Des filles bien foutues qui partagent

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Sportives de haut niveau : quand le diktat de la beauté physique reste un critÚre de visibilité, et donc de performance

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À l’occasion de la journĂ©e internationale du sport fĂ©minin, franceinfo: sport s’est intĂ©ressĂ© au phĂ©nomĂšne de sexualisation et d’hypersexualisation des athlĂštes fĂ©minines. Plaire aux sponsors Le diktat des tenues
«  »Les Ă©quipementiers prĂ©fĂšrent travailler avec des filles bien foutues, qui passent bien Ă  l’écran, mĂȘme si elles n’ont rien fait de spĂ©cial. » MĂ©lina Robert-Michon Ă  franceinfo: sport
« Un éveil des consciences de genre » , propose Béatrice Barbusse.
Consultant, Enseignant chercheur, Docteur en sciences de gestion.
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Publié le 24/01/2022 07:33


Mis Ă  jour le 24/01/2022 12:59































Le corps des femmes athlÚtes n'échappe pas au phénomÚne de sexualisation, voire d'hypersexualisation. (ALEXEY FILIPPOV / SPUTNIK via AFP)




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À l'occasion de la journĂ©e internationale du sport fĂ©minin, franceinfo: sport s'est intĂ©ressĂ© au phĂ©nomĂšne de sexualisation et d'hypersexualisation des athlĂštes fĂ©minines.
"Lorsque j'Ă©tais jeune, j'Ă©tais assez forte et j'avais un corps 'atypique'. Le plus dur a Ă©tĂ© d'entendre les critiques venant des compĂšres : 't'es trop grosse', 'regarde tes cuisses'" , se souvient tristement Charlotte Lembach, vice-championne olympique en sabre fĂ©minin par Ă©quipe s. "Mes surnoms Ă©taient 'gros jambon' ou 'cuisses de poulet'. Je suis souvent rentrĂ©e chez moi en pleurs. Mais ça m'a donnĂ© encore plus de force pour travailler et ĂȘtre meilleure que les autres. "
Charlotte Lembach n'est pas la seule athlĂšte Ă  avoir subi de tels commentaires sur son physique. Le corps des sportives n'Ă©chappe pas au phĂ©nomĂšne de sexualisation, voire d'hypersexualisation dĂ©jĂ  prĂ©sent dans l'ensemble de la sociĂ©tĂ©. >>A LIRE AUSSI : "Il faut arrĂȘter de croire qu'un seul morphotype amĂšne Ă  la performance", tĂ©moigne la patineuse MaĂ©-BĂ©rĂ©nice MĂ©itĂ©<<
Par ces termes, on entend "la mise en avant de caractéristiques qui ne sont pas liées au sport à proprement parler, mais à des considérations esthétiques, voire sexuelles. Il s'agit de rendre la sportive conforme aux stéréotypes de genre liés à la femme, c'est à dire tout ce qui va 'l'objectifier' et la rendre disponible pour l'homme" , explique Béatrice Barbusse, so ciologue et vice-présidente de la fédération française de handball (FFH).
Outre des remarques et commentaires qui peuvent ĂȘtre dĂ©gradants et difficiles Ă  vivre pour l'athlĂšte, cette sexualisation peut avoir un impact rĂ©el sur la carriĂšre sportive. Lorsque qu'elles ne correspondent pas aux normes de beautĂ© et de fĂ©minitĂ© standards - silhouette longiligne, visage bien maquillĂ©,etc... - dĂ©finis et imposĂ©s par la sociĂ©tĂ© actuelle, elles peuvent Ă©prouver de rĂ©elles difficultĂ©s Ă  trouver des sponsors. Et tout simplement, Ă  ĂȘtre visibles. 
Or, ce sont ces mĂȘmes sponsors qui leur permettent de vivre et de disposer des ressources financiĂšres nĂ©cessaires pour participer aux diffĂ©rentes compĂ©titions. "Il faut d'abord que la sportive gagne et montre qu'elle est performante. AprĂšs, il est encore mieux pour elle de correspondre aux canons de beautĂ©", fait remarquer BĂ©atrice Barbusse.
Un constat partagé par Charlotte Lembach. Malgré son titre de vice-championne olympique aux Jeux de Tokyo, l'escrimeuse peine à trouver des sponsors pour Paris 2024 . "Quand je vois que je galÚre alors que d'autres sportives trÚs jolies, qui n'ont pas mon palmarÚs, ont plus de visibilité et se font carrément démarcher par des marques sur les réseaux sociaux, ça m'amÚne à me poser des questions..." , lùche en toute franchise celle qui a un projet de maternité avant Paris 2024.
"Chez les hommes, je trouve que la performance est davantage mise en avant. Chez les femmes, il faut se battre si l'on ne rentre pas dans les critÚres de beauté prédéfinis par la société."
Une tendance Ă©galement Ă©prouvĂ©e par MĂ©lina Robert-Michon, vice-championne olympique aux Jeux de Rio, en 2016, et vingt fois championne de France. Son brillant palmarĂšs parle de lui-mĂȘme. Pourtant, la spĂ©cialiste du lancer de disque rencontre elle aussi une difficultĂ© Ă  trouver des sponsors. "La performance est plus importante chez les hommes, alors que le physique a une part plus importante chez les femmes" , raconte celle qui a conscience d'ĂȘtre "un peu plus charpentĂ©e que la moyenne" .
"Les Ă©quipementiers prĂ©fĂšrent travailler avec des filles bien foutues, qui passent bien Ă  l'Ă©cran, mĂȘme si elles n'ont rien fait de spĂ©cial. Il y a quelques annĂ©es, ils n'avaient pas peur de nous le dire directement. Aujourd'hui, c'est beaucoup moins politiquement correct, alors ils trouvent d'autres excuses. Il faut arrĂȘter de se cacher, cette vision est encore prĂ©sente."
Et le phénomÚne va encore plus loin. Selon plusieurs chercheuses interrogées, certaines athlÚtes vont aller jusqu'à se "recréer une féminité" . L'objectif ? Attirer les sponsors et poursuivre leur carriÚre dans de meilleures conditions.
"Celles qui n'ont pas des physiques s'apparentant aux stĂ©rĂ©otypes fĂ©minins vont mettre du vernis, des bijoux ou encore sur-investir les robes pour essayer de donner des gages qui ramĂšnent Ă  une fĂ©minitĂ©" , expose Sandy Montanola, maĂźtresse de confĂ©rences Ă  l’UniversitĂ© Rennes 1 et spĂ©cialisĂ©e dans les questions de sport, de genre et de mĂ©dias. " Les athlĂštes ont anticipĂ© le fait que les sponsors attendent des reprĂ©sentations sociales assez stĂ©rĂ©otypĂ©es."
Des normes de fĂ©minitĂ© bien ancrĂ©es, mĂȘme chez les partenaires, qui peuvent empĂȘcher certaines jeunes sportives de se sentir bien dans leur corps, notamment au moment de l'adolescence. "Les reprĂ©sentations mĂ©diatiques ont une influence sur la façon dont on se perçoit, dont on s’identifie. Chacun, chacune, construit aussi son identitĂ© par rapport Ă  ça" , insiste Natacha Lapeyroux, sociologue des mĂ©dias du genre et du sport.
MĂ©lina Robert-Michon se souvient : "J'ai Ă©tĂ© grande trĂšs tĂŽt. L'adolescence est un moment oĂč l'on veut passer inaperçues, et finalement on ne voit que nous. Je savais que j'avais plus d'Ă©paules que les autres, des cuisses plus marquĂ©es. Pas besoin d'en rajouter. De telles remarques peuvent faire peur Ă  certaines jeunes filles, au moment oĂč le corps change et oĂč on a un rapport Ă  lui qui est plus difficile."
Les critÚres de beauté et de morphologie imposés implicitement par certains sports sont aussi facteurs de troubles chez l'athlÚte. La patineuse Maé-Bérénice Méité a fait l'objet de lourdes réflexions quant à son physique et son poids, sous prétexte qu'elle ne correspondait pas à la figure fine, élancée et longiligne de la patineuse artistique.
" Ta robe, ton maquillage, ta coiffure, ton visage, ton physique, vont ĂȘtre scrutĂ©s en dĂ©tails, car ta ligne va jouer sur la note finale (...). Il faudrait connaĂźtre et comprendre tous les types de morphologie, au lieu de vouloir transformer chaque athlĂšte en un prototype prĂ©dĂ©fini" , revendique avec fermetĂ© la sextuple championne de France. Cet Ă©pisode a malheureusement laissĂ© des traces sur sa carriĂšre. "Depuis, je souffre de dysmorphie corporelle. Dans le miroir, je me vois un peu grosse, pas suffisamment tonique et affĂ»tĂ©e. Heureusement, j'en ai conscience donc je travaille dessus."
Les stĂ©rĂ©otypes de genre ne se limitent pas qu'au physique. Ils se reflĂštent Ă©galement dans les tenues, qui font partie entiĂšre du processus de sexualisation. Parfois jugĂ©es trop courtes ou trop Ă©chancrĂ©es, nombreuses sont les sportives Ă  s'en ĂȘtre dĂ©jĂ  offusquĂ©es. Peu Ă  peu, les langues se dĂ©lient et les athlĂštes ne masquent plus leur malaise.
"Des joueuses de beach handball ont refusĂ© la sĂ©lection tricolore Ă  cause du port obligatoire du bikini. Et encore, ça ressemble plutĂŽt Ă  un string. Elles Ă©taient mal Ă  l’aise, c'est une rĂ©alitĂ©" , dĂ©plore BĂ©atrice Barbusse. "Le sport doit ĂȘtre inclusif. Ce n’est pas via ce genre de tenues qu’on va faciliter la dĂ©marche ."
De nombreuses disciplines ont dĂ©jĂ  fait face Ă  une telle problĂ©matique. La handballeuse française Allison Pineau Ă©voluait Ă  NĂźmes, en 2013, lorsqu'il a Ă©tĂ© dĂ©cidĂ© que les joueuses disputeraient les matchs en jupe. "Nous ne nous sommes pas senties super Ă  l’aise avec ce changement, car nous ne connaissions pas trĂšs bien les motivations qu'il y avait derriĂšre" , confesse sans langue de bois la championne olympique . " Ok, il y a une volontĂ© de fĂ©miniser les tenues. Mais pourquoi la jupe ? Avec la jupe, on parle d'un genre, on rentre dans les stĂ©rĂ©otypes. C'est aussi plus court... N'y a-t-il pas une autre maniĂšre de fĂ©miniser ? "
"Psychologiquement, nous ne sommes pas prĂȘtes Ă  ce changement. Nous sommes plus Ă  l'aise dans un short pour bouger. Nous avons toutes des corps diffĂ©rents. Le but est que chacune se sente bien dans ses vĂȘtements, dans son maillot. Et pas, Ă  l'inverse, crĂ©er des complexes."
Dans un essai publiĂ© cet Ă©tĂ©, l'heptathlĂšte britannique mĂ©daillĂ©e d'or aux Jeux de Londres en 2012, Jessica Ennis-Hill, avait pris position sur le sujet des tenues. Celle qui avait l'habitude de courir en slip au dĂ©but de sa carriĂšre a admis avoir Ă©tĂ© terrifiĂ©e Ă  l'idĂ©e de subir "un souci gĂȘnant avec sa tenue" pendant une compĂ©tition.
Dans une logique similaire, les gymnastes allemandes avaient pris part aux Jeux de Tokyo en "académique" , un uniforme qui couvre le corps des bras jusqu'à la cheville, au lieu du justaucorps habituel. "Nous voulions montrer que chaque femme doit décider ce qu'elle porte ", avait alors insisté Elisabeth Seitz.
ContactĂ©e par franceinfo: sport , la directrice des Ă©quipes de France de gymnastique artistique fĂ©minine, VĂ©ronique Legras, se veut rassurante : selon elle, les tenues sont discutĂ©es avec les gymnastes elles-mĂȘmes, en adĂ©quation avec leurs souhaits.
Si les acadĂ©miques sont dĂ©sormais autorisĂ©s par la fĂ©dĂ©ration internationale, la France n'a pas encore franchi le pas. "Nous sommes actuellement en pleine rĂ©flexion , car la rĂ©glementation de la gymnastique fĂ©dĂ©rale n'a pas encore validĂ© les acadĂ©miques en France. C'est un sujet qui va ĂȘtre traitĂ©" , dĂ©taille-t-elle. "Il faut Ă©voluer avec notre temps et nous sommes Ă  l'Ă©coute du bien-ĂȘtre des gymnastes." 
"Nous ne devons pas freiner des gymnastes Ă  vouloir pratiquer leur sport, simplement car elles ne sont pas Ă  l'aise dans leur corps et dans leur tenue."
Mais quelles sont les raisons avancĂ©es Ă  une telle sexualisation des corps ? "On en revient toujours au mĂȘme : attirer les sponsors et les partenaires" , rĂ©torque BĂ©atrice Barbusse.
"Quand les athlÚtes ne répondent pas aux stéréotypes féminins ou qu'elles sont trop musclées, comme les boxeuses ou les rugbywomen par exemple, il va y avoir une sanction médiatique. Nous les apercevons trÚs peu en photo ou dans les médias", complÚte Sandy Montanola.
"Il y a tout un Ă©cosystĂšme avec les mĂ©dias, les sponsors, les fĂ©dĂ©rations, les athlĂštes et les agents. Ces acteurs ont besoin de vendre, il y a une recherche de profit. Pour y rĂ©pondre, ils vont se valoriser par rapport Ă  ce qu’ils pensent ĂȘtre attendu. Les mĂ©dias vont faire pareil, les sponsors aussi, ce qui fait qu’on a ici tout un systĂšme d’entretien."
Mais que faut-il faire pour mettre un point final au phĂ©nomĂšne de sexualisation des sportives ? " Un Ă©veil des consciences de genre" , propose BĂ©atrice Barbusse. "Il faut que de plus en plus de sportifs et sportives s’éveillent Ă  ce qu'est le fĂ©minisme et se rendent compte que l'on est enfermĂ© dans des reprĂ©sentations stĂ©rĂ©otypĂ©es, qui sont autant de pressions Ă  ĂȘtre comme ci ou comme ça. Les athlĂštes seraient plus performantes et Ă©panouies en se libĂ©rant de ça."
"Il faut Ă©videmment que les femmes s oient bien davantage reprĂ©sentĂ©es dans les instances dirigeantes et qu'elles fĂ©dĂšrent autour de ces questions", poursuit la sociologue. Mais la paritĂ©, ce n'est pas pour tout de suite. Le 18 janvier, le SĂ©nat a rejeté l’instauration de la paritĂ© dans les instances dirigeantes du sport Ă  partir de 2024. Pour rappel, seules 18 femmes sont Ă  la tĂȘte d’une des 113 fĂ©dĂ©rations sportives en France.
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