C'est pas une fête tant que le sperme ne coule pas

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C'est pas une fête tant que le sperme ne coule pas
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On vous appelle mères ou pères "sociaux", vous nous avez raconté votre expérience de parent, mais surtout votre désespoir de ne pas être exister légalement. "C’est moi qui lui caressais la joue la 1re fois. Lire l'enquête de M Le magazine du Monde en kiosque dès vendredi 23 novembre ou en édition abonnés.
Je vis depuis 10 ans une relation amoureuse qui me comble. Nous nous respectons, nous partageons des valeurs, nous sommes soucieuses de l’épanouissement de chacune, nous nous soutenons. Nous avons la même vie que des milliers de couples. Alors comme eux, nous nous sommes dit qu’une belle et saine relation est le socle pour fonder une famille.
Normalement, nous aurions dû arrêter notre réflexion là et faire un enfant ! Mais parce que nous sommes un couple de femme, nous nous sommes posées des centaines de questions : Avons-nous le droit d’avoir un enfant ? Est-ce que nos parents vont reconnaître notre enfant comme un membre de la famille? Ne sommes-nous pas égoïstes ? Quel statut, quelle reconnaissance pour le deuxième parent?
Au mois d’août de cette année ma compagne a accouché de notre fils après 5 tentatives d'IAD en Belgique. Aujourd’hui, je sais que les gens qui nous ont accompagné sur le chemin de la parentalité, qu’ils soient frère, sœur, personnels hospitalier, employeurs, sages-femmes ont été respectueux de ma position de second parent. Je sais également qu’au regard de la loi je ne suis rien pour mon fils. C’est douloureux, alors je me raccroche à tout ce qui nous lie. Je n’ai pas ma place dans son livret de famille mais c’est moi qui ai fait la déclaration de naissance en mairie. Il ne porte pas mon nom mais c’est moi qui l’ai inscrit à la crèche. Je ne peux pas prendre de décision le concernant mais c’est moi qui lui caressais la joue la 1è re fois. Je suis sa maman.
Bonjour, je m'appelle Marina, je suis la "mamou" de Clément 15 mois. Nous élevons notre fils avec deux papas.
Au quotidien, il n'y a pas,à ce jour de problèmes majeurs, sur le fait que je ne suis pas sa mère biologique, sauf peut-être le fait que nous tâchons d'être très claires et explicites sur la "famille de Clément" auprès de tous ceux et celles qui sont de près ou de loin en contact avec lui.
En ce qui me concerne, je garde tout ce que qui me lie à lui. Toutes les factures et tickets de caisse, tous les papiers le concernant. Car à ce jour, en cas de séparation d'avec ma compagne, je n'existe pas pour lui du point de vue légal et juridique. Il me faudrait entamer une procédure prouvant quel rôle j'ai joué depuis sa conception à ce jour. J'espère qu'avec le mariage, je vais pouvoir adopter mon fils.
Je suis la maman d'un jeune Ferdinand de 10 ans. Enfin, pour lui, pour moi, pour sa maman "biologique", pour mes autres enfants, pour ma famille, pour l'école, pour le médecin, pour les amis, mais pas pour l'Etat. J'étais là lorsqu'on a eu l'envie d'avoir un enfant, dans un projet de couple tout ce qu'il y a de plus banal, sauf qu'il a fallu aller à l'étranger pour concrétiser ce désir.
J'étais là lorsqu'il a été conçu, j'étais là lorsqu'il est né, j'étais là lorsqu'il est arrivé à la maison, j'étais là lorsqu'il avait de la fièvre, lorsqu'il a fait ses premiers pas, lorsqu'il a parlé, lorsqu'il a eu sa première étoile, lorsqu'il est rentré à la communale, ... et je suis toujours là ! Aujourd'hui sa mère et moi sommes séparées, mais nous pratiquons la garde alternée, et habitons le même quartier.
Notre vie est celle d'une famille comme les autres, sauf que Ferdinand a deux mamans. Cela nous parait à tous, et à de nombreuses personnes qui nous entourent, tout à fait normal. On aimerait juste, tous autant qu'on est, que la loi nous reconnaisse le lien qui nous unit depuis sa naissance. J'aimerais aussi qu'il puisse accoler mon nom à celui de sa mère, mais ça, je ne crois pas que ce soit déjà prévu par la loi. En ce qui nous concerne, nous sommes sur les starting blocks : dès que la loi sera votée, nous nous présenterons pour demander que ma parentalité soit reconnue (l'idée de l'adoption, en ce qui me concerne, me parait saugrenue. C'est déjà mon enfant.
Avec mon compagnon, avoir des enfants était viscéral. Nous avons tenté de le faire en co-parentalité (avec des couples de filles) puis avons abandonné ce projet au bout de deux années. Nous nous sommes tournés vers une maman de naissance (donneuse et porteuse).
Mon compagnon a donné son sperme et nous avons eu des jumeaux. Depuis leur naissance, chaque minute passée avec mes enfants a attaché un fil d'amour de mes tripes aux leurs. Ils sont la chair de ma chair. Leurs tourments sont les miens, leur bonheur le mien. Ma voix, mes bras, mes mots, mes regards, mes gueulantes, mes blagues, nourrissent leur âme chaque jour. Leurs vies à l'école sont mon roman du soir, leurs mots sont ma nourriture, leurs câlins sont mon moteur. Leurs besoins et leurs demandes orientent ma vie. 2000 ans de religions qui nous ont réduits à l'état de déviants pervers méprisables. La République qui jusqu'en 1981 nous a considéré comme des malades. l'inconscient collectif qui ne comprend même pas l'apartheid dans lequel les homosexuel(le)s sont plongés. Aujourd’hui nous sommes une famille. Ceux qui côtoient notre Famille : famille, amis, copains, voisins, collègues, écoles, médecins, hôpitaux s'en rendent pleinement compte.
Mais si mon compagnon devait décéder, malgré une tutelle testamentaire, le maintien de mes enfants à mes côtés serait pendu à la décision d'un juge. Ils perdraient un de leur parents et on risque de les arracher au second. Je perdrai mon compagnon et la chair de ma chair.
Notre fils est né le 28 janvier 2009. J'aurais aimé le porter mais la vie en a décidé autrement en me collant à la place un cancer de l'utérus qui m' a enlevé tout espoir après 9 tentatives d'IAD. Ma compagne a pris le relais et après d'innombrables voyages en Belgique, nous avons pu goûter au bonheur d'être parent. Nous avons mis dans ce projet (on ne parle plus de désir d'enfant mais de projet lorsque l'on est homo) de la sueur, des larmes, du stress, de la douleur. Nous y avons consacré des années. Nous y avons laissé des milliers d'euros.
Nous avons perdu des amis tellement nous ne vivions plus que pour ce projet. Mais qu'importe, c'est le passé. Même si mon sang ne coule pas dans les veines de notre fils, mon combat (pour que je sois encore là), mon acharnement (pour qu'il soit là aujourd'hui), ma présence, l'amour et le respect que je lui porte, ma dévotion totale sont les seuls témoins du lien qui nous unit.
Nulle trace de mon nom sur les documents officiels. Pourtant à l'école, tout le monde me connait. J'ai même eu droit à une fête des manous le jour de la fête des pères. Je signe le cahier d'école. Je vote aux élections des parents d'élèves. Tout cela s'est fait naturellement. Normalement. Oui mais voilà mon bonheur est fragile tant il repose sur du vide. Tant ma situation est précaire au regard de la loi. Ma consolation : lorsque notre fils m'appelle maman au lieu de manou. Pour lui, c' est clair, il a 2 mamans.
Notre fils grandit, heureux et joueur comme beaucoup d'enfants. Le mariage, l'adoption, oui évidemment, mais surtout un environnement sécurisé et serein pour l'enfant et sa famille. Mon conjoint est absent, je veux le rejoindre à l'étranger; qui suis-je? Je veux rendre visite à mon enfant à l'hôpital; qui suis-je? Je veux transmettre à mon fils; qui suis-je ? Je refuse une longue procédure d'agrément pour obtenir un tampon "bon pour être parent" et adopter mon fils, marre de chercher des artifices comme la délégation d'autorité parentale, de monter des testaments sordides pour protéger tous les membres de ma famille.
Je suis père entièrement, pleinement, normalement, avec un plaisir immense. Ce projet de vie a été mené à 2, en couple, après 20 ans de vie commune, muri et attendu longuement. Je souhaite simplement une reconnaissance légale de nos familles.
Quelle différence entre mon petit garçon de 2 ans et demi et mon bébé de 8 mois... l'un a les yeux verts, l'autre les yeux bleus. Le premier suce son pouce, le second non. Ah oui, j'oubliais, le premier n'est pas sorti de mon ventre, mais le second si.
L'amour que je porte à mes deux garçons est identique, absolu, profond. Maternel tout simplement. Mon employeur estime que j'ai 2 enfants, mais également la CAF, le trésor public, notre pédiatre, notre banquier, la crèche, et bien sûr, nos voisins, tous nos amis, toute notre famille. Seul le législateur est à côté de la plaque. "Plus pour lontemps" espère notre petite Famille avec un grand F.
Delphine, 42 ans, maman d'une sublime petite Zoé, 18 mois, portée par ma compagne, Céline, 38 ans. Nous sommes pacsées et ne sommes reconnues comme famille qu'en matière fiscale et de droits sociaux vis à vis des impôts, du coût de la crèche, de l'absence d'aide sociale. 
Sans filiation reconnue dans le cadre du pacs, sans droit au mariage reconnaissant la filiation, Zoé a moins de lien juridique avec moi que mes neveux, que je ne vois qu'une fois par mois et qui ont deux parents. Si nous nous séparons avec Céline, mon lien avec Zoé serait totalement soumis à la bonne volonté de Céline, ce qui place ma parentalité dans une complète précarité affective, morale et matérielle. Zoé est par la loi privée d'une maman. Elle est discriminée, sous protégée.
Pourtant, chaque jour je prends soin d'elle. Je dis "notre fille" car elle est née de notre projet, grâce à un don de sperme, comme pour un certain nombre d'hétérosexuels. Beaucoup d'enfants nés de pères stériles ignorent que leur père juridique n'est pas leur père biologique . Zoé saura, elle, que sa naissance a été conditionnée par un don : elle ne sera pas dans l'ignorance ou la fiction de ses origines. 
Mon amie, avec laquelle je vis depuis maintenant 7 ans, est espagnole. Nous avons donc pu nous marier en Espagne. La France ne reconnaît évidemment pas ce mariage, mais le fait que mon amie ne soit pas célibataire aux yeux de la loi de son pays nous empêche de nous pacser en France ! Vous avez bien compris, la France ne reconnaît pas mon mariage (pour les impôts, pour acheter une maison...) mais dans le même temps, elle ne me laisse pas me pacser avec la femme avec laquelle je suis mariée.
Nous avons une petite fille de 2 ans 1/2 qui a été conçue par insémination artificielle avec donneur anonyme à Bruges, en Belgique. Mon amie en est la mère biologique et donc légale aux yeux de la France. J'ai pu adopter ma fille en Espagne, où elle porte désormais nos deux noms (en Espagne, les enfants portent le nom de famille de leurs deux parents). En France, nous n'avons malheureusement toujours aucun papier le prouvant (pas de trace de l'adoption sur son acte de naissance français par exemple) car les délais sont très longs lorsqu'il s'agit d'une adoption dans un pays étranger. Je suis la mère de ma fille. Nous avons décidé de la concevoir ensemble et je m'en occupe comme n'importe quel (bon) parent depuis toujours. Aujourd'hui, je suis en plus assistante maternelle, et je m'en occupe donc pleinement. Je demande simplement les droits qui correspondent à mes obligations et à mes responsabilités en tant que parent.
Je m'appelle Cathy et je vis à Paris avec Béatrice depuis 12 ans. Très rapidement nous avons parlé d'avoir des enfants. Pacsées en 2000 nous nous sommes dépacsées en 2006 pour pouvoir adopter. L'adoption, les enfants sont un projet en commun même si pour beaucoup de démarches je ne peux aider mon amie et on le sait, toutes ces démarches administratives sont très très laborieuses.
D'un autre côté je devais rester dans l'ombre, pour les visites d'assistantes sociales avant et après l'agrément. Je ne suis pas partie non plus avec elle chercher notre premier enfant en Haïti en 2009 ni le second en 2011 en Guinée.
Socialement nous ne cachons pas notre famille homoparentale, nous sommes allées ensemble inscrire l'aîné à la maternelle sans soucis, en revanche je ne peux pas adhérer à la FCPE. Ce fût ma première "claque" lorsque la directrice est venue vers moi pour m'annoncer que n'étant pas la maman "officielle" je ne pouvais donc pas faire partie de la FCPE.
Je me suis sentie accablée, abasourdie et très chagrinée. Les parents ont été scandalisés. Mon fils aîné veux porter mon nom, il m'en parle toutes les semaines et chaque fois ça me fend le cœur. Si un problème arrivait à mes enfants lorsque ma compagne est en déplacement, je pourrais me retrouver coincée à l'hôpital par exemple. Il faudrait que ce problème aussi disparaisse avec le mariage homosexuel, le mariage pour tous.
Maman sociale d'un enfant que je ne vois plus depuis plus de 3 ans, Je tiens à vous apporter mon témoignage. Avec mon ex nous avons décidé de fonder une famille, notre enfant est né d'une insémination artificielle avec donneur en Belgique et nous l'avons elevé au sein d'une famille aimante et attentionnée. Nous nous sommes séparées trois ans plus tard une séparation conflictuelle.
Alors que l'important est son équilibre, la droit de connaitre son histoire, je dois me battre pour faire prouver ma place qui pourtant est évidente.
Pendant ce temps, la maman biologique fait tout son possible pour que l'enfant m'oublie et lui présente sa nouvelle compagne comme sa 2 e parente. Des séparations conflictuelles, il y en a partout, autant chez les homos que chez les hétéros. Mais que vient faire la sexualité des parents dans un débat si légitime?
Devoir prouver sa place est une perte de temps alors qu'il serait si simple qu'elle soit reconnue dès le départ. Ce temps devrait plutot servir à défendre l'enfant. Mon enfant est maltraité psychologiquement, il est victime d’aliénation parentale et personne ne bouge car je ne suis pas légalement reconnue, je me trouve impuissante face à un système judiciaire archaïque.
Dans une première vie, faisant abstraction de mon homosexualité, je me suis mariée et j'ai réalisé mon rêve : avoir 2 enfants, fille et garçon. Ma nature m'ayant vite rattrapée, j'ai divorcé et rencontré en 1992 l'amour de ma vie, une jeune femme de 20 ans ma cadette. Comme moi et comme de nombreuses femmes, elle rêvait de famille et d'enfants.
Avec mon accord, puis mon soutien inconditionnel, nous avons effectué notre parcours du combattant. La Belgique a étudié notre projet de couple, l'a validé et nous a permis de devenir les parents de Perrine, 9 ans et Benoît, 7 ans.
Je suis officiellement la marraine des enfants. Aucune ombre au tableau sur le plan relationnel et affectif, mes grands enfants sont très attachés aux petits. Pas de problème non plus sur le plan logistique : je suis retraitée je peux consacrer du temps aux devoirs, aux activités sportives et artistiques.
Mes finances, mon temps et mon amour sont donnés sans compter pour ces enfants que je considère comme les miens. Notre transparence est totale : chaque enseignant, éducateur, parent des petits copains me considèrent comme le 2 e parent.
Notre vie pourrait être simple et sereine s'il n'y avait ce gouffre juridique abyssal qui fait que, malgré ma présence dans tous les compartiments de notre vie, je ne suis rien ni personne.
Aucune légitimité devant l'administration, l'école, l'hôpital. Aucune possibilité de prendre des décisions dans l’urgence, aucune sérénité sur l’avenir en cas de disparition de la maman légitime. Je ne demande pas une révolution, je suis bien placée pour savoir que le changement réclame patience, réflexion et progression.
Je voudrais un mot, un texte, un statut, une officialisation, bref quelque chose qui fait que j’existe. Face à la barbarie présente au quotidien dans l’actualité, nous ne nous sentons pas vraiment comme une menace pour l’humanité, nous ne réclamons que le droit à l’existence.
Lire l'enquête de M Le magazine du Monde en kiosque dès vendredi 23 novembre ou en édition abonnés.
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