Chloé cède facilement

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Chloé cède facilement

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Oui je sais, c'est rapide ^^ L'inspiration est venue après vous avoir prévenu que j'aurai bientôt un nouveau blog. Et voilà, maintenant c'est fait, il est ouvert. Et même si les premiers chapitres ne sont pas encore publiés, vous avez de la lecture. La présentation de la série et des personnages sont déjà en ligne. Car oui, ce sera une série ^^ Ce nouveau blog, je vous met le lien juste en dessous. Il porte le nom de la série, à un mot prêt. Et la série s'appellera... roulement de tambours... "The journey of life"... Quoi ? Vous vous en doutiez à cause du montage ? Oh ben zut... ma surprise est râtée ;) En tout cas ce nom se traduit par "Le voyage de la vie". Parce que la vie est un voyage et on ne sait jamais ce qui va arriver. C'est de ça que je vais parler dans cette série. Mais c'est aussi un titre à double sens. N'oubliez-pas, je vous tiendrez au courant de l'avancée de mon roman aussi sur ce nouveau blog. Et c'est en quelques sorte... le voyage de ma vie à moi ;) Du coup je pense bien avoir choisit ce nom, et j'espère vous y retrouver rapidement et savoir ce que vous en pensez. C'est nouveau pour moi, soutenez-moi, je compte sur vous et vos commentaires :) Je vous dis à tout de suite, et je vous fait des bisous JourneyOfLife https://journeyoflife.skyrock.com




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                                                              Chapitre 36 Lundi 11 mars 2019 Paris, France 16h56 Chloé recevait ses affaires aujourd'hui. Aubrey lui avait envoyé tous ses cartons par avion, et en une seule fois. Elle avait dut payé cher, mais au moins maintenant c'était fait. Et comme les huissiers avaient saisit l'appartement avec tout ce qu'il y avait dedans, Chloé n'avait rien d'autre que des cartons de vêtements, livres, ou DVD. Une petite camionnette louée pour la journée, suffit donc pour emmener toutes ses affaires jusqu'au studio. Mais quand elle posa le dernier carton au sol, elle ne put s'empêcher de se dire que ça prenait quand même beaucoup de place vu la taille de l'appartement. Il était temps qu'elle se trouve un job aussi, et qu'elle puisse apporter un salaire, pour qu'elles puissent louer quelque-chose de plus grand. Et puis pour elle aussi. Parce qu'elle n'allait pas rester longtemps à l'appartement à rien faire de ses journées pendant que Beca bossait au restaurant. D'ailleurs, comme le resto était juste en dessous du studio, il n'était pas rare voir de voir la brune débarquer pendant sa pause, ou même simplement pour aller aux toilettes. Car elle préférait de loin monter un étage et avoir des toilettes propres que d'utiliser ceux du resto. Du coup, quand la porte s'ouvrit et qu'une petite brune passa en courant, Chloé ne put s'empêcher de sourire, sans être vraiment surprise. - Bonjour mon ange ! Lança-t-elle à travers les murs d'un ton taquin. - Désolée ma puce, je fais que passer. J'avais vraiment besoin d'aller aux toilettes. Répondit la brune peu après. - Oui j'ai vu. Chloé souriait encore quand sa femme sortit de la salle de bain peu après. La brune s'approcha alors et lui vola un furtif baiser. - Faut que j'y retourne rapidement. - Pas de soucis. Je comprends t'en fais pas. - Merci d'être aussi compréhensive. - Oh s'te-plaît. Tu dis ça comme si c'était rare. Mais n'importe qui comprendrait que sa femme puisse avoir envie d'aller aux toilettes tu sais. - Je parlais pas de ça en particulier. - Je sais. Taquina la rouquine avec un clin d'œil. Alors Beca lui tira la langue, lui vola ensuite un autre baiser, et retourna au travail. Chloé la laissa partir naturellement, consciente qu'elle ne pouvait quand même pas l'empêcher de bosser. Encore moins en sachant qu'il n'y avait que son salaire qui les faisait vivre pour le moment. Et en se retrouvant seule, elle soupira en voyant la montagne de cartons qu'elle devait ranger. Heureusement, Beca lui avait laissé la moitié de la commode. Elle allait en avoir bien besoin, et encore... elle n'était pas sûre que toutes ses affaires rentre dedans. Euh... mais au fait j'y pense... Quand est-ce qu'Amy a trouvé le temps d'envoyer ses affaires à ma femme ? Et sans venir me rassurer et me dire qu'elle était vivante en plus ! Oh... j'en connais une qui me doit des explications. Rapidement elle regarda l'heure. 17H... donc 10h pile en Louisiane. Amy travaillait le plus souvent l'après-midi. Alors même si Chloé ne savait pas si c'était aussi le cas aujourd'hui, elle tenta quand même de l'appeler. L'australienne répondit rapidement. - Salut la rousse. Salua Amy au bout du fil. Quoi de neuf en France ? C'est bien Paris ? - Plutôt oui, mais tu peux m'expliquer un truc que j'ai du mal à comprendre ? Comment Beca a put recevoir ses affaires si ce n'est pas toi qui lui a envoyé ? Non parce que je suis sûre que ce n'est pas toi... si c'était toi, tu aurai sans doute eut la bonne idée de venir me dire que ma femme était en vie. Au lieu de me laisser déprimer pendant deux semaines. - Euh... En fait... c'est bien moi qui lui ai envoyé ses affaires. - Et sans venir m'en parler ?!? Tu savais dans quel état j'étais ! J'étais persuadée d'avoir perdue ma femme Amy ! Et tu m'as rien dis sur le fait qu'elle était en vie ! Je peux savoir pourquoi ? S'emporta la rouquine. - Parce que... - Je lui ai demandé de rien te dire. Chloé raccrocha sans donner d'explications à Amy et se retourna pour voir que sa femme se tenait face à elle. Beca avait un air navré sur le visage, et les mains dans les poches. - Mais... pourquoi ? J'ai du mal à comprendre là. - Parce que je suis parano. Qu'est-ce que tu veux ? J'étais persuadée que des hommes qui bossaient avec mon père, ou les flics.... t'avaient mise sur écoute. Pour intercepter un indice sur l'endroit où je me cachais. Je sais que c'est totalement, carrément ridicule. Je m'en rends compte maintenant. Mais sur le coup, après tout ce qu'on a vécu, j'ai pas trouvé ça si ridicule que ça. Et puis je me disais que dans tous les cas on se retrouverait parce que tu aurai mon message. Je suis désolée Chlo... je... j'ai pas vraiment réfléchis. Pas du tout même sur ce coup. Sur le moment, Chloé ne sut pas quoi répondre. En plus, elle ne pouvait s'empêcher de se demander pourquoi la brune était là et pas au restaurant ? Elle n'était pas encore en pause, et elle n'avait sûrement pas déjà envie de retourner aux toilettes alors qu'elle venait d'y aller. Mais une fois la réflexion sur cette question passée, la rouquine se rendit alors totalement compte de ce que venait de lui dire sa femme, et... - C'est pas si ridicule que ça. S'empressa-t-elle de rassurer en souriant. - Tu trouve vraiment ? Demanda la brune. - Oui. Comme tu l'as dis toi-même. Sur le moment, tu étais recherchée, par le F.B.I et les flics, pour meurtre du président. Et sûrement par les hommes de ton père. Alors... c'est normal que tu ai put penser qu'ils aient mise ta femme sur écoute pour parvenir jusqu'à toi... Enfin... tu as juste oublié un détail sur le moment... - Ouais je sais... Toi aussi ils te croient morte. - Ouais. Et je ne pense pas qu'ils mettent sur écoute des gens qu'ils croient mort. Ou alors... ce serai vraiment bizarre. Toi aussi ils te croient morte d'ailleurs. Donc ils ne te recherchent plus. Personne n'est sur écoute. Mais... dans l'euphorie du moment, tu venais de voir tes parents se faire tuer... je peux facilement imaginer que cette information te soit sortie de la tête un instant. - Et puis c'est le F.B.I qui nous croient mortes. Pas les hommes de mon père. Ajouta la brune comme pour se défendre un peu plus. - Pas faux. Et maintenant que j'ai la réponse à cette question... tu peux me dire ce que tu fais là et pas au resto ? - Ben je finis à 17h le lundi. - Ah oui c'est vrai ! Excuse-moi. Le lundi est ton seul service différent des autres. J'ai du mal à suivre. - Pas grave. Dis... j'ai entendu dire que le resto au bout de la rue cherchait une nouvelle cuisinière, ou un cuisinier. Et... il se pourrait que j'ai parlé de toi quand le chef est passé tout à l'heure. - Quoi ? Tu me vois vraiment en cuisine ? Alors que je parle pas un mot français ? - Tu sera en cuisine, pas au contact des clients. Et le chef parle très bien anglais. Il te traduira ce que tu dois savoir. Enfin... cela dit, ce serai pas mal que toi et moi on apprenne le français, ensemble. Surtout si on décide de vraiment y vivre. - Je me disais la même chose. Mais pour le moment, je veux juste un câlin de ma femme. - Je t'ai même pas dit pour ton entretien. - Tu me dira après, on a le temps. - Non justement. Il veut te voir ce soir. Et c'est un essai, pas un entretien. Il trouve que ça sert à rien et préfère voir directement ce que tu vaux sur le terrain. Je sais que je la prends au dépourvue mais... faut bien qu'elle bosse quand même. - Et je dois y être pour quelle heure ? - 18h. Tu accepte alors ? - Ouais. Tu sais que j'adore cuisiner. - C'est pour ça que j'ai pensé à toi. - Merci ma Beca. - Me remercie pas, je t'ai juste obtenu un essai. Si tu y arrive, ce sera uniquement grâce à toi. - Merci quand même. Et maintenant... sachant que je vais sûrement pas mettre une heure à descendre la rue... j'ai le temps pour un câlin de ma femme. Cette fois, la brune sourit et alla s'installer dans le canapé. Elle ouvrit les bras et sa rouquine vint aussitôt s'y blottir. Elles profitèrent d'un long moment calme et tranquille sur le canapé, seulement elles, leurs baisers, leurs caresses, et rien d'autre... Puis Chloé dut se rendre à son essai, le chef avait besoin d'elle pour le service du soir. Et comme le restaurant fermait ses portes à minuit, et qu'il y avait les comptes de la journée à faire après ça, elle ne rentrerait pas avant 1h du matin. Il lui laissa heureusement le temps de prévenir Beca, qu'elle ne s'inquiète pas en ne la voyant pas revenir aussi vite qu'elle le pensait. Alors la brune ne l'attendit pas pour manger, mais lui prépara quand même une assiette, au cas où. Et quand la rouquine rentra, elle trouva son repas de prêt et sa femme au lit. Mais comme elle avait déjà mangé, elle sourit simplement à l'attention et se mit en sous-vêtements avant de rejoindre sa brune sous la couette. Immédiatement, la brune alla se blottir contre elle. Chloé sourit et passa un bras autour d'elle et lui embrassa la tête. - Alors... cet essai ? Demanda la brune endormie. - Je commence dès demain. - Cool... Ce n'était pas que la brune manquait d'enthousiasme, ou qu'elle n'était pas fière d'elle. Mais elle était fatiguée, et Chloé le comprenait parfaitement. Alors elles se souhaitèrent une bonne nuit, et elles s'endormirent l'une contre l'autre. Demain, elles iraient toutes les deux travailler. Leur nouvelle vie pouvait vraiment commencer... Enfin.   « C'est à partir de toi que j'ai dis oui au monde. » ≈ Paul Eluard ( en parlant de Paris ) ≈  « Être Parisien, ce n'est pas être né à Paris, c'est y renaître. » ≈ Sacha Guitry ≈  « Le cœur de Paris, c'est une fleur. Une fleur d'amour si jolie. Que l'on garde dans son cœur. Que l'on aime pour la vie. » ≈ Charles Trenet ≈  « Sauver Paris, c'est plus que sauver la France... C'est sauver le monde... » ≈ Victor Hugo ≈  « Quand Paris est blessée... C'est le monde entier qui souffre avec elle. » ≈ Anonyme ( peu après les attentats du Bataclan ) ≈ 




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                                                           Chapitre 37 12 janvier 2020 Paris, France 19h52 La porte d'entrée se fit entendre et elle sourit en reconnaissant la voix de sa femme, qui pestait contre la pluie. Elle avait encore oublié de prendre un parapluie, malgré que Chloé lui ai clairement dit de prévoir le coup. Elle ne fut donc pas surprise quand elle vit Beca arriver dans la cuisine, trempée de la tête aux pieds. - Je t'avais prévenu ce matin. Fit la rouquine moqueuse. - Et j'aurai dut t'écouter... comme toujours. Admit la brune en souriant. - Viens-là que je te réchauffe. La petite brune ne se le fit pas dire deux fois. En voyant son épouse ouvrir les bras pour l'accueillir, elle alla s'y blottir sans attendre. Chloé referma ses bras autour d'elle, se fichant pas mal que Beca soit trempée. Elle aimait juste l'avoir dans ses bras. Et ce n'était pas quelques vêtements mouillés qui allait l'arrêter. Ce n'était que de l'eau après tout. - Tu as passé une bonne journée ? J'aurai aimé qu'on ai les mêmes jours de repos. - Bof... j'ai fais le ménage, préparé le repas, fais une tournée de linge... une journée banale quoi. Ça aurai été mieux si tu avais été là. - Et j'aurai préféré rester avec toi crois-moi. Ça m'aurait évité de finir trempée en plus. - Oh... ça dépend de ce qu'on aurait fait ça... Non... elle m'a pas manquée du tout... Mais le ton taquin, et rauque, de la rouquine ne laissait en fait pas le moindre doute sur ce qu'elle avait en tête. Et la brune ne put s'empêcher de sourire en le devinant. - Je suis pas trempée à ce point là non plus quand tu me fais l'amour... si ? - C'est déjà arrivé une ou deux fois... Se remémora la rousse, l'air rêveur. Je peux te le démontrer si tu veux. Chloé prit alors les lèvres de sa femme en otage sans lui laisser le temps de répondre. Elle faisait souvent ça, et Beca adorait quand elle le faisait. Pourtant, alors que la rousse commençait déjà à la caresser sous son haut, elle la repoussa gentiment. Un grognement de frustration se fit alors entendre et Chloé fit une grimace désapprobatrice. - Pourquoi tu m'as arrêtée ? Demanda-t-elle. - Parce que. L'avion d'Emily et Aubrey atterrit dans une heure souviens-toi. On va pas tarder à aller à l'aéroport. Rappela la brune. - Ah oui, c'est ce soir qu'elles arrivent. - Et oui. Cela faisait un an maintenant qu'elles vivaient à Paris. Enfin... un peu moins. Peut-être 10 mois. En tout cas c'était la première fois que leurs amies venaient leur rendre visite. Pourquoi ? Et bien parce que les filles attendaient d'être vraiment installées et de mieux connaître la ville avant de les recevoir. Et dans le studio où elles avaient démarré, il n'y avait pas assez de place. Heureusement depuis maintenant un peu plus d'un mois, elle vivait dans un appartement possédant deux chambres. Elles avaient donc la place pour accueillir leurs amies. Et elles parlaient assez bien français pour se débrouiller seules. Même si elles étaient toujours en train d'apprendre et, elles le savaient, qu'il leur restait encore beaucoup à apprendre. - On part dans combien de temps ? Demanda Chloé. - Euh... 20 minutes, ou moins si possible. - 20 minutes... c'est plus de temps qu'il m'en faut. Sur ces mots, la rousse prit la main de sa brune et la força à la suivre jusqu'au salon. Elle la fit tomber sur le canapé et alla se placer sur elle. Beca souriait et se mordait la lèvre en voyant sa femme retirer son haut. - Chlo... je sais pas si c'est une bonne idée... Murmura-t-elle. - Pourquoi ce ne serai pas une bonne idée de faire l'amour à ma femme qui vient de rentrer du travail et qui m'a énormément manquée ? - Parce que... tu sais que je vais vouloir te faire l'amour aussi... et des tas d'autres choses... on sera jamais à l'heure. Mais bon sang ce que j'en ai envie... - Et bien elles attendront. C'est la dernière fois que je peux t'entendre gémir avant qu'elles arrivent. Après, tu te retiendra pour pas faire de bruit. Pendant deux semaines ! Mais j'adore t'entendre moi... alors laisse-moi cette dernière fois... Et je te promet que tu le regretta pas. Ces mots, et le clin d'œil de sa femme, eurent raison de Beca qui lui céda totalement. Elle força elle-même sa jolie rousse à s'allonger sur elle, et l'embrassa avec passion. Chloé gémit alors contre ses lèvres, heureuse d'avoir eut gain de cause. Une heure plus tard, à l'aéroport - J'appelle Chloé pour lui demander où elles sont. Sur ces mots, et alors qu'Emily récupérait leurs valises, Aubrey sortit son téléphone et appela sa meilleure amie. Cette dernière décrocha au bout de la première sonnerie. - Hey Bree ! S'enthousiasma-t-elle au téléphone. - Salut Chlo. Dis, on devait se retrouver au truc où on récupère les valises, mais je te vois pas. - Euh... On est encore sur la route en fait. Mais on arrive. On est là dans 10 minutes. - Qu'est-ce qui s'est passé ? - Problème de train. - En voiture ? - Euh... - OK. Je crois que j'ai compris. Bon... ben à tout à l'heure alors. - Désolée... vous pouvez aller au Starbuck en attendant. On arrive. - OK. Bisous. - Bisous. Aubrey raccrocha et sourit à Emily. - Elles sont là dans 10 minutes. Mais le temps de trouver une place et de nous rejoindre ensuite. On a le temps de boire un truc. Expliqua-t-elle. - Embouteillage ? Demanda la brune. - Non. Envie subite. - Oh... Au début Emily pensa à un arrêt pipi, puis elle comprit. Oh ! Je vois. - Ouais. Je t'invite au Starbuck en attendant du coup. Souriante, Emily suivit alors sa blonde jusqu'au café, où elles s'installèrent pour attendre leurs amies au chaud. Et heureusement que les employés parlaient anglais, sinon elles auraient sans doute eut beaucoup de mal à commander. Et ce fut non pas 10, mais 20 minutes plus tard qu'elles virent Chloé et Beca passait la porte à leurs tours. Aubrey leur fit alors signe, histoire qu'elles ne cherchent pas trop longtemps, et les filles les rejoignirent. - Problème de train ? Vraiment Chlo ? C'est tout ce que t'as trouvé ? Taquina Aubrey en guise de salut. Tu aurai pu faire mieux. - Oui bon... Je savais pas quoi dire. Se défendit la rousse. - Je t'avais dis que tu étais pas crédible. Ça se sent à des kilomètres quand elle ment. La preuve. Pour ma défense, c'est entièrement sa faute. C'est elle qui a tout fait pour que je cède. - Il t'en a pas fallut beaucoup. Pas question que je sois la seule à porter le chapeau. - Les filles ! Vos histoires nous regarde pas. Et je sais pas comment se sent Emily. Mais personnellement je suis plutôt fatiguée, et j'aimerai bien prendre une douche. - Pareil. Affirma la plus jeune du groupe. Alors les filles décidèrent de rentrer pour que leurs amies puissent enfin se reposer. Avec le voyage, et le décalage horaire, normal qu'elles étaient crevées. Tellement en fait, qu'à peine arrivées, elles allèrent chacune leur tour prendre une douche avant d'aller au lit. Et même si Chloé aurait voulu passer un bon moment avec sa meilleure amie qui lui avait énormément manquée, elle comprenait. Et puis... elles auraient deux semaines pour rattraper le temps perdu après. Donc elle pouvait bien la laisser se reposer une soirée. - Je suis contente qu'elle soit enfin là. Commenta la rousse en rejoignant sa femme au lit.
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