Deux est toujours mieux qu'un seul

Deux est toujours mieux qu'un seul




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Deux est toujours mieux qu'un seul
Coffret Pokémon Ultra Premium Dracaufeu 2022 en français : où le ...
_______________________________________ A deux, c'est toujours mieux que tout seul. /Pv Rebekkah Heinteige ¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯
Le nez sortit à l'extérieur, le regard appuyé sur l'horizon que lui offrait la fenêtre de sa chambre, Devon soupira. Il ne savait décidément pas quoi faire. Dés qu'il avait ne serait – ce qu'une minute de temps libre, il ne faisait rien d'autres que de s'ennuyer. Pourtant, il avait la musique dans les oreilles. Son mp3 était justement entrain de relancer sur une nouvelle chanson en vogue dans le pays qui l'avait vu naître. Un rythme entraînant, aux intonations endiablés … Pourtant, cela ne suffisait pas à lui remonter le moral et à l'occuper. Appuyer, le dos contre l'embrasure de la fenêtre, la jambe droite replié contre lui et l'autre pendant à l'intérieur de la pièce, il avait le mp3 dans la poche avant de son sweat noir, et une de ses mains posait contre son genou. Bon il n'allait quand même pas passer sa journée à rêvasser … Il fallait qu'il se trouve une occupation et très vite. Sauf qu'il avait déjà monté Otelot ce matin, et de même que cela s'en était suivit d'une belle chute … Très mémorable … Et Wild Gold n'était pas encore arrivé dans le haras de son voyage en avion depuis l'Amérique. Donc à part le cheval noir, il n'avait absolument rien d'autres à faire... Au pire, à défaut de remonter l'hongre, il pouvait toujours s'occuper en le sortant à l'extérieur. Une balade … Cela les sortirait autant le cavalier que le cheval et cela ne serait pas trop fatiguant. Un bon moyen d'apprendre sur le pays où il venait tout juste de s'installer et visiter les environs. C'était décidé, il allait un sortir et mettre son petit museau dehors pour s'occuper du pur sang anglais. Un bon moyen de se retrouver et d'occuper ses pattes. Il déplia soigneusement sa jambe et passa celle – ci à l'intérieur de la pièce, bondissant souplement sur ses deux pieds, il se redressa et sortit de la poche son mp3, qu'il éteignit en gardant le bouton On enfoncer pendant longtemps. Les écouteurs de côté, il les jeter négligemment sur le lit, prit sa veste et empoigna les clés de son appartement. Il sortit de la chambre, traversa le salon et se dirigea aussitôt vers la porte d'entrée. Il vérifia qu'il avait bien son portable dans la poche avant d es on jean sombre, et commença à remettre ses boots d'équitation à ses pieds. Celles – ci étaient un peu grade avec le temps, mais peu importait. Une fois dehors, il referma la porte à clé, et descendit les escaliers quatre à quatre. Le haras n'était pas très loin, la preuve en était qu'il ne mit à peine que quelques minutes pour rejoindre l'écurie principal où les chevaux de club se trouvait. Justement à peine entra – il à l'intérieur, qu'une tête familière l'accueillit. Le grand noir hennit faiblement à son adresse et sortit sa belle encolure du box pour le toiser d'un regard sombre. Devon : Rebonjour toi. Il faisait exprès de parler français pour se coller un peu plus dans l'environnement qui lui faisait face, même si les « r » restaient un sérieux problème dans sa prononciation, il arrivait à prononcer correctement ses phrases et son esprits tournaient déjà à pleins régime dans cette nouvelle langue. Même si au fond. Parler chinois ou américain lui manquaient un peu … Ce n'était pas le genre de chose qu'on pouvait retirer de sa tête d'un claquement de doigts. S'approchant de l'hongre, il ouvrit la porte de son box, et lui installa un licol en nylon noir sur la tête, la longe entre les mains, il le tira à l'extérieur pour l'attacher à un des anneaux qui se situaient devant le box et qui permettait de panser les chevaux en dehors de leur habitacle. Le pur sang anglais se tint bien droit, immobile, la tête haute et les oreilles aux aguets. Devon lui flatta l'encolure et le quitta quelques secondes pour aller chercher des brosses. Une caisse était à la disposition des cavaliers et il en profita pour en prendre quelques unes dans les mains. Une étrille, un bouchon et un cure pied serait largement suffisant. Quand il revint pourtant vers l'hongre, son regard s'arrêta sur une nouvelle silhouette. Apparemment il n'était pas le seul à s'occuper d'un cheval, car une tierce personne venait d'entrer sur les lieux. Mais pour le moment, à part sa silhouette féminine, il n'arrivait pas à distinguer grand chose de cette nouvelle arrivante.
Tranquillement assise sur l'herbe, j'attendais. Quoi ? Je ne savais pas. Regardant les oiseaux qui passaient au dessus de moi, mon regard s'arrêta sur une silhouette au loin. Krak, paisiblement entrain de brouter dans son champ. Je souria, et m'approcha de la silhouette grise et, une fois à la barrière, je la siffla. Elle redressa la tête, ronfla des naseaux et s'approcha doucement. Je l'attendit. Elle foulée l'herbe verte de ses sabots, ronflant des naseaux et secouant sa belle queue grise. J'ouvris la barrière et l'enlaça. Puis je lui passa son licol, qui était resté au pied de la clôture. Je la sortie du champ, referma la porte, puis je jeta un rapide coup d'œil autour de moi. Personne en vue. J'installa Krak devant un rondin de bois, et tenta de monter sur le dos de la petite jument. Comprenant mon manège, elle avança. Je rigola et la remis à sa place. Puis, appuyant sur mes petites jambes, je grimpa sur son dos. Elle partie en trottinant. Je réussi tant bien que mal à l'arrêter, puis je me remis en place. Une fois installée confortablement sur son dos, je lui donna une pression de talon, et la petite jument partie au galop en coup de culs. Je la ralentit, puis la dirigea vers l'écurie. Une fois devant les portes, je descendit et ramena Krak dans son box. Je détacha la longe du licol, ferma sa porte et alla chercher des brosses. Je pris une petite boite ou je fourra dedans tout ce qui me serait nécessaire, puis je revint vers le box de la jument, caressent au passage Rodéo. Une fois devant la porte de Krak, je me baissa pour ramasser une brosse qui traîner et entendit des bruits de sabots. Je releva la tête et repéra un jeune homme avec Otelot. J'ouvris la porte de Krak en vitesse et me fourra à l’intérieur du box. Je caressa tendrement la petite jument, puis je commença à la brossée.
La silhouette féminine disparut dans un coin, elle n'avait pas l'air de vouloir s'attarder dans les écuries. Devon haussa les épaules en réponse et continua de s'occuper de l'hongre noir. L'étrille en plastique dans les mains, il passa celle – ci sur la surface de la robe du cheval en des cercles actifs. La poussière et la terre se décolèrent aussi sec des poils de l'animal et voletèrent un peu partout, faisant éternuer l'asiatique. Une main sur la bouche, il pencha la tête sur le côté, et fronça le nez pour tenter de diminuer l'arrogance de la poussière qui l'assaillait. L'écurie semblait vide de monde. Personne dans les alentours. Pourtant … Ce n'était pas vraiment le cas. Car tandis qu'il se maintenait, d'une main sur le dos d'Otelot et de l'autre se pinçait le nez pour diminuer le chatouillement du à la poussière qui lui avait provoqué une irrésistible envie d'éternuer, un léger bruit à peine subtil le fit redresser brutalement la tête. Il avait bien entendu du bruit non ? Comme si … La paille craquait? Quoique cela devait être un cheval dans un box, rien de plus. Le pur sang anglais,ne semblait quant à lui pas traumatisé par une présence à part. Il continuait de tirer sur la longe pour tenter de la défaire. Prenant une voix rauque et autoritaire, Devon l'interdit de continuer. Devon : Yo, tu te calmes ! Puis de toute manière, tu n'y arriveras pas. Tout en ramena l'étrille sur le corps compact; Devon poursuivit le pansage en prenant de plus en plus d'amplitude dans son mouvement. Histoire de pouvoir finir à temps et de ne pas trop traîner en longueur. Non, pas qu'il avait vraiment envie de monter, mais c'était surtout que cette étape n'était pas en partie sa préférée. Il passa sous l'encolure d'Otelot pour passer de l'autre côté, et commença à brosser à contre sens du poils pour mettre la peau à nue et les saletés au dessus. Il passa ensuite le bouchon pour en retirer le plus gros, puis revint dessus avec l'étrille. Les saletés disparaissaient à vue de nez et à la vitesse de l'éclair, l'hongre fut tout propre. Fier de lui, Devon, ralentit le rythme et déposa les brosses sur le côté, il claqua dans ses mains tout en tournant un regard aux prunelles d'un noir d'encre sur l'animal. Sa voix envahit l'écurie, une voix aux intonations chinoises, vu que pour ce coup – ci, ce fut dans sa langue natale qu'il parla et non plus en Français ou encore moins en Américain comme la fois précédente. Il alternait les langages pour ne pas oublier d'où il venait réellement, puis aussi parce qu'il était vraiment beaucoup plus aisé pour lui de parler en chinois ou en anglais qu'en français … Devon : Je reviens rapidement. En même temps qu'il le disait, il s'éloigna au pas de course. Il se dirigea aussitôt vers la sellerie, et ne prit pas la peine de regarder autour de lui. Il coula juste un dernier regard au grand noir qui attachait, avait tourné la tête dans sa direction et expiait le moindre fait et geste qu'il faisait. Une fois dans la sellerie, Devon, prit la selle de l'hongre, ainsi que son filet. C'était un mors simple à aiguille, avec un filet aussi simple, et une muserolle croisée. Un tapis de selle, peu importait la couleur, sur ce coup – ci, ce fut un beige qu'il prit en premier lieu et un amortisseur noir. Le tout sous le bras, ou sur l'épaule, Devon se dirigea vers la sortie, éteignant la pièce en appuyant avec le coude sur l'interrupteur. Quelques pas et de nouveau le cheval fut dans son champs de vision. Magnifique monture noire. Ses membres étaient élancés, il avait une croupe assez petite, mais une queue longue qui battait la mesure dans l'air. L'encolure roué, il tentait de chiper des brins de pailles abandonnés sur le sol, raclant le sol de son antérieur droit pour les ramener plus prêt de lui. En se sentant épier, il secoua sa crinière et se redressa. Son poitrail pivota pour être plus en face de Devon, qui un sourire aux lèvres, se rapprocha, en allongeant le pas à son tour.
A deux, c'est toujours mieux que tout seul / Pv Rebekkah
 A deux, c'est toujours mieux que tout seul / Pv Rebekkah
Sujet: A deux, c'est toujours mieux que tout seul / Pv Rebekkah  Ven 29 Oct - 22:36
Sujet: Re: A deux, c'est toujours mieux que tout seul / Pv Rebekkah  Mer 3 Nov - 21:19
Sujet: Re: A deux, c'est toujours mieux que tout seul / Pv Rebekkah  Ven 5 Nov - 13:06
Sujet: Re: A deux, c'est toujours mieux que tout seul / Pv Rebekkah  
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Sauter vers: Sélectionner un forum | |--The Beginning un MH |   |--Règles & Infos |   |--Dossier d'inscription |   |   |--Dossier validé |   |   |   |--Administration |   |   |--Demandes de partenariat ♥ |   |   |--Dossier des élèves |   |   |   |--Flood |   |--Ecuries & Installations |   |--Ecuries du clubs |   |--Ecuries de propriétaires |   |   |--Elevage de Kate Thomson |   |   |   |--Ecuries des chevaux sauvages |   |--Installations |       |--Manège |       |--Carrière |       |--Rond de longe |       |--Paddocks |       |--Douche |       |--Terrains de ballade |   |--Les étendues sauvages... |   |--Les marais |   |--Les plaines |   |--Soin & Reproduction    |--Vétérinaire    |--Saillies et mises bas 



www.dicocitations.com needs to review the security of your connection before
proceeding.

Did you know the first botnet in 2003 took over 500-1000 devices? Today, botnets take over millions of devices at once.
Requests from malicious bots can pose as legitimate traffic. Occasionally, you may see this page while the site ensures that the connection is secure.

Performance & security by
Cloudflare


Un entraînement à deux, c'est toujours mieux que seul.
Avatar © : Han Dae-Wi, The God of Highschool. Expérience : 149 Messages : 43 Date d'inscription : 13/06/2017
Bonjour et bonsoir à vous ! Je suis un Chûnin et je recherche un Jônin afin de m'aider à parfaire mon entraînement. Il n'y a pas de récompenses mais si vous voulez je peux vous offrir un verre à la fin ! Si vous acceptez, rendez vous aux aires d'entraînements des hauts-plateaux le XX à 16h00. Avec amitié, un Chûnin désespéré.
"Que dirais-tu de discuter avec moi sous la pleine lune en buvant du thé, Invité ?"
Avatar © : Lindow Amamiya - God Eater Expérience : 220 Messages : 267 Date d'inscription : 11/06/2017
P arfois il arrive que des shinobis sortent du lot. C'est le cas de ce Chûnin qui avoue être désespéré dans son annonce un brin atypique. Du moins aux yeux de Saori qui apprécie lorsque ses collègues sont conscients de leurs limites. La plupart du temps les militaires n'aiment pas avouer leur faiblesse. Pourquoi? Elle ne saurait le dire tant il lui semble évident que personne ne peut être parfait. La jeune femme est peut-être Jônin mais elle sait qu'elle a encore beaucoup à apprendre. De la vie comme des arts shinobis. Elle le reconnaît volontiers comme s'il s'agissait d'une chose parfaitement naturelle. Et puis l'honnêteté est une vertu qui semble se faire de plus en plus rare en ce bas-monde. C'est sans doute pour cette raison que ses pas la mènent à présent vers les hauts-plateaux et ses terrains d'entraînement. Mais même si elle a été séduite par l'annonce du Chûnin ce n'est pas ce qui l'a motivée à accéder à sa requête. Kenta est lui aussi de s'entraîner sur place avec l'un des membres de la branche principale du clan. Un honneur qui est refusé à la kunoichi. Après tout son rôle est uniquement de veiller au bien-être de son demi-frère. Mais à défaut de pouvoir lui inculquer quelques notions de taïjutsu ou de sensorialité, elle se contentera de garder un oeil sur lui. Il faut savoir jouer avec les cartes que le destin place entre vos mains... Alors tandis que la jeune femme garde un oeil sur son cadet, elle patiente jusqu'à ce que la personne qu'elle est venue entraîner veuille bien se manifester. Elle ne sait d'ailleurs pas vraiment qui se présentera à elle ni même si quelqu'un d'autre ne lui a pas déjà brûlé la politesse. Après tout l'annonce n'était pas signée et elle n'est pas la seule Jônin du village. D'autres auraient pu trouver un intérêt à cette annonce. Que ce soit par ennui ou simplement dans le but d'aider. Mais il semblerait que ce ne soit pas le cas puisque une personne plus âgée qu'elle la rejoint avant de se présenter. Elle l'observe en tentant de garder un air neutre mais l'apparence du jeune homme est pour le moins... étonnante. Pour un peu elle aurait pu le prendre pour l'un de ces vagabonds qui traversent de temps à autre le pays. Mais sa présence en ces lieux et ses propos ne laissent que peu de place au doute: il est bien celui qui a déposé ces annonces. Alors elle lui décoche un signe de tête en retour tout en tentant de faire abstraction de cette première - ou plutôt deuxième - impression: "Vous êtes donc ce fameux Chûnin désespéré..." relève-t-elle, intriguée. "Je m'appelle Saori et c'est en effet pour votre annonce que je suis ici!" Elle jette toutefois un regard en direction de son demi-frère avant de reporter son attention sur le shinobi qui lui fait face. Que se cache-t-il derrière son bandeau? Elle pourrait user de son dôjutsu pour en avoir le coeur net mais la vie n'aurait pas la moindre saveur sans surprises. Du moins sans surprises qu'elle qualifierait de bénignes. Ce qui l'intéresse davantage, en revanche, c'est l'épée que son interlocuteur tient en main. À croire que le monde a oublié que le taïjutsu puise sa pureté dans le combat à mains nues... "En quoi puis-je vous être utile? Quelles sont vos faiblesses et que souhaitez-vous améliorer?" lui demande-t-elle en relevant le regard. "Et surtout... jusque où êtes-vous prêt à aller pour progresser?" Une manière comme une autre de lui demander si un séjour à l'hôpital est acceptable à ses yeux ou s'il faudra prendre des gants avec lui comme avec tant d'autres...
Avatar © : Han Dae-Wi, The God of Highschool. Expérience : 149 Messages : 43 Date d'inscription : 13/06/2017
Je gardais un œil sur son regard pour voir si son expression allait changer en me voyant, et elle avait l'air de rester de marbre. Peut-être que c'était inné chez les Hyûga de ne jamais montrer d'expressions ? De toute façon ce n'est pas comme si j'en avais vu beaucoup jusqu'à maintenant. Je ne pouvais m'empêcher de sourire d'une manière assez gênée en me grattant l'arrière de la tête de ma main libre avant de rigoler d'une manière toute aussi gênée une fois qu'elle m'appelait le "Chûnin désespéré" .. Même quand je l'avais écris moi-même je ne me sentais pas très à l'aise, mais en plus l'entendre d'une autre personne ne me faisait pas forcément me sentir bien, mais tant pis. Je remarquais malgré tout qu'elle semblait regarder vers un endroit, et je ne pus m'empêcher de bouger la tête vers cette personne moi aussi. Sûrement quelqu'un qu'elle connaissait. Enfin, "sûrement", c'était même sûr ! Et puis sa seconde question montrait qu'elle était bien sérieuse quant au fait qu'elle soit venue ici et qu'elle n'était pas là pour rigoler. Mais quand elle me demandait jusqu'à où j'étais prêt à aller, je ne sais pas pourquoi mais je pouvais sentir un vent glacé dans mon dos. Heureusement, cette sensation agrippait mon cœur sans me rendre apeuré pour autant, au contraire, j'étais encore plus déterminé quant à cet entraînement qui allait sûrement être vraiment intéressant pour moi. Je réfléchissais un court instant avant de lui répondre d'une manière sérieuse. - Hmm, pour dire vrai, j'ai une certaine faiblesse quant à mon endurance. Je pense personnellement qu'il faut que je dépasse mes limites tous les jours pour que cette frontière soit dépassée. Mais c'est pour autre chose que j'ai demandé votre aide. En vérité, j'ai inventé une nouvelle technique dont je suis vraiment fier ! Seulement elle n'est pas parfaite et c'est pour ça que j'aimerais votre aide pour qu'elle le soit ! En parlant de cette technique, j'avais un air fier rien que d'y penser, après tout c'était la première technique que j'inventais réellement et qui n'avait aucun air "générique". J'étais sûr d'être le seul parmi tous les utilisateurs de Taïjutsu de l'avoir. J'ajoutais d'ailleurs après quelques secondes de réflexion une nouvelle phrase. -Et pour la progression, je suis de l'avis que tant qu'on ne dépasse pas ses limites on ne progressera jamais, donc .. Hehe, allez y à fond ! Et puis, il n'y aurait pas la moindre once d'amusement dans cet entraînement pour vous si vous devez vous restreindre, et ça ne serait pas mon but non plus ! J'étais assez franc et je gardais cet air souriant autour de moi, et même "faible" pour certains. Après tout, depuis quand une personne ressemblant à un mendiant serait fort ? Je reculais donc de quelques mètres pour qu'il y ait 5m de distance entre nous, avant de taper 3 fois dans un rythme rapide de mon index gauche sur ma lame, suite à quoi elle s'allongeait d'un coup jusqu'à mesurer 1m pile, pas 1cm de plus ou de moins. J'adoptais une pose défensive en postant mon pied droit à environ 40cm derrière mon pied gauche sur la pointe des pieds. Je courbais aussi légèrement sur l'avant ma jambe gauche tandis que je tournais légèrement le haut de mon corps vers la droite, gardant les 2 mains qui tenaient mon arme pointée vers la Hyûga au niveau de mon bas-ventre. Mon regard venait aussi de changer et je n'avais plus de sourire sur mon visage. Le regard pouvait faire penser à une bête sauvage ayant déjà goûté aux plaisirs du sang et en redemandant une nouvelle fois. J'aimais comparer l'impression qui se dégageait de moi avant et maintenant avec une simple comparaison: avant j'étais comme un lac quand il n'y a pas de vent, sans vagues ni rien pour
Énorme bite noire pour une blonde coquine
Elle pensait tenir un cadeau mais c’était la bite de son frère
Si tu gagnes, tu me baises

Report Page