De jeunes filles essayent le sexe lesbien

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De jeunes filles essayent le sexe lesbien
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LGBT - La derniÚre chose que les lesbiennes s'attendent a avoir entre leurs mains, c'est un pénis. Et c'est justement le sujet de cette nouvelle vidéo aussi drÎle que révélatrice.
Bria et Chrissy, qui se dĂ©crivent elles-mĂȘmes comme un couple lesbien qui chante, ont rĂ©uni quelques amies pour voir ce qu'il se passe quand des femmes qui aiment les femmes se retrouvent Ă  faire quelque chose qu'elle n'ont jamais pensĂ© faire (ou jamais voulu faire).
Inutile de dire qu'il y a de l'appréhension dans l'air.
"J'ai parlé en public et je déteste parler public... J'ai presque été renversée par une voiture... mais je n'ai clairement jamais été aussi nerveuse", déclare l'une des femmes avant d'empoigner le pénis témoin.
"J'ai l'impression que j'ai passé ma vie à éviter ce moment", confie une autre participante.
La Youtubeuse Arielle Scarcella , qui participe aussi Ă  la vidĂ©o, a dĂ©clarĂ© au Huffington Post amĂ©ricain: "Je voulais le faire pour prouver au monde que tous les corps sont beaux, qu'on n'est pas forcĂ©ment attirĂ© par tous mais qu'on peut tout de mĂȘme les apprĂ©cier."
On vous laisse découvrir l'expérience dans la vidéo ci-dessus et Bria et Chrissy ici . DerniÚrement, la chaßne YouTube "The Human Experiment" qui aime mettre en scÚne des anonymes dans une situation inédite, a demandé à des lesbiennes d'embrasser des hommes hétérosexuels pour la premiÚre fois .
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Cet article date de plus de quatre ans.



Publié le 10/11/2017 10:33


Mis Ă  jour le 10/11/2017 10:35



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Des mineures enrĂŽlĂ©es comme prostituĂ©es dans certaines banlieues françaises... Pour "ComplĂ©ment d'enquĂȘte", Rola Tarsissi a rencontrĂ© Lucille et Sophie, 17 et 16 ans. L'une est proxĂ©nĂšte, l'autre prostituĂ©e. Dans cet extrait, la seconde confie ses impressions.
En France, entre 5 000 et 8 000 mineures se prostitueraient, selon les estimations. Un flĂ©au qui n'existait pas il y a encore cinq ans. Dans cet extrait d'un numĂ©ro de "ComplĂ©ment d'enquĂȘte" sur les nouveaux trafics d'ĂȘtres humains, une jeune fille confie s'ĂȘtre prostituĂ©e jusqu'en janvier 2017 sur le site Vivastreet . 
"Je pouvais gagner jusqu'Ă  20 000 euros par mois", explique Sophie, 16 ans, qui dit avoir "fait ça pendant deux mois et demi, trois mois" – peut-ĂȘtre davantage, selon sa copine Lucille, qui jouait, elle, le rĂŽle de la proxĂ©nĂšte. Elle n'appelait pas ça de la prostitution, elle disait "je vais bosser". 
Sophie ne semple pas avoir conscience de ses actes. Elle montre sans difficultĂ© la photo aguicheuse qu'elle avait postĂ©e sur la Toile. La premiĂšre fois qu'elle a "fait ça" pour de l'argent, qu'a-t-elle ressenti ? "Je sais pas comment dĂ©crire, en fait, sur l'instant
 C'Ă©tait bizarre
 Genre tu te dis 'ah ouais
 je me suis donnĂ©e pour de l'argent'. AprĂšs, tu vois les sous, tu te dis que c'est des sous rapides Ă  se faire. Mais c'est pas facile. Parce que tu te donnes." 
Extrait de "Dealers d'adolescentes", un reportage diffusĂ© dans "ComplĂ©ment d'enquĂȘte" le 9 novembre 2017.
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La fĂ©e de la montagne et son appareil photo â›°ïžđŸ„ŸđŸž
Pour Caroline Fink, la montagne n’est pas seulement une passion, c’est aussi un mĂ©tier: photographe, rĂ©alisatrice et rĂ©dactrice, la Zurichoise passe cent jours par an dans les montagnes. Elle nous rĂ©vĂšle ici les sommets de 4000 mĂštres qui hantent ses rĂȘves et pourquoi, malgrĂ© tout, elle ne vit pas en montagne.
J’ai rencontrĂ© cette femme sur internet. On a rapidement convenu d’un rendez-vous dans un bar genevois de la rive gauche. Au premier verre, j’étais sĂ©duite et pas seulement par son esprit. GaulĂ©e comme Kim Kardashian, tout ce que j’aime!
Au dĂ©but, elle s’est prĂ©sentĂ©e comme une opĂ©ratrice de tĂ©lĂ©phone rose. J’étais dĂ©jĂ  moyennement emballĂ©e par son choix de carriĂšre. Pas le genre de trucs que t’as envie de raconter Ă  tes parents quand tu leur prĂ©sentes ta copine. DĂ©jĂ  que suis bisexuelle, autant ne pas en rajouter

Au bout de quelques jours, elle m’a avouĂ© qu’elle avait un autre job: maĂźtresse dominatrice SM.
Ah bon. Finalement le tĂ©lĂ©phone rose c’était trĂšs bien! C’est peut-ĂȘtre Ă  ce moment-lĂ  que j’aurais dĂ» prendre mes jambes Ă  mon cou, mais j’avoue que la bougresse avait rĂ©ussi Ă  titiller ma curiositĂ©. Rien de tel que ce genre de bizarreries pour rĂ©veiller ma fibre d’écrivaine en devenir.
Elle m’a racontĂ© qu’elle avait des «soumis» qui lui payaient des Louboutins. Des hommes, souvent haut placĂ©s et trĂšs puissants, qui adoraient venir se faire chier sur la gueule dans son petit appartement genevois. VoilĂ  qui expliquait pourquoi elle avait une collection de poppers dans son frigo, une tripotĂ©e de gods «à faire pĂąlir tous les Marquis de Sade» et une cage accrochĂ©e dans un coin de sa chambre.
Du coup, je n’arrĂȘtais pas de lui poser des questions, en mode conseillĂšre d’orientation, histoire de comprendre un peu mieux ses choix de carriĂšre. Elle m’expliquait qu’elle voyait son rĂŽle comme de la «sado-thĂ©rapie» . Elle prĂ©fĂ©rait que ces tarĂ©s viennent se faire Ă©craser les mains Ă  coup de talons aiguilles chez elle, plutĂŽt qu’ils aillent assouvir leurs pulsions autrement
 Pas sĂ»re que ce genre de pratiques soit remboursĂ© par la LAMAL, mais soit. Elle en parlait librement et parvenait Ă  confĂ©rer Ă  son discours un sens qui a fini par chambouler ma vision de la «normalité».
Quand on couchait ensemble, c’était soft, bien sĂ»r. Pas de fouet, ni d’insectes Ă  bouffer sur son corps. Parce que moi, j’étais «vanille», comme elle disait. Elle trouvait trĂšs drĂŽle de tĂąter mon ventre pour me dire s’il Ă©tait plein et oĂč j’en Ă©tais dans mon processus de digestion, vu qu’elle avait une certaine expĂ©rience des estomacs chargĂ©s avant de voir ses «patients».
Un soir, elle a tenu Ă  me prĂ©senter ses amies, avant qu’on aille en boĂźte lesbienne SM . Je savais mĂȘme pas que ça existait. On a fait l’apĂ©ro avec deux filles et une travestie qui ressemblait comme deux gouttes d’eau Ă  ma cousine, en plus grande. D’aprĂšs ce que j’ai compris, ce petit groupe profitait de se retrouver pour laisser exprimer sa vĂ©ritable nature. Au quotidien, chacune remet son uniforme bon chic, bon genre.
ArrivĂ©es dans la boĂźte, il y avait des films pornos lesbiens sadomasochistes sur des Ă©crans tĂ©lĂ© un peu partout. Une des filles a rapidement filĂ© vers les backrooms, oĂč elle s’est trouvĂ©e une camarade de jeu. Moi je me suis jetĂ©e sur ma vodka histoire de faire passer la pilule.
Je me suis promenĂ©e dans cet espĂšce de club Ă©changiste d’un nouveau genre pour essayer de tĂąter l’ambiance, en tirant sur ma paille comme une cokĂ©e sur son rail. C’était surrĂ©aliste. MĂȘme aprĂšs trois vodka. Il y rĂ©gnait une sorte d’ agitation lubrique Ă  demi contenue . Comme si tout le monde comprenait bien le cĂŽtĂ© dĂ©calĂ© de la chose et trouvait ça gĂ©nialement subversif. J’ai arpentĂ© les couloirs sombres jusqu’à dĂ©boucher sur une sorte de piste de danse, qui servait plutĂŽt de point d’observation avant consommation.
Au bout d’un moment, on a eu droit Ă  une espĂšce de show sadomaso avec deux crĂ©atures sapĂ©es en Spiderman grise et noire, intĂ©gralement recouvertes, qui s’enroulaient dans des cordes, sur une musique de mort . Dans le public, des couples de jeunes lesbiennes qui avaient l’air plutĂŽt «conventionnelles». Je suis allĂ©e les interroger histoire de comprendre ce qui les attirait dans ces pratiques. Le frisson de la nouveautĂ© apparemment. Je me demandais Ă  partir de quel moment on s’emmerde suffisamment dans son couple pour dĂ©cider de pimenter le tout Ă  coup de chaĂźnes et de pic Ă  glace.
Je suis partie Ă  la recherche de ma copine, que j’ai retrouvĂ©e dans un coin en train d’observer une femme Ă  moitiĂ© Ă  poil et Ă  califourchon se faire fouetter par une autre, dĂ©guisĂ©e en chat.
Foutue pour foutue, j’ai voulu me confronter Ă  l’exercice, histoire de comprendre le plaisir qu’on peut en retirer. Je me suis mise Ă  fouetter cette fille , qui poussait des gĂ©missements Ă  chaque coup. Avec ma copine dans le fond qui me disait «mais non, pas comme ça, faut tenir le fouet de cette façon».
Je ne sais honnĂȘtement pas vraiment comment s’est terminĂ©e cette soirĂ©e, j’ai fini par tirer la prise au bout d’un moment et d’un certain dosage d’alcool. Mais je sais que je suis restĂ©e avec cette fille plusieurs mois, jusqu’à ce que, bizarrement, le sexe ne soit plus une excuse suffisante pour colmater nos diffĂ©rences de perception de la vie.
Elle a disparu dans la nature aussi vite qu’elle Ă©tait arrivĂ©e, mais je sais qu’elle continue Ă  voir ses «soumis» et part souvent en vacances dans leur villa aux quatre coins du monde.
Ça m’a fait rĂ©flĂ©chir sur les diffĂ©rents mondes qui se dissimulent dans le nĂŽtre et qu’on ne soupçonnerait pas. Et sur mes chances de trouver l’amour un jour, accessoirement. PossibilitĂ© qui s’éloigne de plus en plus. J’ai donc dĂ©cidĂ© de partir Ă  la dĂ©couverte de cette large palette de diffĂ©rents dĂ©lires sexuels, jusqu’à trouver celui qui me convient. Et j’ai bien l’intention de continuer Ă  vous les raconter.
Au premier abord, elle n’a rien d’une alpiniste pure et dure. Caroline Fink a une allure dĂ©licate, une aura de fĂ©e entoure cette femme de 44 ans qui se prĂ©sente au point de rendez-vous Ă  la gare en robe de coton, veste en jean et baskets. Mais l’impression est trompeuse: Caroline Fink est une femme d’action, avec une prĂ©fĂ©rence pour le baudrier et les crampons.

Un vieux pour la faire se sentir bien
Quelle bite délicieuse
Cette jeune se fait baiser profondémment

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