Couple lance leur voisin

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Couple lance leur voisin
Sacrée histoire avec mon cher voisin....en couple! 
Bonjour, J'ai 30 et je vis dans une copropriĂ©tĂ©, une rĂ©sidence calme et sympa. Nous sommes 3 voisins par palier. Je vis au 3eme Ă©tage. Et mon voisin de l'appartement en face m'a complĂštement fait tourner la tĂȘte ! Il est beaucoup plus ĂągĂ© que moi puisque 58 ans mais waouuh que c'est bon de l'avoir ! Cette histoire a commencĂ© bien avant l'Ă©pisode covid puisqu'il y a un an. Je ne suis pas cĂ©libataire mais je ne vis pas complĂštement avec mon compagnon. I vient passer quelques semaines et repart. Il travaille dans le sud de la France et de plus notre relation n'est pas trĂšs "sĂ©rieuse" stable. Mon voisin non plus n'est pas seul puisqu'il vit avec son Ă©pouse. Un beau jour de septembre 2019 alors que je ne travaillais pas nous nous sommes croisĂ©s dans le parking au sous-sol oĂč il y a les box garage. Je venais de jeter la poubelle et je m'apprĂȘtais Ă  prendre ma trottinette pour aller faire une course. Il faisait bon ce jour encore bien chaud j'Ă©tais donc en tenue d'Ă©tĂ© une petite robe lĂ©gĂšre en dĂ©colletĂ©. Il a commencĂ© Ă  discuter avec moi me demandant si je souhaitais de l'aide pour ouvrir la porte de mon box. Je n'ai pas refusĂ©. Il m'a donc ouvert la porte. Je rĂ©cupĂšre ma trottinette. On discute et il me glisse si je peux me permettre vous ĂȘtes charmante cette robe vous va Ă  ravir ! $ đŸ€© $ đŸ€© $ 😁 Je le remercie de ce gentil compliment puis aussi de son aide. Et sans vraiment rĂ©flĂ©chir, je lui ai dis allez ça mĂ©rite un petit verre ou un cafĂ© ! Il m'a regardĂ© assez enthousiaste et m'a dit avec grand plaisir ! Je l'ai regardĂ© je lui ai dis euh vous pouvez maintenant ? Oui! Mon Ă©pouse travaille la journĂ©e je suis tout Ă  vous avec un petit sourire.... Alors on monte? Ok! Je vous invite chez moi! Et nous sommes montĂ©s comme 2 "gamins" tout contents. Je prĂ©pare donc des boissons. On se met sur le balcon....il fait bon. Heureusement que j'ai des protections cache vue!!!!! J'ai des petits transats on se pose dessus..... On.boit tranquillement puis je vois son regard filer sur ma poitrine. Je me rapproche pour voir s'il va tenter..... Et gagnĂ© ! Il pose sa main sur mon bras. Puis vers les seins..... Et c'est lĂ  que cette jolie histoire secrĂšte est nĂ©e !
Alors ce que je n'ai pas précisé c'est que je m'entend trÚs bien avec sa compagne. Je l'apprécie beaucoup. Nous discutons vraiment bien ensemble. Oui j'aime mon appartement je n'ai pas l'intention de ie quitter. De ce qui est de mon chéri nous n'avons pas de relation sérieuse et donc pas d'attache. Nous sommes trÚs discrets on se voit le matin comme je ne travaille pas actuellement, lorsque son épouse est partie et aussi l'autre voisine du palier avec sa fille qu'elle emmÚne à l'école. Je le rejoins chez lui ou lui vient chez moi. Oui je me suis attaché mais ça reste une relation secrÚte on s'en contente bien.
C'est d'autant plus moche. Mettez vous Ă  la place de son Ă©pouse.
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Ça ressemble as un jolie Fake et si ça n'en est pas un ça mĂ©rite pas vraiment de commentaires.
hommedesboiscreusois23 , le 9/11/2020
en plus j'ai a peu prés l'age du voisin..lol ! mais je n'ai pas de jolie voisine ...
Vous voulez une relation sérieuse avec lui ?
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ça ressemble au début d'une histoire érotique des années 90...
hommedesboiscreusois23 , le 9/11/2020
Et si c'etait vrai....moi j'aime y croire...na !
C'est une histoire drĂŽle! Par contre quand sa dame le saura... A vous de voir si vous aimez votre appartement, ça ne vaut peut ĂȘtre pas le coup
Et ça te fait mouiller de bien t’entendre avec sa femme pendant qu’il te lĂšche le minou le soir mĂȘme Et aprĂšs on dit que tous les hommes sont des salauds Ă  tromper leurs femmes


Ce couple dĂ©couvre que ses voisins ont coupĂ© en 2 un arbre partagĂ© parce qu’il dĂ©passait dans leur allĂ©e


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Les voisins, on ne les choisit pas toujours mĂȘme si on prĂ©fĂ©rerait ! Certains sont faciles Ă  vivre et plutĂŽt agrĂ©ables, d'autres tout l'inverse. 
Les querelles de voisins rĂ©sultent gĂ©nĂ©ralement d'irritations mineures, qui deviennent de plus en plus importantes avec le temps. Le bruit, une voiture mal garĂ©e... Ce couple de Sheffield est parvenu Ă  une solution assez radicale aprĂšs s'ĂȘtre opposĂ© Ă  ce que l'arbre d'un voisin empiĂšte partiellement sur leur allĂ©e.
Graham et Irene Lee, tous deux ùgés de 70 ans, ont coupé en deux un épicéa de 25 ans, selon leur voisin. Toutes les branches qui étaient de "leur cÎté" ont été coupées.
Pour l'heure, c'est l'aboutissement d'une petite querelle entre voisins. Bharat Mistry, 56 ans, a déclaré à Metro que ses voisins avaient demandé l'aide de jardiniers parce que les oiseaux dans l'arbre faisaient trop de bruit et laissaient des déjections dans leurs allées.
L'arbre était là depuis 25 ans et était taillé en boule. Maintenant, ce n'est qu'une demi-balle. Récemment, il y avait beaucoup plus d'oiseaux que d'habitude en cette période de l'année et les voisins en ont eu assez.
M. Lee a expliqué le week-end dernier qu'il avait lancé une demande pour faire abattre l'arbre et Mistry a demandé en vain de ne pas le faire. Lui et sa famille ont découvert avec horreur l'arbre coupé en deux.

"Nous étions absolument désemparés. Nous avons supplié et ne les avons pas suppliés de le faire, mais ils étaient déterminés. Cet arbre est tombé".

Il n'y avait pas grand-chose Ă  faire, car les voisins avaient le droit. Il n'Ă©tait pas question pour eux de parvenir Ă  un compromis. Avant, ils s'entendaient bien mais c'Ă©tait avant...

Les résidents de Sheffield viennent de loin pour voir l'attraction touristique improbable. Selon Metro, la famille Lee n'était pas disponible pour commenter.

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Candice prĂ©fĂ©rait Ă©viter les rapports de voisinages. Mais ça, c’était avant que le bel Hugo emmĂ©nage au sixiĂšme ! 
« Non ! T’as couchĂ© avec le voisin ! », hurlait mon amie Mel avec des yeux exorbitĂ©s et pleins d’envie. « DĂ©solĂ©e, mais je crois que oui », lui ai-je rĂ©pondu avec un petit rire narquois. Bien que trĂšs mariĂ©e, elle n’aurait pas refusĂ© de faire du « beau gosse du sixiĂšme » l’olive du Martini qu’elle Ă©tait en train de touiller avant de la croquer. Elle l’avait repĂ©rĂ© tout de suite. « T’es au courant que le sosie de Delahousse a emmĂ©nagĂ© juste en dessous de chez toi ? » m’avait-elle dit, surexcitĂ©e, en dĂ©barquant un soir. C’était il y a un an. A l’époque, je m’en foutais pas mal. Ce qui m’importait, c’était qu’il ait remplacĂ© ce couple d’hystĂ©riques avec qui j’avais l’impression de vivre tellement ils beuglaient fort (que ce soit au lit ou en cassant des assiettes).
Puis je l’ai croisĂ©, ledit Delahousse. Dans le hall. Dans les escaliers. Au local poubelles. Et j’ai tout de suite eu trĂšs envie de regarder le JT de France 2 ; mĂȘme si c’était plutĂŽt un Delahousse mixĂ© aux Shaka Ponk que je voyais chaque jour devant les boĂźtes aux lettres. Il avait une allure nonchalante et cette beautĂ© nĂ©gligĂ©e dont on sait qu’elle est lĂ , vraie et sans effort. Il semblait impertinent et Ă  contre-courant de tout (y compris du coiffeur). Quel charme ! On sentait une virilitĂ© puissante et torturĂ©e, mais une fragilitĂ© tout en douceur
 Bref, ce Delahousse rebelle et grungy me faisait un effet dingue.
Pourtant, il n’était pas question de le laisser dĂ©passer mon palier. C’était dĂ©jĂ  assez compliquĂ© avec les mecs qui habitaient dans la mĂȘme ville que moi alors, dans le mĂȘme immeuble, merci bien. Seulement, d’oeillades veloutĂ©es en sourires langoureux, on a commencĂ© Ă  se parler et inĂ©vitablement Ă  se rapprocher. Il s’appelait Hugo, avait 36 ans et Ă©tait le guitariste d’un groupe d’électro-pop. Un artiste
 Je rĂȘvassais sur mon sofa, les yeux au plafond, en me demandant ce qu’il pouvait bien faire, lĂ , plus bas, juste en dessous de moi. La machine Ă  fantasmes Ă©tait lancĂ©e. Il pouvait nous arriver de discuter une heure devant la porte cochĂšre ou parfois Ă  son Ă©tage. Tous les sujets y passaient sauf, bien sĂ»r, celui du couple et de notre situation respective. Nous laissions planer une dĂ©licieuse ambiguĂŻtĂ©. Autant dire que c’était fini, les dimanches matin en jogging et cheveux gras pour aller chercher mon journal et mes chouquettes. Je passais dĂ©sormais une heure dans la salle de bains, que j’aille bosser ou que je descende les poubelles. Je me surprenais Ă  le guetter. Lorsqu’il sortait, je feignais un rendez-vous urgent. Et, oh, pouf, quelle surprise ! Hugo ! Il fallait bien forcer un peu le destin puisque nous le laissions faire. Ma stratĂ©gie ne fonctionnait pas du tout : il ne se passait strictement rien.
Un soir, alors que j’ai cru entendre une voix de fille, j’ai carrĂ©ment Ă©piĂ© au sol, l’oreille posĂ©e sur un verre Ă  biĂšre retournĂ© sur le parquet (j’avais vu ça dans un film). En rĂ©alisant ce que j’étais en train de faire (n’importe quoi), j’ai dĂ©cidĂ© d’agir. J’allais le prendre en main, moi, le destin.
Le lendemain, j’étais devant sa porte, prĂȘte Ă  l’inviter sur ma terrasse pour un apĂ©ro oĂč on ne ferait pas que regarder les Ă©toiles. Sauf que, au moment oĂč je me suis lancĂ©e, j’ai constatĂ© qu’il n’était pas seul. Gros blanc. J’étais gĂȘnĂ©e. Lui aussi. La fille a rappliquĂ©. Ah, il voulait justement me prĂ©senter Tina qui allait emmĂ©nager chez lui. « GĂ©nial », lui ai-je dit. Ils Ă©taient ensemble depuis deux ans. Tina, c’était qui, celle-lĂ  ? Qu’elle s’achĂšte un prĂ©nom ! Comment avais-je pu me faire un film pareil ? Et dire que je me farcissais Vivaldi Ă  la guitare Ă©lectrique depuis des mois pour que monsieur s’entraĂźne et Ă©pate « Tina ». Mais quelle conne !
C’était mieux ainsi. DĂ©sormais, c’était leurs engueulades que je guettais. Et, secrĂštement, ça me faisait beaucoup de bien. Le soir de la FĂȘte de la musique, comme chaque annĂ©e, j’ai fait le tour des concerts du quartier. L’air Ă©tait doux, encore tiĂšde malgrĂ© les 2 heures du matin. Lorsque je suis rentrĂ©e, qui vois-je, comme un mirage, dans le hall, assis sur les marches ? Hugo avec sa guitare, Ă  la porte, sans clĂ©s ni tĂ©lĂ©phone. Il attendait Tina qui Ă©tait sortie de son cĂŽtĂ©. On a discutĂ© un moment. Il se faisait tard, j’étais fatiguĂ©e, alors, je lui ai proposĂ© de venir patienter chez moi. Sans arriĂšre-pensĂ©e, je le jure ; je m’étais fait une raison. Dans l’ascenseur, on s’est regardĂ©s intensĂ©ment. On pouvait entendre nos deux respirations s’accĂ©lĂ©rer. Lui comme moi avions dĂ©jĂ  compris quelle serait la suite du programme. Il prit mon visage entre ses mains et y dĂ©posa ses lĂšvres tout doucement. C’était chaud et parfumĂ©, le goĂ»t du bonheur. Je voulais y retourner. Ses doigts parcouraient ma nuque, mon cou, mes seins, chaque partie de mon corps frĂ©missait. Je me sentais chez moi, comme si nous nous connaissions depuis toujours. On s’est fixĂ©s Ă  nouveau en silence ; un instant suspendu avant la fougue. D’un coup, il me plaqua contre la paroi gauche de la cabine, prĂ©cisĂ©ment lĂ  oĂč se trouvent les boutons. Les portes s’ouvraient, l’ascenseur crissait, et moi je m’abandonnais aux caresses et aux baisers affamĂ©s d’un Hugo brĂ»lant. Je ne pensais Ă  rien d’autre qu’à cet appĂ©tit animal qui s’était emparĂ© de nous, le dĂ©sir boulimique de ceux qui ont attendu trop longtemps. 
Ça devait faire un bon quart d’heure que nous Ă©tions arrivĂ©s au septiĂšme (ciel) , mais le plaisir Ă©tait trop fort pour ĂȘtre stoppĂ© lĂ . La peur d’ĂȘtre surpris dans cet immeuble oĂč seuls les bruits sourds de la nuit tintaient dĂ©cuplait mes sensations. C’est encore haletants, le pantalon en accordĂ©on et la robe en l’air que nous nous sommes effondrĂ©s sur mon canapĂ©. Il m’a prise dans ses bras et a commencĂ© Ă  me cajoler avec une infinie tendresse. On a refait l’amour. Puis on a parlĂ©, rigolĂ©, Ă©coutĂ© de la musique. A aucun moment nous n’avons Ă©voquĂ© Tina. Comme si nous n’avions pas une minute Ă  perdre, cette nuit Ă©tait la premiĂšre, mais aussi peut-ĂȘtre la derniĂšre. Et on a encore fait l’amour, cette fois, dans mon lit. On aurait dit un vrai couple tellement nos gestes Ă©taient prĂ©cis et naturels. Pour vĂ©rifier que nos peaux parlaient vraiment bien le mĂȘme langage, on a recommencĂ© avant de s’endormir, Ă©puisĂ©s, au petit matin. Lorsque je me suis rĂ©veillĂ©e, il Ă©tait parti, mais des chouquettes m’attendaient sur le palier avec ce mot : « Magique ».
AprĂšs cette nuit torride, ce fut assez bizarre de se croiser en faisant comme si de rien n’était. Surtout en prĂ©sence de Tina. Je me sentais un peu bitch sur les bords
 mais je n’avais aucun regret. C’était notre nuit, notre secret. J’évitais quand mĂȘme de prendre l’ascenseur avec elle. Il fallait bien qu’on l’assouvisse, ce dĂ©sir, depuis le temps qu’il bouillonnait. D’autant que nous n’attendions plus rien l’un de l’autre dĂ©sormais. Cela avait Ă©tĂ© un moment hors du temps, complĂštement fou, mais il Ă©tait passĂ©. Je sentais toujours beaucoup de complicitĂ© entre nous, mais plus d’envie. Cette nuit, aussi dĂ©licieuse fĂ»t-elle, m’avait guĂ©rie de lui. Juste, maintenant, Ă  chaque FĂȘte de la musique, j’ai des images d’ascenseur plein la tĂȘte.
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