Noël est venu tôt

Noël est venu tôt




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Noël est venu tôt
Un jeune pastourel
Dans sa cabine tout seulet
Et durant qu'il sommeille
Entend un Angelet
Qui de sa voix lui crie :
Lève toi Pastourel !

Je suis un ange qui t'appelle
Petit berger réveille toi
Car voici des nouvelles
Bonnes pour ton salut
Tôt quitte ta cabane
Car Noël est venu

Comment ferai-je, misérable ?
Ne puis laisser là mon troupeau
Le loup qu'est pas traitable
Langera quelque agneau
Et je suis responsable
De mon petit troupeau

Va ne crains rien beau joli pâtre
Vas ! Ne crains rien pour ton troupeau
La minuit vient de battre
Laisse tes agneaux
Celui qui paît les astres
Les garde de là-haut

Le ciel étant tout pâle
Et l'Angelet chantait toujours
Les yeux sur une étoile
S'en va le gai pastour
Jusqu'à la pauvre étable
Où Jésus tient sa cour



Cette
chanson existe sur les CD suivants :










Croire


Fêtes religieuses




Le sens de Noël n’est pas dans le merveilleux






Père Joseph Moingt ,



le 11/12/2001 à 11:00




Modifié le 14/12/2020 à 10:52






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Les chrétiens fêtent bientôt la naissance du Christ. Le père Joseph Moingt, théologien jésuite, en révèle le sens profond, au-delà du merveilleux attaché à Noël.

Joseph Moingt : C'est vrai, il n'y a pas de récit de la nativité dans deux évangiles sur quatre. Et à une exception près, les lettres des apôtres ne font pas mention de la nativité. Ce silence est étonnant si on pense à l'importance que va prendre très vite et très tôt le dogme de l'Incarnation.
J. M. : Il est le signe que la première prédication chrétienne n'a pas tourné autour de Noël mais autour de Pâques . Ce qui est au centre, c'est le Christ mort et ressuscité. Ce n'est qu'ensuite que les évangélistes vont se demander : « Ce Jésus, d'où vient-il ? » Même s'ils sont placés au début des Évangiles, les récits de la nativité ne sont donc pas un début, ils viennent après une réflexion sur la résurrection et l'ascension de Jésus. C'est la fin de l'histoire de Jésus qui pose la question de son commencement.
J. M. : D'abord, il faut affirmer que le christianisme ne naît pas dans le merveilleux, comme on aurait tendance à le dire. On ne vient pas à la foi par le merveilleux. La foi chrétienne naît au pied de la croix, c'est ce que Paul ne cesse de répéter. Il faut lire les Évangiles de la nativité comme des récits symboliques. Le merveilleux est le signe d'une méditation sur les Écritures. Tout le merveilleux vient dire : « Voilà l'accomplissement des prophéties, voilà ce qu'on attendait ». Il est le symbole d'une recherche d'intelligence de la foi. Le merveilleux ne diminue pas l'importance de ces récits. Si nous sommes capables de le déchiffrer, il dit que cet enfant ne vient pas des hommes, mais de Dieu.
J. M. : Aujourd'hui, le merveilleux est soupçonné. Mais ces récits merveilleux ressemblent à d'autres écrits du temps de Jésus, juifs ou païens, qui racontent la naissance d'un personnage important. Il faut rappeler que l’Église a le plus possible retranché le merveilleux. Les évangiles apocryphes qui contiennent énormément de merveilleux n'ont pas été acceptés parmi les Écritures saintes. Le sens de Noël n'est pas dans le merveilleux. Si on avait été présent à la naissance de Jésus, on aurait vu une naissance comme les autres. On ne se serait même pas posé la question du père qui était à côté ! Pour comprendre la nativité, il faut voir l'enfant dans la crèche et entendre les paroles de Paul : « Lui qui est de condition divine n'a pas revendiqué son droit d'être traité à l'égal de Dieu » (Lettre aux Philippiens 2, 6). Ainsi la crèche, c'est l'image même de la croix qui montre l'abaissement de Dieu. Ce n'est pas toujours facile à faire entendre un soir de Noël !
J. M. : À Noël, le Christ est annoncé comme l'Emmanuel, « Dieu-avec-nous » . C'est une expression ancienne qui vient de l'Ancien Testament . Déjà les juifs disaient : « Notre Dieu est un Dieu qui s'approche ». Mais une question demeurait, « Jusqu'où s'approche-t-il? ». Déjà, de tout temps, Dieu habite l'histoire des hommes, il est dans la création. Mais avec Jésus, Dieu se lie à l'histoire des hommes, il accepte de subir l'histoire et de ne pas la dominer d'en haut. Il n'est pas le Dieu du ciel, infiniment éloigné de nous. Dieu est « pour-nous » . Noël change l'identité de Dieu. Dieu se montre capable de se faire homme et même de se laisser faire par l'homme, de souffrir de l'homme. La grandeur de Dieu n'est pas en dehors de nos limites, elle est de se poser dans nos limites et de les faire éclater. Noël montre combien nous comptons pour Dieu.
J. M . : Oui, depuis la fondation du monde, il est préoccupé de venir à l'homme pour le libérer de la mort. La nouveauté de Noël, c'est que Dieu, en nous donnant ce fils, nous permet de devenir ses enfants, c'est-à-dire de participer à sa vie éternelle. Voilà ce que révèle l'image du ciel ouvert dans les récits de la nativité. Dieu traverse le voile qui nous séparait de lui.
J. M. : Oui et non. Noël ne change rien au cours des événements. Mais, en même temps, le sens de l'histoire est retournée. Avant, la vie qui venait de Dieu s'écoulait dans la mort. Désormais cette vie s'écoule en Dieu.
Mais Noël ne change pas tout, comme par magie. Parfois on met tellement l'accent sur l'incarnation qu'il semble qu'il suffirait que Jésus naisse pour que toute l'humanité change ! Cela ne respecte pas le jeu de la liberté dans la foi.
Personne ne reçoit purement et simplement son identité d'un autre. Même Jésus. Il reçoit du Père son identité de Fils de Dieu, mais il ne la reçoit qu'en la vivant. Il naît fils de Dieu, il est le « Verbe fait chair », mais il devient fils de Dieu en ratifiant l'élection reçue de son père, en vivant sa vie filiale à fond. Il faut tenir les deux, sinon on supprime la liberté et le devenir.
Pour nous, c'est pareil. Comme le dit Jean, nous avons reçu de « pouvoir devenir fils de Dieu » . Le mystère de Noël nous rappelle que nous ne devenons fils de Dieu que parce que nous le recevons dans une naissance. En un sens, en recevant cette possibilité, nous avons tout reçu. Car nous ne pouvons pas nous donner de devenir fils de Dieu. Mais cela ne supprime ni liberté, ni notre responsabilité.

VIDEO - D’où vient la crèche de Noël ?

Le Fils de Dieu, un bébé dans une crèche?
D’où vient la tradition de la crèche de Noël?








Joyeux Noël








Joyeux Noël avec tes proches!








Cadeaux de Noël








L'esprit de Noël








Joyeux Noël








La fête de Noël








Joyeux Noël!








Joyeux Noël!








Joyeux Noël!








Un très joyeux Noël








Joyeux Noël








Noël Béni








Un Joyeux Noël et une Heureuse Année!








Joyeux Noël!








Bénédiction de Noël








Joyeuses Fêtes!




Title: Chanson joyeuse de Noël
Composer: François-Auguste Gevaert

Number of voices: 4vv Voicing: SATB
Genre: Secular , Carol

Language: French
Instruments: A cappella

First published:
Description: Source :
Collection de chœurs sans accompagnement pour servir à l'étude du chant d'ensemble.
Fascicule 2
Ed.Henry Lemoine & Cie

Le petit Jésus,
Sauveur adorable,
La nuit de Noël,
Naquit dans l'étable;
Des bergers vinrent bientôt
L'adorer dans son berceau,
Et l'on vit trois mages
Offrir pour hommages
La myrrhe, l'or et l'encens,
Ah! quels beaux présents!
Car Jésus, à leurs yeux,
Est vraiment le roi des cieux!

Les chœurs angéliques
Ont chanté Noël!
Mêlons nos cantiques
Aux accents du ciel!
Noël! Noël! Noël!
Chantons tous Noël!
Noël! Noël!
Chantons tous Noël!
Le Dieu tout aimable
Est né dans l'étable.
Gracieux et beau,
Gracieux et beau!
Sur la paille humide,
Charmant et candide
Comme un doux agneau,
Comme un doux agneau.

Le petit Jésus disait le rosaire,
Penché sur le cœur de sa tendre mère;
C'est lui qui fit le Pater,
Le divin Pater noster,
Et sa voix bénie,
Saluant Marie,
Disait: Ave Maria,
Et puis Gloria.
Il faut donc chaque jour,
Imiter ce Dieu d'amour.

Les chœurs angéliques
Ont chanté Noël!
Mêlons nos cantiques
Aux accents du ciel!
Noël! Noël! Noël!
Chantons tous Noël!
Noël! Noël!
Chantons tous Noël!

Allons, ma pauvre âme,
Que l'amour t'enflamme,
Et ne pleure plus,
Et ne pleure plus!
Marie est ta mère,
Et ton nouveau père
S'appelle Jésus,
S'appelle Jésus.

Les chœurs angéliques
Ont chanté Noël!
Mêlons nos cantiques
Aux accents du ciel!
Noël! Noël! Noël!
Chantons tous Noël!
Noël! Noël!
Chantons tous Noël!


Ils baisent à l'arrière d'une voiture de police
Une chinoise se fait doigter alors qu'elle dort
Petite nympho dans ma voiture

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