Deux servantes attachées

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Deux servantes attachées






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Deux femmes nues attachées dos à dos et suspendues





Deux femmes nues attachées dos à dos et suspendues


© Musée d’Orsay, Dist. RMN-Grand Palais

/ Alexis Brandt

Deux femmes nues attachées dos à dos et suspendues,
Musée d’Orsay, Dist. RMN-Grand Palais

Charles-François Jeandel
(1859 -
1942)



Oeuvre non exposée en salle actuellement




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Limoges
, Limousin
(France), 1859
-
Angoulême, Poitou-Charentes (France), 1942
Deux femmes nues attachées dos à dos et suspendues

H. 17,0 ; L. 12,0 cm.
avec montage H. 22 ; L. 30,5 cm


jusqu'en 1987, dans la collection de la famille Braunschweig


1987, accepté par l'Etat à titre de don de la famille Braunschweig, en souvenir de la galerie Texbraun (comité du 08/01/1987, conseil du 14/01/1987, arrêté du 22/01/1987)


1987, attribué au musée d'Orsay, Paris


De l'angoisse à l'extase

-

galerie Texbraun

-

France,

Paris,

1984


Carré, D., Photographies , "Epitaphe à une femme", Paris, Association française pour la diffusion du patrimoine photograph, 1984, n°5, p.50



positif



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Que nous souhaite saint Paul : être célibataires et « libres de tout souci » ? Non, le vœu de l’Apôtre est que nous soyons « attachés au Seigneur sans partage. » C’est aussi le vœu de l’Eglise qui rappelle à ses enfants leur vocation commune à la sainteté, c’est-à-dire au véritable bonheur : « Tous les fidèles du Christ sont invités et tenus à chercher et à atteindre la sainteté et la perfection propres à leur état. » (Lumen Gentium, §42). Ce chemin serait en effet impraticable et cette quête inatteignable sans la grâce du Christ que nous avons à désirer comme notre bien le plus précieux.
Si vous êtes marié, vous avez déjà entendu ceci dimanche dernier : « Que ceux qui ont une femme soient comme s’ils n’avaient pas de femme » (1Co 7, 29b). Autrement dit, ne vous attachez pas à votre conjoint comme s’il avait ou était la clé de votre bonheur. Ne lui donnez pas la place du Christ qui a dit : « Si quelqu’un vient à moi sans me préférer à son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères et sœurs, et même à sa propre vie, il ne peut pas être mon disciple. » (Lc 14, 26) Ainsi, vous porterez mieux « le souci des affaires de ce monde » et saurez mieux « chercher comment plaire à [votre conjoint] ». Votre amour en sera purifié et fortifié.
Quant à nous qui sommes célibataires, que nous l’ayons choisi ou le subissions, veillons à ne pas faire de notre “liberté” un vaste champ ouvert à notre égoïsme. Celui que nous risquons de mettre à la place du Christ, c’est nous-mêmes. Au contraire, faisons-en l’occasion « d’une charité fervente et d’un culte parfait à rendre à Dieu » (LG, §44).
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Je poste ici les reviews de mes (trop) nombreuses lectures.
Critique n°10 : La servante écarlate, Margaret Atwood
« Dites-vous que c’est comme vous étiez à l’armée »
Cela faisait un bout de temps que j’avais entendu parler de cet ouvrage -surtout pour souligner son côté dérangeant et dystopique-, à cause du succès de la série. J’ai eu récemment l’opportunité de l’emprunter..alors je me suis dit pourquoi pas. Autant me faire mon propre avis dessus.
A la suite d’une révolution menée par des religieux dans ce qu’il semble être les Etats-Unis, un régime totalitaire s’est installé. Les femmes y sont dévalorisées, interdites de travailler, ne peuvent pas avoir leur propre compte bancaire. Elles sont divisées en castes ; seules les Épouses possèdent une ombre de pouvoir. Ensuite viennent les Marthas, les Econofemmes, les Tantes, et enfin les Servantes. Celles-ci, habillées de rouge, ne sont destinées qu’à la reproduction humaine ; le taux de natalité a drastiquement chuté à cause de la pollution de l’atmosphère. Nous suivons ici l’itinéraire de l’une d’entre elles, Defred, affectée à un Commandant.
Comment décrire ce roman autrement que par l’adjectif « perturbant ? » L’aspect éminemment religieux de cette République de Gilead me perturbe. Le concept même de Servante me perturbe. L’inactivité à laquelle les Epouses sont tenues me perturbe. De nombreuses scènes me perturbent, à commencer par la scène de Cérémonie au début du roman, ainsi que celle de l’accouchement. Sans parler des séances d’humiliation publiques que Defred mentionne. Comment rester de marbre lorsqu’une Tante rabâche que si untelle a été abusée, c’est de sa faute ? C’est impossible, j’ai été choquée et énervée. Mais Defred raconte que les futures servantes ont été tellement conditionnées qu’elles en viennent à croire une horreur pareille – le slutshaming dans toute sa splendeur. De la même manière, un homme ne peut être stérile – c’est toujours la faute de la femme, alors même que certains médecins l’avouent timidement en privé. Et l’on en vient à parler d’autodafés, de censure des magazines, même les plus anodins. Car les femmes ne doivent plus lire, ni écrire, maintenues soigneusement dans l’ignorance.
Il est impossible de passer à côté le degré assez incroyable de déshumanisation que les Servantes subissent. Tout d’abord, on les prive de leur nom pendant leur entraînement . Le seul nom qu’elles pourront avoir, sera De+le nom de leur commandant ; ainsi, Defred appartient au Commandant Fred. En version originale, Defred s’appelle Offred – avec en prime un jeu de mots sur offered , offerte…qui insiste bien sur la dimension sacrificielle du personnage. Les Servantes ne doivent ensuite porter que des robes rouges qui leur sont imposées..et leur visage est voilé de blanc. Le message est clair : la Servante n’existe plus en tant que femme. Defred se fait elle-même la réflexion qu’elle n’est plus qu’un utérus ; c’est avec son utérus que le Commandant interagit, ce n’est pas elle. Perspective qui fait froid dans le dos.
Il faut aussi souligner la narration, qui sert très bien le propos. Le ton de Defred est toujours très froid, détaché, chirurgical presque. Comme si elle se détachait de tout ce qui lui arrive pour ne pas hurler d’horreur ; et c’est une narration diablement efficace. Ou alors est-ce son entraînement qui l’a rendue ainsi, aussi insensible ? Ce n’est pas impossible ; surtout qu’il est sous-entendu que certaines futures servantes sont droguées pour qu’elles soient plus dociles. Mais là où le roman est intéressant, est par l’habile mélange de la narration au présent et des souvenirs de Defred. Elle nous raconte sa mère, sa meilleure amie Moira, sa vie avec Luke, la fille qu’ils ont eu ensemble..et évoque sa capture du bout de la plume. « Je n’ai pas envie d’en parler. », dit-elle. Comment ne pas la comprendre ? Qui souhaiterait se rappeler l’horreur ?
Il y a encore tant de choses que je pourrais évoquer pourtant. Les personnages en particulier sont très intéressants. Difficile de ne pas compatir à Defred et ses consœurs, comme Deglen et Dewarren ; on s’attache à ces femmes forcées d’être des Servantes. Surtout Defred : on sait qu’elle avait un mari dont elle a été séparée lors de sa capture, et une petite fille donnée à un Commandant et sa femme pour qu’ils l’élèvent. Ca fend le cœur. Et le personnage de Serena Joy est d’une ironie tragique…là où son mari, le Commandant, rend perplexe. Au départ il semble d’une probité à toute épreuve..et montre plus de profondeur par la suite.
Pour moi ça sera donc un 8,5/10. Malgré ses thématiques dérangeantes, ce roman est vraiment intéressant à lire, j’ai eu du mal à en décrocher. Mention pour l’épilogue, que je ne détaillerai pas ici cependant pour des raisons évidentes. Au final,c’est un roman que je recommande – mais il n’est pas à mettre entre toutes les mains.
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