Doigts et langue de velours entre leurs cuisses

Doigts et langue de velours entre leurs cuisses




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Doigts et langue de velours entre leurs cuisses
Sous les Galeries du Palais-Royal, Chez la petite Lolotte , 1889 ( p. 101 - 111 ).
book LÚvres de Velours E. D. Sous les Galeries du Palais-Royal, Chez la petite Lolotte 1889 Paris V Chapitre VIII D - LÚvres de Velours, 1889.djvu D - LÚvres de Velours, 1889.djvu/7 101-111 


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Le spectacle terminé, nous regagnons la
chambre Ă  coucher, oĂč les bayadĂšres nous rejoignent
bientĂŽt en habits de ville, conduites
par Miss Pirouett, qui nous prĂ©sente leur requĂȘte.
AprĂšs s’ĂȘtre donnĂ©es en spectacle dans
les scĂšnes variĂ©es qu’elles viennent de jouer,
elle ne seraient pas fùchées de se reposer un moment
de leurs fatigues, en assistant Ă  leur tour
en simples spectatrices à quelque petite réjouissance.
Dames et soubrettes, émoustillées par le
croustillant spectacle auquel elles viennent
d’assister, sont dans d’excellentes dispositions,
et votre serviteur lui-mĂȘme est trĂšs bien disposĂ©.

L’infatigable Miss Pirouett distribue les rîles
Ă  toute la bande pour le divertissement dont
elle rĂšgle la marche. Les quatre soubrettes, les
trois parisiennes, les deux SĂ©villanes et la comtesse
retirent leur pantalon, pour ne pas ĂȘtre
gĂȘnĂ©es dans les exercices. Je retire Ă©galement
le mien et je m’installe sur une chaise, la
queue en l’air. Miss Pirouett se tient auprùs de
moi ; au signal qu’elle donne, les dix beautĂ©s
prennent leurs jupes Ă  pleines mains, et les
relĂšvent ainsi que la chemise, bien haut, sur les
reins, dĂ©couvrant le corps jusqu’à la ceinture
par devant et par derriÚre ; et, partant de devant
la chaise que j’occupe, elles font au pas
le tour de la chambre Ă  la file, montrant quand
elles marchent en avant les deux hémisphÚres
qui se déhanchent dans de plaisantes contorsions,
puis le devant qui se dandine, quand
elles reviennent. La premiĂšre, qui est la
comtesse, m’enjambe, se met à califourchon sur
mes cuisses, retenant toujours ses vĂȘtements
dans ses mains ; Miss Pirouett entr’ouvre les
bords de la grotte du bout des doigts, je tiens
ma quille droite dans une main, de l’autre, je
dirige la pointe vers l’orifice ; la comtesse s’assied
dessus, et le membre s’enfonce jusqu’à la
garde dans la gaßne brûlante. La cavaliÚre se
soulĂšve sur la pointe des pieds, remonte et redescend
par trois fois, pendant que la bande
toujours troussée, continue sa promenade en
rond. Quand la tĂȘte de la colonne revient auprĂšs
de nous, Miss Pirouett détache des claques
sur les fesses de la comtesse, lui indiquant
ainsi que le moment est venu de vider les arçons,
ce qu’elle fait sans insister, pour prendre
la queue de la colonne. La princesse Sophie
prend sa place sur mes genoux, et, toujours
avec l’aide de Miss Pirouett, elle enfourche sa
monture, chevauche par trois fois, et reçoit les
claques qui doivent terminer la leçon d’équitation.
Aprùs la princesse, c’est Agnùs de P
,
qui vient s’encheviller ; puis, c’est chacune des
aimables Ă©cuyĂšres qui viennent chevaucher Ă 
leur tour ; et quand la derniÚre vide les étriers,
aprùs les deux claques formidables dont l’a
gratifiée Miss Pirouett, et que la comtesse se dispose
Ă  se remettre en selle, pour achever la
manƓuvre, la directrice des jeux, sans prendre
la précaution de retirer sa culotte, bondit sur
mes genoux, et tant bien que mal, s’embroche
sur ma quille, chevauchant Ă  la diable, se tordant
comme une couleuvre, et arrivant en mĂȘme
temps que moi Ă  CythĂšre en trois temps
de trot, bien qu’elle soit partie en retard, et
malgrĂ© l’avalanche de gifles que la comtesse
lui distribue avec l’aide de la princesse qui
a déchiré le pantalon pour la fesser plus à
l’aise.

Tout ceci n’a fait que redoubler la rage d’amour
qui brûle nos énamourées. Les bayadÚres
se précipitent sur les grottes entrebùillées par
le désir, et, agenouillées devant les beautés qui
sont toujours troussĂ©es jusqu’au nombril, elles
viennent essayer d’éteindre l’incendie qui dĂ©vore
les régions Cythéréennes. Miss Pirouett
gamahuche follement la princesse, j’offre ma langue
Ă  la comtesse, bien que ce soit un autre objet
qui lui tire les yeux en ce moment ; elle le
prend dans la main cet objet, mais il offre si
peu de consistance, qu’elle se contente, faute
de mieux, du pis aller que je lui offre, pis aller
qu’elle prĂ©fĂšre d’ordinaire ; mais sait-on jamais
à quoi s’en tenir sur les caprices des femmes
en général, et des tribades en particulier ? Je
me conduis brillamment dans l’aimable asile,
y dépensant tout mon talent, toute la dextérité
de ma langue agile qui eut tĂŽt fait de tirer des
larmes au clitoris ravi de plaisir. Autour de
nous, les besognĂ©es jouissaient en chƓur ; et
toutes insistaient pour qu’on recommençñt sur-le-champ
une besogne aussi bien, mais trop
vite menée.

MaĂźtre Jacques a repris sa superbe prestance,
MercédÚs, à cette vue soudainement reprise
de son appĂ©tit de mĂąle, m’entraĂźne vers le lit
de repos. Elle monte sur la couchette, s’agenouille,
et me montre qu’elle veut que je la
prenne en levrette. Je grimpe sur le lit, je me
glisse entre les cuisses écartées, je la pénÚtre vivement,
et, quand je vais jouer des reins pour
mener l’affaire à bien, la princesse, nous voyant
unis, repousse Miss Pirouett qui recommençait
son aimable manĂšge, s’élance sur le lit s’installe
sous la comtesse, la tĂȘte vers le pied du
lit, de façon à gamahucher MercédÚs, tout en lui
offrant sa grotte pour qu’elle lui rende la pareille.
La comtesse s’étend doucement sur son
amie, je la suis dans son mouvement, sans sortir
de l’étui qui emprisonne mon membre. DĂšs
que Sophie a la grotte sur ses lĂšvres, je sens
sa petite langue douce et chaude, qui s’insinue
dans le rĂ©duit que j’occupe, entre le boutonnet
d’amour et ma verge, dans un tout petit coin,
si Ă©troit, qu’il semble qu’il n’y aurait pas de
place pour une Ă©pingle, car mon membre qui
remplit exactement l’orifice, touche les bords
tout autour. Mais la petite langue se fait si
pointue, et le velours en est si doux, si moelleux,
qu’elle se glisse dans l’imperceptible solution
de continuitĂ©, oĂč elle se dĂ©mĂšne rapide
et légÚre, comme si elle était logée au large.

Miss Pirouett a vite pris son parti. Dùs qu’elle
nous voit installĂ©s, elle s’élance sur le lit,
saute Ă  cheval sur ma croupe, et, Ă©treignant
mes fesses entre ses cuisses, elle se met Ă  bondir
furieusement sur mon derriùre, m’obligeant
à la suivre dans ses bonds désordonnés. La
verge et la langue, réunies dans le chaud repaire,
pour la mĂȘme affaire, ont tĂŽt fait de
l’émouvoir, et le vagin se tord depuis longtemps
quand je le pénÚtre de mes brûlantes faveurs,
en mĂȘme temps que mon Ă©cuyĂšre pisse de plaisir
sur mes fesses, et que la princesse se pĂąme
sous la comtesse, qui lui rend ses bienfaits
avec usure. Les groupes, disséminés dans la
chambre, ont laissĂ© retomber leurs vĂȘtements,
et se tordent dans les plus plaisantes contorsions,
les unes, le buste cambré, rejeté en arriÚre
la gorge en arrĂȘt, les yeux au ciel, les autres
penchées en avant, inclinées vers la terre et
toutes pressant fortement des deux mains la
nuque des ouvriĂšres de leur bonheur, ensevelies
sous leurs jupes.

AprĂšs un repos de quelques instants, tout
le monde se dĂ©shabille. Les ballerines qui n’ont
eu qu’un rîle passif dans les derniers divertissements,
grillent d’avoir un rîle actif. Les
quatre soubrettes s’arment chacune d’un godmichĂ©
garni, et viennent s’asseoir sur quatre
chaises disposĂ©es en carrĂ© d’un mĂštre de cĂŽtĂ©,
chacune dans un angle, tournĂ©e vers l’intĂ©rieur.
Quatre des bayadùres viennent s’installer à califourchon
sur les cuisses des soubrettes, et
s’enferrent jusqu’à la garde ; les quatre autres
qui sont les plus jeunes, viennent chacune auprĂšs
d’un groupe. MercĂ©dĂšs et Sophie s’emparent
de l’une d’elles, la prennent par les cuisses,
l’enlùvent, la mettant entre les deux poitrines
de Lola et de la cavaliĂšre, la soutenant
tandis qu’elle repose ses pieds sur les bords de
la chaise qu’occupe la soubrette et qu’elle s’appuie
de ses deux mains sur les Ă©paules des porteuses,
de façon à ce que Lola ait la fente de
la mignonne sur les lĂšvres, et que la cavaliĂšre
puisse la larder entre les fesses Blanche et
AgnĂšs soulĂšvent l’autre de la mĂȘme façon, l’intercalent
entre les deux figures de l’écuyĂšre et
de la monture, et la soutiennent par les cuisses,
les pieds reposant sur les bords de la chaise.
Conchita et DolorĂšs enlĂšvent et soutiennent
de mĂȘme la troisiĂšme ; Miss Pirouett et moi,
nous avons enlevé la quatriÚme comme une
plume ; nous la plaçons entre les deux aimables
langues qui doivent fĂȘter le double foyer
de l’amour ; et, comme la mignonne est plus
petite que ses compagnes, nous la maintenons
en l’air, à bout de bras, un pied dans une
main, l’autre main soutenant la cuisse.

Les Ă©cuyĂšres chevauchent en cadence sur la
pointe des pieds, tandis que monture et Ă©cuyĂšre
fĂȘtent ensemble l’aimable entre-deux qui s’offre
Ă  leurs caresses, avec une ardeur sans seconde,
sous nos yeux charmés. Tout en soutenant
le lĂ©ger fardeau, nous admirons l’agilitĂ©
de ces petites langues pointues, fouettant ici le
clitoris d’un rapide mouvement, lardant Ă  cĂŽtĂ©
l’humble joyau, tandis que monture et Ă©cuyĂšre
ne pouvant maßtriser leur ardeur, accélÚrent la
cadence ; nous sentons palpiter l’aimable fardeau
que nous soutenons, secoué de vibrations
spasmodiques, tandis que les deux habiles dispensatrices
de son plaisir, goûtent elles aussi
une félicité céleste, quoique muette, leurs lÚvres
fermĂ©es sur deux aimables pertuis, oĂč leur
langue est agréablement occupée retenant leurs
soupirs, pendant qu’en revanche, les quatre
gamahuchées éclatent en gémissements amoureux.

La nuit étant un peu avancée, les bayadÚres,
aprĂšs les plus tendres adieux, regagnent les
voitures que la comtesse a mises Ă  leur disposition,
et qui les attendent en bas. Nous nous séparons
aussi, les voyageuses ont besoin de repos,
et je restai seul avec la comtesse, quand
Lola se présentant dans la chambre, vint dire
quelques mots à l’oreille de sa maütresse.
« Qu’elle entre », dit celle-ci en riant.

AussitĂŽt s’élance dans la chambre, comme
une bombe, Miss Pirouett, qui saute au cou de
MercédÚs, la mange de baisers, la quitte, saute
sur les mains, fait le tour de la chambre les
jambes en l’air, s’embarrasse dans ses vĂȘtements
retournĂ©s, et s’étale de tout son long.
MercédÚs, toujours compatissante, craignant
que la pauvrette ne se soit blessée dans sa chute,
se précipite à son secours. Miss Pirouett,
voyant venir la comtesse, sourit, se retourne
sur le dos, relĂšve la chemise, Ă©carte la fente du
pantalon, et montrant les lĂšvres roses de son
four entrebĂąillé : « C’est ici, dit-elle, qu’est la
blessure, et qu’il faut mettre un baume. » La
comtesse s’étend devant la ballerine mal Ă  l’aise
dans cette position, mais disposĂ©e Ă  aller jusqu’au
bout, ce qu’elle fit d’ailleurs en quelques
baisers bien appliqués, car la mignonne se trémoussait
au second, et déchargeait au dixiÚme.

Il fĂ»t entendu qu’on la garderait cette nuit.
Lola s’en allait Ă  regret, les yeux chargĂ©s
d’électricitĂ© amoureuse. Sur un geste de sa
maĂźtresse, elle resta un moment avec nous.


Sous les Galeries du Palais-Royal, Chez la petite Lolotte , 1889 ( p. 48 - 62 ).
book LÚvres de Velours E. D. Sous les Galeries du Palais-Royal, Chez la petite Lolotte 1889 Paris V Chapitre V D - LÚvres de Velours, 1889.djvu D - LÚvres de Velours, 1889.djvu/7 48-62 


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Nous reprenons nos vĂȘtements, les danseuses
leurs légers costumes, et nous nous mettons
Ă  collationner devant une table que les soubrettes
viennent de dresser. À la fin de la collation,
Miss Pirouett propose de vider des fioles
de champagne dans une coupe d’un autre genre,
et d’une autre matiùre que la fine mousseline
dans laquelle nous trempons nos lĂšvres.
La plus jeune de la bande doit servir Ă  nos libations.
La plus jeune, c’est Ă©videmment la
blondinette CĂ©cile, pucelle encore, il y a peu de
jours, et qui garde toujours l’air d’une vierge.

On déshabilla la blondinette, dix mains
impatientes lui retirent ses vĂȘtements et la
mettent toute nue, comme au jour de sa naissance.
On la couche sur la table, sur le ventre
les reins en l’air ; deux soubrettes lui soutiennent
le haut du corps, de façon que le dos
aille en pente douce, dans une inclinaison Ă 
peine sensible , de la nuque aux fesses. Je me
penche vers la mignonne, j’écarte les fesses,
j’ouvre bien la raie qui les sĂ©pare, je pose ma
bouche tout au bas, la lÚvre inférieure avancée
formant un creux, de façon à intercepter le
passage Ă  la liqueur, la langue bien en face du
petit point noir. Lola tient dans la main une
bouteille de Clicquot à moitié vide ; elle penche
le goulot au-dessous de la nuque, et elle
verse d’une main sĂ»re entre les deux Ă©paules,
filet par filet, la liqueur vermeille, qui coule
le long des reins, suit le sillon creusé dans le
dos, entre dans la raie, coule entre les fesses,
et arrive au bas de la mappemonde oĂč elle remplit
le creux formé par ma lÚvre et dans lequel
ma langue lappe le liquide, comme une chatte
lappe le lait dans une jatte, léchant la coupe,
sans y laisser une goutte ; et aprÚs avoir nettoyé
l’entrĂ©e de l’urne du bout de ma langue pointue,
je me relÚve, cédant ma place à la comtesse,
qui boit Ă  son tour Ă  la coupe
improvisée, et fait claquer sa langue en
gourmande satisfaite, quand elle se relÚve, cédant
la place Ă  une autre. Toute la bande vient
boire à la coupe, chacune avec une mine différente,
toutes avec le mĂȘme plaisir. Quand la
derniĂšre y est passĂ©e, je me prĂ©cipite vers l’adorable
pertuis, j’y applique mes lùvres ; l’embouchure
était brûlante.

Quand la mignonne se relĂšve, ses cuisses
sont mouillées, non des gouttes de la liqueur,
car toutes les buveuses ont fait comme moi,
rubis sur l’ongle, mais de perles distillĂ©es par
le petit boutonnet d’amour, Ă©mu par les ardentes
caresses qu’on a prodiguĂ©es Ă  son voisin,
et dont la chaleur a pĂ©nĂ©trĂ© jusqu’à lui. Je le
touche, le joli petit bouton qui se cache en
bas de la toison blonde ; il est encore tout
humide. Je lui fais la toilette avec une fine
serviette que je prends sur la table, et je me dispose
Ă  lui faire fĂȘte. Mais Miss Pirouett imagine
un autre divertissement. Deux soubrettes prennent
la blondinette dans leurs bras, la renversent
la tĂȘte en bas, reposant sur le tapis, les
jambes en l’air ; deux ballerines lui tiennent
les cuisses écartées, et Lola débouchant un
flacon de Clicquot, verse la liqueur dorée, qui
fait glouglou dans la grotte renversĂ©e, jusqu’à
ce qu’elle affleure aux bords de l’urne. Je me
mets Ă  lapper la liqueur dans le vase, avec un
petit bruit de clapotement que fait la langue,
en frappant contre le bouton Ă  chaque
lampée. Quant je crois avoir vidé le hanap
jusqu’à la derniùre goutte, ma langue, en remontant,
trouve Ă  l’entrĂ©e le petit bouton tout
humide, distillant sur les bords une abondante
rosée, que je cueille goutte à goutte, faisant
rubis sur l’ongle.

Les trémoussements convulsifs de ce beau
corps palpitant, ces rondeurs juvéniles ces
charmes virginaux, tous ces appas appétissants
ont mis toute la bande en rut, et chacune brûle
d’une douce envie. C’est toujours Miss Pirouett
qui dirige les jeux. Les huit danseuses, qui sont
vite toutes nues, se divisent en quatre couples,
se renversent tĂȘte Ă  cul, chacune mettant la
langue dans la fente de l’autre, allongĂ©es sur le
tapis, bout à bout, un couple devant l’autre
formant une longue ligne de dos ininterrompue.
Les trois dames et les trois soubrettes, qui
restent habillées, retroussent leurs jupes, les
retiennent dans la main gauche, montrant leurs
cuisses et une partie des fesses nues, et s’accolant
ensemble, dame Ă  soubrette, elles se branlent
dans les coins. Cécile, un peu fatiguée,
contemple le spectacle, confortablement assise
dans un large fauteuil.

Miss Pirouett se présente à maßtre Jacques
en levrette, et quand elle a englouti la rude
machine, je la prends sous les cuisses, pendant
qu’elle se renverse sur les mains, la tĂȘte en bas.
Je tiens les jambes comme des brancards de
brouette, et la mignonne se met Ă  marcher sur
les mains, m’obligeant à la suivre dans sa bizarre
promenade. Elle me conduit ainsi jusqu’à
l’extrĂ©mitĂ© de la ligne des corps nus, qui se
gamahuchent l’un sur l’autre, avec une ardeur
sans Ă©gale, passe une main Ă  droite, laisse
l’autre à gauche, pendant que j’enjambe les
corps, moi aussi ; puis elle recommence sa
promenade sur les mains, lentement, la tĂȘte relevĂ©e,
de façon à appuyer ses lÚvres sur les
chairs que nous parcourons, moi, en me déhanchant
Ă  chaque pas, elle, mangeant les
chairs de baisers. Les couples habillés quittent
leurs coins, pour nous suivre dans notre promenade,
le doigt toujours dans la fente. Quand
nous sommes au bout de la ligne, nous revenons
à reculons, moi toujours me déhanchant,
elle, marchant sur les mains toujours collée à
moi, lĂ©chant les chairs satinĂ©es d’une lĂšvre
ardente, qui laisse un sillon rose tout le long
de son parcours, et mordillant les fesses qui
gardent l’empreinte de ses quenottes.

Quand nous sommes revenus au point de
départ, je vois toute la ligne des dos satinés,
agitĂ©s d’un long frisson, prĂ©curseur du plaisir.
Miss Pirouett s’arrĂȘte, s’agenouille tout
doucement, pour ne pas me dĂ©sarçonner, s’étend
sur le premier couple, et je me trouve allongé
sur son corps. Les dames, toujours unies aux
soubrettes, cessant aussi leur promenade, s’arrĂȘtent
devant ces belles croupes frissonnantes
et s’agenouillent, chacune d’un cĂŽtĂ©, sur une
fesse de ces gros postérieurs, écrasant les chairs
qu’elles tassent sous leurs genoux, pendant
qu’elles poursuivent leur voluptueux manùge
d’un doigt agile CĂ©cile, qui a glissĂ© son doigt
dans sa petite fente, mise en goût par cet
Ă©moustillant spectacle, bondit tout Ă  coup de
son fauteuil, enjambe le groupe qui est devant
nous, et, s’agenouillant sur les reins de ma voisine,
elle me présente son petit conin entrebùillé ;
je dois me soulever sur les mains pour
y poser mes lĂšvres. La mignonne est tellement
Ă  point, qu’elle se pĂąme en mĂȘme temps que
tout le groupe se tord convulsivement secoué,
et que Miss Pirouett me désarçonne presque par
ses brusques soubresauts.

Bien que la nuit soit avancée, personne ne
songe à s’en aller. Miss Pirouett, qui a toujours
des idĂ©es plaisantes, veut qu’on serve ces dames
disposées comme pour satisfaire 
 un besoin
naturel. MercĂ©dĂšs, DolorĂšs et Conchita, s’accroupissent
donc, prennent leurs jupes dans
les mains, les retroussent un peu haut, par
devant et par derriÚre, les genoux aux dents ;
les fesses, prenant ainsi la forme d’une poire
duchesse renversée, touchent presque terre ;
la fente s’entr’ouvre sous un fouillis de poils au
bas d’une toison noire qu’on dĂ©couvre Ă  moitiĂ©.
Devant chaque motte s’allonge une ballerine,
Ă©tendue sur le cĂŽtĂ© dans une posture gĂȘnante
pour arriver, en s’allongeant le cou, à mettre la
fente sous ses lÚvres ; derriÚre chaque postérieur
s’installe une danseuse Ă©tendue sur le ventre,
la tĂȘte relevĂ©e pour porter ses soins au
gaillard d’arriĂšre. Les trois soubrettes habillĂ©es
s’agenouillent devant les trois dames, viennent
se coller à leurs lÚvres, en les maintenant serrées
sur leur seins.

Les quatre belles inoccupées et moi, nous
voltigeons d’un groupe à l’autre, surveillant la
manƓuvre, nous agenouillant, inclinĂ©s vers la
lice amoureuse, pour admirer l’agiletĂ© merveilleuse
de ces petites langues, dont la pointe
rose vole rapide et légÚre sur le clitoris, ou larde
à cÎté le petit point noir, enfoncée dans les
chairs. Le trio, ainsi fĂȘtĂ©, palpite de feu, tendrement
Ă©mu par les ineffables caresses dont on
les comble, et bientĂŽt el
Les adolescents devraient ĂȘtre Ă  l'Ă©cole
Il les aime grosses
Maman qui séduit son jeune fils

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