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"Chapeau Melon et Bottes de Cuir" Série "The Avengers" © 1961-1969 CANAL+ IMAGE UK Ltd Série "The New Avengers" © 1976 Avengers (Film & TV) Enterprises Ltd. - Tous droits réservés © Le Monde des Avengers 2012

1. LE COMPAGNON DE VOYAGE (THE FELLOW TRAVELLER)
Date de diffusion : 18 septembre 1963
Un ingénieur talentueux est employé à Stevenage, par une entreprise d'électronique travaillant pour la Défense. Alors qu'il croule sous des dettes de jeu, on fait pression sur lui afin qu'il révèle des informations sensibles. Désespéré, il appelle alors à l'aide le célèbre Simon Templar, mais est alors abattu devant le Saint, sans avoir pu lui révéler grand-chose. Simon remonte la piste et découvre qu'un groupe d'espions venus du froid se dissimule derrière la couverture du casino The Blue Goose.
La saison deux ne débute certes pas triomphalement avec ce bien terne Fellow Traveller . Dès le long et laborieux lancement du récit, apparaît ce qui va devenir le chemin de croix de l'épisode. En effet, l'argument s'avère si mince, si dépourvu de substance, que l'auteur va incroyablement délayer afin d'atteindre la durée réglementaire. Cela revêt la forme de multiples et interminables discussions avec les interlocuteurs successifs de Simon, aux antipodes de la proverbiale efficacité narrative anglo-saxonne. Par ailleurs, l'ensemble se voit filmé la caméra rivée au plancher, avec des personnages invariablement statiques. Quelle déception de la part de Peter Yates, incapable de trouver l'inspiration lui permettant de dynamiser l'ensemble par quelques plans suggestifs.
Commettre un épisode non pas avec une histoire, mais plutôt une simple idée passe-partout de scénario, conduit inévitablement au bavardage insipide. L'interprétation ressort également assez faible, en particulier l'impavide tueur aux poses si figées et caricaturales. Dawn Addams s'en sort mieux, mais les poncifs mélodramatiques plombent le personnage. Flamboyante et si sexy, Janine Gray insuffle enfin de la vie, mais son apparition reste malheureusement bien fugitive. Outre les roulements de tambour passablement ridicules et appuyés, le plus triste demeure la révélation prétendument surprenante de l'identité du chef du réseau, alors qu'il s'agit de l'unique personnage secondaire disponible pour cela. Les discussions se sont éternisées au point d'avoir empêché le développement de plusieurs pistes.
Le site de Stevenage suscite néanmoins quelques plans intéressants, même si secondaires. Le talent de Yates ne transparaît véritablement que dans les deux scènes d'action de l'épisode. Celle en automobile souffre néanmoins de l'absence de Roger Moore, d'où une doublure évidente et surtout un montage trop haché et artificiel. L'affrontement final se montre cependant spectaculaire et nerveux à souhait, mais au combien tardif. Que Ray Austin joue l'un des espions suscitera cependant un intérêt supplémentaire pour l'amateur des Avengers.
Stevenage, la ville où se déroule l'action ainsi qu'une bonne partie du tournage, existe réellement. Située dans le Herfordshire, elle se trouve à 50 kilomètres au nord de Londres. Son histoire remontre à l'occupation romaine, mais la ville moderne appartient à une série de villes modernes bâties autour de Londres lors de la reconstruction de l'immédiat après-guerre. D'où une apparence plus contemporaine que de nombreux villages aperçus dans diverses séries du temps, dont les Avengers.
Le site où se déroule la scène d'action entre la Volvo et le camion se situe à Box Hill, dans le Surrey. Les virages de cette côte ont si marqués qu'elle est surnommée The Zig-Zag Road . Elle a servi de décor à des passages du même genre, pour diverses séries de l'époque ( Les Champions, L'Homme à la valise, Destination Danger …), ainsi que d'emplacement pour des courses cyclistes. Cette particularité se doit à la présence de nombreuses collines, rendant Box Hill très réputé pour sa beauté naturelle. Jane Austen y situe l'action de son célèbre roman Emma (1815). Situé près d'Epsom, Box Hill constitue en effet un lieu de promenade traditionnel pour la haute société.
Le Blue Goose est en fait la superbe résidence privée nommée High Canons, située non loin d'Elstree. Elle apparaît dans nombre de productions de l'époque dont les Avengers. On peut l'apercevoir lors du tag final de The Girl from Auntie , ou dans From Venus with Love , lors du passage où Mrs Peel poursuit la lumière du laser.
Peter Yates se fit connaître comme réalisateur en tournant sept épisodes du Saint et en participant à Destination Danger . Il connut par la suite une brillante carrière au cinéma ( Bullitt , 1968, La bande des Quatre , 1979), se prolongeant jusqu'aux années 2000.
Ray Austin (Marsh) fut un grand cascadeur, apparaissant également parfois dans de petits rôles. Il accomplit par la suite une brillante reconversion, devenant un metteur en scène reconnu et participant à de très nombreuses séries. Il réalisa ainsi deux épisodes ultérieurs du Saint ( The People Importers et The Desperate Diplomate ), ainsi que neuf épisodes de Chapeau Melon (y compris pour The New Avengers ), série pour laquelle il occupa une place centrale dans l'organisation des diverses cascades et scènes d'action.
Janine Gray (la réceptionniste du Blue Goose) fut l'une de ces jolies actrices apparaissant dans nombre de séries des années 60. Elle incarne ainsi la mystérieuse jeune femme s'opposant à Cathy Gale dans le formidable Don't Look Behind You .
Après avoir fait demi-tour, Roger Moore heurte l'encadrement de la porte (8'09'').
Un gros plan sur la Volvo permet de s'apercevoir qu'à l'évidence ce n'est pas Roger Moore qui conduit (15'55').
2. LE SAINT EN VEDETTE (STARRING THE SAINT)
Date de diffusion : 26 septembre 1963 (Brief for a Murder : 28 septembre 1963)
Un film va être tourné sur la vie du célèbre Simon Templar ! Le brutal producteur Byron Ufferlitz propose au Saint de jouer son propre rôle, en formant un duo avec la vedette féminine April Quest. D'abord recruté pour interpréter le Saint, l'acteur Orland Flane se voit éjecté du projet quand Simon, séduit par April, accepte la proposition. Or, peu de temps après, Ufferlitz est assassiné ! Simon mène l'enquête, tout comme l'Inspecteur Teal…
Après près un Fellow Traveller imbibé de somnifère, la série débute réellement cette deuxième saison avec un roman policier de grande cuvée, dont l'éclatant succès se bâtit sur deux piliers principaux : une implacable et efficace mécanique scénaristique et une subtile étude de caractères. L'intrigue se montre en effet particulièrement riche, avec une impeccable orchestration du jeu, certes classique, des divers suspects, mobiles et alibis. Le suspense se montre constant, jusqu'à un ultime coup de théâtre. Tout au long d'un scénario dévoilant avec un art consommé ses différents ressorts, on perçoit clairement l'indéniable métier de Charteris. L'intrigue s'offre même le luxe d'un duel acéré opposant un soupçonneux « Claude » à Simon, s'avérant tout sauf négligeable. Une opposition d'autant plus relevée que ce Teal là, tout en rondeur, malice et apparente bonhommie (vite dissipée), s'avère un redoutable antagoniste !
 Mais Teal ne constitue lui-même qu'un des éléments de l'aussi sombre que remarquable galerie de portraits déployée par le récit, transcendée par une impeccable distribution. Les amateurs des Avengers apprécieront de retrouver une nouvelle savoureuse composition de l'excellent Ronald Radd, dans le rôle d'un reptilien homme de pouvoir, d'apparence plus courtoise que le pittoresque affairiste du Point de Mire , mais en définitive au combien moins sympathique. L'individu se montre remarquablement glaçant ! Autour de lui gravitent réalisateur, interprètes et secrétaire avec leurs espoirs parfois sordides, leurs secrets inavouables et leurs failles profondes. Un trouble panorama remarquable d'intensité, digne de des meilleures œuvres du genre. On regrettera simplement que les auteurs, sans doute pour ne pas rebuter le public par une atmosphère par trop enténébrée, aient cru bon d'introduire leurs alter ego passablement bouffons et hors sujets ici (on se croirait chez leur équivalent de Clowneries ).
La mise en scène se montre électrique, optant pour un rythme agréablement soutenu et une caméra suffisamment mobile. A l'inverse de l'opus précédent, Starring The Saint a l'excellente idée de ne pas laisser s'éterniser les scènes de dialogues et d'accélérer le tempo. Quelques scènes se détachent, comme la découverte du cadavre, ou l'accident de voiture, remarquablement filmées.Le tournage au sein de studios d'Elstree servant eux mêmes de décors autorise un nombre plus élevé qu'à l'accoutumée d'extérieurs, constituant autant de précieux clins d'œil à cette épopée des Sixties anglaises. Evidemment évocation de l'envers du décor de l'industrie du cinéma fera que l'amateur des Avengers ne pourra qu'avoir en tête l'éblouissant Epic tout au long du visionnage.
Avouons que le chef d'œuvre hors normes et protéiforme de Chapeau Melon manifeste davantage d'ambition et de créativité que cette série noire d'excellente facture, mais ne développant aucune vertigineuse mise en abîme. Cette même semaine Plaidoirie pour un meurtre bénéficie d'ailleurs d'atouts policiers et psychologiques similaires à Starring the Saint , mais manifeste déjà cette propension à la fantaisie clivant les deux séries. Le Saint a ici trouvé un parfait rythme de croisière, mais, à l'orée de leur troisième saison, les Avengers commencent à prendre leur envol. 
Ronald Radd (Ufferlitz) participera à trois épisodes de la série, de même pour les Avengers ( Le point de mire, le retour du traître et Mission très improbable ). Ce grand acteur de théâtre, aperçu dans de nombreuses séries de l'époque, décédera après une représentation, des suites d'une hémorragie cérébrale. Il est ici accompagné d'Alfred Burke, grande figure des séries anglaises, ayant participé à The Girl from Auntie .
L'Inspecteur Teal n'est toujours pas interprété par Ivor Dean, mais par Wensley Pithey. Ce comédien s'était spécialisé dans les rôles d'autorité : policiers, officiers, politiques...
Ivor Dean participe cependant à l'épisode, mais dans le rôle de David Brown. Il précise que son maquillage (regard, visage) était destiné à souligner l'aspect pervers et débauché de l'avocat.
Jackie Collins (April Quest) est la sœur cadette de la fameuse Joan Collins, que Roger Moore devait retrouver dans Amicalement vôtre ( Five Miles To Midnight ). Cette apparition dans Le Saint marque quasiment le fin de la brève carrière d'actrice de Jackie. A partir de la fin des années 60, celle-ci se reconvertira cependant avec succès dans l'écriture de best-sellers policiers, vendus à plus de 400 millions d'exemplaires à travers le monde. Elle demeure encore aujourd'hui l'une des figures marquantes de Beverly Hills.
L'épisode s'ouvre par une vue extérieure des studios d'Elstree, qui sera réemployée dans Marcia .
Un insert montre que Simon et April passent la soirée au Talk of the Town. Il s'agit d'un cabaret - restaurant alors très côté, en activité de 1958 à 1982. Il a accueilli nombre des plus grandes vedettes des Sixties, lors de mémorables concerts. L'établissement se situe dans l'Hippodrome (Cité de Westminster), un grand bâtiment construit en 1900 et ayant abrité plusieurs théâtres et salles de spectacle au cours de son histoire.
Toujours aussi friand des sublimes Boeings de la Pan Am, Simon débute son aventure en se posant à l'aéroport d'Heathrow. Le plus grand des six aéroports internationaux desservant Londres, inauguré au début des années 50, vient tout juste de connaître une extension majeure : l'ouverture du Terminal Océanique, en novembre 1961. L'insert initial montre cette superbe et imposante structure, permettant la gestion des longs courriers. Les diverses scènes du Saint relatives à l'aviation démontrent à quel point celle-ci demeure élitiste au début des années 60.
Teal et Simon, poursuivant la voiture d'Orland Flane, passent devant le London Wall puis dans Cheapside. Le London Wall est la muraille édifiée par les Romains à la fin du deuxième siècle, autour de Londinium, leur principale cité en Bretagne. Situé dans la Cité actuelle, il mesurait 3,2 km et atteignait une hauteur de six mètres. Ses portes ont eu un rôle prépondérant dans le développement originel de Londres. Plusieurs tronçons sont encore visitables aujourd'hui. Le Saint passe dans l'artère longeant le côté nord du tracé du Mur, ayant adapté son nom. Il s'agit alors d'une urbanisation très récente, débutée en 1957.
Cheapside est également une importante rue de la Cité. Elle a longtemps abrité un marché de denrées fort étendu, au sein d'un quartier populaire. Cela lui vaut de figurer dans de nombreux ouvrages de la littérature anglaise, comme représentant le cœur vivant de Londres (Jane Austen, Charles Dickens…). Très touchée par le Blitz, Cheapside vient elle aussi de bénéficier d'une importante reconstruction, depuis la fin des années 50. Elle abrite désormais de nombreux commerces de détail et des secteurs piétonniers.
Date de diffusion : 3 octobre 1963 (The Undertakers : 4 octobre 1963)
A Montréal, après un léger accident automobile, Simon fait la connaissance de Judith Northwade. Le père de la jeune femme a mis au point un moteur révolutionnaire. Cependant, du fait de problèmes d'argent, il a du céder à vil prix le brevet à son frère, le riche et brutal Burt Northwade. L'épouse de ce dernier, Ellen, déplore cette situation, également due à une ancienne rivalité amoureuse ayant opposé les deux frères. Judith veut dérober l'invention pour la remettre à son père et demande à Simon de l'aider. Celui-ci accepte, malgré la méfiance manifeste de la police québécoise. Le Saint comprend néanmoins que la prétendue Judith est une arnaqueuse, qui tente de le manipuler. Il s'allie à Ellen pour que le moteur revienne à son légitime propriétaire, tout en permettant à Judith, pour qui il éprouve la plus vive des sympathies, d'échapper à la police.
Cette mission à Montréal débute idéalement par un Simon fendant l'armure, totalement déchaîné durant un match de hockey sur glace. Roger Moore se montre hilarant tout en délivrant une savoureuse métaphore à propos des différences de mentalités existant entre Grande Bretagne, États Unis et Canada, l'une des meilleures scènes d'introduction découvertes jusqu'ici. L'exposé de l'argument s'affranchit ensuite brièvement de la présence du Saint, un procédé efficace, évitant également de trop se prolonger. Elle nous vaut également une nouvelle intense composition de David Bauer, toujours étonnant de conviction, tout en installant une intrigue assez riche, entre rivalité fraternelle, sentiment amoureux et enjeu industriel; toute une saga condensée en quelques minutes.
Mais, en définitive, l'épisode débute réellement lors de la rencontre entre Simon et Judith, survenue lors d'un léger incident automobile, ce qui ne sera pas sans éveiller quelques réminiscences chez les amateurs des Avengers. Le charme, l'humour et le talent de Julie Christie s'imposent en effet d'emblée, lui valant de venir clairement la Templar Girl la plus marquante depuis le lancement de la série. Le couple formé avec Roger Moore s'avère parfait, glamour en diable, mais aussi agréablement acidulé. On devine assez rapidement l'excellente arnaque mise en œuvre par l'astucieux scénario mais le jeu du chat et de la souris entre Simon et Judith n'en devient que plus délectable encore, porté par des dialogues souvent distrayants. Cette irrésistible comédie romantique se voit également portée par la beauté des décors et des costumes, toujours l'un des atouts de la série, ainsi que par l'élégance de la mise en scène. Cette mémorable rencontre nous fait cette fois regretter le rituel de la succession des Templar Girls, tant l'on aurait aimé retrouver la délicieuse Judith. Mais le cinéma va bien vite accaparer Julie Christie, une simple évidence au vu de cet opus enthousiasmant.
En habile contrepoint du couple vedette, Ellen Northwade peint un beau portrait de femme, menant son combat pour sauver son mariage avec celui qu'elle continue à aimer, tout en restaurant la justice. L'émotion s'instaure, notamment grâce une superbe interprétation, en dépit de l'aspect quelque peu daté de la situation. Le duo de policiers apporte un humour bon enfant et distrayant, particulièrement grâce à l'Inspecteur Lavin, sybarite et malicieux. On remarque au passage qu'ils emploient un superbe accent français, en rien québécois ! On regrettera d'ailleurs l'absence de réel effort d'évocation de Montréal, une plaque minéralogique et quelques inserts anonymes ne pouvant suffire. Montréal n'a pas de chance, ici invisible et à peine abordée (au sens propre) par les Avengers ! Roger Moore, au sommet de son art, nous régale d'une impressionnante tirade en un parfait Français, s'attachant déjà à la composition précise et détaillée d'un cocktail !
Julie Christie (Judith), alors encore uniquement connue pour la série A for Andromeda, est ici à l'orée d'une grande carrière cinématographique ( Fahrenheit 451, Dr Jivago, Neverland etc..). Couronnée par un Oscar en 1965 pour Darling , elle fut également une muse de Christian Delacroix. Julie Christie aurait été envisagée pour incarner la mythique (et si limitée) Honey Rider, mais les producteurs auraient finalement préféré Ursula Andress, pour sa poitrine plus avantageuse.
Robert S. Baker rapporte que l'équipe de tournage fut initialement peu convaincue par la prestation de Julie Christie, celle-ci se montrant hésitante en début de tournage et incapable de se souvenir de son texte. Elle se révéla cependant extraordinaire par la suite.
Quand Simon ouvre le coffre-fort, le cercle de lumière est à l'évidence créé par une source extérieure à la scène.
Simon explique à l'inspecteur qu'il est venu à Montréal pour déguster une omelette, spécialité d'un célèbre restaurant local. Le Saint avait déjà exprimé sa passion pour l'omelette dans l'introduction de The Careful Terrorist .
L'imposante résidence de Northwade est en fait Haberdashers' Aske's School, située à proximité immédiate des studios d'Elstree. Cette prestigieuse école, fondée en 1690, accueille les enfants de la haute société et oriente le plus souvent vers Oxford et Cambridge. Lors du tournage de l'épisode, l'institution vient récemment d'intégrer ces locaux, en 1961.
Date de diffusion: 10 octobre 1963 (Man with Two Shadows : 12 octobre 1963)
A Mexico, le Saint fait la connaissance de la belle Teresa, dont le mari, Gaspar, a mystérieusement disparu après une tentative d'assassinat du président, voici deux ans. Simon décide de l'aider à le retrouver quand Miguel, un ami commun, est assassiné. Il venait d'indiquer à Teresa la lointaine petite localité de San Pedro comme possible destination de Gaspar. Commence alors un long périple à travers déserts et montagnes, durant lequel le Saint et la jeune femme vont être confrontés à la police, au redoutable assassin de Miguel, au légendaire El Rojo, le Roi des Bandits ainsi qu'à l'énigmatique Casernegas, survenant périodiquement pour leur porter secours.
Malgré une introduction plus expéditive qu'à l'ordinaire, cette escapade mexicaine du Saint va se révéler fort plaisante. Fort judicieusement les auteurs ne tentent pas de bâtir un road movie dans les règles de l'art, ce qui serait risqué et passablement hors sujet dans le cadre de cette série. Cela n'empêche pas une vraie relation, toute en amicale complicité, de s'instaurer entre Theresa et Simon mais prime se voit clairement donnée à l'aventure. Nerveux à souhait, le scénario joue habilement des différentes oppositions et interactions des trois forces en présence (les héros, la police désireuse de retrouver Gaspar et l
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