Cindy peut très bien se débrouiller seule
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Personnages
Premier Homme
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Wiki Barovia est une communauté de FANDOM appartenant à la catégorie Littérature.
Une arbalète légère et une dizaine de carreaux. Un glaive de qualité moyenne. Une robe brune à collet. Un sac à dos
Une brosse à cheveux. Des vêtements de rechange. Un couteau de découpe
Là littérature, les mathématiques, l'herboristerie, la médecine, la cuisine, la couture. Connaissances de différentes religions et divinités. Connaissance de l'histoire des premiers hommes. La pyromancie ( 21 ans) ainsi que la magie de soin (31 ans). La chasse, le tir à l'arbalète. Le maniement du glaive, le combat à main nue.
Parmis les premiers hommes repentis
Je ne saurais raconter ma naissance ou ma plus tendre enfance, avant mes 5 ans. Mais je peux vous garantir que je suis née sur les routes en Spirale, parmi une petite troupe de Premier homme repenti menant mainte croisade contre les hérétiques. J’y est comme chaque enfant, appris à marcher, parler, à écouter les règles et à croire en plusieurs religions et divinités. Étant une enfant, comme toute les autres, très influençable, je n’avais pas de mal à y croire mais aujourd’hui je sais qu’ils devaient raconter n’importe quoi.
À partir de 5 ans et durant une bonne dizaine d’années, ma mère passa beaucoup de temps avec moi sous notre tente à m’apprendre littérature et les mathématiques, nous avons commencé par la lecture avec des textes religieux. Il y avait beaucoup de mots compliqués alors je mettais plus de temps à apprendre mais cela me permis de rapidement pouvoir lire des choses plus faciles que ma mère m'écrivait. Ensuite nous passâmes à l’écriture, je n’éprouvais pas de difficulté mais n’y de facilité non plus, j’avais le niveau d’un enfant normal. Puis ensuite j’appris à compter, calculer avec facilité, j’aimais bien les mathématiques. Je nageais toujours dans le monde des routes, des croisades et de multiples religions.
Parmi ses années, à l’âge de 7 ans je commençais des apprentissages physiques avec mon père, il ne voulait pas au début mais j’insistais tellement qu’il finit par céder. Je faisais plusieurs entraînements pour augmenter ma force physique durant 6 mois pour pouvoir mieux porter des armes, redressement assis, pompe, course, soulèvement de poids et encore bien plus. Mon père voulait mettre toute les chances de mon côté de pouvoir les aider, car je n’étais qu’une fille, un être inférieur. Puis j’ai commencé à me battre contre d’autres enfants de notre groupe pour apprendre à me défendre, je me retrouvais souvent au tapis et subissent les reproches de mon père qui me disait que j’étais faible et faisait honte aux dieux. Puis à dix ans ma mère décida de m’apprendre la magie de soin pour que je puisse tout de même aider. Cela commença pas 2 ans de théorie intensive ou toute l’après-midi je passais à reconnaître les différentes blessures et comment les soigner tout en écoutant ma mère me dire comment le faire magiquement, cela ne m’intéressait pas beaucoup mais je faisais des efforts pour que mes parents soient fier de moi et que je puisse aider lors des croisades. Ensuite je passais à la pratique, il m'arrivait de m’évanouir ou de tomber malade après une trop grande utilisation, mais j’étais heureuse de réussir à soigner une blessure. Mon père lui me montrait dorénavant à me battre au glaive et à tirer à l’arbalète. Je me retrouvais parfois avec mon propre carreau dans le pied ou à me couper avec ma lame.
J’avais 16 lorsque que je participais à ma première croisade en temps que soutiens. J’avais continué mon apprentissage des divinités et des religions et je priais que les soldats ne soient pas blessés malgré qu’avec maintenant 4 ans de pratique je pouvais aider à leur soin sans mettre ma santé en danger. Malgré que je savais maintenant me battre et tirer à l’arbalète mon père et les autres hommes ne voulait pas d’une femme sur le front, cela portait soit disant malheur, mais au moins comme il disait, je pouvais me défendre. Tout se passait bien jusqu’à ce que je tombe face à face avec ce type, il était de ceux qu’on appelait les hérétiques. Il était envoyé par les familles pro-impériales du Sud que mes parents, moi et les autres membres de notre troupe souhaitais effectué lors prochaine croisade. Je ne sais pas ce qu’il lui passa par la tête mais celui-ci s’approcha et lança une potion fumigène sur le sol qui répandit un nuage de fumée aux yeux des blessés et des autres femmes présentes, il m’empoigna par le bras et avant d’utiliser une étrange magie qui se nomme la téléportation, prononça une phrase.
‘’Une honte pour notre nation fière que vous êtes. L’adolescente servira d’otage jusqu’à ce que vous rejoigniez le droit chemin.’’
Je me retrouvais alors directement projeter dans un nouveau monde où ce que je croyais être s’écroulait. Au début je vivais dans une petite cellule sous-terre, priant chaque jour des dieux pour qu’ils me viennent en aide et me fasse quitter cet empire. Je ne mangeais plus rien et ma santé dépérissait de jours en jours, alors l’homme qui m’avait emmené ici décida de me remettre droite et de m’élever comme j’aurais dû l’être à la naissance. Les discussions avec mon groupe et mes parents n’avaient mené à rien alors je n’étais maintenant plus d’aucune utilité, alors il a décidé de m’en donner une en me faisant rejoindres leur cause. Il engagea des professeurs d’histoires et de bonnes conduites, quand je revenais à mes origines et parlaient de religions ceux-ci sortaient le fouet et me battait. Je n’y mettais aucun effort pour apprendre leur culture qui n’était pour moi que hérétiques et dépourvus de sens. Mais n’étant qu’une adolescente faible mentalement il réussir à me faire un lavage de cerveau après près de 10 d’effort, je n’avais plus aucune fois en les êtres divins m’ayant lâchement laisser dans le crottin, je n’avais même plus confiance en mes parents. Je connaissais presque par coeur l’histoire de mon peuple que j'adorais maintenant. L’homme m’ayant conduit dans cet enfer portant le nom de Gua Baraë et pour éviter toute possibilité de rébellion de part, on me maria à cet homme qui m'effrayait au plus haut point. Mon mariage était beau, de soie blanche comme la neige, de présent d’une grande somme, de voeu de bonne chance dans l’avenir et pourtant ce jour marqua celui ou on me mit en cage, une cage aux barreaux dès plus dorés, cela est certain, mais tout de même en cage.
Commença alors pour moi à l’âge de 26 ans, la vie d’une petite épouse parfaite et l'apprentissage qu’une femme devait connaître à tout pris.
Avec ma belle-mère que j’aime bien pour sa sagesse j’appris la couture, la cuisine, l’herboristerie et continuait mes études en magie de soin. J’aimais bien la couture car cela me permettait de créer multiples choses à partir de rien et bien que je me piquait souvent les doigts au début, je réussis à m'améliorer. La cuisine me laissa plusieurs brûlures sur les mains, de l’eau bouillante renversée ou encore des plats immangeables mais de fil en aiguille ma cuisine devient mangeable et même succulente. Les plantes me réservait plus de surprise, j’avais du mal à retenir les noms, les effets, les endroits où elles poussaient, mais je devais avouer que j’étais intriguées et y m’était du miens pour tout retenir. La magie, je ne faisais que pratiquer pour s'améliorer, rien de bien épuisant mais qui permettait d’augmenter mon niveau et repousser l'épuisement et les maux de tête. J’avais aussi commencé l’apprentissage de la Pyromancie, pas par envie mais parce que cette magie était un peu le don familial de la lignée, chaque membre de celle-ci se devait de la maîtriser. La théorie durant quelques longues années, deux préciséments. Je devais travaillé sur ma sagesse et ma maîtrise de soi même. Je m’endormais souvent d'épuisement sur mes livres de cours. Après les deux années je commençais trois ans d’apprentissage pratique, je me brûlais les mains ou tombait inconsciente très souvent et au sort le plus petit mais j’avais tout de même un petit niveau.
Mon mari ne me portait pas grande attention, mais attendait de moi quelque chose de bien précis, une descendance à sa famille bourgeoise. Ce qui n’est jamais arrivé, en effet, nous avons remarqué que j’étais infertile et ne pouvait avoir de descendance. Il n’en fallu pas plus à cet homme pour me jeter dehors avec simplement un petit sac à dos de vêtements m’appartenant et ma brosse à cheveux. Je me retrouvais alors dans les rues, sans argent, sans endroit où aller, n’y ami et encore moins de famille.
Après quelques jours à dormir dans les rues, j’ai vu une affiche qui m'intriguait fortement, cela parlait d’un travail comme professeur de magie pour une jeune fille noble qui cherchait à apprendre une magie. Je me présentais pour le poste n’ayant pas grand espoir mais je n’avais rien à perdre. À mon étonnement, l’enfant m’aima bien et fut intéressé par la magie de soin que je possédais. Je commençais alors à lui apprendre la magie en échange d’un salaire correct, une dizaine d’écus par semaine et une chambre dans leur demeure. Je lui donnais six cours par semaine durant 3 heures, j’avais le reste du temps libre et j’en profitais pour pratiquer ma Pyromancie dans laquelle je m'améliorerais seule. J’avais aussi trouvé un autre petit travaille comme serveuse dans une auberge pour m’aider à gagner encore plus, j'aimais beaucoup ce deuxième métier qui me permettait de rencontrer différentes personnes. Durant près d’une dizaine d’années j’enseignais à l’enfant tout ce qu’il fallait savoir et cela était très amusant bien que compliquer car elle était une vraie petite chipie. Puis après avoir appris les bases pour se débrouiller seule, ses parents m’ont licencié en me remerciant des mes loyaux services durant autant d’années. Je décidais alors de faire autre chose de ma vie, avec mon argent j'achète une arbalète et un glaive seule arme que je savais à peux près manier, dit au revoir à mon patron à l’auberge et partie sur les routes du monde, j’avais envie de changement.
La cindy que j’étais devenue une femme des routes heureuse de sa nouvelle vie. J’appris sur les routes à remanier les armes en lesquelles j’avais déjà de vieille connaissance. Cela ne me pris que quelques semaines pour reprendre un petit niveau au glaive et un niveau correct à l’arbalète. Je rencontrais multiples personnes lors de mon voyage, homme, femme et enfant. Certaine d’entre eux étaient blessés et je les soignais eux me remerciant d’une manière ou d’une autre et un jour un homme me montra à traquer et chasser le petit gibier pour me remercier. Cela dura trois semaines intensives en pleine forêt. Il me montra à repérer les traces fraîches, combattre puis dépecer les animaux avant de reprendre chemin de son côté. Cela était peu mais me permis de m'améliorer par la suite seule. Je trouvais souvent plusieurs jours une proie avant de la trouver, puis avec le temps je la trouvais plus rapidement. De lapin tuer au glaive je passais au loup massacré au carreau, avec l’argent de mes récoltes j'achète un bon couteau de découpe qui me permit d’obtenir plus de qualité sur mes peaux. Je pratiquais mes magies, les flammes durait un peu plus longtemps et je ne m'évanouis plus avant de lancer quatre sorts. J'arrive finalement sur les terres de la Barovie, plus principalement dans une petite ville du nom de Barovia dans laquelle je compte bien faire une petite halte pour me reposer.
Cindy est une femme d’un cinquantaine d’année à l’apparence d’une adolescente de 14 ans mesurant 1m34 pour 45 kilos. Sa peau est d’un beige clair uni délicat marqué de quelques cicatrices de coup de fouet dans le dos. Ses yeux brun chocolat sont remplie d’une lucidité étonnante quand son âge est inconnu mais aussi d’une certaine mélancolie montrant que malgré qu’elle a perdu foie en ces dieux suite au lavage de cerveau et confiance en ses parents, elle regrette un peu sa vie d'antan. Sa longue chevelure bouclées blonde et ses grandes oreilles pointues lui donne un air de poupée très mignon qui se colle bien avec son caractère des premiers regards: Douce, calme, innocente, gentille et aimant rigoler. Pourtant elle n’est pas ce cela, elle est capable d’être une femme forte ne se laissant pas marcher sur les pieds, capable de se défendre et d’utiliser la lame sans crainte. Elle n’aime pas vraiment les enfants, ces petits êtres lui rappelant qu’elle ne pourra jamais donné naissance, mais elle les supportent sans rien dire. Une autre chose qu’elle n’aime pas vraiment, qu’on se moque d’elle.
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