C'est mieux deux mecs

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C'est mieux deux mecs

Silvia Galipeau
LA PRESSE

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Que celui qui n'a jamais eu le moindre écart de conduite jette la premiÚre pierre. Tous les jours, une femme trompe un homme; un homme, une femme, et parfois, pour mille et une raisons, s'installe une relation. Une relation secrÚte, en cachette. Une double vie.
Officiellement, ils sont ensemble depuis 14 ans. Officieusement? 38. Faites le calcul: ils ont donc vĂ©cu plus de 20 ans dans le secret, l'illĂ©gitimitĂ©, mais surtout, l'amour. RĂ©cit d'une double vie oĂč la passion a eu le dessus sur la raison.
Non, leurs 24 annĂ©es n'ont pas Ă©tĂ© de tout repos. Oubliez le long fleuve tranquille. Il y a eu des ruptures, des dĂ©chirements, des retrouvailles aussi. Mais toujours, une certitude: ils s'aimaient. À la folie. Incapables de se passer l'un de l'autre, mĂȘme si la raison et la sagesse leur dictaient clairement de se sĂ©parer. De s'oublier.
On comprend que les deux baby-boomers, bronzĂ©s, heureux, visiblement amoureux, aient prĂ©fĂ©rĂ© taire leur identitĂ©. Pas parce qu'ils ont honte, tout le contraire. Ni parce qu'ils veulent cacher quoi que ce soit. MariĂ©s depuis cinq ans, ils vivent dĂ©sormais leur amour au grand jour. Mais pour les enfants. Leurs enfants. Parce qu'ils en ont eu. Et si tout le monde s'entend aujourd'hui, entre les fils de l'ex et la fille de la maĂźtresse, l'Ă©quilibre est encore fragile. D'oĂč l'importance de le protĂ©ger.
Rencontrés dans leur coquette maisonnette de la Rive-Sud, les deux tourtereaux ont accepté de nous faire le récit - anonyme, donc - de leur double vie. Et c'est avec un plaisir évident qu'ils se remémorent leur premiÚre rencontre, leurs premiers émois.
«Je ne m'attendais pas pantoute à ça!»
Il faut dire qu'ils venaient de deux mondes. Deux univers. Deux milieux complĂštement opposĂ©s. Lui: un riche homme d'affaires, Ă©duquĂ©, mariĂ©, pĂšre de deux jeunes enfants. Elle: serveuse, cĂ©libataire, avec une 7e annĂ©e. «Mais j'ai une belle personnalitĂ©!» souligne-t-elle en riant. Ils auraient pu (dû ?) ne jamais se croiser. Mais lors d'un aprĂšs-midi de golf (oĂč monsieur jouait, madame travaillait) tout naĂŻvement, ils se sont mis Ă  jaser. Et ça a cliquĂ©. 
«Ça a fini dans un bar, Ă  5 heures du matin...»
Non, madame ne savait pas que monsieur était marié. Comment aurait-elle pu deviner? Au deuxiÚme rendez-vous, il a fini par tout lui avouer. «J'étais trÚs déçue», se rappelle-t-elle. Elle se souvient d'avoir «tout garroché» à table («est-ce que la bouteille était tombée par terre?»), mais le mal était fait. «Je savais que j'étais déjà embarquée...» Amoureuse, par-dessus le marché.
Quelques semaines plus tard, coup de thĂ©Ăątre. Alors qu'elle croyait ne jamais ĂȘtre capable d'avoir d'enfant, verdict de mĂ©decin, madame tombe enceinte.
«J'étais la plus heureuse du monde! Je voulais tellement avoir un enfant!»
Non, monsieur n'a jamais, le moindre instant, songĂ© ici quitter sa femme pour sa maĂźtresse. Jamais. MĂȘme s'il l'appelait tous les jours, mĂȘme s'ils se voyaient plusieurs fois par semaine (en prenant soin d'Ă©viter sa Rive-Sud, privilĂ©giant MontrĂ©al et Laval), en prĂ©textant des rendez-vous tardifs, boulot oblige, le divorce ne lui est «jamais passĂ© par la tĂȘte».
«J'avais une femme, deux enfants, une vie bien remplie. [...] Je ne me posais pas trop de questions, mais je savais que je ne pouvais pas me passer d'elle.»
Et il ne se le cache pas: monsieur avait ici le meilleur des deux mondes. «Absolument», reconnaĂźt-il. «Et moi, je me serais sentie coupable s'il avait quittĂ© sa femme. Ça faisait mon affaire, aussi, d'ĂȘtre libre...»
Alors oui, pendant longtemps, «je les ai aimĂ©es les deux», reprend monsieur. MĂȘme si, de toute Ă©vidence, la connexion sexuelle Ă©tait trĂšs forte avec sa maĂźtresse, «beaucoup, oui, beaucoup», conviennent-ils en pouffant comme des enfants.
Du coup, monsieur a vĂ©cu «la double vie», se comportant en bon pĂšre de famille (le genre de papa qui coache l'Ă©quipe de hockey de son gars), tout en assistant, en parallĂšle, Ă  l'accouchement de sa maĂźtresse, au baptĂȘme de sa fille, mĂȘme Ă  sa premiĂšre communion.
Mais la relation a été tumultueuse. Contexte oblige. Plusieurs fois, ils se sont quittés. Pour mieux se retrouver.
«Si ça n'avait pas été de la petite, probablement qu'on n'aurait pas fini ensemble. Mais la petite a toujours été là. Et ça nous a rapprochés...», souligne monsieur.
Évidemment (ça devait arriver), sa femme a, un jour, tout compris: l'existence d'une «deuxiĂšme» femme, d'un autre enfant, d'une deuxiĂšme vie, quoi. Et mĂȘme si ça a «bardé», monsieur est restĂ©. À un dĂ©tail cocasse prĂšs: s'il est restĂ© chez sa femme, il y a accueilli, en prime, sa fille. Oui, la fille de l'autre. Sa mĂšre, la maĂźtresse, est partie vivre sa vie dans son Nouveau-Brunswick natal. Deux ans, il a vĂ©cu ainsi avec ses fils et sa fille, toute la gang sous le mĂȘme toit. Non, ça n'Ă©tait pas nĂ©cessairement toujours l'harmonie, mais ça a permis de tisser des liens. La preuve: aujourd'hui, sa fille et ses fils ont une belle «complicité». «Avec ses frĂšres, c'est merveilleux», dit mĂȘme madame.
Et puis, un beau jour, monsieur a fini par se rendre compte qu'il n'Ă©tait plus heureux. «Je n'Ă©tais pas bien. Pantoute . Ça a Ă©tĂ© une pĂ©riode vraiment pas l' fun ...» Sa femme a fini par le mettre dehors - ou est-ce lui qui a proposĂ© de partir? Peu importe. Toujours est-il qu'il est allĂ© directement chez sa maĂźtresse («la meilleure dĂ©cision de ma vie!») et qu'ils ne se sont plus jamais quittĂ©s depuis.
«Mais moi, je n'Ă©tais pas prĂȘte! J'ai capotĂ© ben raide.» Les deux pouffent, se souvenant de leurs premiers moments ensemble en toute lĂ©gitimitĂ©. 
Et puis, il y a cinq ans, les deux amoureux se sont mariĂ©s. Avec deux tĂ©moins de choix: un fils d'un cĂŽtĂ©, une fille de l'autre. «J'ai toujours su que c'Ă©tait lui. Je me suis toujours dit: à 50 ans, je vais ĂȘtre avec un homme et il va me faire rire. Et c'est Ă  50 ans qu'on a finalement Ă©tĂ© ensemble.»
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Louis* aime les femmes, mais les trouve compliquĂ©es. Il multiplie les aventures avec les hommes, mais ne les aime pas. Vous suivez ? RĂ©cit d’une vie en dents de scie. Au dĂ©nouement malheureusement dĂ©cevant.


Lydia* a eu beaucoup de relations dans sa vie. À rĂ©pĂ©tition. Et du sexe Ă  foison. De l’amour ? Pas tant. Et elle est « tannĂ©e ». Entretien avec une monogame en sĂ©rie en grande rĂ©flexion.


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Pour dĂ©stigmatiser l’affaire et surtout sensibiliser le public Ă  l’importance de la chose, le Club Sexu propose la semaine prochaine un festival pour le moins inusité : le DĂ©pistaFest, festival de dĂ©pistage des ITSS (infections transmissibles sexuellement et par le sang).


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Non, ne s’improvise pas dominant qui veut. Encore moins expert en nƓuds. Le BDSM est une pratique qui s’apprend, avec des rùgles, des codes, et surtout des limites à respecter. Un mode d’emploi, quoi. Sauf que jusqu’ici, ce mode d’emploi n’existait pas.


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Vérifié le 15/03/2022 par PasseportSanté
Tout d'abord, il pense savoir que son entourage sait qu'il se masturbe ; ensuite, il Ă©prouve des difficultĂ©s Ă  considĂ©rer comme valorisantes ses pratiques masturbatoires ainsi que les stimuli qu’il Ă©tablit et qui sont nĂ©cessaires Ă  l’atteinte de l’orgasme ; enfin, il peut percevoir la masturbation comme un « comportement d'incompĂ©tent », dĂ©montrant qu'il est incapable de conquĂ©rir une fille.
Sexual Behavior in the Human Male, Alfred Kinsey
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La masturbation masculine, tout comme fĂ©minine, est une pratique sexuelle essentielle Ă  l’épanouissement et au bien-ĂȘtre sexuel. Seul ou en couple, elle permet de se donner du plaisir grĂące Ă  une stimulation manuelle du pĂ©nis.
Pourquoi et comment bien se masturber quand on est un homme ? Dans cet article, voici toutes les réponses à vos questions.
Selon les études, 90 à 95 % des hommes des sociétés occidentales avouent avoir déjà eu recours à la masturbation.
De nos jours, les hommes n’hĂ©sitent plus Ă  faire de telles dĂ©clarations du fait de la dĂ©culpabilisation religieuse et de l’affranchissement de certaines craintes d’origine mĂ©dicale.
L’étude Sexual Behavior in the Human Male, communĂ©ment appelĂ© le Rapport Kinsey, montre que la quasi-totalitĂ© des garçons ont entendu parler de la masturbation avant de la pratiquer.
C'est tout l’inverse chez les femmes qui « dĂ©couvrent beaucoup plus souvent seules la masturbation, sans savoir que d'autres personnes, avant elles, se sont dĂ©jĂ  livrĂ©es Ă  de telles activitĂ©s ».
Pour prĂšs de 70 % des garçons, la masturbation est la source de leur premiĂšre Ă©jaculation. Pour les autres, il s’agit soit d’un coĂŻt, soit d’une pollution nocturne.
De nombreux individus racontent qu’ils ont atteint leur premier orgasme vĂ©ritable avant mĂȘme d’avoir acquis la capacitĂ© d’éjaculer.
Chez l’homme, le rapport Kinsley nous apprend que la masturbation est presque exclusivement manuelle. Il existe tout de mĂȘme certains individus qui utilisent la technique du frottement contre d’autres objets, mais cela resterait rare et expĂ©rimental.
Une nouvelle fois, la quasi-totalité des hommes accompagnent la pratique de masturbation par une stimulation mentale marquée par des idées érotiques, parfois scénarisées.
Le rapport fait Ă©tat d’une pratique qui relĂšve d’une impossibilitĂ© anatomique pour l’homme, alors qu’elle est trĂšs frĂ©quente chez ces cousins hominoĂŻdes : l’autofellation.
Selon Kinsley, 2 ou 3 hommes sur 1000 auraient pourtant les capacités physiques de pratiquer l'autofellation.
Pour les auteurs Nairne et Hemsley, il n'existe « aucun consensus ni principe sur ce qui est normal. De nos jours, il relÚve de la responsabilité de chacun de trouver ce qui est important pour lui en termes d'accomplissement sexuel et émotionnel. »
Chez le garçon, la masturbation est souvent une source majeure de culpabilité pour plusieurs raisons :
Il existe de nombreuses indications de la masturbation qui prĂ©sentent un intĂ©rĂȘt indĂ©niable pour la santĂ© de l’individu :
À l’inverse, on ne rĂ©pertorie que trĂšs peu de risques liĂ©s Ă  la masturbation qui soient prouvĂ©s scientifiquement Ă  ce jour :
La satisfaction de l'adolescent dans l'imaginaire de la masturbation peut parfois se transformer en un piĂšge qui l'empĂȘche d'affronter la rĂ©alitĂ©.
Françoise Dolto a parfaitement su mettre les mots pour illustrer le phĂ©nomĂšne : « Dans le moment difficile oĂč les jeunes sont mal Ă  l'aise dans la rĂ©alitĂ© des adultes par manque de confiance en soi, leur vie imaginaire les soutient. Le garçon ou la fille sont comme dĂ©terminĂ©s Ă  exciter en eux la zone qui va leur donner de la force et du courage et qui est la zone gĂ©nitale qui s'annonce.
Et, c'est là que la masturbation, de remÚde à leur dépression, devient un piÚge. Un piÚge parce qu'ils se déchargent nerveusement de cette façon et qu'ils ne sont plus soutenus à affronter la difficulté de la réalité pour vaincre ces déficiences beaucoup plus imaginaires que réelles. »
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