Blonde tatouée bien trash prête pour une queue

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Vieille chatte

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Nom : *ahah*. Prénom : Thomas/Anhazel/Hazel Dark/Lezahna (oui ben excusez moi mais je ne savais pas qu'il fallait se logger deux fois, mais ça me fait un compte frais et clean au moins). Age : Bientôt 17 ans. Etudes : Je suis réorienté de 1ère S à 1ère L. Envisageant une fac de lettres à mtp (skins party, me voilà =D). Loisirs : Guitare/chant, jouer aux RPGs, vivre la nuit avec les gens, et foutre la merde, faire la fête, me shooter jusqu'à en gerber mon âme... Style de musique, adresse email, raison de votre venue... : J'aime particulièrement le vieux rock, un peu le rock actuel, certains groupes de métal, le visual kei, le classique, la pop anglaise, un peu l'electro... Mon adresse est visible dans mon profil. La raison de ma venue ? Bah je sais plus pourquoi j'étais venu, mais ch'uis habitué à squatter quotidiennement alors autant continuer. Biz~

Vieille chatte

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Vieille chatte

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Thx thx. J'aime la bannière :] un des seuls points positifs du nouveau forum avec un nouveau départ et une meilleure lisibilité.
mmmhhhh t'es plutôt bonne ma blonde

Vieille chatte

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cool tu pourras continuer de tenir ton journal intime sur le topic relation amoureuse

Vieille chatte

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oh merci de m'avoir appeler mon chou
Oh putain les mec je sent que l'on va bien s'amuser avec ce boulet
Bon sérieux, j'arrête d'écrire comme une merde et faire le con. Et toi petit con, t'es qui pour me traiter de boulet sale abruti !
Un mec réaliste, parce que répondre ce genre de truc c'est grave Edit : Ah au fait moi aussi je t'aime 
les champis par terre, le vomi sur les murs mon gars

Ricard best membre

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Publié le 29 mars 2018 à 12:51 par La rédaction
À lire plus tard Sauvegardé Suivre #femme #femme Suivi
© Gentside. Crédit photographique pour toutes les images de ce site (sauf indication) : © GettyImage.
Cette soirée devait être une surprise mémorable pour cette femme et pourtant celle-ci a tourné au cauchemar. Se croyant seule dans sa maison, celle-ci a commis l'irréparable devant un parterre d'invités et d'amis.
En mari bien attentionné, cet homme avait décidé de faire une belle surprise à sa femme en invitant ses amis pour une fête donnée en son honneur. Mais ce qu'il ignorait, c'est que ses bonnes intentions allaient vite tourner à la catastrophe.
Après s'être faite raccompagnée par une amie, Mia, la femme de Frank s'apprêtait à passer une soirée tranquille en tête à tête avec son mari. Seulement voilà, pour lui faire une surprise, Frank avait pensé à inviter tous leurs amis pour un évènement très spécial. Pour que la surprise soit à son comble, Frank avait prévu de bander les yeux de sa femme pour l'empêcher de voir tous leurs invités regroupés dans le salon. Laissée seule un instant avec ce bandeau sur les yeux, Mia croyant être seulement en compagnie de son époux, a alors lâché un pet sonore devant tous les amis dont elle ignorait jusque-là la présence.
Ce n'est qu'en retirant son foulard des yeux que celle-ci s'est aperçue de l' énorme boulette qu'elle venait de commettre. Confuse et totalement honteuse, celle-ci s'est alors dépêchée de prendre ses jambes à son cou tandis que son mari a tenté vainement de rattraper ce terrible fiasco.

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Julie ne s’était jamais imaginée en modèle d’une séance de bondage. Un jour, devant des images de femmes attachées, sa curiosité s’éveille. Et elle tente l’expérience. Propos recueillis par Marta de Tena.
Je suis une fille réservée, prudente avec les hommes. Par-dessus le marché, je me trouve ronde… C’est dire si je n’étais pas la candidate idéale pour des séances de bondage, photos à l’appui. Pourtant, je l’ai fait, et ça a changé l’opinion que j’avais de moi. En bien ! Tout a commencé le jour où j’ai accompagné mon amie Chloé se faire tatouer. Le tatoueur portait un T-shirt où était marqué « Bondage is not a crime ». Elle a demandé ce que c’était. « Cela vient de “bond” qui veut dire “lien” en anglais. C’est une pratique fétichiste, la personne attachée devient un objet de désir… On a des photos de bondage accrochées dans la partie galerie, si vous voulez voir. »
J’y suis allée, m’attendant à trouver des femmes traitées comme de la viande saucissonnée. Je me trompais. C’étaient de beaux clichés, et il n’y avait rien de trash. Au contraire, on aurait dit des sculptures ou des fleurs. C’était troublant. J’ai retenu le nom du photographe. Le soir, j’ai allumé l’ordinateur pour écrire mes impressions sur mon journal et j’ai googlé sa page, nerveuse, comme si je bravais un interdit. Sur le site, j’ai lu l’histoire du bondage, une pratique ancienne qui vient du Japon. J’ai appris qu’il y en avait de différents types : esthétique, destiné au plaisir sexuel, mais aussi visant l’humiliation, voire la torture. L’auteur soulignait que sa démarche était artistique, sans pour autant nier la dimension érotique de ses images ni le plaisir qu’il éprouvait à les réaliser. C’était fin, bien écrit.
J’ai rédigé un mail où je lui faisais part de mon intérêt pour son travail et… il m’a répondu poliment, en ajoutant : « Je reste à votre disposition si vous avez d’autres questions ». Je lui ai demandé s’il savait ce que ces femmes ressentaient en se laissant attacher et photographier. « Un plaisir narcissique, je crois. L’une d’elles m’a dit “du vertige”. Mais expérimentez par vous-même ! Exprimez vos envies auprès de votre ami. Mais lisez avant le volet “sécurité” de mon site ! Le bondage ne s’improvise pas », m’a-t-il répondu. On glissait vers un terrain beaucoup trop personnel, mais par mail, c’est tellement plus facile ! « Je suis célibataire en ce moment, ça risque d’attendre. Et ce genre de pratique n’est pas pour moi. – Vous vous trompez : si mes images vous parlent, c’est que ça interpelle chez vous quelque chose que vous avez du mal à admettre. » C’était de la psy à deux balles, je le lui ai dit. Il a répondu : « Rencontrons-nous. »
J’ai compris qu’au fond de moi, c’était ça que je cherchais depuis le début : rencontrer ce type qui rendait les femmes si belles en les ligotant. Après quelques jours passés à y songer en continu, agacée de gâcher tant d’énergie pour rien, j’ai accepté de le voir. J’ai vu arriver au café un type avec une tête de prof de maths, lunettes, pas très grand. Il est venu vers moi sans hésiter, il m’a tendu la main. « Bertrand. » Il était ingénieur du son, la photo, c’était son violon d’Ingres. « C’est le cas de le dire : tes femmes, ce sont des odalisques ! » lui ai-je répondu. Il a ri. « Elles ne sont pas à moi ! Du tout. Je ne demande jamais à une femme de poser pour moi, ça vient de leur désir. Ce qui m’importe le plus, c’est la confiance qu’elles m’accordent. – Et comment les trouves-tu, tes modèles ? – Des copines, des maîtresses… » Je me suis entendue dire : « Des inconnues t’écrivent sur ton site… Ce n’est pas encore arrivé, mais je ne serais pas contre. » Quand on s’est quittés en disant qu’on s’écrirait, je savais que la balle était dans mon camp. J’ai envoyé un mail d’une ligne. « Et si je venais à ton studio ? – Avec plaisir. »
  J’ai passé la veille du rendez-vous au hammam, épilation au miel, soin au gassoul, massage à l’huile d’amande. Son studio se trouvait sous les toits, une grande pièce avec des poutres, des trépieds et des spots. Il m’a montré des images pour que j’aie  une idée de ce qu’il voulait faire. J’ai dit que je préférais garder mon string, et qu’on ne voie pas mon visage. Pour le reste, il avait carte blanche. En me déshabillant derrière le paravent, j’étais morte de trouille. Avant de commencer, il m’a regardée dans les yeux : « Tu me fais confiance, tu es sûre ? – Oui. – On va commencer par un Isu-jyo kohai : c’est bien pour débuter, tu seras assise. » Il me manipulait avec délicatesse, en s’assurant à chaque nœud que je n’avais pas mal. J’étais sur une chaise Le Corbusier, nue, il évoluait autour de moi avec des mouvements très précis. Son habilité avec la corde était sidérante. J’ai plaisanté pour briser le trouble : « Tu étais boy-scout ? » Il a secoué la tête, et j’ai compris que, pour aller au fond de l’expérience, il fallait que je m’abandonne. 
Il a détaché mes cheveux pour occulter mon visage, et il a commencé. J’avais les yeux fermés, j’entendais sa respiration, le clic de l’appareil. Moi aussi, je respirais fort, je me demandais ce que je faisais là. Mais c’était très excitant : je prêtais mon corps au bon vouloir de cet inconnu et je n’avais rien d’autre à faire. Grand exercice de lâcher prise. Lorsqu’il m’a détachée, les cordes avaient laissé des marques à certains endroits, mais je n’avais pas mal. Une fois rhabillée, il m’a demandé : « C’était bien pour toi ? – Oui. – Tu veux recommencer ? – Oui. » J’ai adoré l’expression dans ses yeux, comme si je lui avais fait un cadeau extraordinaire.
Quand j’ai reçu les images par mail, j’étais sûre qu’il avait fait des retouches : cette créature à la peau diaphane et aux courbes crémeuses, moi ? Impossible, trop belle. Mais si. Il m’a dit qu’il avait travaillé le contraste, mais qu’il n’avait rien changé à ma « beauté naturelle ». Rien qu’en lisant ses mots, j’étais pratiquement au bord de l’orgasme. Je ne suis pas une fille qu’on remarque, je mise sur mon intelligence pour séduire, je suis « gentille ». Là, j’étais belle, rien de moins. Ça faisait un bien fou. On a continué. Les poses sont devenues plus… hard : couchée sur le ventre, bras liés dans le dos, jambes repliées et pieds ramenés sur les fesses ; à genoux, tête au sol, poignets liés aux pieds « pour mettre ma croupe en valeur ».
  Lorsqu’il me photographiait, je me concentrais sur les sensations et la posture, comme au yoga. J’étais sa muse, ensemble on  créait des images éblouissantes. Mais, dès que je rentrais chez moi, la machine à fantasmes se déchaînait : j’imaginais qu’il me faisait des avances, il me prenait sans me détacher, il avouait que je le rendais fou. C’était assez schizo, car, s’il avait eu un geste déplacé pendant les séances, il m’aurait déçue. J’étais frustrée sans l’être, car je savais qu’il fallait rester dans le non-dit. C’est paradoxal, mais si j’avais découvert que, pour Bertrand, les séances n’étaient qu’un moyen de séduction et, pour moi, des préliminaires à rallonge, ça aurait banalisé l’expérience. 
L’été est arrivé, je suis partie en voyage, j’ai rencontré quelqu’un. Hasard ? Je ne crois pas, je suis une autre femme : je me sens belle, bien dans mon corps. J’ai envoyé des nouvelles à Bertrand et je lui ai annoncé que nous ne nous verrions plus. Il m’a répondu à demi-mot, il avait tout compris, mais il s’est bien gardé de le dire. Et je préfère. Mais je tenais à le remercier : en m’attachant, il m’a libérée, avec ses nœuds, il m’a dénouée. Donc, je vais lui envoyer encore un mail : il faut qu’il lise ELLE cet été.
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