Blonde travaille son cul

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Blonde travaille son cul

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Publié le 30 octobre 2018 à 23:33 par La rédaction
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© Gentside. Crédit photographique pour toutes les images de ce site (sauf indication) : © GettyImage.
Au guidon de sa splendide moto , cette jolie blonde n'a pas laissĂ© indiffĂ©rent les automobilistes. En mĂȘme temps, vĂȘtue d'un dĂ©bardeur et d'un mini short , sans culotte , elle ne dispose pas de la tenue idĂ©ale pour prendre la route. A moto le casque n'est pas le seul Ă©quipement de protection, mais pour ce cas, nous n'allons pas nous plaindre qu'elle ait oubliĂ© son pantalon et son blouson de cuir.

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Au Japon, des femmes piégées dans le monde du X prennent la parole


L’actrice Anne Heche meurt à l'ñge de 53 ans


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Publié le 8 avril 2017 à 10h33 Mis à jour
le 8 avril 2017 Ă  10h33

Clip de sensibilisation contre les piĂšges tendus aux femmes japonaises par l'industrie du X (capture d'Ă©cran)
Au pays du soleil levant, de plus en plus de femmes affirment avoir été bernées pour jouer dans des films pornos. Face au phénomÚne, le gouvernement japonais vient de lancer une campagne de prévention.
Un dimanche matin d’avril, dans le parc d’Ueno au cƓur de Tokyo. Sous les cerisiers en fleurs, des dizaines de passants tendent leur perche Ă  selfie pour se prendre avec les fameux « sakura » (des cerisiers ornementaux du Japon). A l’écart de la foule, assise Ă  la terrasse d’un Starbucks CafĂ©, celle qui se fait appeler « Kurumin Aroma » n’est pas vraiment d’humeur Ă  s’extasier devant les fleurs blanches et roses. Avec ses vĂȘtements amples et son bob colorĂ© sur la tĂȘte, elle ressemble Ă  n’importe quelle autre tokyoĂŻte passant Ă  cĂŽtĂ©. Mais sĂ»rement pas Ă  une actrice de films X.
La youtubeuse de 26 ans s’est pourtant retrouvĂ©e sur le tournage de vidĂ©os pornos il y a quatre ans, Ă  la suite d’une rencontre avec un « recruteur de talents », dans le quartier de Shinjuku, l’un des plus animĂ© de la capitale nippone. L’homme lui propose de faire des photos pour un magazine populaire au Japon et un petit rĂŽle de pin-up pour un film. A cette Ă©poque, la jeune Ă©tudiante rĂȘve de se lancer dans la chanson. Son interlocuteur lui promet alors de l’aider Ă  dĂ©buter sa carriĂšre avec des cours de chant. Kurumin Aroma se laisse convaincre.
« J’ai signĂ© un contrat oĂč il n’y avait pas de dĂ©tails sur le contenu du film », indique-t-elle.
« Je pleurais beaucoup. Du coup, j’étais obligĂ©e de rejouer les scĂšnes »
Une semaine plus tard, elle se retrouve dans le bureau du responsable d’une boĂźte de production, qui lui annonce qu’elle va jouer dans un film porno. L’homme se montre menaçant. Son contrat a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© signĂ©. Elle se sent coincĂ©e. « J’avais peur que si je refuse, ils annulent leur proposition pour m’aider Ă  dĂ©buter ma carriĂšre dans la musique » , raconte la jeune femme.
Quelques semaines plus tard, elle se retrouve sur l’üle de Saipan, au beau milieu du Pacifique, pour le tournage. « Nous Ă©tions 8 personnes. On m’a demandĂ© de me toucher devant la camĂ©ra. J’avais trĂšs peur, je pleurais beaucoup. Du coup, j’étais obligĂ©e de rejouer les scĂšnes. » Une premiĂšre expĂ©rience traumatisante.
A son retour sur l’archipel, la jeune fille indique Ă  la boĂźte de production qu’elle ne veut plus faire de films. « Le responsable m’a dit ‘maintenant que tu as tournĂ© dans un film x, ce ne sera ni la premiĂšre ni la derniĂšre fois’ » , rapporte la Japonaise. Dans son bureau, elle se met Ă  pleurer. Autour d’elle, une dizaine d’hommes font alors tout pour la persuader de rester. « Ils me disaient que le monde du porno Ă©tait merveilleux, que c’était un passage nĂ©cessaire pour faire de la musique » , se souvient-elle. Sentant qu’il lui est impossible de faire marche arriĂšre, elle finit par cĂ©der.
Lors du tournage du deuxiĂšme film, on l’oblige Ă  avoir des rapports sexuels avec trois hommes diffĂ©rents. « DerriĂšre la camĂ©ra, le chef voulait qu’on aille plus loin, que ce soit plus trash. Je voulais finir le plus vite possible pour que tout ça s’arrĂȘte » , raconte la jeune femme. Avait-elle alors conscience qu’il s’agissait d’un viol ? « Oui » , souffle-t-elle en baissant la tĂȘte.
Cette fois-ci, ce tournage sera le dernier pour elle. Juste aprĂšs, le patron de la sociĂ©tĂ© a pris la poudre d’escampette
 et le salaire qu’elle devait toucher.
« Kurumin Aroma » est loin d’ĂȘtre la seule jeune japonaise devenue actrice porno malgrĂ© elle. L’annĂ©e derniĂšre, des associations ont tirĂ© la sonnette d’alarme, devant la recrudescence de nombre de victimes qui venaient les consulter : +64% en l’espace de deux ans. Sur l’annĂ©e 2016, Lighthouse et PAPS (People Against Pornography And Sexual Violence) ont recensĂ© 100 nouveaux cas, dont quelques hommes. Depuis le dĂ©but de l’annĂ©e 2017, 20 personnes se sont manifestĂ©es.
« Ce n’est que la partie immergĂ©e de l’iceberg, s’inquiĂšte Aiki Segawa, la porte-parole de l’association, qui a rĂ©alisĂ© un clip de prĂ©vention. Comme c’est un sujet trĂšs tabou, beaucoup de victimes n’en parlent Ă  personne. Elles pensent que c’est de leur faute. Vous savez, dans la sociĂ©tĂ© japonaise, il y a un grand sens de la responsabilitĂ© personnelle. Elles pensent donc qu’elles y sont allĂ©es Ă  leurs risques et pĂ©rils. »
L’association reçoit ainsi des femmes qui ont jouĂ© malgrĂ© elles dans des films pornos il y a 5 voire 10 ans.
Des proies faciles pour des recruteurs véreux
Pour Kazuko Ito, avocate et fondatrice de Human Rights Now (HRN), les victimes ont des profils assez semblables : « Toutes sont japonaises, ont entre 18 et 25 ans. Elles sont au lycĂ©e, Ă©tudiantes ou font des petits boulots. Certaines sont originaires de zones rurales et dĂ©barquent tout juste Ă  Tokyo. Elles rĂȘvent de devenir cĂ©lĂšbres, comme mannequin, chanteuse, danseuse etc. » Des proies faciles pour des recruteurs vĂ©reux.
Ces derniers ne sont d’ailleurs pas toujours de petites productions inconnues, certains ont une certaine notoriĂ©tĂ© sur le marchĂ© du X. Au Japon, l’industrie pornographique pĂšse plusieurs milliards de dollars et produit 20 000 films par an. Les producteurs sont donc toujours Ă  l’affĂ»t de chair fraĂźche, surtout de trĂšs jeunes femmes, pour figurer dans leurs films.
Les recruteurs se montrent trĂšs persuasifs pour garder leurs nouvelles recrues. « Ils leur disent que si elles refusent de jouer, elles devront payer 1 million de yen (environ 8 400 €), qu’ils raconteront tout Ă  leurs parents, Ă  leurs proches, au responsable de leur lycĂ©e etc. » , poursuit l’avocate.
Stress post-traumatique, suicide, opĂ©rations de chirurgie esthĂ©tique Ă  rĂ©pĂ©tition

Un vrai lavage de cerveau, dont l’issue peut parfois ĂȘtre dramatique. Selon HRN, une jeune femme se serait suicidĂ©e aprĂšs s’ĂȘtre retrouvĂ©e contre son grĂ© dans plusieurs films x. D’autres souffrent de stress post-traumatiques ou font des opĂ©rations de chirurgie esthĂ©tique Ă  rĂ©pĂ©tition.
De maniĂšre gĂ©nĂ©rale, trĂšs peu de victimes osent porter plainte. Mais en juin dernier, le responsable d’une cĂ©lĂšbre agence de recrutement de Tokyo a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© par la police. Il lui Ă©tait reprochĂ© d’avoir forcĂ© une femme Ă  jouer dans un film porno, en la menaçant de devoir payer des pĂ©nalitĂ©s si elle refusait. A la suite de cette affaire, le puissant lobby de l’industrie pornographique japonaise The Intellectual Property Promotion Association (IPPA) a prĂ©sentĂ© ses excuses et a encouragĂ© ses membres Ă  bannir ces pratiques.
Devant la mĂ©diatisation du phĂ©nomĂšne et la prise de parole en public de plusieurs victimes ces derniers mois, le gouvernement s’est aussi emparĂ© du sujet. Une campagne de prĂ©vention, avec un site et une hotline dĂ©diĂ©es, a Ă©tĂ© lancĂ©e en ce mois d’avril, qui correspond Ă  la rentrĂ©e scolaire et universitaire au Japon. Une pĂ©riode propice pour les recruteurs des fameuses « agences de talents », Ă  la recherche de personnes vulnĂ©rables fraĂźchement dĂ©barquĂ©es Ă  Tokyo.
« C’est trĂšs encourageant de voir que le gouvernement prenne ce problĂšme au sĂ©rieux » , rĂ©agit Aiki Segawa de Lighthouse. « Le gouvernement a rĂ©agi vite sur ce sujet. Sur nos autres sujets de campagne, ils le sont beaucoup moins » , remarque l’avocate Kazuko Ito. Pour prĂ©server l’image de l’archipel ? Selon les deux activistes, l’imminence des JO de Tokyo en 2020 n’y serait pas pour rien.
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