Des indiens dehors

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2 Répartition de la diaspora indienne
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↑ Revenir plus haut en : a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u et v (en) Ministre des Affaires Étrangères (Inde), « Population Of Overseas Indians » [ archive ] , sur mea.gov.in (consulté le 15 août 2017 )

↑ http://geoconfluences.ens-lyon.fr/informations-scientifiques/dossiers-regionaux/le-monde-indien-populations-et-espaces/articles-scientifiques/diaspora-indienne [ archive ]

↑ Michel Théodon, « L'hindouisme migre avec les diasporas », L'atlas des religions , Le Monde - La Vie hors-série, 2011, pages 78-79.

↑ Courrier international , n o 1168 du 21 au 27 mars 2013, p.49







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Parmi les grands mouvements migratoires de la diaspora indienne , on retrouve l'épisode de l' engagisme , qui fait suite à l' abolition de l'esclavage .

En effet, cette « dispersion » des populations d'origine indienne suivit le cadre du coolie trade , qui plaçait la main-d'œuvre indienne dans les pays dominés par les économies coloniales, intégrées dans la taylorisation internationale.

Cette diaspora a connu des configurations les plus diverses donnant, par exemple, la coolitude , qui est une mise en relation des Indes (mosaïque de peuples, langues, cultures et religions) avec d'autres imaginaires.

Cette diaspora, une des plus étendues au monde, compte une vingtaine de millions de personnes d'origine indienne, que l'on regroupe peu à peu dans le GOPIO (en) , acronyme pour Groupment Of People of Indian Origin (Groupement des Personnes d'Origine Indienne).

Dans l'Antiquité, on compte des mouvements de population de militaires, de commerçants et de missionnaires hindous, qui installent des temples et des communautés religieuses dans le Sud-Est de l'Asie. Entre la fin du XIX e et le début du XX e siècle, la migration d' Indiens concerne surtout les castes supérieures, comme des commerçants ou des employés engagés comme auxiliaires de l'Empire britannique. Ils se rendent principalement en Afrique du Sud , en Birmanie , en Malaisie et aux îles Fidji . Après les abolitions occidentales de l'esclavage au XIX e siècle, des milliers d'Indiens remplacent les esclaves noirs émancipés, à l’ île Maurice , à La Réunion , en Martinique [incompréhensible] , dans les Antilles anglaises et françaises , au Guyana et sur la côte est-africaine. Après l'indépendance indienne de 1947 et la création du Pakistan, beaucoup d'hindous vont vivre dans les anciennes métropoles coloniales. Dans les années 1970, de nombreux d'Indiens vont travailler dans les pays du Golfe persique, attirés par la demande de main-d'œuvre consécutive à l'essor de l'industrie pétrolière. Dans les années 2000, on compte plutôt une migration d'intellectuels indiens, urbains surqualifiés ne trouvant pas d'emplois en Asie, à destination des États-Unis , du Canada , de l' Australie et du Royaume-Uni . En un siècle et demi, on estime à 20 millions le nombre d'Indiens qui ont migré, leur enracinement dans les pays d'accueil se traduisant de nos jours par la construction de temples [ 3 ] .

Les effectifs sont donnés par le gouvernement indien, actualisés en 2012 [ 4 ] . Ils comportent trois catégories:

Ne figurent pas dans cette liste les descendants d'indiens au Pakistan et au Bangladesh qui formaient un même ensemble politique jusqu'en 1947.

Île de la Réunion [incompréhensible]



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MLA 8TH édition
McCue, Harvey A.. "Indien". l'Encyclopédie Canadienne , 15 octobre 2018, Historica Canada . www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/indien. Date consulté: 13 août 2022.
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APA 6TH édition
McCue, H. (2018). Indien. Dans l'Encyclopédie Canadienne . Repéré à https://www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/indien
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CHICAGO 17TH édition
McCue, Harvey A.. "Indien." l'Encyclopédie Canadienne . Historica Canada. Article publié février 06, 2011; Dernière modification octobre 15, 2018.
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TURABIAN 8TH édition
l'Encyclopédie Canadienne , s.v. "Indien," par Harvey A. McCue, Date consulté: août 13, 2022, https://www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/indien
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Le terme « Indien » est désormais considéré comme obsolète et offensant; toutefois, on y a historiquement eu recours pour désigner les peuples autochtones en Amérique du Sud, centrale et du Nord. Au Canada, ce terme est la plupart du temps utilisé pour faire référence à des identités définies par la loi.


Le terme « Indien » est désormais considéré comme obsolète et offensant; toutefois, on y a historiquement eu recours pour désigner les peuples autochtones en Amérique du Sud, centrale et du Nord. Au Canada, ce terme est la plupart du temps utilisé pour faire référence à des identités définies par la loi.




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Christophe Colomb serait le premier à avoir utilisé l’appellation « Indien » pour désigner les peuples autochtones des Amériques. À la fin des années 1400,
Colomb croit avoir atteint l’Asie quand, en réalité, il est dans les Caraïbes. Depuis, le terme est utilisé pour désigner indifféremment l’ensemble des peuples autochtones de l’Amérique du Nord, central et du Sud, à l’exception des Inuits dans l’ Arctique canadien , au Groenland et en Alaska. Toutefois, en dehors d’un
contexte juridique , on n’emploie plus le mot « Indien » au Canada pour désigner les peuples autochtones.
Historiquement, « Indien » a été utilisé au Canada pour désigner les membres des Premières Nations et, dans certains cas, les peuples autochtones. Aujourd’hui,
le terme « Autochtone » est considéré comme plus politiquement correct qu’« Indien » pour qualifier les peuples autochtones. Depuis que le gouvernement canadien a accepté sans réserve la déclaration des Nations Unies sur les droits
des peuples autochtones en 2016, le terme « Autochtones » est largement utilisé au Canada pour désigner les Premières Nations, les Métis et les Inuits.
Même si le terme « Aborigène » est tombé en disgrâce, en partie à cause de la connotation négative qu’il a, il demeure en usage dans quelques documents légaux. Par conséquent, « Aborigène » (comme « Indien ») conserve une
portée juridique au Canada.
La section 35(2) de la Loi constitutionnelle de 1982 définit trois groupes de peuples autochtones : les Indiens, les Inuits et les Métis.
« Indiens », dans ce cas-ci, désigne les Premières Nations. Cependant, sur le plan légal, les membres des Premières Nations ne sont pas tous Indiens – c’est-à-dire qu’ils n’ont pas tous le statut d’Indiens. Indien est une identité légale qui
a été définie en 1876 selon les critères énoncés dans la Loi sur les Indiens . Ceux qui répondent à tous les critères ont le statut d’Indien. En 1876, la Loi
définit une telle personne comme appartenant à l’une de ces trois catégories :
Premièrement, tout homme de sang indien réputé appartenir à une bande particulière;
Deuxièmement, tout enfant de cette personne;
Troisièmement, toute femme qui est ou a été légalement mariée à cette personne.
Avec le temps, ces catégories ont changé pour devenir plus inclusives, surtout pour les femmes (et leurs enfants) qui perdaient leur statut après avoir épousé un « non-inscrit ». Malgré de tels amendements, la Loi continue de définir le statut
d’Indien. Les personnes qui correspondent à la description de la Loi sont inscrites à titre d’Indiens inscrits et figurent sur le Registre des Indiens, le dossier officiel identifiant tous les Indiens inscrits au Canada, géré par le gouvernement fédéral .
Ce registre contient les noms, les dates de naissance, les dates de décès, les détails concernant le mariage et le divorce ,
ainsi que les données sur les transferts d’une bande à une autre de tous les Indiens inscrits.
Les Indiens inscrits sont les personnes dont le nom apparaît dans le Registre des Indiens. Les appellations « Indien inscrit » et « personne avec un statut d’Indien » ont la même signification. Tous les Indiens inscrits reçoivent
une carte d’identité (connue sous le nom de « carte de statut ») qui comprend des renseignements sur l’identité, la bande d’appartenance et le numéro d’inscription.
Selon le gouvernement fédéral, « sous la Loi sur les Indiens , les Indiens inscrits sont éligibles à une variété d’avantages, de droits , de programmes et de
services offerts par les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux . »
Par exemple, tous les Indiens inscrits sont exonérés de l’ impôt sur le revenu à payer sur tout salaire qu’ils gagnent sur une réserve ,
et leur propriété privée ne peut pas être saisie si elle se trouve sur le territoire d’une réserve. Toutefois, les dispositions régissant ces exemptions sont complexes et
ne sont pas applicables uniformément dans tous les cas de figure.
L’enregistrement ne garantit pas nécessairement certains droits, notamment la capacité de vivre sur une réserve. Dans certains cas, des personnes non inscrites peuvent vivre sur une réserve si les règlements de la communauté le permettent. L’enregistrement
ne garantit pas non plus l’adhésion à une bande . À la suite de l’amendement de la Loi sur les Indiens en 1985, les bandes ont l’autorité d’établir leurs propres règlements
d’adhésion. (Si elles ne le souhaitent pas, le gouvernement fédéral continue de gérer les listes d’adhésion.) Ainsi, il est possible d’être enregistré sans faire partie d’une bande et d’adhérer à une bande sans être enregistré.
Les Indiens visés par un traité sont des Indiens inscrits qui appartiennent à une Première Nation ou à une bande qui a signé un traité avec la Couronne depuis 1701, cédant ainsi des terres en échange d’avantages particuliers. Certains Indiens visés par un traité vivent sur une réserve qui n’est pas couverte
par un traité, c’est-à-dire que leur communauté n’a jamais signé un traité avec le gouvernement pour céder (renoncer à) leurs terres. Ces personnes vivent sur ce qui est reconnu comme des territoires non cédés.
Le terme s’applique également aux Premières Nations qui ont des ententes d’ autonomie gouvernementale . Les traités peuvent assurer aux descendants
des signataires des pensions (paiements annuels) et des droits (comme celui de chasser et de pêcher) en plus de ceux déjà octroyés à tous les Indiens inscrits.
On définit les Indiens non inscrits comme les personnes appartenant à une Première Nation qui ne sont pas inscrites auprès du gouvernement fédéral . Dans certains cas,
elles ne se qualifient pas pour l’enregistrement selon les critères énoncés dans la Loi sur les Indiens du gouvernement fédéral. Dans d’autres cas, les Indiens
non inscrits ont perdu leur statut après avoir épousé une personne non inscrite, après s’être émancipés ou pour d’autres restrictions légales ( voir aussi Droit de vote des peuples autochtones et Les femmes autochtones et le droit de vote ).
N’étant pas reconnus selon la Loi sur les Indiens , les Indiens non inscrits ne jouissent pas des mêmes droits et privilèges que les Indiens inscrits; certains
font même face à des critiques de groupes autochtones remettant en cause leur authenticité d’Indiens. Toutefois, le fait que la loi définisse ou non une personne comme un Indien ne détermine pas complètement son ascendance et son identité culturelle.
Les Indiens non inscrits sont tout de même porteurs d’une identité autochtone. Ils partagent souvent, avec les Indiens inscrits, les mêmes problématiques socio
économiques , notamment l’accès aux soins de santé et à l’
éducation , la
pauvreté , l’arrachement à leurs terres ancestrales et la perte de la culture et des langues autochtones .
N’étant pas admissibles au statut d’Indiens inscrits, les Indiens non inscrits éprouvent des difficultés pour accéder à différentes formes de soutien dans ces différents domaines. Certaines organisations comme le Congrès des Peuples autochtones cherchent à porter les préoccupations des Indiens non inscrits (et d’autres peuples autochtones) au Canada.
Dans une décision d’avril 2016, la Cour suprême du Canada reconnaît que « Indien », tel que défini dans la section 91(24) de la Constitution ,
inclut les Indiens non inscrits et les Métis . Cependant, les Indiens non inscrits ne deviennent pas des Indiens inscrits. Cette décision ne modifie pas la Loi sur les Indiens qui continue de définir les Indiens inscrits. Ce jugement de 2016 signifie que les Indiens non inscrits relèvent de la compétence législative du gouvernement fédéral.
Le statut d’Indiens n’est accordé qu’aux peuples autochtones qui sont définis comme tels selon la Loi sur les Indiens . Les Inuits et les Métis n’ont pas ce statut, tout comme les Indiens non inscrits. Cependant, dans deux jugements distincts, la Cour suprême reconnaît que les Métis et les Inuits sont sous la responsabilité du gouvernement fédéral (plutôt que des gouvernements provinciaux et territoriaux ). Dans une décision de 1939, la Cour stipule que les Affaires inuites relèvent d’Ottawa; en 2016, c’est au tour des Métis et des
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