De si adorables lesbiennes

De si adorables lesbiennes




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De si adorables lesbiennes

Posté dans : cinéma , CULTURE
/ Tagged: barbieturix , films lesbiens , kyss myg




Delphine
92 jours ago




Roxanne Valin
195 jours ago




Delphine
206 jours ago




Blandine
317 jours ago




Delphine
429 jours ago

Alors que nous nous interrogions sur vos scènes de sexe lesbiennes préférées , un nom de film surgit parmi tant d’autres, Kyss Mig soit littéralement « Embrasse-moi » en suédois. Premier film lesbien du pays du grand froid à être sorti sur nos écrans depuis Fucking Åmål en 1999. Les films lesbiens étant (presque) tous « scandaleusement nuls », Barbi(e)turix s’est posé la question de savoir si le film d’Alexandra-Therese Keining en valait vraiment la peine.
Alors, Kyss Mig pour le résumer en quelques lignes, c’est l’histoire de Mia (Ruth Vega Fernandez) et Tim (Joakim Nâtterqvist) qui annoncent leur mariage à celui du remariage du père de Mia, Lasse (Krister Henriksson), qui se remarie avec Elisabeth (Lena Endre), la mère d’Oskar et Frida (Liv Mjönes). Jolie portrait de famille recomposée, sauf qu’évidemment Frida est gouine et canon, du coup, Mia en vient à se poser des questions. Questions que bien sûr, elle se pose depuis l’adolescence mais qu’à presque 35 ans, elle n’a jamais pensé utile de résoudre avant. Donc pour résumer, Frida tombe amoureuse de Mia qui s’apprête à se marier avec Tim. Et là, les personnages vont se prendre le chou pendant 105 minutes.
Jusqu’ici, on se dit que cette histoire de gouines, réelle au passage puisque c’est inspiré de la vie d’une des actrices (Josefine Tengblad a priori, qui incarne Elin, la petite-amie de Frida) n’est pas une révolution dans le genre. Surtout que l’intrigue bateau de la nana hétéro qui pense faire une erreur juste avant le passage en CDI/mariage on en bouffe à toutes les sauces depuis toujours, comme si c’était un rituel chez nous lesbiennes de piquer les futures mariées en goguette. Alors, oui, on fronce du nez. On est sceptiques et surtout ça nous rappelle quelque chose… Imagine Me & You , pardi ! Mais si, Luce (Lena Headey) et Rachel (Piper Perabo), les deux nanas qui, après avoir vécu une expérience similaire, faisaient du touche-pipi dans les fleurs. Que de frissons.
(Petit aparté « que sont-elles devenues ? », Lena incarne maintenant Cersei Lannister dans Games of Thrones et Piper Perabo végète en restant l’hétéro qui cumule les rôles de lesbiennes. Si si, c’était elle aussi dans Lost and Delirious , qui vivait une bluette avec Jessica Paré (Megan Draper dans MadMen) et Mischa Barton . Ne me remerciez pas pour ce travail d’investigation.)
Mais revenons à nos suédoises. On pourrait donc reprocher à Kyss Mig d’être plus ou moins l’adaptation suédoise d’ Imagine Me&You . On grommelle donc du manque d’ingéniosité du scénario et là, histoire de nous achever un peu plus, on se dit que le prénom de Tim ne nous est pas inconnu. Bien sûr qu’il ne l’est pas ! Tim Haspe l, le cocu le plus célèbre du petit écran. Tim de The L World, le Tim de Jenny ! Décidément, que de coïncidences. Et seul un cerveau de lesbienne peut faire toutes ses corrélations. Le quidam lambda voit seulement une histoire de gouines.
Le tour du « ça me rappelle quelque chose ! » étant terminé, on peut s’intéresser de nouveau au film. Fidèle au modèle cinématographique suédois qui affectionne les drames familiaux ( Festen ), Kyss Mig évolue dans une atmosphère à la Mélancholia ( de Lars von Trier), en plus édulcorée et sans la menace de la grosse planète bleue évidemment. On nous livre deux jeunes femmes, l’une hétéro (Mia), l’autre lesbienne et fem (Frida) qui restent toutes deux ancrées dans un schéma social bien précis : blanches, la trentaine, cadres sup’ (Mia est architecte) et qui sont d’apparences assez bien de leur personne. Si tu es lesbienne et que tu es butch, alors ta seule possibilité est de les fantasmer, pas de pouvoir t’identifier. Oui, on avait oublié que les butchs faisaient peur aux spectateurs garçons, voir filles quelquefois.
Kyss Mig , comme il a été dit précédemment, est loin de révolutionner le cinéma lesbien, autant par son scénario que par les clichés qu’il continue à véhiculer. Mais heureusement, tout n’est pas à jeter. Le film est en lui-même assez agréable à regarder. Les Fjords biologiques, les forêts remplies de biches, élans et autres viandes nordiques qui broutent de l’herbe verte, les maisons aux intérieurs déco Ikéa et la musique du groupe français Nouvelle Vague ainsi que de la chanteuse Robyn, rétablissent la balance d’un scénario cousu de fil blanc.
Et pourtant, on en vient à s’attacher à Mia, la brune frigide et pincée qui va braver sa morale moyenâgeuse du « je suis promise à mon mari, alors je reste avec mon mari » pour s’enticher totalement de Frida, la blonde bobo spécialiste ès sentiments féminins. On a envie de secouer ses principes en même temps qu’on a envie de continuer à la voir jouir illégalement comme une adolescente dans des scènes de sexe assez réalistes mais malheureusement trop courtes et qui ne se mouillent pas trop niveau chorégraphie sexuelle.
On retiendra également la réaction des parents des deux jeunes femmes, dont la mère de Frida (que l’on retrouve également dans Millenium ) semble plus ouverte d’esprit que son Lasse de mari. Elle livre ses craintes en tant que mère d’enfant lesbienne, à savoir peur de ne pas avoir de petits enfants et compagnie alors que le père de Mia trouve totalement incongru que sa fille Mia, sois lesbos. Que sa belle-fille le soit passe encore, mais pour sa propre fille, la pilule passe un peu moins bien. Du vécu. Ils s’en remettront pourtant tous les deux et l’on se dit alors (peut-être naïvement) que la vision de ce film, même s’il ne changera pas littéralement nos vies, pourra au moins être utile à une mère de famille toujours sceptique. Donc on continue à encourager le cinéma lesbien international et on jette un œil à Kyss Mig .
Disponible en streaming vostfr et en DVD.
À bientôt pour une prochaine critique de film culte lesbien !
l’article fait un peu : kyss mig est juste un prétexte irrespectueux envers le 7ième art, le cinéma, la cinématographie, le film et sa pellicule, pour parler deux secondes des butchs et les faire rentrer dans l’histoire de la pellicule … alors j’ai envie de dire :
mais ! FAITE UN ARTICLE SUR LES BUTCHS, LEURS COMPETENCES EN VIDEO NUMERIQUE PENDANT LE DIVORCE DE LEURS PARENTS !!!
ça sera plus simple (et peut-être plus intéressant si sincère).
cet article est pour moi, une pantalonnade, donc, je ne commenterais pas sur son sujet.
J’ai beau relire ce commentaire sous toutes ses formes, je n’arrive toujours pas à savoir dans quel sens le prendre. Ravie que tu prennes mon article pour une “pantalonnade”, je suis très ouverte à la critique comme tu peux le constater, mais seulement quand elle est constructive.
Tu es de bonne volonté alors je te réponds que ce n’est pas une critique, c’est juste … un commentaire. en effet, j’ai trouvé que “la” remarque sur les butchs laissaient entrevoir dansnun style impersonnel, une sorte de rancoeur. mais, je ne saurais pas te dire exactement pourquoi !?! (donc, j’ai juste écrit un commentaire.)
Mais comme tu es très ouverte à la critique et que tu me l’écris, je prends le temps de te donner mon avis sur la question, avis qui prétend se dégager entièrement de ton point de vue :
kyss mig est un film sociologique. Il n’est pas un film lesbien (cinéma lesbien à toutes les sauces, c’est dur hein !) dans le fait qu’il n’est pas là pour nourrir les fantasmes des lesbiennes du monde entier. Je pense qu’avant tout, ce long correspond à un ensemble de données anthropologiques, historiques, sociologiques, économiques, culturelles, juridiques et scientifiques, religieuses et sociales, qui concentre son action principale autour d’une lesbienne de second rôle mais qui fait bien la passerelle entre la fiction et la réalité.
Mais cet avis n’engage que moi ! Voilà.
#merci
#lesbarbi(e)turixsontmesamies
D’accord sur le fond (pitch convenu) mais je trouve qu’il a des moments de poésie, ce film.. merci les lumières dorées du nord et la BO qui va bien
perso j’adore les suédoises et je trouve le film adorable !Je vous conseille également le merveilleux “Producing adults ” ! très bien joué.
…pour ma part, c’est vrai que je ne serais pas contre un filmdu genre mais avec UNE VRAIE BUTCH nom de dioussss…. Car rien n’empêche ne plus du côté sociologique,… de fantasmer, en regardant un film !
Depuis quelques décennies, j’ai vu un paquet de films avec des personnages de lesbiennes (pour éviter l’appellation systématique de “film lesbien”) et je me demande si Kyss Mig n’est pas mon film préféré. Et oui, rien que ça ! Certes l’histoire a été vue 1000 fois ; les actrices sont jolies juste comme on aime, et tout est bien qui finit bien. Ceci mis à part, je trouve le film extrêmement délicat et bien réalisé : belle photo, beaux décors, bande son élaborée, jeu des actrices très fin et expressif.
J’ai lu une interview de R Vega-Fernandez où elle rappelle que la société suédoise est très conformiste et bourgeoise, peu ouverte à l’homosexualité (et oui ! surprise), et qu’elle-même étant mi-espagnole n’y a jamais été vraiment intégrée. Perspective intéressante pour aborder le film.
La réalisatrice a exprimé que le personnage de Mia était une femme déconnectée de son corps et qui allait retrouver la sensualité. C’est ce qu’exprime la 1e scène de sexe : Frida lui rend le lien à son propre corps. Ce qui explique sans doute le minimalisme de “la chorégraphie”.
Il y a donc pas mal de choses à voir dans ce film, plus que ce que l’article nous laisse entendre.
PS : Festen et L. von Trier, c’est danois pas suédois. Pas vraiment pareil culturellement.
“Certes l’histoire a été vue 1000 fois”
Putain ! mais même ça, c’est faux ! Tu confonds synopsis et scénario coco !
Il ne peut pas y avoir de film lesbien, ni même de cinéma lesbien sans investissement humain et moral. tu trouves ce film extrêmement délicat : pppfffff ! ça m’énerve, vous racontez n’importe quoi.
Je n’ai même pas pensé à Imagine Me and You… tellement ce film n’a rien à voir. D’un point de vue, cinématographique, j’ai extrêmement aimé les points de vue, les cadres, les décors. Les actrices sont superbes même si Mia a tendance à m’énerver. Et, Frida est juste sublime dans son rôle.
Bref, je pense qu’en disant que c’est “cliché” , toi même tu fais en sorte que s’en soit un. Pour moi, ça ne l’est pas… les lesbiennes et les gays qui se rendent compte après le mariage qu’ils le sont, c’est aussi cliché? Et bien, non… c’est la vie !
Belle histoire, j’ai adoré… rien de mieux que de s’imaginer une histoire similaire dans la vie réelle
Perso, je crois que j’ai aimé ce film pour toutes les raisons qui font que l’auteure de cet article ne l’a pas aimé. J’admets que le scénario ne casse pas trois pattes à un canard mais comme l’a dit quelqu’un avant moi, ce sont des situations de la vie qui existent pour quelques unes d’entre nous.
Imagine me and you, est une comédie, kyss mig est à mes yeux plus profond. Les actrices n’y sont pas fém à mes yeux, ni butch il est vrai, je dirais qu’elles sont plutôt ordinaires, des filles de la vie de tous les jours, en un peu plus jolies. Cet aspect là me plait car il me permet de m’y identifier plus facilement. Je ne suis ni un butch comme dans bound ni une fem a la l word et je trouve sympa d’avoir un film qui me semble pour une fois plus proche de ma réalité. Il en faut pour toutes il me semble.
La scène d’amour est parfaite à mes yeux, ni vulgaire, ni voyeuriste et le fait qu’elle ne comporte aucune musique, accentue le côté realiste. Pourquoi toujours vouloir du sexe cru, à la vie d’Adèle!! Pourquoi résumer un film lesbien a sa scene de cul?
Pour l’histoire je suis plutot d’accord avec la personne qui parlait de film psychologique, d’ordinaire les films nous montrent souvent une lesbienne qui “convertit” une hétéro, cette fois c’est l’hetero qui fait le premier pas (bon ok la lesbienne emmène ensuite les choses plus loin). On voit souvent l’aspect de l’hetero qui se pose des questions, doute… Etc, et pour une fois, bah la lesbienne aussi car elle aussi avait une vie, une relation!
Bref on a toutes des raisons de l’aimer ou de ne pas l’aimer, mais dans notre relatif désert cinematographique, il a au moins le mérite d’exister et pers, il est à ce jour mon lezmovie préféré!
je découvre se film juste donc je suis en retard sur les commentaires qui est dommage mais bon pour moi il reste un rare film qui génère autant d’émotion dans les regards des 2 artistes j’ai beaucoup aimé à le regardé même si certaine ou certain ne l’on pas aimé ou pas mal critiqué elle (il) n’as pas du voir vraiment se film mais bon c un film à voir et revoir
Bonjour je voulais juste faire une remarque je trouve qu’utiliser le mot “gouine” et ce plusieurs fois n’est pas très intelligent je me suis sentie insulter, blesser . Je ne vous en veux pas et je me doute que ce n’était pas dans ce but mais svp la prochaine fois essayé d’autre mots ce n’est pas ca qui manque . merci beaucoup .
Moi je ne comprend pas comment on peux aimé “la vie d’Adel”. Ce film n’a pour moi absolument aucun sens et une scène de cul horrible, qui m’a donner légèrement des nausées … (pourtant je suis lesb mais une bonne scène de “cul” c’est avec des sentiments que sa commence, alors que là c’est juste gore !). Moi j’aime ces belle histoires d’amour qui finisse bien avec de fort sentiment. Imagine me and you es pour moi un super film bien mignon. Kyss Myg, malgré les musiques mélancolique, est encore mieux. Les sentiments des deux filles son vraiment très fort et c’est ce que j’aime avant tout. Pourtant je ne supporte pas Mia, elle m’énerve. J’aime bien la mère qui prend à coeur les sentiments de sa fille et qui essaye de trouver une solution, au point de presque ce disputé avec son homme. Sa fais rêver ce genre de parent. Le meilleur film reste “Carol”, on sent leur sentiments intense depuis le début, au premier regard (et il fini bien). La musique es tout simplement belle, il es juste parfais malgrès le coté dramatique que vie “Carol” à cause de son attirance pour Thérèse. Le film ” Saving Face ” es aussi pas mal, autant du coté de la fille que du coté de la mère. Il montre ce coté de nous qui ose pas montrer au yeux de tout le monde que nous aimons une fille (C’est aussi la cause principal de mes ruptures … A force de vivre caché on en fini malheureuse). Au moins dans ces films là sa fini bien, pas comme dans la vrais vie.
Totalement d’accord avec Yukka (Carol, excellent film. La Vie d’Adèle, je ne l’ai toujours pas digéré depuis, indécent à mes yeux, pathétique de vulgarité; perso je ne savais pas s’il fallait en rire ou en pleurer…). Bref.
Dans un autre registre davantage salvateur, Kiss Mig fait partie de ces rares films “lesbiens” à la romance épurée qui finissent bien. Point de fioriture. J’entends par là qu’il ne faille pas forcément pondre un scénario sortant des sentiers battus avec des dialogues à n’en plus finir pour en faire une histoire d’amour poignante. Cliché ? Qu’importe.
Les actrices sont rayonnantes; leurs personnages respirent une douceur, une pudeur, une certaine fragilité dans leurs sentiments naissants. Une approche délicate va se construire entre ces deux jeunes femmes, attirées l’une par l’autre. Frida en est pleinement consciente, c’est le coup de foudre; Quant à Mia, elle se questionne, froide aux premiers abords puisque bouleversée, tourmentée, souhaitant se dérober à la situation forcément inéluctable; puis se résigne pour finalement s’abandonner au plaisir dans les bras de sa douce et tendre (j’adore l’approche délicate quasi “chevaleresque” de Frida envers Mia, ça paraît bête dit comme ça mais je la trouve super touchante)… Quoi de plus excitant ?
Sinon la scène d’amour est juste sublime ! Certes ce n’est pas bourrin (oubliez La Vie d’Adèle SVP), non mesdames, il est question de sensualité. Sensualité… Et des actrices belles à tomber ! Moi je craque.


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