Infirmière d'humeur coquine

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Cette semaine encore, le web nous aura régalé de ses séquences sexy. Parfois drôles, parfois simplement torrides, Non Stop Zapping a compilé les meilleures séquences de la semaine.


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Par Anonyme - 07/05/2016 19:50 - France - Grenoble

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Récits érotiques - Slygame

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Une infirmière à domicile



UNE INFIRMIÈRE A DOMICILE Clément n’était pas un chanceux. Pourtant, il ne faisait rien de travers. A 21 ans, il s’en sortait plutôt bien dans les études, avait autour de lui une bande de copains, faisait du sport, chérissait sa famille. Sans dire qu’il avait un physique d’Apollon, il avait un charme simple que lui donnait son corps de sportif et son air rêveur, renforcé par cette lueur chaude qu’on trouvait dans ses yeux quand il vous souriait. Il avait un charme qui ne laissait pas indifférent, surtout quand ce grand brun s’exaltait dans de grandes discussions, une sorte d’aura émanait de lui. Pourtant, c’était un jeune homme trop timide pour se mettre en avant. De ce fait, sa vie sentimentale demeurait assez limitée et le célibat le suivait depuis qu’il était à la fac. Il en souffrait par moment mais ne voyait pas comment y remédier sans changer ce qu’il était naturellement. Bref, l’existence de Clément était bien remplie mais la vie a parfois cette tendance à noyer le quotidien sous une couche de routine mêlée d’ennui qui laisse le temps défiler sans qu’on s’en aperçoive. Et de temps en temps, comme pour vous rappeler que ça pourrait être pire, elle vous concocte une petite conjecture d’évènements. C’est ce qui est arrivé à Clément en ce début de juillet. Week-end de compétition de trial, vélo vérifié minutieusement, entraînement optimal. Ce samedi matin-là, il s'était levé avec une pêche de tous les diables, sûr de pouvoir venir à bout de tous ses concurrents. Il en était persuadé, une fois le trophée en main, il partirait rejoindre ses parents à la Rochelle et leur exposerait fièrement sa gloire avant de commencer des vacances au soleil. Pourtant, malgré un repérage attentif de la piste le matin, le jeune homme n'avait pu éviter la sortie de piste et l'accident. Trop de confiance, trop de hardiesse, trop de témérité lui avaient coûté non seulement la victoire mais aussi l'usage de ses deux bras. Une foulure assez grave du poignet droit et un bras gauche cassé lui valaient un plâtre à chaque membre. Cette compétition, il l’avait attendue pendant de mois. C’était peut-être l’exaltation de sortir du train-train et de pouvoir se donner à fond ? En tout cas, ses vacances s’annonçaient sérieusement remises en question. Pour couronner le tout, ses parents étant déjà partis en vacances, il se retrouvait tout seul. Il lui fallait quelques jours de repos avant d’envisager de les rejoindre à la Rochelle. Mais les deux bras dans le plâtre n’allaient pas aider à gérer la vie quotidienne. A cela, sa mère avait trouvé une solution pour sa sortie d’hôpital. Au cours d’une discussion au téléphone avec la pipelette de voisine, celle-ci lui avait proposé d’appeler sa nièce, qui faisait ses études d’infirmière, pour venir donner un coup de main à Clément une fois qu’il serait de retour à la maison. Sa mère avait tout de suite accepté, contente de ne pas avoir à rentrer prématurément de vacances. Voilà donc comment Clément, tout frais sorti de l’hôpital, arrivait en taxi chez ses parents. Il n’avait pas particulièrement été ravi de la décision de sa mère et aurait préféré un peu plus de soutien de sa famille. Il ne pouvait s’empêcher d’imaginer la nièce infirmière à l’image de sa tante : une fille aux cheveux frisés et au physique étrange, les dents un peu de travers, une voix un peu trop aigue et un débit verbal bien trop prononcé pour aider à une convalescence reposante. Bah, après tout, il ne resterait là qu’une semaine. Le taxi le déposa devant chez lui et le laissa d’une humeur plutôt bougonne. Pourtant, quand il vit sa garde-malade sortir de chez lui (la voisine avait les clés) il en resta bouche bée. Elle était...elle était...superbe. Son coeur manqua sans doute quelques battements. Il vit tout d'abord, quand elle passa dans un rai de soleil, ses longs cheveux châtains clairs et lisses qui semblaient brûler d'or et se balancer comme de la soie. Puis il vit sa silhouette gracile onduler le long du chemin, ses hanches fines chaloupant vers lui. L'espace d'un instant, il put voir ses jambes fines à travers sa robe grâce au soleil derrière elle. Son ventre palpita. Quand elle quitta la lumière et qu'il put mieux la voir, il fut encore plus ravi. Un visage sage, souriant, des yeux marrons en amandes, des lèvres fines allongées en un sourire accueillant qui faisaient apparaître ses fossettes. Des taches de rousseur discrètes finissaient de la rendre charmante. Clément était subjugué quand elle s'approcha de lui. - "Bonjour, tu dois être Clément si j'en crois tes trésors de guerre" lança-t-elle en montrant les bras du jeune homme. - "Bah...beuh...oui" fut tout ce que Clément put répondre sur le coup. - "Holà, tu es fatigué on dirait" fit-elle avec un sourire amusé. "Je m'appelle Florine et je suis là pour t'aider cette semaine. Je vais prendre ton sac. " - "Euh, oui, merci." A l’intérieur, Florine lui proposa un rafraîchissement, qu’il accepta en balbutiant à nouveau, et se dirigea vers la cuisine d'un pas léger. Clément pouvait la voir marcher devant lui. Son regard glissa malgré lui vers les jolies fesses de la jeune fille qui se balançaient devant ses yeux. Une pensée traversa son esprit. Portait-elle une culotte ou un string ? Il ne put le déterminer mais se sentait soudain un peu coupable de se l’être demandé. Mais déjà elle virevoltait face à lui. - "Tiens, voilà un verre d'eau" proposa-t-elle en lui tendant un verre. La gorge sèche, Clément voulut se saisir du verre mais il redécouvrit ses bras inaptes. Florine laissa échapper un petit rire amusé et porta le verre à sa bouche. - "Tu ne t'es pas raté, mon pauvre" dit-elle en le faisant boire patiemment. - "Ne te moque pas. Une chute pareille, ça ne m'était pas jamais arrivé." - "Je ne me moque pas mais ça ne va pas être facile pour toi cette semaine. Je vais tout faire pour que tu t'en sortes." - "Merci beaucoup" répondit Clément, rougissant devant le sourire charmant de la jeune fille. "Tu as quel âge ?" - "25 ans. Et toi 21, c'est ça ?" - "C’est ça" - "Tu veux faire quoi maintenant ?" demanda Florine. - "Je suis un peu fatigué. Je vais aller dormir un peu". - "Ok, n'hésite pas à m'appeler si tu veux quelque chose, n'importe quoi." Clément laissa donc Florine au rez-de-chaussée et monta dans sa chambre pour s'allonger sur le lit. Pas facile de trouver la bonne position avec ses deux bras en écharpe mais il avait trouvé la technique durant son séjour à l’hôpital. Même si l’un de ses bras était plâtré jusqu’au-dessus du coude, l’autre ne remontait que sur l’avant-bras pour soutenir son poignet foulé. La tête reposée sur son oreiller, ses pensées étaient remplies de la jeune fille. Quelle était belle, gracieuse. Quand il repensait à sa silhouette charmante, ses jolies fesses, son ventre se tordait. Et ses seins ? Il n'avait même pas pensé à les regarder. Ou bien il n'avait pas osé. Florine semblait si sage et serviable qu'il se reprochait presque ces pensées grivoises. Il se surprenait aussi à ce genre de pensées. S’il était du genre timide, il était aussi un rêveur et ne prêtait pas une attention soutenue au physique des filles qu’il croisait ; l’une des raisons sans doute de son célibat. Pourquoi Florine lui faisait un tel effet ? Peut-être était-ce son charme simple, sa spontanéité qui l’attirait. Dans un sens, elle lui ressemblait. Rapidement, la fatigue du voyage, la douleur de ses blessures le plongèrent dans un sommeil profond. Quand il se réveilla, il faisait presque nuit. Il était prêt de 20h. Doucement, il s'assit sur le lit, reprit ses esprits et pensa à Florine. Que faisait-elle ? Pour le savoir, il sortit de sa chambre et retourna vers les escaliers. En passant devant la salle de bain, il se rendit compte qu'elle était occupée. La jeune fille prenait une douche. Ses pensées s'emballèrent sans contrôle. Derrière la porte, il l'imaginait nue sous le jet de la douche, l'eau coulant sur ses épaules, dans son dos, sur ses fesses et ses longues jambes. L'ombre d'une seconde, son regard glissa vers la clenche de la porte pour voir si elle était restée ouverte. Elle était fermée. Dommage. Pourtant Clément savait qu'il n'aurait pas osé la pousser, si ses bras lui avait permis. Comme pour chasser les pensées qui le culpabilisaient, il se détourna de la salle de bain et descendit les escaliers. En bas, il se cala dans le canapé et parvînt à allumer la TV du bout des doigts. Au bout de 10 minutes, Florine redescendit de la salle de bain. Elle s'était changée pour un pantalon bleu ciel léger et un débardeur blanc. Cette fois-ci, le jeune homme remarqua les seins de la jeune fille. "A croquer" fut sa première pensée. Ils semblaient deux pommes serrées sans soutif dans le débardeur, dont le décolleté les laissaient apparaître suffisamment pour laisser l'imagination battre la campagne. 524
- "Oh, tu es réveillé" lui lança-t-elle, le tirant de sa rêverie. - "Oui...oui." - "Tu m'as appelée ? Je prenais une douche et je n'ai peut-être pas entendu. J'ai peut-être été bête de fermer la porte." Les pensées de baignade envahirent à nouveau l'esprit de Clément. - "Euh, non, non. C'est bon." balbutia-t-il. - "Tu es sûr ? Tu n'oserais pas me le dire, c'est ça, hein ?" dit-elle un peu inquiète. "La prochaine fois, je laisserai la porte entrouverte. - "Ne t'inquiète pas, fais comme tu veux" parvînt-il à dire, même si la porte entrouverte monopolisait tout son esprit. - "Bon, tu dois avoir faim ?" s'enquit-elle. Pendant qu'il regardait la TV, elle lui prépara un plat rapide puis l'aida à manger. Il se sentait un peu humilié mais sentir le visage de Florine proche du sien, son regard sur lui, faisait voguer son esprit sur un océan de coton. Il pouvait sentir l'odeur de savon émaner de la peau de la jeune fille, voir ses longs cheveux glisser de son épaule quand elle se penchait vers lui. Et son coeur battait. Il battait tellement qu'il craignait qu'elle ne l'entende. Pourtant, elle ne semblait pas s'en rendre compte. Elle l'aidait avec patience et douceur, comme une infirmière. Il était gêné des pensées qui le traversaient et les refoulait vigoureusement. Après le dîner, ils discutèrent. Elle le questionna sur ses compétitions et il lui parla de sa passion pour le trial et le sport. Elle l'écouta avec intérêt, s'amusa de ses anecdotes. Elle était charmante, jolie et apaisante. Pourtant, après leur discussion, il y eut un petit incident. Florine proposa au jeune homme de lui faire sa toilette. Et soudain, Clément prit conscience qu'il était incapable de se laver seul et que ce serait à Florine de le faire pendant une semaine. Le rouge lui monta aux joues en une seconde. Lui nu devant elle qui le laverait ? Impossible. Comment pourrait-il réfréner ses pensées pour elle, son érection, telle qu'il en avait eu une devant la porte de la salle bain ? Non, impensable. Il parvînt à expliquer qu'il était trop fatigué pour ce soir et qu'ils pourraient toujours voir demain. La jeune fille sentit la pudeur, ou ce qu'elle prit pour telle, du jeune homme et n'insista pas. Pour soulager sa gêne, Clément retourna dans sa chambre et laissa la jeune fille dans le salon devant un livre. Malgré sa longue sieste, le sommeil reprit le jeune homme rapidement, sans doute en raison de la fatigue et de la douleur liée à ses blessures. Le lendemain matin, Clément se réveilla de bonne humeur. Ses bras ne l'avaient pas trop fait souffrir et il avait passé une nuit régénératrice. Malgré le rappel de la nécessité de passer aux toilettes et la difficulté que cela représentait pour lui, l’énergie de la bonne nuit de sommeil, et la perspective de revoir Florine, lui donnait des ailes. A l’hôpital, il avait eu l’occasion de s’exercer, avec plus ou moins de succès au début, à gérer seul ses besoins naturels à l’aide son bras droit moins endommagé et plus libre. La douleur était toujours là mais c’était mieux que de confier cela à quelqu’un d’autre, en particulier à Florine. Il s’était donc débrouillé seul, avec une certaine fierté mais avec pas mal de précautions douloureuses. Ce fut avec un réel plaisir qu'il retrouva ensuite Florine à la table de la cuisine. Il était 9h et elle prenait son petit déjeuner. Elle portait toujours son pantalon léger et son débardeur blanc. Elle était à croquer dans le soleil matinal. Quand elle se tourna vers lui avec son sourire charmant et un mot de bienvenue, Clément lui aurait sans doute sauté au cou si ses bras et sa timidité ne l'avaient pas empêché. - "Te voilà levé ! Tu veux prendre ton petit déjeuner avec moi ?" proposa-t-elle. - "Avec plaisir !" accepta Clément avec un large sourire. Florine l'aida à s'installer et elle lui donna à manger patiemment. C'était une magnifique matinée. Le jeune homme ne pouvait empêcher son regard de se promener sur sa garde-malade. Son cou qu'il devinait entre les mèches de sa chevelure chocolat, ses épaules nues qui paraissaient si douces, ses seins prisonniers du tissu, ses mains fines et délicates qui lui portait la nourriture à la bouche. Oui, c'était un merveilleux moment, plein de délicatesse. Après le petit déjeuner, ils passèrent sur la terrasse pour prendre le soleil. Ayant un peu chaud, Florine remonta dans sa chambre pour se changer et revînt vêtue d'un petit short moulant. Quand il l'aperçut, le coeur de Clément manqua un battement. Elle vînt s'allonger sur la chaise longue à côté de celle du jeune homme. Elle proposa de lui lire une nouvelle de Sherlock Holmes qu'elle allait commencer. Clément accepta. Ses balbutiements avaient nettement diminué et il parvenait à ne plus avoir l’air d’un parfait idiot à chacune de ses questions. Elle lisait admirablement bien. Sa voix coulait dans la tête du jeune homme, telle une berceuse. Ses yeux caressèrent les cuisses nues de la jeune fille. Une peau de pêche, un léger duvet. Elle changeait parfois de position et la danse de ses jambes était un régal. Lorsqu'il l'osait, son regard remontait le long des cuisses, entre elles, vers son short qui cachait... Puis la pudeur et la culpabilité de ses pensées le ramenaient à l'histoire de Conan Doyle. Lorsque la nouvelle fut finie, Florine se tourna vers son patient. - "Bon, maintenant, si on pensait à faire ta toilette ?" lança-t-elle brusquement. Clément était dans un tel état de bien-être et de rêveries qu'il ne pensa pas à protester. Ils se retrouvèrent dans la salle de bain avant que Clément ait pu réaliser. - "Je te propose de te mettre sous la douche. Je vais te laver avec le jet d'eau là où je peux et je prendrai le gant pour tes épaules et tes bras au-dessus du plâtre. Ca te va ?" - "Ou..oui. Mais il faut que je me mette tout nu ?" - "Ahaha, c'est mieux oui." rit-elle spontanément, avant de réaliser le malaise du jeune homme. "Tu vas pas avoir le choix si tu veux que je te lave complètement. Je comprends que ça te gêne mais on va essayer de faire ça le plus vite possible." - "Ok" fut tout ce que put répondre Clément, pensant à tout ce qu'être nu devant une fille allait impliquer. Pour la première fois depuis qu'il était rentré, Clément se déshabilla, ou plutôt se fit déshabiller. Avec précaution, Florine ôta son T-shirt puis se baissa pour dénouer son short et le lui enlever. Déjà, le jeune homme devait se concentrer pour ne pas être excité par la situation et les caresses involontaires de Florine. Le temps sembla se figer quand il fallut lui ôter son caleçon. - "Euh, je peux ?" demanda timidement Florine en désignant le caleçon du doigt. - "Oui...puisqu'il le faut." Clément pouvait voir la scène au ralenti. Florine posa ses mains délicatement sur les bords de son caleçon et commença à le baisser. Il pouvait voir sa toison brune apparaître quand elle dévoila son pubis. Finalement, le geste de la jeune fille finit par dévoiler son intimité et il se retrouva nu devant son visage. Quel effort il lui fallut pour retenir une érection ! Il craignait de gâcher la relation qui s'était installée avec sa gardienne. Son sexe palpita une fois, deux fois puis il se calma. L'avait-elle vu ? Peut-être pas mais il lu
S'amuser avec des seins de mature
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Récital de Priya Rai

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