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Six jours, c'est le temps qu'Huguette est restée coincée dans sa baignoire. Et il s'en est fallu de peu pour qu'elle y reste plus longtemps. C'est une factrice, qui, soupçonnant un problème, a alerté les secours et libéré l'octogénaire piégée dans sa salle de bain, selon le journal Sud-Ouest.
Les faits se sont produits le vendredi 5 décembre à Saint-Antoine-de-Breuilh, en Dordogne, à mi-chemin entre Libourne et Bergerac. Huguette qui vit seule s'apprête à faire sa toilette. Elle dépose son boîtier de télésecours sur le bord du lavabo, enjambe le rebord de la baignoire et perd l'équilibre. Incapable de se relever, elle est condamnée à attendre. Un jour... Deux jours...
Lundi, lorsque Sylvette, la factrice du bourg, frappe aux portes de l'avenue du Périgord pour vendre des calendriers pendant sa journée de congé, personne ne lui répond. Le portail est pourtant grand ouvert et les volets sont entrebâillés. Le lendemain et le surlendemain, lorsque la factrice repasse, pour sa tournée cette fois, les lieux sont toujours déserts. Surtout, le courrier s'accumule dans la boîte aux lettres.
«Elle n'avait avalé que de l'eau» depuis six jours
Sylvette Villaud se rend alors à la mairie partager son inquiétude. Le maire, Christian Galliot, trouve porte close chez Huguette. «Il est allé voir des voisins et a réussi à trouver un trousseau de clés», raconte Thierry Héritier, son premier adjoint. «En entrant, il a appelé. Pas de réponse. En avançant de pièce en pièce, il a entendu cette dame, qu'il a trouvée nue, allongée dans la baignoire. Elle était consciente, et bien qu'épuisée elle lui a parlé d'une voix nette» qui a presque surpris l'édile. Pendant tout ce temps, elle n'avait avalé que de l'eau qui venait du robinet. Elle n'avait rien pour se couvrir mais le chauffage central fonctionnait heureusement.»
Très affaiblie mais consciente, Huguette réclame «un verre de lait chaud», raconte la secrétaire de la mairie. Après avoir été hospitalisée quelques jours en observation à Sainte-Foy-la-Grande, et réalimentée progressivement, décision a été prise de la garder quelque temps en maison de convalescence. «Elle va bien, assure-t-on à la mairie, on prend des nouvelles sans vouloir la déranger, elle devrait bientôt rentrer chez elle. Elle est restée six jours et six nuits seule dans sa baignoire, sans savoir qui allait venir l'aider. C'est une sacrée femme».
Depuis la mort de son mari, en 2000, Huguette vit seule dans cette longue maison baptisée «les Matitis», qu'une haie de thuyas parfaitement taillée protège du passage de la rue. Elle est arrivée dans la commune en 1987.
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Rédaction Europe1.fr
08h41, le 25 novembre 2010 , modifié à
08h42, le 25 novembre 2010

Une femme de 80 ans a passé cinq jours dans sa baignoire vide dans un village de Côte d'Or, avant d'être secouru, rapporte l'hebdomadaire local Le Châtillonais et l'Auxois . Elle avait été incapable de se relever après sa chute. Elle n'a pas pu s'alimenter et a uniquement bu de l'eau avec un gobelet. Elle a été hospitalisée et a été jugée hors de danger.

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C'EST en venant rendre visite à sa copine, vendredi vers 18 h 30, qu'elle a fait l'horrible découverte. Le corps de son amie, ensanglanté, gisant dans sa baignoire. Un drame sans précédent dans ce petit immeuble en brique de quatre étages, situé à l'angle de l'avenue Georges-Clemenceau et de la rue de Nancy, à Maisons-Alfort.
La victime, une étudiante de 22 ans, qui habitait au quatrième et dernier étage du bâtiment du 107, avenue Clemenceau, a succombé à une série de blessures. Elle portait des traces d'arme blanche à la gorge et à la tête. Elle a également reçu des coups au visage. Le corps aurait ensuite été transporté jusqu'à sa baignoire où il a été retrouvé par une amie.
Dès l'alerte donnée, un important dispositif policier a été mis en place. « Il y avait au moins une dizaine de voitures de police, lance un témoin qui travaille dans une entreprise voisine. Et tout le week-end, c'était un défilé de policiers en tout genre un peu comme la série les Experts . »
Une voisine le confirme : « Je ne sais rien mais quand j'ai vu un défilé de policiers avec mes voisins, on s'est douté que quelque chose de grave s'était produit dans l'appartement. »
Pourtant le quartier est loin d'être dangereux. « Ici, il n'y a pas plus calme. La moyenne d'âge est de 65 ans ! Pour se loger dans ce quartier, c'est au moins 5 000 â?¬ le mètre carré », détaille un passant.
Les raisons de ce meurtre sont encore floues. L'étudiante avait une vie sentimentale compliquée. C'est le SDPJ (service départemental de police judiciaire) qui a d'abord été saisi de l'affaire. Mais au vu de la complexité de celle-ci, le parquet de Créteil a demandé à la brigade criminelle de Paris de se charger de retrouver le meurtrier.
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