Brune qui parle sale

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Brune qui parle sale
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Chaque jour, The Socialite Family a à coeur de vous propulser dans des univers toujours plus surprenants. Des intérieurs qui ont autant à raconter que leurs propriétaires, des personnalités passionnantes aux horizons aussi divers que leurs...

Caroline Balvay,
13 October 2021



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C’est aprĂšs un tour du monde et une installation avortĂ©e Ă  Jaipur, en Inde, une des plus « des plus grandes claques de leur voyage », que Brune de La Guerrande et CĂ©sar Vilaceque ont dĂ©cidĂ© de s’installer Ă  Lisbonne. En cause ? La naissance prĂ©maturĂ©e de leurs jumeaux, Pablo et NoĂ©, mais aussi l’envie d’une vie plus douce au soleil et prĂšs de la mer, « inconsciemment guidĂ©e par mes ancĂȘtres indo-portugais » Ă©numĂšre la diplĂŽmĂ©e de l’ESAG Peninghen. En rencontrant la capitale du Portugal, c’est finalement elle-mĂȘme que la designer a fini par trouver. Un « moi » profond qui ne demandait qu’à ĂȘtre Ă©coutĂ©, considĂ©rĂ© ! En plaquant tout pour tout recommencer, le couple s’est rĂ©vĂ©lĂ©. Mais a aussi imaginĂ© BisavĂł, une marque de mĂ©dailles en or 19 carats sur lequel est apposĂ© de l’émail en couleurs, hommage Ă  leur fascination pour les objets de protection divers rencontrĂ©s tout du long de leurs pĂ©rĂ©grinations. L’occasion de redonner vie Ă  un savoir-faire – et Ă  un bijou ! – en voie de disparition, mais Ă©galement de faire quelque chose avec ses mains. Un dĂ©clic que l’hyperactive n’a eu depuis de cesse de dĂ©velopper dans son atelier, ne se limitant Ă  aucun mĂ©dium. Un des plus marquants ? La cĂ©ramique. Apprise en crĂ©ant avec frĂ©nĂ©sie aprĂšs un premier cours et un premier objet : une croix. Un symbole hommage Ă  ses parents partis il y a longtemps, qu’elle dĂ©cline avec l’idĂ©e de remettre la nature au centre d’un culte universel. PoĂ©tiques et dĂ©licates, ses productions charment autant qu’elles interpellent, finissant par se retrouver dans d’autres salons que le sien. Une oasis vĂ©gĂ©tale faite de meubles et d’objets rapportĂ©s par cartons entiers des quatre coins du globe et qui, comme leur appartement, leur ressemble dans toutes leurs fantaisies.
Brune, César : pouvez-vous vous présenter ?
Tout a commencĂ© sur un capot de voiture, lors de la soirĂ©e de remise de diplĂŽme de notre Ă©cole d’art, l’ESAG Peninghen. Nous nous sommes rencontrĂ©s lors de la derniĂšre semaine des cinq ans d’études
 et depuis, nous ne nous sommes plus quittĂ©s !
Je suis designer. Je ne me suis jamais adaptĂ©e au systĂšme classique de l’éducation nationale ! C’est en intĂ©grant une école d’art que je me suis enfin sentie Ă  ma place et que je me suis mise au boulot. Je me suis formĂ©e dans l’ancienne agence d’AndrĂ©e Putman – Écart – qui est spĂ©cialisĂ©e dans l’agencement d’hĂŽtels et le dessin de mobiliers assortis. J’ai ensuite Ă©tĂ© Ă  mon compte, en freelance pour des particuliers puis des restaurants, etc. C’est en perdant ma mĂšre que j’ai pris la dĂ©cision de me mettre Ă  mon compte. C’est une rĂ©flexion qui m’a toujours interpellĂ©e, la justesse de la prise de dĂ©cision au moment oĂč l’on se reconnecte Ă  la vie ; c’est souvent lors des obstacles douloureux, qui font d’ailleurs partie intĂ©grante de ce que nous sommes !
Je suis graphiste et directeur artistique. J’ai travaillĂ© en free-lance et ai Ă©galement passĂ© pas mal de temps dans la presse Ă©crite pour les Éditions Jalou et CondĂ© Nast.
AprĂšs quelques annĂ©es Ă  travailler, nous avions une grande envie commune de larguer les amarres, de changer d’air et de se bousculer un peu ! Bref, d’aller voir ailleurs. RĂ©sultat, Ă  30 ans : un tour du monde d’un an. Cela a eu plus que l’effet escomptĂ©. Au-delĂ  du dĂ©paysement, nous avons eu une vraie prise de recul, une sortie du tourbillon de la vie parisienne ! C’était un retour Ă  l’essentiel de nos envies, de nos vies. Nous avons atterri assez difficilement mais avec des carnets remplis d’idĂ©es et l’envie de recommencer l’expĂ©rience. Puis nous avons fini par travailler ensemble en proposant des projets de restaurants pensĂ©s et dessinĂ©s dans leur globalitĂ©. Du nom, logo jusqu’aux travaux d’amĂ©nagement en passant par le dessin du mobilier et le choix des petites cuillĂšres !
Vous avez complÚtement changé de vie en 20 16 en vous installant ici, à Lisbonne. Pourquoi cette ville et, plus globalement, ce pays ?
À la suite de notre tour du monde, nous voulions partir nous installer Ă  Jaipur, en Inde. Ce pays a Ă©tĂ© l’une des plus grandes claques de notre voyage. C’est un vivier d’idĂ©es, un fourmillement de vie ! Mais la naissance prĂ©maturĂ©e des jumeaux a Ă©tĂ© un peu rock and roll. Nous nous sommes donc adaptĂ©s et avons rĂ©flĂ©chi Ă  une autre destination pour avoir une vie plus cool, tant qu’à faire, prĂšs de la mer et au soleil ! J’ai dĂ» ĂȘtre inconsciemment guidĂ©e par mes ancĂȘtres indo-portugais ( Rires ). Nous avons donc pris nos jumeaux d’un an sous le bras et sommes descendus dans notre minivan en longeant tranquillement la cĂŽte Atlantique avec, comme point de mire : Lisbonne ! Tout ça avec mon ordinateur sur les genoux en continuant Ă  travailler, Ă  distance, sur des projets Ă  Paris.






Pour la dĂ©coration de notre appartement, c’était un peu NoĂ«l ! J’ai ouvert tous mes cartons de notre tour du monde. On nous en envoyait par bateau de presque chaque pays, tous remplis Ă  craquer (...)
Est-ce votre emmĂ©nagement qui est Ă  l’origine de la crĂ©ation de votre marque de mĂ©dailles traditionnelles revisitĂ©es, Bisavó ?
Durant notre tour du monde, nous nous sommes ouverts aux autres cultures, aux croyances, aux objets de protection divers. Ils nous ont complĂštement fascinĂ©s ! C’est cette quĂȘte qui, trĂšs vite, a guidĂ© notre itinĂ©raire pour aller Ă  la rencontre de tel artisan qui fabriquait tel objet. Une vraie chasse aux trĂ©sors ! Tous les jours, c’était une aventure diffĂ©rente. En me baladant – ou plutĂŽt me perdant – dans Lisbonne, je suis tombĂ©e sur une mĂ©daille ancienne que vendait une b isavĂł (une arriĂšre-grand-mĂšre) dans une brocante. Le mĂ©lange de la couleur – que j’affectionne particuliĂšrement – et de l’or m’a conquise. J’ai adorĂ© et j’ai eu envie de redonner vie Ă  ce savoir-faire, de dĂ©poussiĂ©rer un bijou qui disparaissait. Nous avons donc relancĂ© cet artisanat d’émail en couleurs sur de l’or 19 carats pour avoir un bijou qui traverse les modes et parle Ă  toutes les gĂ©nĂ©rations – et confessions ! Je suis trĂšs fiĂšre de voir nos crĂ©ations portĂ©es, diffĂ©remment, aussi bien par des petits que des ados en passant par les mĂšres et les grands-mĂšres.
À travers ces bijoux, quel est le message que vous souhaitez vĂ©hiculer – transmettre ?
L’idĂ©e est de rĂ©unir toutes les diffĂ©rences au sein d’une mĂȘme famille. Il s’agit d’aimer, de le dire, et de le porter ! Aujourd’hui, chacun a une spiritualitĂ© Ă  sa sauce, chacun fait sa petite cuisine. Finalement, nous sommes tous uniques et singuliers, mais formons un tout ! L’idĂ©e avec B isavĂł, c’est un peu ça : la singularitĂ© de chacun au sein d’une mĂȘme famille. Nous gravons dans l’or des symboles hauts en couleur et proposons des mĂ©dailles Ă  toute la tribu, la smala, la famille, les amis, les cousins et les cousines, les marraines et les parrains, les papas, les mamans, et ce, Ă  l’occasion de toutes les occasions, justement. Pour dire son amour, transmettre, offrir, se protĂ©ger et s’inspirer au quotidien. En gros, on tatoue son histoire sur de l’or ! C’est aussi un vrai plaisir que de savoir qu’à notre Ă©chelle, nous contribuons Ă  la prĂ©servation de savoir-faire qui ont tendance Ă  disparaĂźtre, ici, au Portugal.
Parlez-nous de votre Ă©ducation. Dans quel cadre avez-vous grandi – et par consĂ©quent dĂ©veloppĂ© votre goĂ»t ?
Je viens d’une grande tribu. Mon pĂšre Ă©tait un amoureux de la vie, des gens, des bonnes choses. Il nous a appris Ă  oser ! Ma mĂšre Ă©tait hypercrĂ©ative, bricoleuse et superchineuse ! Elle m’a beaucoup poussĂ©e Ă  croire en moi et Ă  faire ce que j’aime. Elle Ă©tait issue d’un milieu un peu old school . Le fait de les perdre assez jeunes nous a, mes trois frĂšres et sƓurs et moi-mĂȘme, rapprochĂ©s plus que jamais. Mes grands-parents, eux, Ă©taient architecte, peintre et designer d’un cĂŽtĂ©. De l’autre, j’avais une grand-mĂšre un peu fofolle mais finalement, c’est elle qui avait tout compris ! J’avais Ă©galement plein de cousins et nous Ă©tions un peu livrĂ©s Ă  nous-mĂȘmes ; nous partions en expĂ©dition avec une planche, un masque et un tuba Ă  explorer, s’inventer des histoires toute la journĂ©e ou Ă  la campagne Ă  crĂ©er des villes dans les arbres. Nous allions sur les bancs de l’église mais, moi, j’étais dĂ©jĂ  plutĂŽt branchĂ©e mĂ©ditation sur les rochers ! ( Rires )
Enfant unique, j’ai eu des parents plutĂŽt excentriques qui travaillaient dans le milieu de la mode. J’étais tout le temps fourrĂ© dans les backstages des dĂ©filĂ©s et les puces et autres brocantes le week-end avec eux ou chez mes grands-mĂšres pendant les vacances. J’ai grandi dans une ambiance festive, plus entourĂ© d’adultes que d’enfants.
De quelle maniĂšre y sensibilisez-vous, Ă  votre tour, vos enfants ?
Nous n’y avons pas vraiment rĂ©flĂ©chi. Ils vivent dans notre univers, donc forcĂ©ment, ils se sont imprĂ©gnĂ©s de couleurs vives, de mĂ©lange des genres. AprĂšs, le plus important pour nous est qu’ils trouvent leur propre singularitĂ©. Pour cela, nous leur laissons une certaine autonomie. Un exemple simple : ils peuvent s’habiller de maniĂšre trĂšs bizarre, cela nous fait rire mais nous les laissons tester ! Disons que si on leur apporte une base, ils l’agrĂ©menteront de leur propre mauvais goĂ»t. Nous pensons que c’est celui de chacun qui, assumĂ©, fait naĂźtre des univers singuliers.
Racontez-nous l’histoire de votre rencontre avec cet appartement.
Nous sommes arrivĂ©s Ă  Lisbonne alors que le prix de l’immobilier Ă©tait bas. À force de chercher le bien parfait, les prix ont triplĂ©. C’était la folie. Les gens – notamment des investisseurs Ă©trangers – achetaient des appartements comme on achĂšterait une paire de chaussures, sans doute pour le revendre le double six mois plus tard. Nous nous sommes fait doubler plusieurs fois alors que nous avions eu de vrais coups de cƓur. Quand nous avons vu ce lieu, nous avons « dĂ©gainé » trĂšs rapidement. Ce n’était pas un coup de foudre mais il cochait plein de cases : il Ă©tait dans son jus, et je savais que je pourrais en faire quelque chose qui nous ressemble.
Comment l’avez-vous pensĂ© ? Et meublĂ© ?
À dĂ©faut d’un extĂ©rieur, ce qui Ă©tait important Ă©tait de laisser de l’espace Ă  nos trois petits gars. Nous les avons installĂ©s au grenier que nous avons amĂ©nagĂ© et qui est baignĂ© de lumiĂšre. Ce sont leurs 30 mÂČ de libertĂ©. Ils ont chacun leur petit coin dans leur lit cabane sous la pente oĂč il n’y avait pas beaucoup de hauteur. Autre point hyperpositif : le bazar est canalisĂ© lĂ -haut et ne dĂ©borde pas trop dans le reste de l’appartement. La seconde plus grande – et importante – piĂšce chez nous, c’est la cuisine. Car tout le monde y finit toujours ! Nous avons rĂ©cupĂ©rĂ© la hauteur des combles et, Ă  dĂ©faut d’avoir une terrasse, je me suis fait une jungle. Un canapĂ© et une boule Ă  facettes, et Roulez jeunesse ! Pour la dĂ©coration, c’était un peu NoĂ«l. J’ai ouvert tous mes cartons de notre tour du monde. On nous en envoyait par bateau de presque chaque pays, tous remplis Ă  craquer. Dix ans aprĂšs, je redĂ©couvrais des trĂ©sors. Pour le reste, c’est un peu un cadavre exquis d’objets se rattachant Ă  nos familles, Ă  des lieux. Ce sont des choses qui racontent une Ă©poque ou des rencontres, des piĂšces d’amis designers, chinĂ©es ou que j’ai dessinĂ©es.
Pour vous, The Socialite Family, c’est
 ? 
Un glimpse d’une famille qui trace sa propre route avec singularitĂ©, mais aussi une sacrĂ©e nana et Ă©quipe derriĂšre tout ça !
OĂč vous retrouverons-nous dans les prochains mois ?
Qui sait ? Sur de nouveaux chemins vers d’autres pays Ă  la recherche d’autres artisanats ! Cela nous dĂ©mange dĂ©jĂ . De toutes les maniĂšres, on s’était dit, au retour de notre tour du monde, que l’idĂ©al serait de partir tous les cinq ans faire des mini-retraites au lieu d’attendre la fin du chemin pour en profiter ! Le paradis, c’est maintenant, aujourd’hui, dans la vraie vie ! Profitons-en !
Photographies : Constance Gennari – Texte : Caroline Balvay @thesocialitefamily
Bonjour, merci d’avoir partagĂ© cet univers merveilleux, colorĂ©, ou chaque objet nous fait voyager ! Avez vous une indication sur la marque (ou est-elle faite main) de la table de la cuisine en carreaux de faĂŻence bleus marine ?
Bonjour,
Et merci pour vos mots ! La table de la salle Ă  manger Ă  Ă©tĂ© dessinĂ©e par Brune, un serrurier Ă  soudĂ© les armatures et le couple l’a carrelĂ©e lui mĂȘme avec des azulĂ©jos Portuguais de chez Viuva Lamengo.
TrÚs belle journée sur The Socialite Family

The Socialite Family est à la fois un media et une marque de décoration responsable qui crée des piÚces de mobilier, luminaires et accessoires de décoration, fabriquées en Europe, à un prix bien pensé.
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