Cette jeune femme blonde tue le temps avec son compagnon

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Cette jeune femme blonde tue le temps avec son compagnon

Affaire Elisa Pilarski: c’est bien le chien de son compagnon qui a tué la jeune femme

Selon des tests ADN, c’est bien Curtis, le compagnon d’Elisa, qui a tué cette dernière. La jeune femme de 29 ans, enceinte, avait succombé aux morsures du pitbull. Les chiens d’une chasse à courre présents sur les lieux ont donc été innocentés.

"Réalisés par un laboratoire d'expertise génétique, ces tests effectués sur les 67 prélèvements réalisés ont révélé avec certitude que seul l'ADN du chien de la victime était présent sur les plaies de cette dernière et à proximité" a affirmé l'association de vénerie.


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Une jeune femme de 29 ans, enceinte, tuée par des morsures canines lors d’une promenade en forêt le 16 novembre 2019 en France, a été tuée par le chien de son compagnon, selon les résultats des tests ADN effectués sur ce dernier. Les chiens d’une chasse à courre présents sur les lieux sont innocents.
«Les résultats des tests ADN confirment définitivement l’innocence des chiens» de la chasse à courre, et incriminent le chien Curtis, a affirmé la société organisatrice «Rallye la Passion», une conclusion confirmée par une autre source proche du dossier, dans l’attente de la publication par le parquet des résultats des analyses. Selon cette source, l’ADN de la jeune femme a également été retrouvé au niveau de traces de sang sur la babine de Curtis, au niveau de son oeil et de son harnais.
«Réalisés par un laboratoire d’expertise génétique, ces tests effectués sur les 67 prélèvements réalisés ont révélé avec certitude que seul l’ADN du chien de la victime était présent sur les plaies de cette dernière et à proximité. Les chiens du Rallye la Passion sont donc complétement innocentés et exonérés de toute responsabilité relative à l’accident», a précisé l 'association de vénerie dans un communiqué.
Le parquet, qui avait dans un premier temps indiqué que les résultats des tests pourraient être connus le 31 octobre, n’était pas joignable.
Le débat sur les animaux responsables de la mort de la jeune femme avait rebondi ce week-end avec la publication par le Rallye la Passion d’un rapport vétérinaire incriminant le chien Curtis, un American Staffordshire appartenant au compagnon de la victime.
Maitre Cathy Richard, l’avocate de la mère de la jeune femme, avait alors souligné à l’AFP le manque de familiarité entre sa fille et Curtis, alors que le couple «se connaissait depuis peu de temps».
Le parquet de Soissons avait rendu compte en début d’année de «deux incidents de comportement» de la part du chien après le drame. Une information judiciaire contre X est en cours pour «homicide involontaire par maladresse, imprudence, inattention, négligence ou manquement à une obligation de prudence (…) résultant de l’agression commise par des chiens».

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Une femme choisit de rester avec son compagnon condamné à huit mois ferme pour violence conjuguale



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Le tribunal correctionnel d’Auxerre statuait sur une affaire de violence conjugale, ce lundi. Le prévenu a écopé de huit mois ferme. Mais le couple compte bien poursuivre sa vie commune.
« Je préfère vous le dire. On va continuer de vivre ensemble. On s’aime. Personne ne le comprend, mais c’est comme ça. » À la barre du tribunal correctionnel d’Auxerre, ce lundi, un jeune Florentinois, devait répondre des faits de violence conjugale, commis en juillet dernier, sur sa compagne, mère de son enfant.
L’homme a reconnu sans détour s’être emporté devant l’infirmière de la Protection maternelle et infantile, lors d’un rendez-vous durant lequel sa compagne lui reprochait notamment sa forte consommation d’alcool. Il a reconnu aussi avoir ensuite, sous l’emprise de l’alcool, levé la main sur elle, une fois rentré au domicile du couple. Bien qu’il ait apporté, à l’audience, la preuve d’un prochain rendez-vous avec un médecin du centre médico-psychologique de Saint-Florentin, ce dernier n’a pas toujours suivi les obligations de ses précédentes mises à l’épreuve. « Mais là, c’est différent. Pour notre enfant, je veux me soigner et faire attention », a-t-il martelé, promettant de respecter les décisions du tribunal.
« Vous lui faites toujours confiance, malgré ses huit précédentes condamnations et cette nouvelle comparution pour des faits commis en état de récidive ? », s’est enquis la représentante du parquet, Frédérique Olivaux, auprès de la victime qui ne s’est pas portée partie civile. « Oui », a répété cette dernière. Deux fois.
Le prévenu était sous le coup de deux sursis. L’un d’eux, d’une durée de dix mois, a été à moitié révoqué. Le jeune a donc été condamné, au total, à huit mois ferme, le tribunal ayant suivi les réquisitions du procureur.
Vous pouvez envoyer cet article par email à vos amis.
mel a posté le 09 septembre 2014 à 17h05
Et un gosse au milieu de l'alcool, violence, service sociaux, tribunal, prison, médecin psych ... : on attends le drame irréparable ?
lizzie a posté le 09 septembre 2014 à 13h11
Je me rappelle de ce jeune homme au collège à l'age de 12 ans. Déjà fragilisé avec des soucis que d'autres jeunes ne connaissent que rarement. A-t-il reçu l'aide nécessaire de la société pour face à tout cela? Il était charmant mais désœuvré. Sa compagnon a du mérite car je pense qu'elle le voit à sa juste valeur.
??? a posté le 09 septembre 2014 à 11h18
On dit que l'amour rend aveugle , je vois que c'est le cas pour cette femme et je lui souhaite beaucoup de courage car elle en aura encore besoin .
Ouvrez les yeux a posté le 09 septembre 2014 à 11h10
Il ne faut pas se mentir à soi - même , mais un homme qui frappe une femme une fois , il recommence . Et là ce n'est pas la première fois ...
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Une femme blessée agonise sous les yeux de son compagnon





Une femme blessée agonise sous les yeux de son compagnon








Publié jeudi 23 octobre 2003 à 02:17








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L'odeur du cadavre a envahi l'immeuble avant que la police ne soit alertée par le concierge.
Souffrant d'une fracture ouverte à l'épaule, une femme a agonisé à son domicile de Saint-Jean jusqu'à ce que l'odeur nauséabonde de son cadavre alerte le concierge. Le compagnon de la défunte, qui a tenté de s'enfuir par la fenêtre lorsque la police a forcé le 11 octobre dernier la porte de l'appartement, aurait assisté à cette mort lente sans broncher. Inculpé d'omission de prêter secours, ce Neuchâtelois, âgé de 53 ans, a vu mardi dernier sa détention prolongée de trois mois par la Chambre d'accusation.
Le prévenu, un mécanicien actuellement sans emploi et sans domicile fixe, vivait apparemment une relation agitée avec la victime. Le couple était connu dans le quartier pour ses fréquentes disputes et ses problèmes d'alcool, a relevé la substitute Valérie Lauber lors de l'audience de la Chambre. Dans ses premières déclarations aux inspecteurs, l'homme a expliqué que son amie était tombée dans l'escalier. Grièvement blessée à l'épaule – elle gisait dans une mare de sang – la femme se serait traînée à genoux jusqu'au pied du lit où elle serait restée trois jours sans manger. Elle aurait ensuite rampé dans la salle de bains où son cadavre a été découvert dans un état de putréfaction avancé.
Pourquoi l'intéressé n'a-t-il pas appelé à l'aide? Il assure qu'il ne s'est pas rendu compte de la gravité de la blessure. Il lui aurait bien proposé d'appeler un médecin mais elle a refusé. Et lorsqu'il a constaté le décès, l'homme a préféré garder le silence de peur qu'on l'accuse d'un crime. Enfin, le prévenu ajoute n'être pour rien dans la chute de sa compagne. Elle marchait derrière lui dans l'escalier, ajoute-t-il.
L'enquête, menée par la juge d'instruction Carole Barbey, ne fait que commencer. Le rapport d'autopsie doit encore être déposé, même si les premières constatations font état d'une importante hémorragie due à la fracture. Mis à part les déclarations de l'inculpé, on ignore encore tout des circonstances entourant cette macabre histoire. L'ex-mari de la victime a toutefois déclaré aux policiers qu'il était passé à l'appartement le 2 octobre déjà – soit une semaine avant la date supposée de la chute selon le prévenu – pour lui souhaiter un joyeux anniversaire. A cette occasion, la femme n'aurait pas ouvert et crié à travers la porte: «Je suis immobilisée mais il veille sur moi.»
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