question. je pense notamment au principe de Peter donc un seul conseil aux parents : être vigilant !
Je suis tout à fait d'accord avec Anonyme de 14h43 et Anonyme de 10h24! Effectivement cette personne n'a rien d'un expert en pédagogie!!! Expert peut-etre en vieilles traditions éducatives qui n'ont plus leur place et qui ont déjà démontré leurs méfaits...
Il est effectivement hallucinant qu'il n'ait pas envisagé une seule fois que le problème puisse venir de la maîtresse et pas de l'enfant. Ego de prof : le maître ne peut pas se tromper?? Ces profs qui "harcèlent" les enfants sont exactement de la même trempe que ces employeurs qui "harcèlent" les employés et en poussent certains au suicide...
Bonjour,
Votre témoignage me fait froid dans le dos car il me ramène 6 ans en arrière avec mon fils.
Lorsqu'il avait 5 ans mon garçon est tombé sur une maîtresse qui s'est acharné contre lui. Elle n'a pas arrêté de ns dire qu'il était "singulier, particulier, dans son monde". Elle était persuadée qu'il ferait un BEP, etc. Je n'ai rien contre les BEP mais dire ça d'un enfant de 5 ans à peine !...
Elle ns a demandé de le faire suivre par un psychomotricien, puis psychiatre, psychologue etc. On a tout fait. Tous s'accordaient à dire que notre fils était légèrement précoce mais qu'il n'y avait aucune inquiétude à avoir. Sa maîtresse persistait. Elle le stigmatisait réellement et face à toute la classe. Ses copains venaient m'accueillir le soir en me racontant tout le cirque auquel elle le soumettait.
J'en étais malade. Je suis d'un tempérament affirmé mais j'étais un peu affaiblie à ce moment là. Je voyais bien que mon fils n'allait pas bien. Lui qui était si enthousiaste, plein de vie et joyeux présentait des signes réels de mal être.
Qd je le déposais à l'école, dès qu'on tournait pour faire les derniers mètres, il s'enfermait dans un mutisme et devenait blanc. Lui qui a toujours bien dormi, il s'est mis à se réveiller la nuit pour aller finir sa nuit dans le salon, télé allumée. Et, phénomène hautement angoissant pour des parents : il s'est mis à parler de la mort en permanence. Il disait qu'il voulait mourir, etc.
J'étais représentante de parents d'élèves et on se tutoyait avec la directrice. Elle m'a pourtant dissuadée de changer mon fils de classe.
Un soir, j'ai couché mon petit garçon et il m'a dit en substance entre 2 sanglots "maman, la maîtresse a dit aujourd'hui que j'étais nul. Tu m'aimeras qd même"
Cette nuit là, j'ai pleuré toutes les larmes de mon corps et n'ai pas fermé l'œil de la nuit. J'ai attendu que mon mari se réveille et je lui ai annoncé que je déscolarisais mon enfant. Je venais d'apprendre que j'étais enceinte et j'étais décidée à le faire.
Ce matin là on a eu une très forte altercation avec la maîtresse de mon fils. Surtout qu'en arrivant, elle ns a dit "je pense qu'il faut que vs alliez voir un Ophtalmo ; le problème doit venir de là" !... Mon mari a pris les choses en mains en lui disant "non, il n'a aucun problème, il va falloir vs y faire".
On s'est revus plus calmement qq jours plus tard. Je lui ai décrit le comportement de mon fils, combien il était mal de l'avoir comme maîtresse. À tel point qu'il ns disait qu'il aimait se faire punir parce qu'elle l'envoyait dans une autre classe finir son travail... qu'il réussissait à merveille de son propre aveu !...
Bref, à cause de cette maîtresse, mon fils a réellement perdu confiance en lui. Il a été suivi pdt pls années par le psy de l'école. Et, ce qui est révoltant, c'est que les différents psy de ma ville étaient parfaitement au courant des dégâts que cette maîtresse faisait subir sur certains élèves...
J'ai appris plus tard que d'autres enfants, les années précédentes, avaient bcp souffert. Certains s'étaient remis à faire pipi au lit, une petite fille a développé un toc lorsqu'elle était avec cette maîtresse et s'arrachait les cheveux pour les manger...
Si c'était à refaire, je me moquerais des qu'en dira-t-on et j'exigerais qu'il change de classe sur le champ.
Cela m'économiserait des mois d'angoisse, de doutes et de révolte. Sans compter les semaines chez le psy à balloter mon enfant.
Petite précision, mon fils est excellent à l'école. Il fait partie de la tête de classe alors qu'il travaille assez peu !... Il n'a pas retrouvé toute sa confiance en lui mais on continue du travailler sérieusement, au quotidien ;-)
Belle journée,
bonjour je suis nouvelle dans ce site, j'ai un problème, voila mon fils et en toute petite section il vien d'avoir 4 ans.j'ai déja eu plusieurs problemes avec la maîtresse de mon fils elle et toujours la a se plaindre pour un rien, alors que moi je dis rien quand je retrouve mon fils avec un gros bleu sur l' oreille ou des grosse griffure sur son visage et beaucoup d'autre chose (je peu pas tous vous expliquer c'est trop long car beaucoup dautre chose...) aujourdui sa maîtresse et venu me voir a 16h30 parce que mon fils a cassé la fourchette de la dînette alors elle ma dis qu'il fallai en racheté une autre...je lui ai dis que javai pas que sa a faire car jen pouvais plus de ses et si!!! et sa !!!bref est ce qu'il faut que je la rachète ou non , ou c'est l'assurance de mon fils qui s'en charge d'un truc qui vau même pas 1 euro. redondé moi svp o plus vite comme sa je serai quoi lui dire lundi merci bcp
"Bonjour, Mon fils qui vient d'avoir cinq ans rencontre des difficultés scolaires et son professeur me dit qu'il n'a aucune volonté pour travailler et que son niveau est très bas. Pourtant en regardant son travail, je trouve qu'il s'en sort bien par rapport à certains de ses camarades : il compte jusque 40, connait tout son alphabet, sait l'écrire et en maths il est plutôt bon. Il a même 100/100 de réussite en langage. Certes, il fait des séances chez l'orthophoniste mais cette dernière trouve que son niveau est bon. Que dois-je penser et faire ? Chaque jour, dès qu'il sort de l'école, son professeur me dit "J'ai encore dû le disputer", pourtant c'est un enfant très calme. Je ne sais plus quoi faire… Merci pour votre aide."
L'un des principaux objectifs de l' école maternelle est justement de susciter la curiosité des jeunes enfants qui lui sont confiés, mais aussi de répondre à leur spontanéité. C'est l'âge de tous les étonnements, de mille découvertes et de nombreuses interrogations. La situation que vous décrivez est donc d'autant plus regrettable.
Telle que la situation est ici présentée,plusieurs pistes sont envisageables. Première piste : une réelle difficulté scolaire comme semblent l'attester les remarques de l'enseignant et peut-être ce suivi en orthophonie que vous évoquez. Seconde piste : votre enfant peut parfaitement s'ennuyer en classe (contenus ne répondant pas à ses centres d'intérêt, formes de travail ne lui convenant pas, vie de groupe mal acceptée). Dernière piste : il peut aussi être préoccupé par d'autres soucis, ce qui expliquerait que le maître se fâche sur un enfant calme mais peu mobilisé.
Dans tous les cas, un dialogue apaisé et non culpabilisant doit être à la base des échanges (parents, enfant, enseignant) pour ne pas que la relation se crispe. D'ailleurs, l'idéal n'est pas ce compte-rendu rapide de fin de journée mais un rendez-vous au calme. En attendant, que dit votre enfant de sa classe et de ce qu'il y fait ? Est-il content d'aller à l'école ? N'est-il pas un peu rêveur et donc bousculé par la vie en collectivité ? Voilà des pistes à explorer, sans chercher de coupable mais des solutions.
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je suis amoureuse de l'instituteur de mon fils
Bonjour. voilà plus d'un an que je sens grandir une passion envers un enseignant. Il enseignait l'année dernière à mon aîné, je ressentais déjà un trouble inhabituel, je ne sais pas pourquoi. Ce trouble est allé en augmentant, puis je me suis dit que ça passerait avec la fin de l'année scolaire, mon autre enfant aurait un autre enseignant, car il y en a plusieurs : et bien non ! Le trouble est en train de se transformer en passion. Nous sommes libres tous les 2, le même âge, des hobbys communs, mais je ne pense pas que sa passion soit réciproque envers moi, et je n'oserai jamais lui avouer, j'en aurais honte, de plus je ne voudrais pas causer du tort à mon fils. Cela devient une obsession, j'en rêve la nuit et j'en suis malheureuse. C'est quelqu'un qui se donne à fond dans son travail d'enseignant, et dans ses loisirs avec ses amis, et je ne sais pas s'il lui reste encore de la place pour l'amour...Je participe à quelques activités de l'école dans l'espoir de me rapprocher de lui, mais je me sens tellement insignifiante, au milieu de toutes ces autres mamans qui sont la plupart plus jeunes, plus belles et plus intéressantes que moi. Il faut dire que je viens de vivre une période difficile d'où je suis sortie salie et dévalorisée, je n'ai plus confiance en moi. Je lui ai envoyé un mot sur le site qu'il a créé pour le féliciter, en lui posant exprès quelques questions, aucune réponse...Certaines amies me conseillent d'être moins timide et plus entreprenante, d'essayer de lui faire comprendre mon attirance pour lui, que je passe à côté de quelque chose de génial, mais je n'oserai jamais, de peur d'essuyer la honte d'un échec...Je suis d'une nature très discrète, et ce n'est pas dans mes habitudes de faire le 1er pas. Peut être certains ont connu la même situation ? Je ne sais plus que faire ...
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